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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 18

Hétéro
ANONYME N° 21

C’était juste après la tempête de décembre 1999 ; j’avais donc 53 ans. L’électricité n’était pas encore rétablie partout, et le bar où je me trouvais n’était éclairé que par des bougies, ce qui lui conférait une atmosphère d’intimité propice aux rencontres. Une fille – jeune par rapport à moi, puisqu’elle devait avoir une vingtaine d’années – vint me rejoindre au comptoir et me demanda une cigarette, puis de lui offrir une consommation car elle était fauchée. Au cours de la conversation qui s’ensuivit, j’appris qu’elle faisait la route et qu’elle zonait depuis peu dans cette ville. Elle me demanda si je connaissais un endroit où elle pourrait faire un peu de toilette ; heureusement, l’électricité et l’eau avaient été rétablies là où j’habitais, à une quinzaine de kilomètres.
Je l’emmenai dans mon coupé Volvo et, lorsque nous atteignîmes ma demeure, ma passagère s’exclama :
– C’est à toi, cette belle maison ? Mais tu es riche, alors !
C’est vrai que j’avais l’apparence d’un SDF, avec mes cheveux longs et ma barbe de trois ou quatre jours… Je lui répondis que je n’étais pas riche, mais seulement à l’aise.
Je lui fis couler un bain moussant dans lequel elle se prélassa un long moment. Lorsqu’elle me rejoignit, seulement vêtue d’un peignoir, je l’invitai à s’allonger sur le lit pour se reposer, et je me glissai à ses côtés.
Mes mains trouvèrent leur voie sous le peignoir de bain pour caresser ce jeune corps ; l’excitation me gagna, et j’enlevai mon pantalon de cuir pour donner de l’espace à ma queue qui avait pris de l’ampleur. Ma main entra en contact avec cette jeune vulve, et je caressai d’un doigt léger sa fente, sans la pénétrer. Lorsque je voulus remplacer ce doigt qui la caressait par mon gland tout gonflé, la jeune routarde refusa que j’aille plus loin ; mais, compatissante, elle posa sa main sur ma verge et la fit coulisser autour de mon membre rigide et douloureux. Tout en me branlant, elle observa d’un regard intéressé mon gland tuméfié qui laissait sourdre quelques gouttes de liquide translucide sous ses caresses expertes, mais elle eut un mouvement de recul lorsque ma semence fusa en jets vigoureux qui s’écrasèrent sur sa poitrine dénudée.
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MARIE-HÉLÈNE 2

Cette bourgeoise distinguée, aux alentours de la cinquantaine, était mariée à un homme nettement plus âgé qu’elle ; lorsqu’il décéda, elle déménagea pour s’installer dans un appartement qu’elle possédait à quelques kilomètres de chez moi. A cette époque j’étais encore volage, et je voulus tenter ma chance avec elle. L’occasion s’est présentée lorsqu’elle me demanda de venir lui installer son ordinateur et de paramétrer sa connexion internet.
Au cours de ce travail, je lui demandai d’aller acheter un câble particulier, si bien que je me suis retrouvé seul dans son appartement. Ayant besoin d’éclairer un endroit sombre derrière un meuble, je regardai dans les placards pour trouver une lampe de poche ; sur une étagère, je trouvai une de ses culottes – sale, dois-je préciser – que je voulus porter à mon nez pour en humer les effluves.
Sale, elle l’était vraiment, car lorsque je la dépliai pour atteindre la partie qui avait été en contact avec sa vulve, je découvris avec écœurement une grosse plaque de merde encore à moitié molle ! Cette femme tellement distinguée se chiait donc dessus… Par perversion, ou pour cause de relâchement de son sphincter anal ? Je ne le sus jamais car, dégoûté, je ne remis jamais les pieds chez elle.
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BRIGITTE

Avec mon épouse, nous avions fait la connaissance de Brigitte dans une association dont nous étions membres tous les trois ; s’ensuivit une relation amicale avec cette petite rouquine aux cheveux courts, un peu enrobée, approchant de la cinquantaine.
A l’occasion d’une fête donnée par une amie commune, nous nous retrouvâmes – après un repas bien arrosé – à poil dans la piscine. Au bout d’un moment, ma femme dut quitter la fraîcheur de l’eau pour reconduire en voiture l’une des invitées, puis ce fut notre hôtesse qui retourna dans sa maison pour préparer des boissons.
J’étais seul avec Brigitte dans la piscine ; en nageant, elle passa tout contre moi à plusieurs reprises, me frôlant ; le contact de sa peau m’excita et, lorsque nous cessâmes de nager pour discuter, son regard ne put que constater la rigidité de mon sexe. Sans dire un mot, elle le prit dans sa main et, après en avoir éprouvé la raideur, fit coulisser ses doigts autour de mon membre. De mon côté, j’amenai une main entre ses cuisses ; un de mes doigts se plaqua sur sa fente et, lorsque son extrémité s’immisça entre ses lèvres, ce fut pour découvrir une vulve poisseuse de sécrétions intimes. Après quelques caresses manuelles, je soulevai Brigitte pour la planter sur ma bite, et mon gros gland se retrouva dans une chaude moiteur. Nous fîmes l’amour debout dans l’eau ; après avoir éprouvé un orgasme, Brigitte me dit que j’étais un bon baiseur.
Comme je n’avais pas joui, je sortis de l’eau pour m’asseoir sur la margelle de la piscine, les pieds dans l’eau, et la queue en érection ; Brigitte comprit ce que je désirais : mon dard étant juste à la hauteur de sa bouche, elle commença par me lécher le gland, puis elle s’appliqua à me faire une excitante pipe. Alors que je sentais le plaisir qui montait, Brigitte s’arrêta subitement de me sucer et, libérant sa bouche de mon gros gland circoncis, me déclara dans un souffle :
– Ta femme revient !
Effectivement, mon épouse – qui était de retour – se dirigeait vers la piscine. Comme je lui tournais le dos, je n’avais pas remarqué qu’elle arrivait ; quant à elle, elle ne pouvait pas voir à quelles activités buccales Brigitte était en train de se consacrer. Heureusement que ma suceuse était vigilante, sinon quel scandale cette pipe aurait provoqué… Je me laissai glisser dans l’eau, dont la fraîcheur me fit débander avant que ma femme ne s’aperçoive de mon état !
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