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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 17

Hétéro
MARIE-LAURE

Je la voyais régulièrement au night-club où je travaillais comme DJ, puisque Marie-Laure, une belle blonde très élégante, était la femme du patron. J’eus l’occasion de la retrouver après le décès de son mari ; elle était venue me rencontrer, dans l’administration où je travaillais alors, pour résoudre un problème. Après lui avoir rendu ce service, je poussai l’obligeance jusqu’à la raccompagner à sa voiture. Au moment de nous séparer, elle me dit :
– Alors, tu ne m’embrasses pas ?
Je lui fis une bise sur la joue. En me regardant d’un air coquin, elle ajouta :
– Mieux que ça…
Nous échangeâmes alors un long baiser qui provoqua instantanément le durcissement de ma verge. Je pénétrai dans ma voiture qui était stationnée à quelques mètres de la sienne, et commençai à me branler pour évacuer le désir qui m’avait envahi. Marie-Laure n’avait pas démarré. Je pris mon téléphone pour lui demander si elle pouvait deviner ce que j’étais en train de faire ; comme elle l’ignorait, je lui dis :
– Je suis en train de me caresser, parce que tu m’as excité.
Elle descendit de sa voiture pour me rejoindre dans la mienne. Là, elle se pencha pour prendre ma verge dans sa bouche pulpeuse ; elle suçait d’une manière experte… Pendant qu’elle me prodiguait cette superbe fellation, une collégienne passa le long de ma voiture en jetant un regard intéressé sur ce qui se déroulait dans l’habitacle ; la proximité de la jeune voyeuse ajouta à mon excitation, et je me déversai dans la bouche de Marie-Laure, qui avala toute ma semence. Par la suite, je la revis à plusieurs reprises : elle venait me sucer la queue dans mon bureau, ou bien nous faisions l’amour dans les toilettes, où je l’ai souvent enculée.
Nous avons aussi passé quelques moments torrides dans la nature. Comme elle avait une vulve assez large, j’ai tenté de la fister : alors que quatre de mes doigts étaient déjà dans son vagin, j’ai voulu y introduire aussi le pouce ; mais j’ai dû y renoncer car elle souffrait. Lorsqu’elle m’a sucé, j’ai pris quelques photos d’elle avec mon gros gland circoncis sur ses lèvres, puis sur sa langue, et enfin dans sa bouche, où ma petite bite a craché de chaudes giclées de sperme pendant qu’elle me branlait le cul, où elle avait introduit deux de ses doigts.
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MARIE-CLAUDE

Cette jolie fille aux courts cheveux châtains était une amie de ma sœur ; bien qu’âgée de 28 ans, elle n’en paraissait que 22 ou 23, alors que j’en avais déjà 51. Profitant d’une absence de mon épouse, je l’avais invitée à dîner dans un restaurant chinois. A la fin du repas, elle me proposa de finir la soirée chez elle. A peine arrivée, elle prit une douche ; comme la salle de bain n’était fermée que par une porte de saloon, je pus la voir nue : son joli corps, mince et bien proportionné, m’excita ; mais mon excitation atteignit son comble lorsque je la vis s’accroupir et passer sa main entre ses cuisses pour se laver la vulve…

Après s’être rhabillée, elle me rejoignit près du poêle à bois surchauffé. Je lui pris la main et l’attirai tout contre moi pour l’embrasser ; elle vibrait sous mes caresses manuelles, et bien plus encore lorsque je m’agenouillai devant elle pour plaquer mes lèvres sur son pantalon à la hauteur de son sexe ! Malgré tout, nous n’avons pas fait l’amour ce soir-là : elle ne voulait pas faire de bêtise, estimant que la situation deviendrait invivable avec ma femme.
Le lendemain, elle me téléphona pour me demander de la rejoindre à son domicile. Là, elle me déclara qu’elle avait changé d’avis. J’étais assis sur le canapé, et elle se tenait debout derrière moi ; j’entendis son ordre :
– Viens !
M’approchant d’elle, je pris la main qu’elle tendait vers moi. Sans un mot, elle m’entraîna dans l’escalier qui menait à la mezzanine. Arrivée en haut des marches, elle se retourna vers moi, me regarda droit dans les yeux et me déclara :
– Ce sera la première et la dernière fois !
C’est elle qui me déshabilla ; je fis de même pour elle, et nos vêtements épars sur le sol marquèrent notre parcours jusqu’au lit. C’est totalement nus que nous nous étreignîmes, debout, avant qu’elle n’enlève la couette pour s’allonger sur la couche qui allait accueillir nos ébats.
Je me souviens de son corps mince et ferme à la peau fraîche, de ses seins durs et haut plantés aux petits tétons érigés, de son ventre plat, de la courbe harmonieuse de ses hanches, de sa touffe de poils sombres et de son jeune sexe aux petites lèvres fines mais assez développées et au clitoris discret...
Je l’ai caressée longuement avant de la pénétrer. Impression délicieuse de ce jeune vagin étroit, difficile à forcer, aux parois lisses, qui enserrait fortement ma verge. Nous avons fait l’amour tard dans la nuit, sans pudeur ni retenue, et sans aucun tabou. Combien de fois a-t-elle joui ? Quatre fois, cinq fois ? Je me suis personnellement limité à deux fois : la première sur sa vulve qu’elle écartelait, et la deuxième sur l’orifice de son beau petit cul (car elle pensait être en période féconde). Un beau petit cul que j’ai eu beaucoup de mal à essayer de forcer, mais sans y parvenir à cause de son étroitesse. Ce soir-là, je me suis régalé plusieurs fois de la saveur délicieuse de son sexe.
Elle aimait que je lui fasse l’amour lentement, tout en douceur. Je restais presque immobile en elle, faisant glisser très doucement mon gland juste à l’entrée de son vagin qui m’enserrait fortement. Elle n’a pas été choquée lorsque j’ai introduit un doigt dans son anus...
Sa dernière jouissance, la plus forte de toutes, a été provoquée par les actions conjuguées de mon index sur son clitoris, de mon pouce dans son vagin, et de la pointe de ma langue sur son anus. Elle a crié encore plus fort que lors de ses précédentes jouissances, puis elle s’est abattue, immobile en travers du lit, les épaules et la tête reposant sur le plancher. J’ai dû la couvrir avec la couette, car elle restait inerte.
Ah, le souvenir de ma main glissant au creux de ses reins, enserrant ses petites fesses et, descendant encore plus bas, entrant en contact avec sa motte rebondie traversée d’une fente humide cédant sous la pression de mes doigts qui s’engluaient dans un univers chaud et visqueux. Elle a aimé mes caresses, et m’a avoué qu’elle aurait préféré que, sexuelle¬ment, ça se fût mal passé entre nous. Malgré tout le plaisir que nous nous sommes donné, elle resta ferme sur sa décision de ne pas poursuivre nos relations charnelles. Je garde le souvenir de son regard où plongeait le mien, alors que le monde entier s’estompait pour ne laisser distinguer que ses magnifiques yeux gris, pailletés d’ocre et d’or…
Par la suite, j’ai appris que Marie-Claude avait téléphoné à ma sœur pour lui dire qu’elle était tombée entre des mains expertes !
Nous sommes restés en contact par téléphone pendant une semaine puis, un soir, j’arrivai chez elle sans l’avoir prévenue. Contrairement à mes craintes, elle fut très heureuse de me revoir ; et même, elle ne resta pas insensible à mes caresses, si bien qu’elle me proposa de monter dans la mezzanine.
C’est elle qui me déshabilla. Une soirée et une nuit d’amour, suivies encore d’une journée de frénésie amoureuse. Nous fîmes l’amour calmement, voluptueusement. Elle cria sa jouissance à plusieurs reprises. Après l’une d’elle, je bus directement à son sexe l’abondante liqueur dont son adorable petite chatte était inondée. Je criai également ma jouissance lorsque je répandis mon sperme tout au fond de son vagin étroit, alors qu’elle me tournait le dos et que je la tenais par les hanches. Combien de fois ma langue fouilla-t-elle les moindres recoins du petit bijou qu’elle dissimulait entre ses cuisses ? Nous n’avons pas beaucoup dormi, cette nuit-là ! Au matin, derrière la grande baie vitrée, le paysage était recouvert de neige. Je garde encore cette sublime vision de Marie-Claude descendant l’escalier avec grâce, vêtue seulement d’un pantalon blanc mettant en valeur ses longues jambes et son joli petit cul, torse nu, les seins haut plantés aux mamelons érigés…
Après le petit déjeuner, retour au lit pour de gros câlins, dont un 69. Après l’avoir faite encore hurler de jouissance sous la caresse de mon doigt, c’est dans sa bouche que je pris mon plaisir, allongé sur le dos, admirant Marie-Claude agenouillée face à moi, penchée sur mon sexe qu’elle suçait et léchait délicatement. C’est lorsqu’elle pointa un petit bout de langue coquin juste sous mon gland que je lui remplis la bouche de longs jets chauds, en hurlant de plaisir comme je ne l’avais encore jamais fait auparavant. Un plaisir extraordinaire, décuplé par le fait que je l’observais me sucer, et que c’était bien entre les lèvres de cette magnifique jeune fille que glissait ma vieille verge au gros gland circoncis !
Quelques jours plus tard, Marie-Claude me déclara abruptement :
– Je pense que ce serait mieux d’arrêter maintenant.
Je m’attendais à tout, sauf à ça. Sa phrase me laissa cloué. Elle m’expliqua ses raisons : elle ne pouvait pas faire l’amour sans être amoureuse, et elle ne pouvait pas supporter que des sentiments vinssent se mêler à ce qu’elle ne pensait être qu’une relation purement physique. Je la pris dans mes bras en écoutant Jean-Louis Aubert qui répétait comme une litanie « C’est la fin... » Avait-elle choisi consciemment ce CD, et attendu ce titre particulier pour m’annoncer sa décision ?
Mais notre histoire était-elle vraiment finie ? Le lendemain soir, elle me téléphona et, après une demi-heure de conversation, elle accepta que je vienne chez elle. Nous discutâmes pendant deux heures, puis elle décida qu’il était temps de se coucher. Jouant jusqu’au bout le rôle d’un simple ami, j’installai ostensiblement mes affaires personnelles à côté du premier lit, sur lequel je m’assis. Elle monta à son tour dans la mezzanine, se dirigea vers l’autre lit, se dénuda, et me demanda très ingénument :
– Tu ne veux pas dormir avec moi ?
Agréablement surpris, je me couchai à ses côtés, mais je restai vêtu.
– Pourquoi ne te déshabilles-tu pas ?
Je lui répondis que, dans cette tenue, ça me sera plus facile de résister à la tentation. Comme elle insistait, je finis par me déshabiller, et nous nous retrou¬vâmes nus dans les bras l’un de l’autre. Cependant, au bout de quelques minutes, alors que mes caresses devenaient de plus en plus précises, elle me tourna le dos, me repoussa, déclarant qu’elle désirait dormir. Mais elle ne dormit pas pour autant... De mon côté, fou de désir, je tentais de me rapprocher d’elle ; mais, chaque fois que je l’effleurais, elle me repoussait. Elle refusa même de me donner sa main à tenir !
Lorsqu’à 6h, les quatre brefs petits bips du réveil signalèrent qu’il était temps de me lever, tentant le tout pour le tout, j’attirai Marie-Claude contre moi ; et là, miracle : elle se laissa caresser ! Commençant par son dos, mes mains se portèrent au creux de ses reins. Comme elle se laissait toujours faire, je m’enhardis à les poser sur ses petites fesses que je malaxai de manière à ce que sa vulve frotte contre ma jambe, puis je caressai l’intérieur de ses cuisses en partant des genoux, mais en évitant soigneusement le contact avec son sexe. Au bout d’un moment, mes doigts effleurèrent sa vulve chaque fois qu’ils remontaient jusqu’à son ventre. Elle me dit « Non… » d’une voix guère convaincante ; un non qui semblait dire oui.
Je lui écartai alors les jambes, plaçai ma main en coquille sur son sexe et attendis, sans la caresser. Je ne sais toujours pas ce qu’elle a réellement voulu faire ; je sentis sa main se poser sur la mienne, peut-être pour la retirer, mais il me semble bien que c’est en direction de sa vulve qu’elle la poussa. Ma main suivit donc la direction indiquée ; mon majeur se glissa entre ses lèvres, qui s’écartèrent pour découvrir une brûlante humidité. Elle était complètement inondée ! Et c’est sans la moindre difficulté que mon doigt s’introduisit lentement jusqu’au fond de son vagin. Elle protesta un peu, mais ses paroles furent contredites par les contractions de son sexe qui enserra fortement le doigt qui glissait dans son étroit fourreau.
La basculant, j’amenai Marie-Claude sur moi, accroupie ; et c’est dans cette position que ma verge força une fois de plus l’entrée de son adorable petit minou. Je pensais avoir définitivement perdu l’occasion de retrouver ces sensations délicieuses dont je m’imprégnai afin de les garder pour toujours dans ma mémoire. Instants magiques, d’autant plus intenses que j’étais certain de ne jamais pouvoir les revivre. Nous n’avons pas joui dans cette position. Je répétais « Baise-moi... Baise-moi ! » mais elle me répondit « Non, pas comme ça. » Je me retirai d’elle, pensant qu’elle désirait changer de position ; mais ce n’était pas ce qu’elle voulait. Comprenant son désir, je lui déclarai que j’allais me donner du plaisir tout seul. Ma main gauche triturant sa vulve inondée, je me suis branlé à côté d’elle pendant qu’elle regardait ma main s’activer sur mon membre gonflé de désir. Après avoir joui, je posai ma tête sur son ventre et lui écartai les cuisses. Ma langue s’insinua dans sa fente grande ouverte, et mon pouce força l’étroite entrée de son vagin de jeune fille. Elle cria sous l’effet d’une jouissance fulgurante.
J’ignorais que c’était la dernière fois que nous faisions l’amour… Peu de temps après, mon épouse s’est interposée ; Marie-Claude, qui ne pouvait pas supporter cette situation, me proposa de cesser nos relations amoureuses pour les remplacer par de l’amitié. Son corps me manque toujours ; et lorsque je l’aperçois sourire aux clients de la bijouterie où elle travaille, à cette image se superpose celle de son visage défait et de son regard éperdu lorsqu’elle s’empalait sur mon sexe…
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