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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 28

Hétéro
ROXANE (9/9) + ÉPILOGUE

Une période de trois semaines s’écoula, au cours de laquelle nous nous revîmes deux ou trois fois. Plus de sexe : uniquement de tendres baisers. Ce soir-là, elle vint s’allonger sur le lit, la tête sur mon épaule. Je la sentais cependant un peu distante, se contentant de baisers sur les lèvres, mais rien de plus. Je lui dis que j’avais besoin de ses baisers – de vrais baisers – et de sentir sa peau contre la mienne.
Je tentai de défaire les attaches de sa robe mais, dans un premier temps, elle refusa de se laisser dénuder. Je posai alors mes lèvres sur les siennes qui, peu à peu, se firent douces ; il s’ensuivit un vrai baiser, qui se prolongea longtemps. Je défis les boutons pression de sa robe dont j’écartai les pans ; je la serrai dans mes bras tout en l’embrassant et je me dénudai rapidement. Je l’embrassai encore, puis je lui enlevai sa robe sans qu’elle proteste.
Roxane ne portait plus que ses sous-vêtements. Je la caressai ; elle ne pouvait pas ignorer mon sexe en érection contre son ventre. Je lui enlevai son soutien-gorge : elle me laissa faire. Elle ne portait plus que sa petite culotte, et nos corps furent enfin l’un contre l’autre, comme j’en rêvais depuis si longtemps ! Nous poursuivîmes nos longs et sensuels baisers pendant que mes mains caressaient son corps bronzé à la peau si douce…
Ma tête se posa sur sa poitrine ; je commençai par lécher et embrasser ses seins, en évitant soigneusement ses mamelons. Roxane me laissa faire, même lorsque mes lèvres se posèrent sur un téton érigé. Je le léchai et le suçai tandis que mes mains caressaient le creux de ses reins et ses cuisses. Je tentai d’enlever sa culotte, mais elle m’en empêcha ; je réussis quand même à la faire glisser un peu vers le bas, de manière à dénuder ses hanches ; puis je descendis poser ma tête sur son ventre, que j’embrassai et léchai. Descendant encore plus bas, j’embrassai et léchai longuement ses cuisses, surtout leur intérieur. Roxane me laissait toujours faire sans protester. Je pensais qu’elle allait me laisser embrasser sa vulve, et c’est pourquoi je posai mes lèvres entre ses cuisses, sur sa culotte. Toujours aucune réaction de Roxane, même quand j’emprisonnai son sexe entre mes lèvres.
Je léchai sa vulve à travers sa culotte ; encouragé par son silence, j’écartai le fin tissu et fis glisser ma langue au niveau de son clitoris. Je tentai de le dégager en écartant ses lèvres intimes, tant mon envie de le sucer était grande ; mais elle serra les jambes pour m’en empêcher. Roxane avait une volonté d’acier pour résister à une envie que je devinais très forte ; elle devait être très excitée, mais elle ne voulait pas me céder : elle m’avait dit « Plus de sexe », et elle respectait son engagement. Je revins alors vers son visage et nous nous embrassâmes encore longtemps, sensuellement, puis elle se laissa aller sur mon épaule.
J’étais très excité… Tout en embrassant Roxane, je plaçai ma main sur ma verge pour en caresser le frein en le faisant rouler entre deux doigts ; cet effleurement discret n’attira pas l’attention de ma chérie. Comme j’avais envie de jouir, j’enduisis mes doigts de salive pour caresser cette zone si sensible située juste en arrière du gland. Mon excitation était à son comble ; n’y tenant plus, je me branlai ouvertement, sans la moindre retenue. Mes mouvements rapides et saccadés ne devaient pas échapper à Roxane, mais elle ne dit rien. Dormait-elle ?
La jouissance me submergea rapidement ; je n’ai pas crié, me contrôlant, mais je gémis longuement. Une incroyable quantité de sperme se répandit sur mon ventre. Discrètement, j’en essuyai la plus grande partie avec la housse de la couette, mais il en restait encore considérablement ! Je profitai du fait que Roxane se rendait aux toilettes (tiens… elle ne dormait donc pas ?) pour finir de me nettoyer. Lorsqu’elle revint, elle se recoucha à côté de moi ; nous nous embrassâmes encore longuement, puis nous glissâmes dans un sommeil profond.
      
Après les quelques mois que j’ai partagés avec Roxane, cette femme au tempérament torride avec qui j’avais pu réaliser la plus grande partie de mes fantasmes sexuels, j’ai décidé de me ranger et d’être enfin fidèle à mon épouse : en effet, je suis certain que jamais je ne pourrai trouver une partenaire aussi ardente que Roxane. Alors, à quoi bon risquer la stabilité retrouvée de mon foyer ?
Il faut aussi tenir compte de mes érections, qui sont moins fréquentes et moins fermes que par le passé ; j’ai à présent 65 ans… Afin d’éviter toute frustration, j’espère que le désir s’éteindra en même temps que ma virilité !
Et puis, même si le fait d’avoir été circoncis a fait perdre beaucoup de sensibilité à mon gland, j’ai compris que ce n’était pas une mauvaise chose pour autant : en effet, cette perte de sensibilité est un atout lorsqu’on désire procurer du plaisir à sa partenaire, car elle permet de retenir l’éjaculation aussi longtemps qu’on le souhaite (au moins jusqu’à l’orgasme de sa compagne).
Aucune de mes partenaires n’a pu me considérer comme un éjaculateur précoce !
Pour terminer, je rends hommage à ma vaillante petite bite qui m’a procuré, pendant une cinquantaine d’années, des milliers d’orgasmes.
Et, lorsque je rendrai mon dernier soupir, je souhaite que ce soit un soupir d’extase afin de finir en beauté, en éjaculant une ultime fois sous les caresses d’une langue experte, tout en écoutant Kenneth Weiss interpréter sur son clavecin les Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach, en une sublime apothéose…
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