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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 19

Hétéro
FABINTA

Elle était au bord d’une grande artère qui menait au centre ville, le pouce en l’air, attendant qu’une voiture s’arrête. Elle… Magnifique vision d’une fine statue d’ébène aux formes déliées et au petit cul rebondi et haut planté. Lorsque je m’arrêtai à sa hauteur, elle leva vers moi ses grands yeux de biche surplombant un fin petit nez légèrement retroussé et une grande bouche bien dessinée, aux lèvres pulpeuses à souhait… Elle s’installa à mes côtés, et je l’amenai faire quelques achats. Lorsqu’elle eut terminé et que je l’eus reconduite au pied de son immeuble, elle me proposa un rafraîchissement chez elle pour me remercier de mon obligeance. Je la suivis sans me faire prier : quatre étages sans ascenseur, mais avec la vision de son magnifique petit cul qui ondulait à quelques centimètres de mes yeux exorbités !
En fait, son rafraîchissement, c’était la bouteille de rhum qu’elle venait d’acheter. Elle m’expliqua qu’elle venait du Sénégal après avoir épousé un militaire français, mais qu’à présent ils étaient divorcés. Curieusement, bien qu’étant de religion musulmane, elle s’arrogeait des arrangements avec certains interdits, et notamment la consommation d’alcool. Comme je devais rentrer chez moi, je ne pus rester longtemps avec elle ce soir-là, mais nous décidâmes de nous revoir car je désirais prendre des photos ce cette magnifique Black de 32 ans, mais qui paraissait tout juste la moitié de son âge.
La semaine suivante, je vins la chercher pour l’emmener au bord du canal où je la mitraillai avec mon Nikon, puis je la ramenai chez elle pour continuer les prises de vues en intérieur. Après quelques photos anodines, je la fis s’asseoir sur son canapé et lui demandai de relever un peu sa jupe. Elle se prit au jeu, et ouvrit même ses jolies cuisses pour me permettre de photographier son string rouge qui lui rentrait dans la fente ; je sentis ma verge se gonfler… Je m’allongeai, le dos au sol, pour la prendre en contre-plongée, les jambes écartées. Mais ce qui m’excita le plus, c’est lorsqu’elle s’assit sur un fauteuil, une jambe sur un accoudoir, les cuisses écartées, et qu’elle tira son string de côté pour me dévoiler sa chatte.
Elle n’avait pas beaucoup de poils et, contrairement à ce que je connaissais des Blacks, ses petites lèvres n’étaient pas très développées ; par contre, je constatai avec satisfaction que – bien qu’étant Africaine de religion musulmane – son clitoris n’avait pas été excisé : il dardait en haut de sa vulve qu’elle maintenait ouverte, et dont l’intérieur brillait d’un rose nacré, contrastant avec sa peau sombre.
Je m’étais agenouillé à moins d’un mètre d’elle pour la photographier ; je ne pus résister à la vive tentation qui me submergea. J’approchai mon visage pour poser mes lèvres sur cette chatte épanouie ; mais, lorsque j’en fus à quelques centimètres et que je humais déjà son parfum enivrant, cette fausse ingénue me repoussa gentiment, prétextant qu’en bonne musulmane, elle devait être fidèle à son homme ! Ma bite me faisait mal, tellement je bandais…
Je quittai son living pour me rendre aux toilettes, où je n’allumai pas la lumière mais dont je laissai la porte ouverte afin de regarder cette beauté noire. Baissant mon pantalon à mi-cuisses, j’en sortis mon membre douloureux pour me branler à quelques mètres de Fabinta, face à elle, qui faisait semblant de ne pas me voir ; mais je percevais ses regards furtifs qui observaient ma main s’agiter le long de ma queue dont le gland rouge violacé, gorgé de sang, envoya de puissants jets de foutre sur le dallage des WC. Lorsque je revins auprès d’elle, soulagé, elle ne fit aucune allusion à ce que je venais de faire.
Chaque fois que je revins chez elle pour la photographier – le plus souvent nue – elle s’arrangea toujours pour m’exciter et me laisser sur ma faim. Je ne l’ai jamais baisée ; mais combien de fois me suis-je apaisé en m’astiquant la queue dans ses chiottes ? Peut-être aimait-elle voir les hommes se branler…
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