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Mélissa monte au ciel ou Les aventures spatiales d’une astronaute courageuse.

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
III - Des vertus de la tarte en tube
Tanguy avait été impressionné par ce qu’il avait vu. La sensualité et l’érotisme de l’acte l’avaient tellement excité que son sexe s’en était trouvé à l’étroit, enfermé dans son pantalon. Il l’avait donc sorti et masturbé avec entrain mais il n’avait pas éjaculé. Son excitation était en passe de retomber quand il vit que Mélissa venait de refermer ses notes et sortait de son module pour se diriger vers centre de la station. En arrivant dans le module commun, elle trouva Pedro.
— Tu tombes bien, je voulais te voir.— Deux minutes tu veux bien ? J’ai une faim de loup. Il faut que je mange un truc.— Vas-y, fais comme chez toi ! Moi aussi, j’étais venu manger un morceau.
Mélissa se tartina de la salade à la mozzarella en tube sur une tranche de pain « sans miette » et questionna Pedro.
— Tu voulais me dire quelque chose ou tu voulais... autre chose ?— Non, je voulais te dire que je n’étais pas sur d’y arriver, si tu vois ce que je veux dire. Peut être que Lurel n’a pas eu ce problème, mais moi, j’ai du mal à me dire que je vais faire l’amour avec toi comme ça. Je ne suis pas certain de pouvoir bander.— Je comprends, c’est normal, faut pas t’inquiéter. Tu as goûté à ces nouveaux desserts ? (elle lui tendit un tube)— Non, c’est quoi ?— Tarte aux myrtilles ! Tu devrais essayer, c’est mortel !— Tu sais, je ne suis pas trop desserts. Je pensais plutôt prendre un tube de maquereaux à la moutarde.— J’insiste pour que tu testes cette tarte aux myrtilles. Je crois qu’elle te sera d’un grand secours. (Pedro se fit une tartine).— Wao ! Tu as raison, c’est excellent !— Tu vas voir, ça a plus d’une qualité alors n’en abuse pas... (elle lui fait un clin d’œil et s’en retourne vers son Laboratoire). Si jamais, t’avais besoin de moi, viens me chercher, je suis à ta disposition...
Pedro la regarda s’en aller. Il semblait ne pas comprendre. Il finit sa tartine et en prit une deuxième avant de retourner à son poste. Après un quart d’heure, son esprit était de plus en plus perturbé. Il ne pensait qu’à niquer. Il se demandait comment était Mélissa et il bandait comme un cochon. Il avait espéré un temps que cela passe mais son excitation grandissait. Il quitta son poste et se dirigea vers le module d’expérimentations botaniques.
— Mélissa ?— Pedro ? T’en as mis du temps ! Je me demandais si tu étais réceptif aux effets de la tarte aux myrtilles. Normalement c’est infaillible une tartine et un quart d’heure après tu bande comme un âne, mais toi t’as mis plus de vingt minutes pour venir ; j’étais inquiète !— La tarte... ?! Oh, putain, c’est pour faire bander ?
— Tout juste ! Ça fait bander et ça booste la libido. Si tu ne fais rien tu risque d’avoir mal. Mais, rassure toi, j’ai ce qu’il faut pour te soulager. Suis-moi !— Mélissa ?— Oui Pedro ?— J’en ai pris deux tartines...— Et bien tu vas avoir une pinne de cheval et ça risque de prendre un peu plus de temps pour lui redonner une forme « normale ».
Elle attrapa la main de Pedro et l’emmena sans tarder vers le module des plaisirs. Tanguy repris son observation. Son érection était retombée mais il avait gardé sa bite sortie et la tripotait machinalement. Ils se déshabillèrent très vite. Pedro affichait une érection terrible. Sa bite était très large et paraissait comme une sorte de petit concombre. Les doigts de Mélissa n’en faisaient pas le tour. Du fait de l’aphrodisiaque, Pedro était pressé de niquer. Aussi ne perdirent-ils pas de temps en caresses et bisous préliminaires.
— Mélissa, suce moi s’il te plait.— Elle est très grosse... (Mélissa se plaça entre les jambes de Pedro et commença à le lécher. Puis elle approcha ses lèvres du gros gland violacé, écarta la bouche et y fit glisser le membre énorme. Elle avait l’impression de se démonter la mâchoire.)— Oooh oui salope ! Avale ma bite ! Suce moi bien.— … Hhhh !!— Ooh je n’y crois pas ! Tu la prends complètement ! Oooh ! Oh salope, Suce ma bite salope (Pedro lui maintenait la tête et lui baisait littéralement la bouche)— Hhh ! Hhhh ! Hhhh ! Hh ! Hhh !
Mélissa suçait et faisait disparaître l’épaisse bite dans sa bouche. Elle l’avalait jusqu’aux couilles puis la ressortait couverte de salive. Pedro était de plus en plus excité. Il voulait la baiser, il voulait s’enfoncer dans sa chatte.
— Viens tourne toi cochonne ! Et accroche toi bien.— Vas y salaud, maintenant que tu m’a démonté la mâchoire, écarte ma chatte. Baise moi, vide toi les couilles dans ma chatte en feu.— J’en peux plus Mélissa. Faut que je te baise. Putain de salope ! HanHH !— Aaaaaaaaah ! (Il venait de la pénétrer d’un coup et sans crier gare) Oooh putain salaud ! Ouh — Oh pardon ! Je... t’ai fait mal ?— Oui connard ! Ouh, ne bouge pas ! Reste comme ça ! Ça va passer...— Je suis désolé Mélissa...— Attends,... ouh ! Ça va mieux, attends... Oooooh vas-y maintenant, doucement,...— Tiens ma cochonne, tiens !— Oooh ! Oh putain t’es vachement gros ! Oooooh ! Tu m’écartes ! Ooooh ! Oh ouiih...— T’es vraiment qu’une chienne ! Tu viens vers moi maintenant hein ? T’en veux de la bite ?— Oui, je me baise sur toi (Mélissa devançait les assauts de son partenaire pour s’enfoncer elle même le plus profondément possible sur cette grosse bite) Aaaah ! Oooh ! Ohh ! Oh ouiih ! Baise moi comme une chienne, dis moi des trucs cochons, Oooh ! Traite moi comme une pute !— T’aime ça être une pute ? Tu vas être notre pute à tous les trois salope !— Oui je suis une pute ! Oooh oh ouii ! Oooh ! Vas-y salaud baise moi fort (Mélissa s’était cramponnée à une paire de poignées et Pedro s’activait comme un sauvage derrière elle. Sa bite énorme lui écartait la chatte. Tanguy avait zoomé sur cette pénétration monstrueuse. Il était de nouveau excité et avait repris une masturbation plus active.)— Aaah ! Aaah ! Aaah ! Bouges ton cul salope ! Putain ! Bouges ton cul, tu m’excites !— Oooh ! Ooh! Ouiii...! Oh ouih !! Traite moi comme une chienne ! Aaah ! Ooooh ! Aaah !— Tu sais que t’es une vraie salope ?— Oui ! Oooh ouiii ! Aaah ! Plus fort !— T’aimes qu’on te ramone la chatte ?— J’ad... J’adooore ! Oh ouii ! Baise moi fort, ooooh !— Tu m’a fais bouffé ce truc pour ça hein ? Pour que je te baise comme une chienne ! Avoue !— Oooh oui !... Ouii, je voulais que tu me baises... Ooooh, je voulais que tu m... que tu me remplisse la chatte ! Aaah !— Aaah ! Han ! Aaah ! J’vais te la remplir la chatte ! Je vais te la tapisser ! Aaah ! Grosse pute ! Aaah !— Ooh ! Aaah ! Ooooh ! Oooh ! Aaaaaaah ! Oh ouiiiiih !— Oh putain ! Oh putain ! Oh putain ! Tu vas jouir salope ! Tu vas gueuler !— Ouiiiih ! Je viens ! Je vieeeeeeeeeeeeeeeeens ! Jouis ! Jouis ! Jouis ! Aaaaaaaaaaaaaaaah !— Ooooh ! Oh ouii ! Oh c’est bon ! Putain ! Ooooooooooooooh !— …— T’es vraiment une grosse pute Mélissa.— Pardon ?!— Ben c’est vrai quoi, je t’explique que je ne peux pas te niquer comme ça et toi tu me refile en douce un truc super puissant pour me faire bander et m’obliger à baiser avec toi ! Comment t’appelle ça ? Si ce n’est pas pute, c’est grosse salope ! Non ?— J’ai pas le choix, Pedro, soit tu bandes tout seul et tu me baises, soit tu ne bande pas et je te donne de quoi bander pour que tu me baises. Donc dans tous les cas de figure, pour ma mission, il faut que tu me baises et plus vous me prendrez tous les trois et plus j’ai de chances de réussites. Avoue que ce serait con de baiser avec trois mecs dans l’espace et de ne pas trouver le moyen d’être fécondée par l’un d’entre eux pour n’avoir pas niqué au bon moment. Mais tu as raison, je suis bien payée pour me faire sauter par vous trois dans cette station orbitale mais je n’ai pas le choix. Tu le sais très bien. Donc je ne suis pas une « grosse pute » comme tu dis.— Non, ce n’est pas exactement vrai. Tu pourrais, si tu voulais baiser avec un mec différent chaque jour, ou attendre que ceux qui ont quelques scrupules soient dans de meilleures dispositions. La période de fécondité de la femme dure sept jours, ce n’est pas rien. Tu n’es pas obligée de te taper le marathon des bites, non ?— Je préfère me faire un marathon de bite et me faire sauter par vous trois le plus possible pour ne pas avoir à penser à ce que je suis en train de faire. Ma mission est de concevoir un enfant dans l’espace et bien je vais la prendre à cœur et je te promets que je ne bâclerais pas non plus les finissions... C’est comme ça.— Enfin, tu vas vite ; tu nous fais réfléchir à la situation de Tanguy et puis deux heures après, il faut qu’on soit directement capable de se vider les couilles dans ta chatte !— Ça ne t’a pas plu ?— Si bien sûr...— Alors qu’est ce que tu viens faire chier ? Mais, si ça t’excite de me traiter de pute et de salope, ne te prive pas... fais le tant que tu veux.— Et bien regarde salope ! Je bande encore... C’est ton truc qui fait ça.— Je t’avais dit de ne pas en abuser. Je croyais que t’avais compris... Viens, prends moi encore. Oooh putain elle rentre tout seul maintenant.— Oh ouiih Salope ! Anh ! Aaah !— Oh ouiiiii, oh ouii! Oooooooh ! Aaaaah ! Ooooh !— T’es pleine de foutre ! E t je j’vais t’en remettre une couche !— Aaaaaah ! Ooooh ! Aaaaah !— Oh oui ! Oh oui ! T’es ma grosse pute ! T’es qu’une pute ! Aaaaah ! Oh oui !— Vas-y mon gros, jouis ! Jouis ! Jouis ! Jouis ! Aaaaaaaaaah !— Oooh nooon ! Oooh je jouiiih ! Oooooh !— Aaaaaaaaaaaaaaah ! Oh ouiiiiih ! Oh ouiiiiiiiiiiih ! Vas-yyyyyyyy ! Ouiiiiiiiiiiiih !-…— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !— …— …
Après quelques minutes dans les bras l’un de l’autre, la bite de Pedro repris ses proportions naturelles et sortit du con baveux de Mélissa. Il était temps de se doucher et de se rhabiller. Mélissa n’avait pas fini sa journée. Elle devait encore niquer avec Youri mais ce serait après le dîner. Elle avait faim. Elle retourna quelques minutes dans son module de recherche pour noter ses impressions et relever quelques données de ses dispositifs expérimentaux de culture en apesanteur avant de rejoindre ses camarades dans la partie centrale. L’ambiance était détendue avec Lurel et Pedro mais Youri paraissait gêné. Mélissa se demandait si c’était parce qu’il allait passer en « dernier ». Elle se rapprocha de lui et lui posa la question à l’oreille.
— T’es fâché ? Quelque chose te contrarie ?— Non, pas vraiment... C’est juste que... c’est bizarre. T’as déjà niqué avec Lurel et Pedro et je suppose que mon tour va venir à un moment ou a un autre mais...— Mais t’aurais voulu passer avant ?— Et bien, …peut être, je ne sais pas trop.— Tu sais Youri, dans les grands repas, on sert toujours les meilleurs vins au dessert et bien moi, ce soir, j’espère que je ne me suis pas trompée et que j’ai bien gardé le meilleur pour la fin.— Flatteuse !— Oui, mais sincère ! (Mélissa fit une bise appuyée sur le bord des lèvres de Youri.)— (Lurel) Oh ! Les tourtereaux, y a le module des plaisirs pour ça !— Et quoi ? Ça te gêne ? T’es jaloux ?— Mais non je ne suis pas jaloux !— Haha, si tu l’es, regarde comme tu te vexes ! T’es jaloux !— Même pas vrai !... Bon de toute façon on va changer de sujet avant que vous ne vous échappiez pour niquer tous les deux. On a un petit problème sur la station et un programme un peu chaud à assurer dans les douze prochaines heures.— C’est quoi le problème ?— On a une avarie sur le moteur auxiliaire de positionnement du panneau solaire principal. Il faut envisager une sortie scaphandre. J’ai besoin d’une personne avec moi. Qui se porte volontaire ?— Moi ! (Mélissa n’avait pas laissé le temps aux deux autres de réfléchir)— Bon ok donc comme je pense qu’il faut que nous soyons tous reposé avant, je programme la sortie pour dans dix heures. Ça te laisse le temps de faire une dernière expérience avant d’aller dormir. Quand nous serons dehors avec Mél’ vous deux vous aurez la lourde responsabilité de notre sécurité. Vous suivrez les opération de l’intérieur et au moindre capteur qui bip, vous sonnez le repli Ok ?— Ok— Cette panne est apparue il y a deux ou trois heures et nous avons déjà perdu 20% de nos ressources énergétiques. Ce la signifie que si nous n’intervenons pas rapidement, nous allons devoir condamner et déconnecter certains modules à commencer par le module des plaisirs et un autre consommateur important. Il ne faudrait pas avoir à déconnecter la le module d’expérimentations botaniques...— Et puis quoi encore ? Pourquoi justement mon poste ?— Parce que c’est un gros consommateur.— Pas cool !— Non ce n’est pas cool, alors dans dix heures, on sort, on remplace ce petit moteur de merde et on rentre. Une petite balade estimée à une heure et quinze minutes dans le vide spatial.— Une petite balade ? C’est quoi le niveau de danger ?— Le Risque Individuel Estimé est de 6, mais au moindre pépin, on peu atteindre un RIE de niveau 10 comme toujours... d’autres questions ?— Non c’est bon.
Mélissa prit la main de Youri et le conduisit vers le module des plaisirs. Quand ils furent seuls dans le vestiaire, elle le regarda. Il avait l’air intimidé. Elle l’embrassa tendrement et le déshabilla elle même. Youri se laissait faire. Elle retira le haut et le bas de sa combinaison, retira son maillot de corps et son slip. Youri ne bandait pas encore et elle se dit qu’elle allait avoir du travail... Sans doute aurait elle dû utiliser avec lui le même stratagème qu’avec Pedro mais bon, il était trop tard pour y penser. Quand ils furent nus tous les deux, elle le mena dans la deuxième partie. Elle le prit contre elle, l’embrassa et le serra contre sa poitrine généreuse. Youri se mit à caresser les doux mamelons de Mélissa et se mit à les téter. Il semblait prendre un peu d’assurance et laissa ses mains explorer le corps de sa partenaire. Il glissa un puis deux doigts dans la chatte de Mélissa qui, très vite, gémit de cette intrusion plus pour l’encourager que pour le plaisir qu’elle ressentait.
Mmmh ! Oui mon bébé. Caresse mon petit trésor. Mmmmh, ouihh ! Comme ça.
Youri ne disait rien. Mélissa laissait maintenant courir ses mains sur le corps fin de son amant. Elle lui caressait le dos puis passait devant pour s’occuper de son sexe et de ses couilles. La verge de Youri avait changé d’attitude. Elle se redressait petit à petit. Il prenait progressivement, sous la lente masturbation de Mélissa, la rigidité qu’elle attendait. Ils se branlaient ainsi l’un et l’autre. Leurs corps étaient enlacés et leur mouvements très lents. Ils se laissaient dériver tranquillement à l’intérieur du module. Le pénis de Youri était long et fin. Il paraissait excessivement dur. Les deux astronautes s’embrassaient avec fougue. Leurs langues se cherchaient, s’enroulaient. Par moments, celle de Youri pénétrait la bouche de Mélissa à la manière d’un petit sexe. Mélissa était de plus en plus excitée. Elle se sentait fondre sous les doigts de Youri et avait maintenant une envie irrésistible d’être pénétrée par ce pieu pointu qu’elle tenait dans sa main.
— Pénètre-moi Youri, prends moi !— … Ooh Ouih ! Aaah !— Ooooooooh !— Han ! Aaah ! Aaah
Youri avait passé ses bras sous les cuisses de Mélissa lui forçant à relever les jambes et il la tenait par le torse. Son bassin s’animait avec beaucoup de douceur. Les deux corps enlacés dérivaient dans la pièce au gré de leurs mouvements et allaient parfois percuter en douceur les parois capitonnées du module.
— Oooh ! Oh ouiih... Vas-y... Ooooh !— Aaah ! Oooh ! C’est bon ?— Oooh... # BONG # Aïe ! Haha !— Ça va ?— Aaaaah ! C’est bon, n’arrête pas... Oh ouiiii... Continue Youri ! # BONG #.— Ça va ?— Ouiii, ça va ! N’arrête pas ! C’est trop bon, n’arrête pas !— Anh ! Anh !— Oooh ! Oh ouih ! Oh ouiiih !— Aaaah ! # BONG # Aïe !— Oooh ! Ça vient Youri ! Aaaaah ! Ouiih ! Plus vii... # BONG # plus vite ! Aaaaaah !— Oh Oui ! Anh ! Anh ! Oh ouiih !— Continue Youri ! Aaaaaaaaah ! N’arrête pas ! Ooh Ouih ! Oh Ouih ! Oh Ouiiiiiiiiiiiih !— Vas-y ma belle ! (Youri lui pourfendait la chatte avec plus de fougue et ses mouvements bien qu’un peu désordonnés du fait de l’apesanteur n’en étaient pas moins rapides. Son sexe butait au fond de la matrice de Mélissa qui hurlait de plaisir) Vas-y, jouiiih !— Aaaah ! Ouiih ! Ooooh ! Plus fort, Aaaaaah ! # BONG # Ouiih ! Ouiouiouiouiouiiiiiiiiiiih ! Aaaaaaah ! Encore ! Encooore !— Aaaah ! Anh ! Lâche-toi ma belle ! Jouiiih ! Ooooh je … Je...— Aaaahaaaaaaaaaaaah ! Je jouiiiiiiiiiiih ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiih !— Je joui Mélissa ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Oh Ouiiiiiiiiiiih ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaah
Les deux corps se détendirent et se tinrent enlacés dans un tendre câlin. Tanguy n’avait rien loupé de cette troisième séance. Il s’était masturbé comme un fou en regardant sa femme faire l’amour avec Youri. Il l’avait trouvée très sensuelle et excitante et venait d’éjaculer sur son pupitre pour la première fois.
— Merci ma belle ; y a pas à dire, ça fait du bien.— Mmmh ! C’est vrai que ça fait du bien... et maintenant, je resterai bien comme ça un moment.— Oui, on est bien comme ça. C’est rigolo de flotter dans ce module seulement...— Seulement ?— Et bien j’ai envie de pisser. (Mélissa repensa à Tanguy entouré de l’urine de ses compagnons et allant même jusqu’à boire à la source. Elle se demandait ce qu’il avait éprouvé.)— Pisse moi dessus ; pisse moi dans la bouche ! (Elle glissa son visage au niveau de la verge ramollie de Youri) Pisse moi dessus Youri...— Non ! C’est... C’est dégueulasse.— Pourquoi ? Non, je connais des gens qui aiment ça ; j’ai envie d’essayer. Pisse dans ma bouche s’il te plaît.— Ben je sais pas si je vais pouvoir, ça coupe un peu l’envie ton truc.— Détend-toi, laisse-toi aller. C’est moi qui te le demande.— Attends... (Youri ferma les yeux et respira un bon coup puis après quelques instants de concentration, lâcha un joli jet d’urine qui s’éparpillait dans le module. Mélissa le rattrapa plus ou moins en vol avant de se jeter directement sur la source et de la gober. Youri rouvrit alors les yeux.) Oh non ! Cochonne ! Oooooh tu bois tout ? Ooooooooooh— Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl !— Oh mon dieu ! Oh mon dieu ! Oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooh !— Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl ! Rrl, rrl !— Oooooooh !— Mmh ! Et voilà ! Toute propre dehors comme dedans ! Et ne dis pas que tu n’as pas aimé parce que ton « petit sergent » me dit le contraire. Il est déjà au garde à vous ! (Elle reprend la bite en bouche et la suce)— T’es infernale Mélissa !— ...Rrglouihgl !— Oooooh ! C’est bon. Ouiiih !— … Rrrlrraaaaaaaaaaaaah ! Et bien je pense qu’on est prêt pour un second round mon cher monsieur !— Oh oui ma belle ! Je vais te remettre ça avec plaisir. Viens, grimpe sur ma bite ; empale toi dessus !— Avec plaisir ! (Mélissa approche son bassin du membre turgescent et, s’agrippant à Youri, elle se pénètre elle même à la bite superbe)— Aaaah ! Ah oui, comme ça ! Oooh ! Branle toi bien sur ma bite, ouihh !— Oooh oui, c’est bon ! Aaaaah ! Tu bandes salaud ! C’est de m’avoir pissé dans la bouche qui t’a excité ça ? Avoue ! Ooooh !— Oh oui cochonne ! Tu m’as excité ! J’avoue que j’ai aimé te pisser dans la bouche ! Aaaah ! Ouiih bouge sur ma bite ! Oooh !— Ooh ouih ! Ooh ! Oh ! Oooh oui ! (Youri avait ses mains sur les fesses de Mélissa et in doigt indiscret s’aventura vers sa rosette dilatée. A chaque mouvement de son bassin celle ci s’ouvrait légèrement et le doigt en profita pour rentrer sans peine dans le « puits défendu »)— Oh ! Ooooh, salaud, qu’est ce que tu me fais la ?— Je te pénètre ma jolie, tu veux que je l’enlève ?— Non, c’est... c’est bon laisse le. Ooooh, oh oui ! Oooooh !— Oooh ! Anh ! Anh ! Anh ! (Youri était plus actif maintenant. Il sentait avec son doigt sa bite dans la chatte de Mélissa. La belle astronaute semblait apprécier cette « double » pénétration.)— Oh ouii... Bouge ! Oooh !... Baise moi !... Ooh putain Youri ! Je vais... Oooh !... Non ! Yourii... Je pisse ! Aaaah !— Ooooooh ! Cochonne ! Cochonne ! Ooooooh !— Aaah mon dieu ! Je pisse ! Je... je jouiiii ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! (Elle venait de jouir avec une intensité qu’elle n’avait encore jamais ressentie. Youri n’avait pas encore joui. Il retira son doigt et se défit de l’étreinte de Mélissa et passa dans son dos. Il lui écarta les fesses et pointa son dard bien lubrifié de mouille sur la rosette bien préparée. Mélissa s’agrippa à une paire de poignées du module.)— T’y va doucement, je n’ai jamais fait ça.— T’inquiète pas, je serais très doux et si tu as mal ou si ça te gène j’arrête ok ?— Ok. Ooooooooh ! Mmmmmmmmmh ! (La fine verge s’était facilement introduite dans le conduit assoupli. Youri avait appliqué une pression forte et régulière jusqu’à se que son membre disparaisse complètement.)— Ça va ?— Oui ça va. T’as tout mis ?— Oui ma belle, j’ai tout mis. Tu ne sens pas mes couilles sur ta chatte ?— Siih. Oooh ! C’est bon, bouge.— Allez ma belle, on y va.— Oh mon dieu ! Ooh ! Oh mon dieu ! Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! Oooooooooh ! Jouis putain jouis !— Oh oui ! Oui ! Aaah ! Aaah ! (Youri bougeait maintenant plus vite.)— Aaaah ! Oh oui ! Oh oui ! Salaud !— T’aimes ça hein ? T’aimes quand je te ramone le cul ?— Oh oui ! Je... J’ai... J’aime ça ! Baise-moi, encule-moi !— Tu vas jouir du cul cochonne ! Aaah ! Aaah ! Oh putain ! Je jouis Mélissa ! Je te remplis le cul ! Ooooooh ! Oh ouiiiiiiiih ! Ooooooooooooooooooooh !— Oooh ! Salaud ! Salaud ! Ooh ! Oh Ouiiiiiiiiiiiiiiiih !— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
Les deux amants s’écroulèrent et se laissèrent dériver dans le module, encore emboîtés l’un dans l’autre. Ils reprirent doucement leurs esprits. À son poste d’observation Tanguy regardait sa main droite pleine de sperme. Il en avait remis une couche sur le pupitre. Il en avait mis également sur sa chemise et son pantalon. Il laissa tomber son pantalon par terre et s’essuya les mains dans sa chemise qu’il ôta également et se dirigea vers la douche. Il n’en revenait pas. Il avait vu Mélissa baiser avec trois de leurs collègues et ça l’avait excité bien que son sentiment profond soit globalement plus contrasté. Il ressentait un peu d’amertume. Il était ahuri de voir le plaisir qu’elle avait pris et la facilité avec laquelle elle s’était donnée à ses trois collègues. Pour couronner le tout, Youri avait eu droit à des faveurs que même lui n’avait jamais obtenues. Mais de la voir baiser l’excitait et, rien que d’y repenser, il sentait des picotement dans sa bite.
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