Sylvio s’est installé à la maison, ce qui enchante ma mère. Il la démonte tous les jours, voire plusieurs fois par jour. Il a pris ses aises. C’est régulièrement que je le vois se balader dans la maison la queue en l’air, entre deux saillies, pour aller chercher de l’eau. Quelquefois, leur excitation est telle qu’ils ne terminent même pas le repas, ils quittent la table pour aller dans la chambre et j’entends les cris de ma mère. Ils ne se gênent absolument pas devant moi. La vie continue ainsi dans notre foyer. Un samedi soir, ils sont invités à dîner chez des amis de maman. Oui maman l’a depuis présenté à bon nombre de ses relations amicales.Avant de partir, tous deux sur leur trente et un, Sylvio me laisse son ordinateur sur la table en me disant qu’il contient un grand nombre de films et que je n’ai qu’à jeter un œil si ça m’intéresse. Je dîne vite fait une salade et je me penche sur l’ordi de Sylvio. Il y a effectivement des films récents sympas. Mais mon œil est attiré par un autre dossier sur le bureau, nommé « Monique X ».Forcément, la curiosité me pousse à cliquer dessus. J’ouvre et je tombe sur une vidéo de deux heures.J’hésite mais bien évidemment je finis par lancer la vidéo.Ça se passe dans une boîte de nuit visiblement privatisée. Il y a une quinzaine de personnes assises sur les fauteuils. Des blacks, des blancs, des beurs. Ils boivent des verres.On voit ensuite Sylvio arriver avec ma mère, main dans la main. Celle-ci est vêtu d’une mini-jupe rouge en cuir sur des bas noirs et des chaussures à hauts talons de couleur argentée. Elle a un top blanc qui lui moule bien ses gros nib.Sylvio la présente ainsi :« Voici Monique, elle est à vous ! Traîtez la comme il vous plaira ! »Ceux qui sont les plus près de Monique commencent à l’embrasser, lui peloter les seins à travers le top. Il y en a ainsi quatre autour qui laissent balader leurs mains sur ses seins, ses cuisses, sa chatte. Sylvio va chercher une laisse de chien posée sur un fauteuil et la place autour du cou de ma mère.Les gars continuent de la peloter de partout, lui mettant leurs langues au plus profond de sa bouche.Les autres en profitent pour se mettre à poil et commence à s’astiquer le manche en regardant le spectacle.L’un de ceux qui pelotaient ma mère s’empare de la laisse et contraint ma mère de se mettre à genoux. Il la guide ensuite à quatre pattes vers un matelas peu épais posé sur le centre de la piste de danse.Elle est maintenant à quatre pattes sur le matelas, ceux qui étaient encore habillés se dessapent. Ceux qui étaient déjà à poil commencent à entreprendre Monique. Deux engouffrent leurs queues dans sa bouche et un autre la prend direct en levrette par la chatte.Ils sont maintenant tous à poil et se branlent en attendant gentiment leur tour. Certains viennent claquer les fesses de la daronne pendant qu’elle se fait pilonner.Et on voit maintenant les gars de succéder dans la chatte et dans la bouche de Monique.Elle encaisse sans broncher.Il y en a un qui prend le relais derrière, se met à genoux, mais à la différence des autres, approche son visage des fesses de ma mère et lui crache sur le trou du cul. Il se relève et met son gland sur son petit trou et pousse. Ça y est c’est maintenant parti pour l’enculade !Il la lime pendant dix minutes, se retire, et celui qui vient derrière, forcément, l’encule aussi !!Elle est défoncée de tous les côtés en se faisant insulter de salope, de truie, de chienne, de cochonne, de pute…Entre deux bites dans la bouche elle se fait cracher au visage. Ce dernier est méconnaissable, son maquillage coule de partout. Elle grimace, on sent qu’elle en bave. Ça fait maintenant plus d’une heure qu’elle mange comme ça. Et les salauds ne sont pas des romantiques !Et ça continue encore, je n’imaginais pas que ma mère pouvait encaisser comme ça une quinzaine de bites à la suite de tous les côtés.Au bout d’une heure et demi, on revoit le Sylvio prendre la laisse de maman alors qu’elle se fait toujours enfiler par le cul et la bouche. Il la fait mettre sur les genoux, obligeant ses étalons à abréger leurs saillies.« Bon allez, maintenant vous allez tous l’arroser, elle n’attend que ça ! dit Sylvio à tous ces jeunes mecs qui ont mis l’un après l’autre leur bite dans tous les trous de ma mère.« Allez ma chérie, accueille tous ces hommes qui vont te faire l’honneur de leur foutre ! »Ils se mettent tous autour de Monique, formant un cercle autour d’elle. Ils se branlent tous en la regardant ouvrir la bouche et sortir sa langue.Un premier lascar s’approche du visage de Monique qui le regarde. A peine arrivé, il lui balance plusieurs jets de foutre en pleine gueule ! Quelques secondes après, c’est un deuxième qui lui visiblement préfère arroser ses gros nichons, ma mère les soulève pour mieux accueillir son jus. Elle étale la crème sur ses seins blancs. Le troisième cible la bouche ouverte et lui envoie la purée sur la langue. Les quatrième, cinquième et sixième arrivent en même temps sur le visage, suivis de peu par les sixième, septième et huitième lascars qui nourrissent encore un peu plus ma petite maman.Le neuvième préfère aussi les gros nibards !C’est un défilé de grosses bites juteuses devant maman !Allez… le onzième maintenant, lui il préfère sa gueule ! Allez que je te la recouvre encore de jute, comme si elle n’en avait pas assez !Ah mais non elle ne doit pas en avoir assez car les quatre derniers viennent exploser aussi sur sa gueule.Ils se marrent tous en se regardant, fiers et soulagés de ce qu’ils viennent de faire, humilier sexuellement une mère de famille bien excitante.Ma mère reste au sol, se repose visiblement de ces assauts en série. On la voit en gros le visage entièrement recouvert de sperme, on ne la reconnaît même plus. Personne ne vient lui apporter une serviette, on la laisse comme ça, comme une trainée.N’empêche que je me surprends à avoir un barreau d’enfer à regarder ma mère se faire traîter comme la dernière des putes.Je suis tranquille tout seul à la maison,Je reviens en arrière, au moment où le premier la sodomise, je baisse mon caleçon, et commence à me branler en regardant toutes ces queues fouillant tous les orifices de maman.Il ne me faut pas longtemps pour éjaculer dans le sopalin. Une fois soulagé, je repense à ce que je viens de voir et je suis totalement écoeuré par ce qu’est devenue ma mère. Elle qui était une bonne mère de famille et une bonne épouse. Elle est devenue l’objet sexuel de tous les gars, jeunes ou vieux (mais surtout jeunes ) qui veulent assouvir leurs fantasmes les plus vils. Elle n’a plus d’honneur et je ne crois pas que ça la dérange plus que ça. En plus je suis sûr que Sylvio a fait exprès de me laisser son ordi pour que je puisse voir ça. Lui il a gagné le jackpot, il est nourri logé, et peut se vider les couilles tous les jours voire plusieurs fois par jour, tout en profitant des largesses de ma mère. Et il la fait tourner comme une vulgaire trainée. C’est un beau salaud en fait…
