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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 24

Hétéro
ROXANE (5/9)

Douze jours sans elle ! Lorsqu’elle arriva enfin à l’appartement, elle se déshabilla rapidement pour ne garder que des sous-vêtements très érotiques et ses bas résille ; m’attendant sur le lit, elle me pressa de me déshabiller. Je lui obéis et la rejoignis sous la couette, où nous restâmes un très long moment serrés l’un contre l’autre avant de nous embrasser longuement et tendrement, puis je descendis en direction de ses cuisses. J’écartai sa culotte pour lui faire un premier cunnilingus, qui l’amena rapidement au plaisir : elle attendait cette caresse depuis si longtemps… Comme je connaissais sa capacité de jouir plusieurs fois d’affilée, je lui fis retirer sa culotte afin de lui prodiguer des caresses encore plus subtiles avec mes lèvres et ma langue ; son plaisir fut plus long à venir, mais il fut beaucoup plus puissant que le premier.
Après quelques baisers, Roxane se jeta sur ma bite pour la lécher et la sucer. Je sentis approcher le point de non-retour au-delà duquel je ne pourrais plus me contrôler…
– Tu tiens vraiment à ce que je jouisse dans ta bouche, ma chérie ?– Oui ! J’ai envie de t’avaler…– Et moi, j’ai envie de sentir mon sexe dans le tien !
Elle vint donc sur moi et, s’agenouillant de part et d’autre de mon corps, elle s’enfila ma verge dans son vagin brûlant. Je me retirai pour lui caresser le clitoris avec mon gland, puis sortis complètement d’elle pour lui permettre de faire coulisser sa vulve le long de ma hampe.
Nous fîmes l’amour longtemps, puis je repris mes caresses buccales sur sa vulve tout en introduisant un doigt dans son vagin. Je lui en enfilai un deuxième, un troisième, puis un quatrième. Je tentai d’y adjoindre mon pouce ; mais, comme d’habitude, elle souffrit après le passage de la deuxième phalange. Je ressortis donc mon pouce et m’en servis pour faire rouler son clitoris ; c’est ainsi qu’elle atteignit sa troisième jouissance de la soirée, en criant encore plus fort que lors les deux premières.
Après avoir repris son souffle, elle réalisa que je n’avais pas encore joui ; elle vint me mordiller les seins, puis fit glisser un de ses doigts autour de mon anus.
– Je reste à l’extérieur parce que j’ai peur de te faire mal, avec des ongles aussi longs…– Ne crains rien, ma chérie ; tu me fais déjà beaucoup de bien comme ça, alors continue, je t’en prie !
Elle me pénétra de son doigt, me caressant délicieusement.
– Je crois que ce serait encore meilleur si tu me suçais, en même temps…
Roxane prit mon gland congestionné entre ses lèvres humides, qu’elle fit délicatement coulisser d’avant en arrière, du méat jusqu’à cette zone si sensible juste derrière de la couronne. Lorsque mon gland était à l’intérieur de sa bouche, elle l’aspirait fortement pour le rendre encore plus volumineux et gorgé de sang.

– Oh mon amour… C’est tellement bon ! Mets-moi un doigt de plus, s’il te plaît…
Elle hésita, puis accéda à ma requête ; c’est sous la caresse de deux de ses doigts qui s’activaient dans mon rectum et de sa langue sur mon gland circoncis que j’atteignis une jouissance trouble qui me fit crier de plaisir. Selon son excellente (et nouvelle) habitude, Roxane ne cessa ses caresses que lorsque ma verge eut perdu sa rigidité.
Au moment où j’avais éjaculé, comme elle était en train de me téter le frein, mon sperme n’avait pas giclé dans sa bouche mais sur une joue, son menton, et surtout sa main gauche, son poignet et son avant-bras, maculant au passage son bracelet qui comportait une petite montre (non étanche…) J’embrassai Roxane, puis je lui léchai le menton et la joue pour récolter ma semence en vue d’améliorer le goût de nos baisers ; m’apercevant que le maximum de sperme (abondant, après douze jours de chasteté totale imposée par son absence) ne se trouvait pas sur son visage, j’entrepris plusieurs voyages entre son poignet gauche et sa bouche pour déposer entre ses lèvres ouvertes ma récolte crémeuse. Nos baisers eurent un goût très particulier : celui d’un cocktail sperme-cyprine… délicieux ! Roxane me dit :
– Mon amour, tes baisers m’excitent tant…
C’était vrai : sa vulve était inondée. Je ne pouvais décemment pas la laisser dans cet état !Je redescendis entre ses cuisses pour lécher et sucer délicatement ses petites lèvres et son clitoris ; pendant mes caresses, je lui introduisis une extrémité du double dong dans le vagin. Elle apprécia la taille de l’engin, quatre fois plus long que ma modeste verge : ça devait la changer de ce qu’elle ressentait avec moi ! L’autre extrémité du dong – qui pendait entre ses cuisses – la rendait semblable à un androgyne… J’entrepris une fellation sur ce substitut de verge, en alternance avec des coups de langue sur son clitoris. Roxane jouit une quatrième fois.
– Te souviens-tu ce que je t’avais promis, il y a quelques jours ?– Non… Je ne me le rappelle pas.– Que, comme preuve d’amour, je tenais à t’offrir ma virginité ; mais il ne m’en reste qu’une seule…– Oui ; ça me revient, maintenant que tu me le dis.– Alors, le moment est venu.– Non ! Je ne veux pas te faire ça !– Je t’en prie, ma chérie… J’y tiens beaucoup.
Je m’allongeai contre elle en lui tournant le dos, et m’enduisis de gel lubrifiant pour faciliter l’introduction ; mais, même avec ce produit, ce fut impossible à réaliser. Le diamètre du dong était trop important pour mon anus vierge : ce monstre m’aurait déchiré ! Comme je souffrais trop, j’arrêtai là cette tentative. M’agenouillant sur le sol le long du lit et ayant surélevé le bassin de Roxane à l’aide d’un oreiller placé sous ses reins, je lui procurai une cinquième et dernière jouissance avec ma bouche.
Il était tard, et les bougies s’éteignaient l’une après l’autre. Nous décidâmes d’essayer de dormir ; serrés l’un contre l’autre, nous sombrâmes dans une douce ivresse.
      
Je n’eus à attendre que deux jours pour retrouver Roxane ; ressemblant étrangement à Liane Foley, elle était vêtue tout de noir. Une fois allongés sur le lit, ce fut elle qui prit la direction des opérations : elle m’embrassa en me donnant sa langue à sucer, sachant que ce type de baiser m’excitait au plus haut point. Roxane atteignit le but qu’elle recherchait : ma verge se mit au garde-à-vous, ce que je lui fis constater en amenant sa main dessus ; elle la caressa par-dessus mes vêtements. Quant à moi, je plaçai une main entre ses cuisses, par-dessus son pantalon, pour lui caresser la vulve.
Elle gémit, et son corps s’arc-bouta. Ne voulant pas la faire attendre plus longtemps, je lui enlevai son pantalon ; elle portait une mignonne petite culotte noire en dentelle. Je l’écartai pour poser mes lèvres sur sa vulve ruisselante, et je commençai à la lécher. A croire qu’elle n’avait pas joui depuis des années (alors que cela remontait à moins de deux jours…)
Je lui enlevai sa culotte pour être plus à l’aise, et je l’amenai à un premier orgasme. Sans attendre, je la pénétrai alors qu’elle était étendue sur le dos. Au bout d’un quart d’heure, je me mis sur le dos et l’attirai sur moi. Nous continuâmes à faire l’amour ainsi, elle me chevauchant ; elle approchait parfois de l’orgasme, mais sans l’atteindre tout à fait. De mon côté, je sentais le plaisir monter lentement ; mais, au bout d’un autre quart d’heure, je ne pus retenir mon plaisir et j’envoyai de longues giclées de sperme au fond du vagin de Roxane, ce vagin qui me massait la queue et semblait me téter et m’aspirer le gland comme une grosse bouche. Je criai tellement fort et longtemps que Roxane tenta de me bâillonner avec sa main pour atténuer mes cris. Je prenais rarement mon plaisir dans son ventre : habituellement, c’était plutôt dans sa bouche…
Mais elle n’avait pas joui ; aussi j’introduisis mon pouce bien à fond dans son vagin pour lui en masser profondément l’intérieur. Elle aimait ça… Retirant mon pouce, je lui enfilai d’un seul coup quatre doigts ; elle apprécia encore plus, surtout quand je commençai à lui triturer le clitoris ! Elle jouit en gémissant longuement. Nous nous laissâmes aller à une douce somnolence entrecoupée de câlins et de baisers. Sachant qu’elle devait bientôt repartir, je redescendis au niveau de sa vulve qui dégoulinait de son nectar et de mon sperme : elle était mouillée presque jusqu’à mi-cuisses ! Je léchai et avalai ce délicieux mélange tout en lui suçant la chatte ; Roxane, insatiable, jouit une fois de plus.
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