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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 11

Hétéro
MARIE-HÉLÈNE

Je devais avoir dans les 35 ans lorsqu’un ami commun me présenta à Marie-Hélène ; elle avait au moins 10 ans de plus que moi. Mais, bien que le visage de cette belle blonde commençât à se fatiguer, son corps avait conservé la beauté de la jeunesse. Elle était mariée (tout comme moi, d’ailleurs…), ce qui ne nous empêcha pas de nous éclater ensemble.
Marie-Hélène avait une particularité (que je recherche depuis chez les femmes) : une vulve dotée de petites lèvres très longues et épaisses, qui dépassaient de son sexe même lorsqu’elle n’était pas excitée, ce qui arrivait peu souvent ! Elles étaient tellement développées que je leur avais trouvé un usage bien particulier : tout en les maintenant enroulées autour de ma verge (que je n’introduisais pas dans sa vulve, mais dont je positionnais le gland au niveau de son clitoris), je les faisais coulisser le long de ma hampe, les utilisant pour me branler dans ce fourreau sensible et délicat.
Je m’en régalais aussi lorsque je lui bouffais le minou : quel délice d’avoir la bouche pleine de ces lèvres hypertrophiées que j’aspirais, léchais, mâchouillais, mordillais… Son extraordinaire chatte m’inspirait tellement qu’un soir, chez elle, alors qu’elle écoutait une polonaise de Chopin, dénudée jusqu’à la taille (mais en partant du bas), je suivis les moindres inflexions de la musique pour lui interpréter – à ma manière – un ‘’Cunnilingus Héroïque’’ qui prit fin en même temps que le dernier accord sur un fabuleux orgasme !
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JEANNINE

C’était la sœur d’un copain ; je l’avais aidée à déménager et, pour remercier tous ceux qui avaient participé au déménagement, elle les avait invités à un dîner dans son nouvel appartement. Bien entendu, nous avions bien picolé ; au moment du dessert, Jeannine me demanda ce que je désirais. Je lui répondis – manière de plaisanter – « Une fellation ! » (Peut-être ai-je dit « Une pipe » ; je ne m’en souviens plus très bien). Elle m’entraîna dans une chambre et, baissant mon pantalon, elle entreprit de me sucer. Elle eut droit à deux desserts : le premier qu’elle avala, ce fut mon sperme.
Par la suite, je retournai chez elle à plusieurs reprises ; à chaque fois, nous baisions comme des fous. Elle m’a surpris par sa manière de se masturber à l’aide d’un briquet, qu’elle s’introduisait à l’entrée du vagin. Désirant lui enseigner une autre technique, je plaçai un pied devant sa chatte et poussai. Son conduit était assez large pour l’accueillir jusqu’à ma cheville (en effet, elle avait eu un enfant quelques mois plus tôt). C’était agréable d’avoir un pied bien au chaud, d’autant plus que cela se passait au cours d’un hiver plutôt froid ; je regrettai cependant qu’elle n’ait pas eu le cul assez ouvert pour y enfiler mon autre pied ! De ce côté-là, il y avait juste assez de place pour ma bite, qui le visitait souvent…
Un jour, elle m’accueillit chez elle, où elle me présenta à deux copines. C’étaient des filles plutôt délurées ; je fus quand même surpris lorsqu’elles me proposèrent de les baiser. Comme ce n’était pas fait pour me déplaire, je m’introduisis dans le vagin de la première. Elle me dit qu’elle ne sentait rien ; je supposai que c’était dû au format très moyen de ma verge (entre 14 et 15 cm, avec cependant un gland de bonne taille). Sa copine voulut également m’essayer ; elle aussi déclara ne rien sentir. Je la retournai et lui enfilai ma queue directement dans le cul, sans l’avoir préparée à cette intromission.
– Et maintenant, tu sens quelque chose ?
Effectivement, elle sentait bien ce membre qui lui ramonait les boyaux ; puis je changeai de partenaire et enculai sa copine pour me vider les couilles dans son petit orifice.
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DOMINIQUE

Une petite brune – au visage assez ingrat, mais au corps doté de courbes harmonieuses – gravitait autour du groupe de musiciens dont je faisais partie. J’eus l’occasion de la baiser, et je l’ai revue à plusieurs reprises, car elle avait une particularité qui me plaisait bien : une touffe de poils pubiens très fins, mais très longs aussi, comme des cheveux. Elle tirait dessus pour ouvrir les lèvres de sa vulve, que je barbouillais de chocolat moelleux avant de la lécher ; ce petit jeu l’amenait rapidement, et immanquablement, à une extrême jouissance. J’aimais bien la baiser aussi, mais je préférais les pipes qu’elle me faisait : elle était très douée pour ça !
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FRANÇOISE

Encore une Françoise, blonde elle aussi, mais avec de longs cheveux. Au cours d’un repas entre amis à la campagne, je la pris par la main et l’emmenai dans une chambre adjacente à la salle à manger. Là, je l’allongeai sur le lit et, après l’avoir longuement léchée, je lui enfilai ma queue dans sa chatte accueillante. Nous avons baisé pendant plus d’une heure ; lorsque nous rejoignîmes les convives, mon épouse me fusilla du regard…
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DEUX PROSTITUÉES

Au cours de ma carrière de libertin, je pense avoir eu nettement plus de partenaires sexuelles que la moyenne de mes concitoyens. Alors, pourquoi en dépit du nombre de mes conquêtes, ai-je eu recours – à deux reprises – à des professionnelles ? La première, c’était par curiosité ; quant à la deuxième, c’était par besoin.
A 30 ans, je n’avais jamais eu de rapports vénaux, et j’étais curieux de savoir en quoi cela consistait. L’occasion s’est présentée lors d’un déplacement dans une grande ville. Dans une ruelle, une femme entre deux âges m’avait abordé pour me proposer ses services. Je la suivis dans une chambre assez sordide ; là, après qu’elle m’eût lavé la queue au-dessus d’un lavabo guère reluisant de propreté, elle s’assit au bord du lit, retroussa sa jupe, enleva sa culotte et, écartant les cuisses, elle me demanda :
– Alors, tu viens ?
La pénétrer comme ça, de but en blanc ? Je n’étais pas habitué à si peu de cérémonial, et mon érection était bien hésitante, face à cette vieille vulve touffue ! Je voulus la caresser un peu, tant pour l’exciter que pour m’exciter moi-même ; mais la prostituée ne voulait pas s’encombrer de préliminaires. Refroidi par son manque de coopération, je n’avais pas envie de fourrer ma queue dans ce vagin inconnu. Par contre, la situation m’excitait : une femme mûre qui écartait les cuisses devant moi… Je m’agenouillai entre ses jambes et, le regard fixé sur sa fente qu’elle ouvrait d’un doigt, je me branlai devant elle ; c’est ainsi que je pris mon plaisir.
La deuxième, ce fut à l’occasion d’un stage de plusieurs semaines dans cette même grande ville. Cette fois-ci, ce n’était pas une femme mature, mais une toute jeune fille qui semblait avoir moins de 20 ans. Elle tapinait sur les quais, en plein jour. J’arrêtai ma voiture à sa hauteur et entamai la conversation. C’était une Roumaine qui – heureusement – parlait l’italien (les deux langues étant assez proches l’une de l’autre, m’expliqua-t-elle). S’étant assise à mes côtés, elle me demanda 200 F pour faire l’amour. Elle m’indiqua un parking proche, sur les quais ; nous nous y rendîmes.
Là, après avoir abaissé le dossier de son siège, elle enleva son short et écarta sa culotte. Elle avait une jolie petite vulve entièrement épilée qu’elle me laissa caresser. Mais, lorsqu’elle voulut me mettre un préservatif, je lui dis que je n’aimais pas ça, que je ne voulais pas faire l’amour dans ces conditions,et que je préférais me branler en la regardant prendre des poses érotiques.
Dois-je le regretter ? Mais ma bite ne pénétra jamais le vagin d’une prostituée.
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