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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 20

Hétéro
ROXANE (1/9)

J’avais fait la connaissance de cette jolie brune de 47 ans (mais qui paraissait beaucoup moins que son âge réel) dans le cadre de mon activité professionnelle, pour le contrôle de son dossier. A cette époque, j’avais 62 ans, soit 15 ans de plus qu’elle. Extrêmement raffinée ; sophistiquée même, elle dirigeait une agence d’une grande entreprise bien connue ; elle était veuve depuis quatre mois. Pour me faire pardonner mes tracasseries administratives, je l’ai invitée au restaurant ; après le repas, dans ma voiture, nous avons passé presque deux heures à nous embrasser, mais sans aller plus loin.
Je dus attendre cinq jours de plus pour aller plus loin… A l’arrière de ma voiture (une C5), à la lisière d’une forêt, tout en embrassant Roxane, je remontai son soutien-gorge au-dessus de ses seins ; elle gémit au premier frôlement. Peau contre peau, nos poitrines se touchaient… Après lui avoir caressé et sucé les seins, elle me laissa atteindre sa petite culotte. Je la caressai et, peu à peu, j’arrivai à glisser un doigt le long de sa vulve ; le ramenant à mes lèvres, je le suçai en la regardant dans les yeux. Elle me laissa lui caresser le sexe : enserrant ses grandes lèvres entre deux doigts, je les étirai autant que possible, ce qui provoqua des gémissements de plaisir chez cette belle femme ; ses gémissements s’accentuèrent lorsque je me mis à lui branler le clitoris en faisant coulisser son capuchon autour de son petit organe qui bandait intensément. Lorsque j’ouvris son sexe en écartant ses lèvres intimes, il ruisselait !
Me glissant entre ses jambes, le lui léchai la vulve et tétai son clitoris : elle apprécia énormément. Je lui introduisis alors lentement un doigt dans le vagin, puis deux, tout en aspirant son petit clito tout raide. Les poils de son pubis, coupés courts, me piquaient les joues et le nez… Puis, ce fut avec quatre doigts que je malaxai l’intérieur de son conduit intime qui s’élargit de plus en plus. Je tentai de joindre mon pouce pour la fister ; mais alors que mon poignet allait franchir l’entrée de son vagin, elle laissa échapper un gémissement de douleur. J’arrêtai ma tentative aussitôt, et ressortis tous mes doigts de sa vulve dilatée. Je l’embrassai à nouveau, et c’est mon pouce seul qui retrouva la chaleur de son vagin tandis que mon index, après avoir gratouillé son orifice strié, pénétra le fourreau de son petit cul ; puis, me penchant entre ses cuisses, ma bouche reprit ses aspirations sur son clitoris. Elle jouit longuement, sous mes lèvres et mes doigts qui se démenaient en elle, tout en gémissant « Oui… Oui… » Il lui fallut un long moment pour retrouver ses esprits. Elle me remercia en me disant « Je t’aime… », mais ne fit rien pour me soulager.
Une fois rentré à la maison, j’apaisai mon érection en me branlant, tout en léchant mes doigts encore imprégnés des sécrétions de Roxane ; très rapidement, de longs jets de sperme chaud giclèrent par saccades sur mon ventre.
      
Le lendemain, c’est à nouveau dans un chemin forestier que nous nous isolâmes. Elle ne me laissa pas atteindre son sexe mais, se sentant sans doute redevable envers moi de la jouissance que je lui avais procurée la veille, elle me caressa la verge par-dessus mes vêtements ; je la dégageai en abaissant mon pantalon à mi-cuisses afin d’avoir un contact direct avec ses doigts.
– Désolé, mais c’est tout ce que j’ai à proposer, lui dis-je à propos de la taille de mon modeste engin d’un peu moins de 15 cm.– Je vais peut-être te faire mal…– Tant mieux !
J’étais tellement impressionné de me faire branler par cette femme mûre et épanouie que mon érection avait du mal à se maintenir.
– Je pense que pour lui rendre sa vigueur, tes lèvres seraient d’un grand secours…– Alors, je vais essayer, me répondit-elle, après une hésitation.
Finalement, elle me lécha, puis aspira mon gros gland circoncis tout gonflé de désir, en alternant ces deux caresses. Je fus long à venir, mais je sentis enfin le plaisir monter le long de ma tige.

– Je risque de crier très fort, mais il ne faudra surtout pas que tu t’arrêtes…
Finalement, je jouis sous les caresses de ses lèvres en criant comme un dingue… Ensuite, je l’embrassai, léchant ses lèvres et sa langue, partageant mon sperme avec elle.Plus tard, dans la soirée, elle m’adressa ce SMS : « Je conserve ton odeur et ton goût ; je t’adore. »
      
Deux jours après, j’amenai Roxane chez moi. Elle se déshabilla, ne conservant que ses bas noirs et un ensemble coordonné de sous-vêtements dont le soutien-gorge lui laissait les seins à nu. Je lui déclarai que j’allais la manger ; je commençai à la lécher, depuis les épaules jusqu’à l’intérieur des cuisses. Elle vibrait tout en gémissant, surtout lorsque j’écartai son string pour permettre à ma langue de glisser le long de ses lèvres intimes…
Après quelques minutes de ce traitement, je lui enlevai son string tout imprégné de ses sécrétions et le plaçai entre nos lèvres pour nous embrasser à travers le fin voile de tissu qui diffusait sa cyprine parfumée à l’intérieur de nos bouches. Me repositionnant entre ses cuisses largement ouvertes, je lui soulevai le bassin pour lécher ses deux orifices ; elle apprécia beaucoup, et elle jouit en criant son plaisir alors que je tétais son clitoris tout en faisant coulisser mon index dans son anus. Sans attendre la fin de la jouissance qui la submergeait, je caressai son clitoris avec mon gland, puis introduisis ma verge au fond de son vagin. J’étais enfin en elle !
C’était la première fois que je la pénétrais… Son sexe était chaud, humide, souple et accueillant. Son bassin ondulait sensuellement, lascivement, alternant des mouvements doux et lents avec des pénétrations profondes et puissantes. Nous avons changé plusieurs fois de position puis, afin de la pénétrer plus profondément, je me mis sur le dos et elle m’enjamba, à genoux, coulissant sur ma verge.Quant à moi, je me retenais, ne voulant pas jouir tout de suite : je fis une pause cigare, et lui demandai de prendre mon gland entre ses lèvres, sans qu’elle effectue le moindre mouvement. Au bout de quelques minutes, elle ne put s’empêcher de me sucer délicieusement, laissant même sa langue s’aventurer sur mon scrotum et jusqu’aux abords de mon anus… Je lui demandai de me mordre la verge ; elle hésita, puis accéda à mon désir. Au début, elle ne fit que me mordiller, craignant de me faire souffrir, puis elle me mordit de plus en plus fort ; quel plaisir pour moi ! Je ne voulais cependant pas jouir déjà ; je la repénétrai et, pendant que mon sexe coulissait dans son vagin, je lui griffai l’anus.
– Es-tu vierge de ce côté là ?– Non, depuis longtemps.– Aimerais-tu que je te prenne par là ?– Oh oui… Comment dois-je me placer ?
Je la fis s’agenouiller sur le canapé, me tournant le dos, en appui contre le dossier. Je regardais avec émoi cette croupe épanouie que j’allais pénétrer… Je commençai néanmoins à la prendre par le vagin afin de lubrifier mon gland, puis je tentai de l’introduire dans son fondement ; comme elle était particulièrement étroite de ce côté-là, je n’arrivai pas à la pénétrer. J’essayai à plusieurs reprises de l’enculer, mais ma verge glissait chaque fois à côté de son petit orifice !
Je la fis pivoter afin qu’elle soit face à moi, assise ; debout devant elle, je lui demandai de me sucer, ce qu’elle accepta avec empressement. Elle frotta aussi mon vieux gland circoncis partout sur son visage ; mais je ne voulais pas jouir déjà. M’allongeant tête-bêche à ses côtés, je me remis à lui lécher la vulve. Elle s’empara de ma verge pour l’introduire à nouveau dans sa bouche ; c’était tellement bon que, cette fois, je décidai de ne pas me retenir et d’éjaculer sous les caresses conjuguées de sa langue et de ses lèvres. Au moment où elle jouit sous les caresses de ma langue, je lui envoyai de longues et visqueuses giclées de sperme dans la bouche. Elle en avala une bonne partie, mais il lui en restait encore sur le menton et sur les lèvres. Je l’embrassai, léchant mon sperme et, après le lui avoir introduit dans la bouche, nous échangeâmes un long baiser goûteux…
Elle croyait que c’était terminé ; mais non ! Je me repositionnai entre ses cuisses pour aspirer ses lèvres intimes, une par une, les étirant au maximum, puis je lui ouvris la vulve, la distendant autant qu’il était possible : sa chatte était très belle, avec des tons bistre et grenat… un joli petit bijou. Très mouillée, aussi. Je repris les caresses qu’elle semblait préférer : aspiration du clitoris pendant que ma langue excitait le haut de ses petites lèvres, juste sous le gland de son clito. Elle se remit à jouir encore, en criant.
Alors qu’elle se préparait à partir, je lui déclarai que je désirais encore lui manger le sexe ; elle croyait qu’elle n’arriverait pas à atteindre une nouvelle fois le plaisir, ayant déjà joui plusieurs fois : elle avait raison car, malgré mes tentatives, elle n’y arriva pas. Je lui pris la main et, la plaçant sur son propre sexe, j’imprimai un mouvement alternatif à son index de haut en bas de son sillon. Elle continua à se masturber devant moi. A genoux entre ses cuisses écartées, je me branlai moi aussi… Mais aucun de nous ne put atteindre cette ultime jouissance.
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