Cette histoire m’a été racontée par Laurie et Christine lors de ma première rencontre avec cette dernière. Il faut dire que, ce soir-là, Christine avait été témoin de nos ébats sodomites d’un jeudi comme les autres. Il n’y avait donc aucune raison que Laurie, mon "amie du jeudi", me cache ses expérimentations lesbiennes plus longtemps. Laurie, malgré sa petite taille, faisait partie de l’équipe 2 universitaire de Volley-Ball. Elle évoluait au poste de Libéro où elle pouvait laisser libre court à ses qualités de défense et d’anticipation. Souvent à l’origine de coups d’éclats mettant à mal les défenses adverses, elle recevait aussi souvent des félicitations sous la forme de tapes amicales sur les reins ou les fesses. Dans les douches, elle côtoyait des jeunes femmes assez grandes et sportives. La bonne ambiance aidant, le port de la serviette n’était pas de rigueur, même si les yeux traînaient de ci, de là, pour évaluer, comparer, le corps de chacune. C’est à la fin d’un match à domicile que Christine et Laurie se retrouvèrent chargées du rangement du matériel. Le rangement prit un peu de temps, elles revinrent donc aux vestiaires alors que la plupart de leurs camarades étaient parties. Restaient quelques personnes qui finissaient de ranger leurs propres affaires. — On vous attend, les filles ? demanda l’une d’elle— Non, c’est bon, merci ! répondit Christine.— Ok, le coach est au bureau, pensez à le prévenir quand vous sortez. Ciao les filles.— Ciao, répondirent en cœur, Christine et Laurie. Les deux équipières commencèrent à retirer leur tenue pleine de sueur— Tu as été très bonne aujourd’hui, Laurie. Bravo.— Merci. Ça n’a pas été facile de les battre aujourd’hui.Elles se dirigèrent, nues et munies de leur matériel, vers les douches communes. Elles prirent 2 douches voisines.- Christine, dis-moi une chose... Demanda Laurie, la tête en arrière et ses jeunes seins arrogants, en se passant du shampoing dans les cheveux— Oui ?— Ça fait longtemps que tu te rases totalement le sexe ?— Depuis toujours en fait. J’aime bien être toute douce. Et mes copines en raffolent...— Ah bon ? Parce que tu... euh... tu es... ? bredouilla Laurie en ramenant sa tête vers l’avant, gênée par la réponse faite à sa question.— Oui, depuis toujours. Ça te gêne.— No... Non ! Je suis un peu surprise, c’est tout. Christine prit un peu de savon liquide au creux de ses mains et proposa à Laurie de lui laver le dos. Celle-ci ne refusa pas.— Tu sais, dans les équipes professionnelles, la plupart des filles sont au moins bi.Christine disait cela tout naturellement en frottant le haut du dos de sa libéro.— C’est vrai ?!— Oui, j’ai une ex qui joue en club de hand-ball. Elle me dit que c’est mieux qu’un site de rencontre !Christine du haut de son mètre 80 riait, ses mains sur les reins et les hanches de la petite libéro.— Tu as de belles fesses bien fermes, tu sais ?— Merci !— Je peux les toucher ?Laurie hésita avant de faire une réponse qu’elle fut elle même surprise d’entendre positive.— Ah oui, bien fermes, s’extasia la grande attaquante. Christine se colla contre Laurie. Celle-ci ne dit rien lorsqu’elle sentit une main passer de ses fesses au devant de ses cuisses.Il était trop tard pour réagir lorsque cette main se glissa dans sa toison, à la recherche de son clitoris et que l’autre main entama un massage de son sein gauche. Il ne lui restait plus qu’à renverser sa tête en arrière, sur l’épaule de sa conquérante pour recevoir tout à la fois la caresse sur son sexe et le baiser dans son cou.Christine fit pivoter sa conquête. Elles échangèrent un baiser passionné sous le filet d’eau chaude qui emplissait les douches d’une vapeur stagnante.— Je vais te montrer ce qu’une fille sait faire à une autre filleChristine s’agenouilla, et c’est dans cette atmosphère saturée de vapeur, collée au mur des douches dans les vestiaires du gymnase d’une petite université de province, que Laurie connu d’une grande blonde entreprenante ses premiers plaisirs lesbiens.
