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(Mère/fille) Les secrets de Clémence et Manon

Chapitre 2

Lesbienne
La nuit passa. Le réveil de mon téléphone me sort des mes songes et voilà une nouvelle journée qui démarre. J’entends maman qui s’affaire dans la maison, déjà levée depuis un bon moment. J’ai la chance de commencer les cours à 10h ce matin, donc j’en profite pour grappiller quelques minutes dans mon lit douillet et me préparer tranquillement. J’appréhende aussi de croiser maman il faut dire. Hier soir, c’était d’une telle tendresse dans sa chambre que cela embrouille encore mon esprit ce matin. « Est-ce qu’une gêne va s’immiscer entre nous deux ? Je vais pas rougir en la voyant ? » Que des questions dans ce style, vite interrompues par un frappement à ma porte…— Manon ? T’es levée, me demanda maman.— Oui m’man.Elle entre dans ma chambre déjà tout préparée pour partir au boulot. Toujours ses bottes, son jeans et son gilet, son sac à main accroché à son épaule gauche et son trousseau de clefs à la main droite. Ses cheveux impeccablement lissés et un maquillage soft juste ce qu’il faut, elle était parfaite. Tout en s’approchant de moi, elle me dit :— Bonjour ma chérie. Je file, je suis un peu à la bourre ce matin. J’ai pas mal de boulot et les réunions qui vont pas m’aider à avancer en plus.Je suis assise sur ma chaise en train d’enfiler mes chaussettes et elle m’embrasse sur le front tout en plaçant délicatement sa main gauche sur mon épaule.— Bonjour maman, passe une bonne journée. — Toi aussi Manon, me répond-elle. Tu commence à 10h, non ?— Oui c’est çà. — OK très bien. Tu rentreras en bus ce soir car je débaucherais tard moi.— Pas de problème, à ce soir maman.Elle m’esquisse son plus beau sourire, puis se retourne pour se diriger vers le couloir. Je la regarde partir en ne pouvant moi non plus m’empêcher d’arborer un joli sourire. « Ouf, ça c’est plutôt bien passé ! On a pas eu le temps de trop cogiter sur la soirée d’hier elle comme moi, elle était en speed. On verra ce soir s’il y a un malaise entre nous », me disais-je pour me rassurer.
La journée au lycée était cool et elle est passée comme un éclair : on commença à 10h avec 2h d’histoire, puis après la pause de midi on reprenait pour 2h de maths et on terminait avec 1h d’anglais. Les filles ne m’ont pas pris la tête, elles ont certainement du remarquées qu’elles étaient allées trop loin la veille. Magalie m’a même glissée discrètement un « sorry pour hier tantôt… » à l’oreille, donc tout va bien. Quand aux autres qui rigolaient, je préfère les ignorer pour le moment : on verra bien si je me vengerais un jour. La cloche du dernier cours sonne et comme un orchestre réglé pour sa plus belle partition, tout le monde range ses affaires, se lève, chahute alors que le prof, dans la langue de Shakespeare, tente en vain d’affirmer son autorité. C’est Vendredi, et le weekend commence !
Je tape deux bises à Laurie et à Magalie, on se rappel de se tenir au courant de ce qu’on fait le samedi après-midi et je descends à mon arrêt de bus. J’en ai à peine pour trois minutes pour arriver chez moi. En rentrant dans la maison, je file dans ma chambre. J’allume mon lecteur MP3, je pose mon sac dans un coin et je regarde mon statut Facebook, mais rien de bien passionnant dessus pour l’instant. Il est 17h30 et comme je suis toute seule jusqu’à l’arrivée de maman, je vais en profiter pour me faire couler un bain. Au moins, cette fois, elle ne pourra pas me dire que je squatte tout le temps la salle de bain quand elle a besoin d’y aller ! J’ouvre les robinets d’eau, je verse le bain moussant et je mets le son de mon lecteur MP3 en haut-parleur. Pendant que la baignoire se remplie, je me déshabille : je commence par ôter mon Pull et mon T-shirt dans un seul geste, plus simple et plus rapide, puis j’enlève mon jeans. Je dégrafe mon soutien gorge et mes seins ne sont plus comprimés : quel bonheur, les mecs ne peuvent pas comprendre ce truc. Je passe rapidement mes mains sur ma poitrine nue et je les glisse le long de mon ventre avant d’attraper de chaque côté mon string noir. Je le retire doucement en me penchant vers l’avant, les cheveux me tombent devant le visage. Toujours penchée en avant, je tire sur le bout de mes chaussettes l’une après l’autre et je les jette au sol avec nonchalance. Je suis toute nue et je ne peux m’empêcher de croiser mon reflet dans le miroir. J’aime bien mon corps, je suis pas trop complexée de ce point de vue là. Mes seins sont gros pour mon âge je trouve, mais ils sont bien rond et mes mamelons sont assez petits. Je trouve ça beau. « Je suis sûre que maman a les mêmes ! » me surprend-je à penser. Je trouve que mes jambes et mes fesses sont bien proportionnées, malgré que ce soit galère de se tordre devant la glace pour pouvoir avoir son propre avis. L’eau est bientôt arrivée à la moitié et j’en profite pour me faire un petit kif : faire ma star avec ma brosse à cheveux ! Je cherche dans ma playlist et j’improvise une pseudo danse, accompagnée d’un chant horrible recouvrant ma chanson préférée. Je m’y vois déjà, sur scène, avec les danseurs, les fans devant moi, les lumières, la musique, whaouuuu trop bien !!!
La mousse déborde quasiment, il est temps de couper l’eau. Je plonge doucement le pied droit dans le bain, la température de l’eau me brûle les orteils on dirait. Je reste debout à cloche pied en me tenant sur les rebords un petit moment, le temps que mon pied s’habitue. Puis, c’est au tour du pied gauche. Une fois mes mollets acclimatés, je dirige mon bassin vers l’eau chaude dissimulée sous cette mousse blanche. Je sens les petits chatouillis de la mousse entrer en contact avec mes fesses, puis l’eau chaude et c’est comme une petite décharge électrique qui traverse mon corps. Le contraste de l’eau et de l’air ambiant me fait frissonner le haut du corps. J’ai la chaire de poule et mes tétons pointent. Maintenant, c’est le moment que j’adore…je descends lentement encore un peu plus et mon sexe est effleuré par l’eau. Quelle sensation géniale ! L’eau chaude qui me parcoure de mes grandes lèvres jusqu’à mon petit trou écarté, en recouvrant bientôt mon pubis. Ce petit moment n’a l’air de rien mais c’est fou comme c’est agréable. Je finis par m’assoir dans la baignoire, l’eau recouvre la moitié de mes seins. Je m’amuse à replier plusieurs fois les jambes et les remous provoqués viennent s’échouer sur ma poitrine. Je me laisse glisser jusqu’à m’adosser contre la baignoire, ne restant plus que la tête hors de l’eau mais prise dans la mousse. Je pose mes mains sur mes cuisses et je me relaxe en écoutant la musique. Mes yeux se ferment, mon souffle est lent. Je suis bien là, zen. Je pense à des choses et d’autres, lorsque ma petite voix intérieure attire toute mon attention en prononçant juste un mot…Maman. Immédiatement, je repense à hier soir. Je me souviens des sensations que j’ai ressenties. Son parfum, mes mains sur le haut de son dos nu, nos seins qui se tutoyaient, le moment où elle m’a prise par les mains, tout. J’ai vu aussi qu’elle avait appréciée me prendre dans ses bras, et pas seulement comme une maman envers sa fille. Je sais pas trop quoi en penser mais inconsciemment, mes mains remontent délicatement mes cuisses, puis l’extrémité de mes doigts s’entremêlent sur mon ventre et mes paumes viennent maintenant agripper fermement ma poitrine. En tournant légèrement les mains, je laisse chaque doigt, tour à tour, escalader mes tétons déjà bien durs. — Mais qu’est-ce qui te prend, la question venait de frapper mon esprit. Maman ? Sérieux ?C’est plus fort que moi…J’ai déjà eu des fantasmes sur des filles du lycée ou des stars et je dois bien me rendre à l’évidence, que je les préfère aux garçons, mais Maman ? Oui elle est belle, oui elle est toujours là pour moi, mais quand même ! Incapable de reprendre le dessus sur ma pulsion, je fléchis les jambes et cambre mes reins. Ma main gauche caresse de plus en plus mes seins, pinçant même mes tétons, tandis que ma main droite plonge en direction de mon sexe. Je prends une grande inspiration au moment où mes doigts frôlent mes lèvres. Ma respiration s’accélère. Mon index et mon majeur font des va-et-vient contre mes lèvres. J’imagine maman, m’embrassant hier soir. Toutes deux lâchant prise dans ce baiser timide au départ, puis fougueux. Elle me caresserait la nuque avant de me serrer fort contre elle en pressant le bas de mon dos. Je lui prendrais le visage à deux mains. Après, l’une de mes mains irait palper son sein, gonflé de plaisir. Nos respirations seraient haletantes. Mon pouce titille mon clito et je commence à prendre beaucoup de plaisir. J’introduis un doigt, puis deux dans mon vagin qui est extrêmement chaud. Je frotte les parois de mon intimité, toujours avec l’imaginaire de mon baiser langoureux avec Maman. J’entends la musique mais je ne l’écoute plus, je sens le clapotis de l’eau contre mon corps, les spasmes m’envahissent et la jouissance monte*Je rentre enfin du travail et qu’elle fût longue cette journée ! Vivement que je me pose, je suis vannée. Je claque la porte de la voiture et en passant, je vais voir si j’ai du courrier. Que de la pub aujourd’hui. Je franchis le pas de la porte et j’accroche mon sac à main sur le crochet de la porte d’entrée. J’entends de la musique qui vient du couloir, certainement Manon qui écoute ses chansons. Je passe par la cuisine pour poser la baguette de pain et je prends la direction de la chambre de Manon pour lui dire que je suis rentrée. En marchant, je m’aperçois que la musique ne vient pas de sa chambre mais de la salle de bain au bout du couloir. A un mètre de la porte, je suis surprise par un cri. Je fronce les sourcils, je m’arrête, et je tends l’oreille. Un deuxième cri ! Et un troisième ! « Je suis sûre de ce que j’entends ? », il me semble, oui. Je tiens maintenant la poignée de la porte délicatement, j’hésite à l’ouvrir discrètement. « Non, j’ai pas le droit ! Va faire tomber un truc par terre pour lui faire comprendre que t’es là. ». La tentation est trop grande, je sais pas pourquoi, mais je n’arrive pas à lâcher cette fichue poignée. Un quatrième cri, encore…Je pousse la poignée de la porte.
Le plus discrètement possible, j’entrouvre la porte de la salle de bain de quelques centimètres. La baignoire est placée à droite de la pièce et tournant le dos à la porte de sorte que notre regard se dirige vers la fenêtre du mur extérieur lorsque nous barbotons dans notre bain. De l’autre côté, il y a ce que je peux voir pour le moment : le lavabo, le sèche-serviette et nos meubles. J’aperçois une chaussette traînant par terre et la buée qui recouvre totalement le miroir. La musique est plus forte maintenant que j’ai ouvert, mais pas assez pour couvrir les sons qui m’ont fait franchir cette ligne. La tête penchée en avant et l’oreille en alerte, je reconnais le clappement de l’eau contre les rebords, les flocs réguliers d’une main s’agitant avec frénésie. La respiration de Manon est à peine perceptible à cause de sa chanteuse qui s’égosille sur son refrain, quand des miaulements accompagnés de cris soudain me confirme ce que j’avais crû entendre. Mes sens sont en alertes. Entendre ma fille se donner du plaisir est une chose à laquelle je n’avais jamais pensé, même imaginé. J’essaye de me reprendre et je suis même gênée par la situation. Mais je n’arrive pas à refermer cette porte, au contraire, paradoxalement je veux en voir plus. Les images de Manon dans mes bras la nuit dernière remontent à ma mémoire....
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