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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 13

Hétéro
ANONYME N° 16

C’est au cours de l’été 1976, si mes souvenirs sont exacts, qu’un festival de musique avait rassemblé pendant trois jours à Orcines (sur une colline à proximité de Clermont-Ferrand) des centaines de gens bizarres, au cheveux longs, adeptes de la culture alternative. Parmi les musiciens qui s’y produisaient, entre autres : la belle et ténébreuse Nico. Trois magiques journées de musique et de défonce ; les plus sages ne fumaient que des pétards, mais tous les autres étaient continuellement sous acide.
Dans la nuit de la troisième journée, pendant le passage du dernier groupe, alors que presque tout le public était déjà reparti et qu’il ne restait qu’entre 150 et 200 hippies allongés dans leurs sacs de couchage sous le chapiteau qui abritait les concerts, je m’aperçus – à travers les hallucinations dues au LSD – que ma voisine était bien mignonne... Comme elle semblait avoir froid, je recouvris ses épaules de mon sac de couchage ; elle le souleva pour m’inviter à me blottir contre elle.
Je ne sais plus comment c’est arrivé, mais nous nous sommes retrouvés tous deux allongés sur le sol, sous le sac de couchage, moi sur elle, en train de faire l’amour. La position n’étant pas très confortable et nous empêchant de voir ce qui se passait sur scène, nous nous allongeâmes sur le côté – elle me tournant le dos – et nous reprîmes notre coquine activité, au milieu des autres spectateurs qui, soit ne s’aperçurent de rien, soit trouvèrent notre copulation tout à fait normale dans ces circonstances. La tolérance était grande, en ces temps-là…
A la fin du concert, nous repartîmes chacun de notre côté, sans avoir échangé la moindre parole.
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SYLVIE

Mariée avec une de mes connaissances, Sylvie était une petite brune pétillante. Un soir de 14 juillet, je la retrouvai sur une place de la ville, parmi la foule d’un concert en plein air. Bien que je fusse accompagné de mon épouse, je m’esquivai discrètement avec Sylvie, nous fondant dans la foule.
Sachant qu’elle était chaude, mais délaissée (son mari ne pouvant presque plus bander à la suite d’une maladie), je l’entraînai dans un recoin sombre et sortis ma verge ; elle s’agenouilla aussitôt devant moi pour la sucer, bien que la foule continuât de passer à deux ou trois mètres de nous. Comme elle suçait bien, je ne fus pas long à lui décharger dans la bouche. Mais, comme je tenais à la baiser – et que ce n’était pas possible là où nous étions – je la conduisis chez moi.
Comme j’avais joui dans sa bouche peu de temps auparavant, je pus la baiser longtemps, par devant et par derrière. Sylvie, qui avait dû être privée de sexe pendant longtemps, s’extasiait de ma rigidité inflexible, et n’arrêtait pas de gémir « Ah, quelle queue… Ah, quelle queue ! » Je lui larguai ma semence une nouvelle fois, mais dans le cul, pendant qu’elle jouissait.
Lorsque je rejoignis mon épouse, celle-ci me donna une gifle mémorable ; mais je l’avais bien méritée !
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MARIE-NEIGE

Magnifique jeune femme d’origine espagnole, toute bronzée, Marie-Neige devait avoir entre 25 et 30 ans. Je la connaissais de vue, mais nous n’avions jamais été vraiment intimes. Je la rencontrai un soir, par hasard, dans un bar. Elle n’était pas en forme. Comme je m’inquiétais de la cause de sa tristesse, elle me répondit qu’elle se croyait frigide. Toujours secourable, je m’empressai de la convaincre du contraire, arguant qu’elle n’avait jusque là eu affaire qu’à des goujats qui ne pensaient qu’à leur propre plaisir sans s’inquiéter de celui de leur partenaire. Elle ne paraissait pas très convaincue (ou peut-être faisait-elle semblant) ; j’insistai, et lui proposai même une démonstration pratique de ce que j’avançais, si elle voulait bien que je tente de la faire jouir. Ayant accepté, elle me suivit dans ma voiture.
Après avoir parcouru quelques kilomètres dans la nuit, je m’arrêtai dans un petit chemin tranquille, en pleine campagne. Là, je la pris dans mes bras, et commençai à échauffer ses sens par quelques baisers. Mes lèvres quittèrent les siennes pour aller lécher les auréoles de ses seins que j’avais dénudés, tout en évitant soigneusement ses tétons qui s’étaient érigés. Elle se cabra lorsque ma langue en effleura un, puis l’autre. Lorsque je pris en bouche ses mamelons pour les sucer, les aspirant tout en caressant de la langue leur pointe devenue toute dure, elle gémit.
Mais elle gémit encore plus lorsque ma langue descendit sur son ventre ; comprenant mon intention, elle enleva elle-même son jeans, me laissant le champ libre. Je lui léchai l’intérieur des cuisses, remontant tout doucement vers le string déjà moite d’une humidité odorante ; mais chaque fois que ma langue arrivait à proximité de cette vulve qui palpitait sous le fin tissu, elle s’en écartait sans chercher à l’atteindre. Après avoir effectué plusieurs fois ce parcours, et alors que ma langue suivait le contour du string, je sentis les mains de Marie-Neige m’agripper la tête pour la plaquer contre son bas-ventre et l’y maintenir de force. La pauvre n’en pouvait plus…
Je voulus prolonger encore un peu l’attente interminable que je lui faisais subir ; restant immobile, je me contentai de souffler de l’air chaud à hauteur de son sexe, travers le fin rempart du string. Les jambes de Marie-Neige étaient parcourues de tremblements, tellement elle avait envie que j’aille plus loin ; je consentis à mettre fin à son attente. Délicatement, la pointe de ma langue parcourut à plusieurs reprises ses petites lèvres qui émergeaient de sa fente puis, plaquant ma bouche sur sa vulve, je l’aspirai à travers le tissu du string. Marie-Neige haletait. Elle poussa un long feulement de satisfaction lorsque mes lèvres se posèrent enfin sur la petite proéminence de son clitoris ; elle écarta son string pour me faciliter l’accès à son bouton, et je pus alors le lécher et le téter, l’aspirant entre mes lèvres. Quelques secondes de ce traitement suffirent pour qu’un rugissement me signale que mes efforts avaient produit leur effet, prouvant ainsi à Marie-Neige qu’elle n’était pas frigide.
Mais croyait-elle vraiment l’être, ou bien m’avait-elle joué la comédie ?
Par la suite, nous nous sommes revus encore quelques fois, et c’est avec ma bite que je la fis jouir ; je me souviens que c’était une bonne suceuse, et elle sut me procurer beaucoup de plaisir.
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