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Je mène, tu prends

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Nous entrerons dans cette chambre d’hôtel. Le lit est au milieu de la pièce, les draps sont blancs, la lumière est tamisée. Je passerai devant toi pour brancher mon appareil et alors faire entendre de la musique lente, lancinante. — Déshabille-toi.Ce que tu feras. Je suis planté devant toi, sans faire un geste. Sans te cacher à mon regard mais en baissant un peu la tête, tu commenceras par dégrafer ton chemisier pour le laisser ensuite tomber, nonchalamment, à tes pieds. Maladroitement, tu enlèveras tes chaussures, puis tes chaussettes. Tes mains se porteront ensuite à ta ceinture pour l’ouvrir et pour pouvoir après déboutonner ton jeans. Ton ensemble de sous-vêtements sera d’un blanc pur et lumineux et déjà, te voyant presque nue, je m’interroge sur l’humidité de ton sexe.— J’enlève tout ?— Évidemment.Mon ton sévère te surprend mais t’excite un peu en même temps. Tu passes tes bras derrière ton dos et découvre ta poitrine en faisant tomber ton soutien-gorge. Je m’assieds sur le fauteuil proche. Tu te penches pour passer tes doigts sur les rebords de l’élastique de ton string et commencer à la descendre sur tes jambes. Jusqu’à tes pieds. D’un mouvement, tu envoies valser ce dernier rempart plus loin dans la pièce. Tu te redresses face à moi, entièrement nue et tes réflexes voudraient presque couvrir tes parties intimes de tes bras – tu n’en fais rien.Te voilà entièrement nue devant moi. Je remarque que la nervosité et l’excitation font déjà pointer tes tétons et que ton pubis est cette fois un peu plus recouvert d’une légère toison – c’est parfait, tu t’es pliée à mes caprices en arrêtant de te raser entièrement. Le moment à t’observer devient long et tu commences à sentir un léger malaise à te sentir aussi exposée sans être touchée, sans rien faire…— Allonge-toi sur le lit. Sur le ventre. Ecarte tes bras et légèrement tes jambes.Tu obéis immédiatement, heureuse de pouvoir être en action. Une fois que tu es allongée comme je le souhaite, je sors des rubans rouges de ma poche. Je les noue sur tes chevilles et sur tes bras. Tu ne dis rien, tu te laisses faire. Je noue ensuite chacun des rubans aux pieds du lit de façon à laisser un tout petit peu de lest mais sans que tu puisses être capable de faire d’amples mouvements. Tu testes toi-même tes liens et tu remarques qu’ils te bloquent rapidement. Entre tes cuisses, tu sens l’air effleurer l’intérieur de ton sexe, et tu remarques qu’il est déjà humide. Être ouverte et exposée de cette façon t’excite. Tu ne me vois plus et tu te demandes si je me déshabille.Le son de la musique a augmenté, il remplit la pièce. Soudainement, tu entends un claquement et tu ressens une vive douleur sur tes fesses… Une cravache en cuir souple vient de les cingler. — Oh… Oui… Encore !La cravache s’abat une nouvelle fois sur tes fesses, de la même intensité. Une troisième fois encore… À chaque coup, tu pousses un gémissement entre la plainte de la douleur et du plaisir libéré par les endorphines. Une quatrième fois, plus forte, te fait pousser un petit cri de surprise. Une cinquième, de la même force, tu enfouis ta tête dans les draps pour étouffer tes cris que tu commences à intensifier pour mieux exprimer cette sensation. Tes fesses deviennent rouges et cette vue commence à me faire bander. Une sixième fois, encore plus forte que les précédentes, puis directement une septième. — Aaah, ça fait mal !Les huitième et neuvième fois seront tout aussi douloureuses. Tes fesses chauffent et commencent à te brûler. Tu commences à te dire que la dixième fois sera horrible et moins excitante. Mais tu me sens monter debout sur le lit et c’est alors que tu ressens la caresses de la cravache sur tes fesses meurtries. Elle parcourt l’entièreté de tes fesses et la sensation avive un peu la douleur. Tu sens ensuite la cravache s’insinuer entre tes fesses, effleurer ton anus, venir se poser sur ton sexe. Elle caresser légèrement tes grandes lèvres puis se retire.Puis encore un claquement… Sur ton sexe cette fois.— Oh ! Pas là, ça fait mal !Je n’en fais visiblement qu’à ma tête car tu m’entends rire et ressens aussitôt un deuxième claquement sur ton sexe… Le bout de la cravache en se choquant sur tes grandes lèvres, produit un bruit légèrement humide et ça t’excite d’entendre ça. D’entendre que même cette douleur te fait mouiller. Encore un claquement, et puis un dernier un peu plus fort… Tu cries toujours dans les draps. Puis plus rien.Essoufflée, légèrement apeurée, tu te demandes où je suis passé : tu ne me vois plus. Mais très vite tu m’entends grimper au bout du lit, passer sur ton côté où tu peux remarquer que je suis également entièrement nu. Tu sens ensuite un liquide chaud couler dans le bas de ton ventre ; de l’huile. Elle s’étale et tu sens également que j’en verse sur tes fesses, sur tes jambes. Tu sens quelques coulées arriver au creux de tes fesses.Puis mes mains se posent sur ton corps et s’affairent à étaler le liquide partout sur ta peau. Elles remontent jusque dans ton cou, où elles commencent à te masser la nuque. Descendent ensuite sur les omoplates.Tu grognes de plaisir quand tu me sens me positionner sur toi, une jambe de chaque part de ton corps. Tu sens déjà mon sexe dur posé sur tes fesses et tu voudrais déjà le sentir plonger en toi. Le massage s’intensifie dans ton dos, passe sur chacune de tes côtes ; il est délicieux pour toi.Je me recule et masse tes jambes en remontant mes mains le plus loin possible à l’intérieur de tes cuisses. Ce qui a l’effet de provoquer encore mieux ton humidité. Tu voudrais que je touche tes parties intimes, que je commence à te libérer de cette tension. Tu oses même…— J’ai envie que tu me touches. Que tu me fasses jouir.Tu n’as pas de réponse mais tu sens mes mains arriver sur tes fesses. Ta prière serait-elle exaucée ? Le massage devient délicieux, tu sens parfois mes doigts s’échapper à l’intérieur de ta raie. D’abord timidement puis de manière plus prononcée pour effleurer un maximum ton anus. Je sens ton corps commencer à se tortiller. Te ferais-je du bien ?Puis je me retire. Tu ne me sens plus, tu ne me vois plus. Ton corps est torturé par cette envie d’être délivrée et tu trouves le moment long.— Qu’est-ce que tu fais ?Tu me vois arriver à côté de toi, non loin de ton visage, mon sexe tendu comme une invitation. Je l’approche alors de ton visage, mon gland se rapproche de ta bouche. Tu n’attends pas plus longtemps pour le gober directement, pour me sucer avidement. Gênée par tes entraves, tu fais ce que tu peux pour en avoir le plus possible dans la bouche. Pour t’aider, je me rapproche encore du lit et mon bassin s’avance pour te remplir un peu plus. Cela te ferait presque suffoquer mais tu aimes te sentir utilisée de cette manière. Tu me vois me pencher vers l’arrière et tu sens ma main s’abattre sur tes fesses. La douleur de la cravache n’est pas loin et cette claque la décuple encore, je sens tes dents se refermer sur mon sexe tendu et cette morsure m’électrise. Je récidive en claquant encore tes fesses, plusieurs fois d’affilée. Heureusement que mon membre étouffe tes cris et malgré la douleur, tu essaies de ne pas me faire mal en mordant trop fort. Cette sensation d’humiliation par la fessée commence à se transformer en plaisir et tes cris deviennent des gémissements, ce courage et cette motivation te donne même la force de t’appliquer sur ta fellation et de bien aspirer mon sexe durci.Après quelques claques éprouvantes, je me retire et cela est presque comme une vexation pour toi. Tu aurais voulu que je pousse l’humiliation jusqu’à te me répandre dans ta bouche ; tu aurais même avalé.Mais je ne vais pas loin, je me positionne entre tes jambes et je me penche entre tes cuisses. Tu me sens souffler sur ton sexe ouvert et mouillé. Tu gémis encore ; heureuse de sentir que je m’intéresse enfin à ton plaisir. Mes mains remontent tes cuisses, passent en dessous, elles te portent pour que ton bassin soit légèrement plus surélevé et que je puisse glisser un coussin en dessous de ton bas ventre. Cette position te laisse encore plus ouverte…Tu sens que j’approche mon visage de toi et… Je te goûte enfin, j’embrasse les lèvres de ton sexe, j’embrasse l’intérieur de tes fesses.— Mmmh oui…Tu sens ma langue s’introduire entre tes grandes lèvres pour venir goûter tes sécrétions, tu la sens fouiller à l’entrée de ton vagin puis remonter sur ton anus, qu’elle pénètre habilement et qu’elle lèche, sans retenue. Cette caresse t’enflamme et tu voudrais pouvoir te masturber le clitoris en même temps ; et comme si j’entendais tes pensées, tu comprends que mon pouce vient de se poser en haut de ton sexe. Il commence à te masturber doucement pendant que ma langue essaie d’aller au plus loin dans ton rectum. Cette masturbation est délicieuse et quelques instants après, tu sens entrer un de mes doigts dans ton vagin. Il te procure une lente caresse, s’appliquant bien sur ses parois.— Oui vas-y, fais-moi jouir comme ça…Et comme j’aime te regarder te tordre de plaisir, il ne fallut que quelques minutes pour que ton orgasme explose et que j’admire tes orifices pulser de plaisir.Je te laisse te reprendre quelques instants, tout en caressant mon sexe pour qu’il durcisse à nouveau. Puis je le positionne juste contre ton sexe…— Vas-y, baise-moi, comme ça !Je m’amuse à passer mon gland tout le long de ta fente, pour qu’il soit bien humide de ton jus. Tu frissonnes un peu lorsqu’il effleure ton anus. Et mon vice confirmera tes craintes car tu sens que je commence à la pousser un peu plus fort entre tes fesses, essayant de pénétrer ton anus… Tu veux éviter d’avoir mal alors tu essaies de te détendre et de pousser pour t’ouvrir au mieux à mon sexe. Et ça y’est, tu sens que mon gland, déjà est dans ton rectum.— Mmmmh… Doucement, vas-y doucement…Je pousse encore et lentement, mon sexe commence à disparaitre au fond de ton rectum. Tu le sens te remplir et cela procure tout d’abord une gêne. Puis je commence mes lents mouvements de va-et-vient et tu commences à sentir le plaisir de te faire sodomiser. Tu sens au mieux mon long membre dur être coincé en toi et frotter contre les parois de ton rectum. Tu gémis de plus en plus fort et tu souffles ; et tu me sens souffler derrière toi. Mon mouvement s’accélère et gagne en force, tu t’habitues à cette pénétration et tu commences à l’adorer. Tu sens même monter un deuxième orgasme sans même comprendre vraiment comment…— Oui, tu vas me faire jouir, vas-y !Juste au moment où ton plaisir va exploser, tu m’entends grogner et jouir au dessus de toi, en toi, me déversant entièrement dans ton cul et c’est là que ton orgasme se déclenche, explose, te fait hurler de plaisir… Tu n’en n’avais jamais ressenti de pareils…Je suis allongé sur toi, mon sexe toujours planté dans ton rectum, je te mords les épaules et t’embrasse la nuque. Tu veux déjà recommencer…
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