Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 99 J'aime
  • 8 Commentaires

Où me mènera mon exhibition ?

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Où me mènera mon exhibition ?Il m’apparaissait plus qu’évident que quelque chose allait survenir cet après-midi où, pour la première fois depuis que j’étais mariée (24 ans), je me suis surprise à répondre de cette façon à un regard aussi appuyé qu’effronté.J’étais attablée à une terrasse avec Denis mon mari. Profitant du soleil, nous étions à siroter un verre en regardant les gens passer devant. Tout en discutant, mon mari me fit remarquer qu’en face de nous se trouvait l’homme que nous avions croisé dans le corridor de l’hôtel en sortant de notre chambre. Selon mon mari, cet homme ne faisait que regarder en notre direction, surtout, disait-il, en ma direction. Je lui faisais remarquer de mon côté, qu’en ce bel après-midi ensoleillé, ce monsieur avait bien d’autres dames plus jeunes et plus jolies à admirer sur cette terrasse. Il me dit être d’accord sur le fait qu’il se trouvait ici plusieurs jolies jeunes femmes mais comme à son habitude il considérait que j’étais certainement la plus belle et la plus sexy et qu’à mon âge je n’avais rien à envier à ces jeunes beautés. Tout à notre conversation, j’avais oublié l’homme en face de nous. Mon mari me rappela sa présence en me redisant qu’il ne cessait de me reluquer. Pour prouver ses dires, il me dit de vérifier par moi-même. Je n’osais pourtant pas regarder de peur d’être surprise par celui qui, selon mon mari, m’épiait. Cependant, devant l’insistance de mon compagnon, je tournai un peu la tête vers la table de ce monsieur et, effectivement, il me regardait. Je m’aperçus que son attention se portait tantôt vers mon visage, tantôt sans gêne, beaucoup plus bas. Au moment où je m’aperçus qu’il lorgnait sous la table, il releva la tête et nos regards se croisèrent. Dans un geste à peine perceptible, il me fit un signe de la tête et lentement comme pour me le faire voir, son regard reprit la direction de mes jambes. Mon mari qui aime quand je m’habille de vêtements sexy avait été heureux de mon choix de porter une jupe cette journée-là. De toute évidence, il n’était pas le seul. Pour faire plaisir à mon mari et pour mieux profiter de la chaleur j’avais en effet enfilé une jupe pas spécialement courte, elle m’arrivait au-dessus des genoux, et une chemisette assortie. Sous ma jupe, comme à mon habitude un string de couleur saumon comme mon soutien-gorge qu’on devinait au travers de mon chemisier légèrement transparent. Je le trouvais un peu effronté et j’allais en faire part à mon mari quand soudain il me regarda à nouveau et, discrètement, en ouvrant les mains, je compris qu’il me demandait d’ouvrir les jambes. J’étais abasourdie de son audace mais je ne sais ce qu’il me prit, j’obéis à sa demande. Gênée de ma hardiesse, je n’osai plus le regarder et retournai rapidement à ma conversation avec Denis. Malgré ma honte, je n’ai pas refermé les jambes et, au contraire, les ouvris un peu plus. J’avais tout à coup très chaud. Mon mari qui s’en aperçut me demanda si tout allait bien, si j’avais besoin de quoi que ce soit. Comme cela m’arrive quelquefois depuis que j’ai commencé ma pré ménopause, je lui expliquai que j’avais comme un coup de chaleur et que j’allais me rafraîchir un peu à la salle de toilette et que tout irait bien ensuite.En me levant, toute à mon audace, je ne me reconnaissais plus, je déplaçai ma jambe gauche sans faire suivre la droite ce qui fit remonter ma jupe et donna une vue imprenable sur ma culotte. Mon voisin de table n’en manqua pas une miette et me le fit savoir d’un nouveau regard. Je me levai, tirai un peu sur ma jupe et me dirigeai vers la salle de toilette. J’avais les jambes en coton mais j’essayais de ne pas le montrer en adoptant une démarche assurée. Arrivée à la toilette, je refermai vite la porte pour enfin reprendre mes esprits. J’avais très chaud et je m’aperçus que j’étais dans un tel état d’excitation que ma culotte était toute trempée. Pour vérifier jusqu’à quel point elle l’était, je touchai du bout des doigts et ce simple geste me donna une décharge électrique et je ne pus m’empêcher de me caresser un peu. Je ne pouvais pourtant rester trop longtemps Denis aurait tôt fait de s’inquiéter et de me rejoindre. Mais j’étais tout aussi excitée qu’à mon arrivée et je ne sais pourquoi, avant de rejoindre ma table, je décidai d’enlever ma culotte et de la mettre dans mon sac.Une fois assise, Denis qui ne me trouvait pas meilleure mine, me demanda si je voulais rentrer à la chambre. Je lui fis savoir qu’au contraire je me sentais parfaitement bien et que je reprendrais bien un autre verre. Soulagé, mon mari s’empressa de me commander un verre de vin blanc. En revenant de la salle de toilette j’avais bien remarqué que notre voisin de table était toujours là. Sans me l’avouer, j’en étais bien heureuse et encore plus excitée. Je décidai donc de continuer de jouer le jeu et repris la même position. Pendant que Denis s’occupait de payer les consommations, j’ouvris un peu les jambes non sans regarder discrètement la réaction de mon voyeur. Celui-ci ne tarda pas à reluquer mon entrejambe croyant revoir les fines dentelles de ma culotte. Il releva la tête comme ne pouvant pas croire ce qu’il voyait. Abaissant le regard, il semblait scruter sous ma jupe pour confirmer ce qu’il avait vu. Je me sentis, à ce moment-là, inondée. Il fallait bien m’avouer que j’aimais bien cette sensation nouvelle que me procuraient mon exhibition et cette excitation d’être ainsi épiée. Probablement en raison de mon propre culot, à la vue de ma nudité et je dois préciser que je suis toujours parfaitement épilée, mon voyeur prit de l’assurance et se caressa par-dessus son pantalon. Ce faisant, il s’assura que j’avais bien vu son geste, ce qui ne fit qu’augmenter mon trouble.Je fermais et ouvrais les jambes chaque fois un peu plus, pour ensuite les refermer quand même un peu. J’avais la main sur la cuisse de mon mari et, sans trop m’en rendre compte, je me mis à le caresser du bout des doigts. Je me permis même de relever discrètement le bord de ma jupe jusqu’à ce que, du bout des doigts, je puisse constater l’humidité de mon intimité. Mon mari, à ce moment, me fit remarquer que notre voisin de table avait l’air de bien aimer le spectacle que je lui offrais, évidemment lui aussi avait tout vu et remarqué notre manège. Il me prit la main, la mit franchement sur son pénis et me dit que je lui faisais de l’effet à lui aussi. Il était dur, sa queue lui déformait le devant de son jeans, comme j’aimais. Mon mari est très bien pourvu par la nature et moi j’apprécie beaucoup son gros membre. Encore plus excitée, je pris la culotte dans mon sac et la déposai sur la table en lui disant qu’effectivement notre voisin appréciait le spectacle. Tout de suite mon mari palpa le côté de ma jupe pour vérifier si j’étais bien nue sous celle-ci. Vérification faite, il glissa carrément ses doigts sous le vêtement et me trouva toute trempée. Avec un air d’adolescent découvrant pour la première fois le corps d’une femme, il me fit remarquer mon état en me traitant de petite salope. Cela ne me choqua pas. Nous avons l’habitude, lorsque nous faisons l’amour d’employer de petits mots crus ; en fait, surtout Denis, et cela m’excite beaucoup.Il me dit qu’il voyait bien que ça m’excitait de m’exhiber ainsi ; je lui répondis que je n’étais pas la seule d’après ce que je pouvais sentir sous ma main. Souvent, Denis avait essayé, soit au restaurant, en faisant le marché, ou en automobile, de me faire prendre des poses, afin d’exposer mes charmes mais j’avais toujours refusé. Pour lui faire plaisir pourtant, quelquefois, je suis nue sous mes jupes ou mes robes. Depuis le temps que j’essaie de te faire découvrir ce plaisir me dit-il, voilà que tu prends l’initiative. Je lui dis que je ne savais pas que ça pouvait m’exciter autant. J’étais tellement excitée en fait, que j’avais peur que ma mouille ne coule sur ma jupe. J’en fis part à Denis et celui-ci me recommanda, en me faisant un sourire, de m’asseoir les fesses directement sur la chaise en relevant le derrière de ma jupe. Celle-ci était assez ample pour le permettre sans que le devant ne remonte trop ; alors, je le fis mais c’était à la limite de l’indécence. La sensation du siège de la chaise sur mes fesses décuplait mon excitation. Lui aussi était très excité et je ne parle pas de notre voisin qui ne se gênait plus du tout voyant bien que mon mari était au courant de mes agissements. Mon mari me caressait l’intérieur de la cuisse au même moment où le serveur déposa une carafe de vin blanc sur notre table en nous précisant que ça venait de la table à côté. Je dis à Denis qu’on ne pouvait accepter. Je ne voulais pas que notre voisin puisse s’imaginer ainsi pouvoir aller plus loin. A cette pensée, dans un réflexe de pudeur, je refermai les jambes coinçant la main de mon mari entre mes cuisses. Je lui signifiais ainsi que le jeu était terminé. En tirant doucement sur ma cuisse, mon mari me demanda alors si j’avais vraiment envie d’arrêter. Pour toute réponse, je rouvris un peu les jambes. Encouragé, mon mari fit signe de sa main libre à notre inconnu pour le remercier. Celui-ci prenant cela pour une invitation vint nous saluer. Il nous demanda aussitôt s’il pouvait se joindre à nous. Sans me demander mon avis, mon mari lui offrit la chaise à ma gauche.Sans plus attendre Francis, c’était son nom, prit place, me salua en me prenant la main et se présenta à nous. En s’adressant plus particulièrement à Denis, il lui précisa qu’il était choyé d’avoir une aussi belle et charmante épouse. Mon mari le remercia non sans lui préciser que j’avais aussi des charmes cachés qu’il avait assurément eu le bonheur d’entrevoir. Francis acquiesça en hochant la tête. Il ajouta que si ce qu’il avait entrevu trop rapidement à son goût, était à l’image du reste, il ne doutait pas du tout de mes charmes, mêmes de ceux cachés. Je me sentis rougir et mon mari, prenant Francis à témoin, me dit d’un ton taquin que le rouge m’allait très bien. En disant cela, Denis, soulevant un peu le côté de ma jupe, fit remarquer à Francis, qu’une partie de mes charmes était sans obstacle, déposé directement sur mon siège. Du fait de ma position, j’avais toujours les jambes ouvertes. Francis avait une vue imprenable et de très près sur une partie de mes fesses, mais aussi sur mon entrejambe et ma chatte de plus en plus humide. Un peu surpris par le geste de mon mari, Francis ne put retenir son émoi en s’exclamant qu’en plus d’être très joli, tout cela avait l’air extrêmement doux. Mon mari lui répondit qu’en effet, il ne saurait si bien dire, puisqu’à sa connaissance, peu de femmes avaient la peau aussi douce que moi. Un peu gênée par ses propos flatteurs, je traitai mon mari de charmeur invétéré et lui demandai de ne pas exagérer. Il me dit alors qu’il n’exagérait pas, que j’avais la peau douce comme un bébé et demanda à Francis de vérifier pour voir qui de nous deux avait raison. À ce moment-là, je savais qu’un pas décisif venait d’être franchi mais je ne savais pas encore où tout ça nous mènerait.(La suite bientôt. Vous raconter tout cela, notre aventure, qui s’est réellement passée, m’a terriblement excitée).
Diffuse en direct !
Regarder son live