Il me restait donc plus qu’un seul fantasme quand à l’abus de ma mère: la baiser pendant son sommeil.Mais j’avais trop peur que cet acte la réveille. Mais tout vient à point qui sait attendre. Ma mère devait subir une opération chirurgicale pour un problème avec sa main. Elle a eu pas mal de douleurs post-op et n’arrivait plus à trouver le sommeil. Son chirurgien lui a donc prescrit quelques somnifères pour un mois, afin de l’aider à dormir. Quand j’ai appris la situation j’étais excité comme jamais, même l’excitation de l’approche de noël ou des grandes vacances paraissaient dérisoire à côté de ça. J’allais enfin pouvoir violer ma mère sans avoir peur de la réveiller. Au bout de 2-3 jours j’ai rejoint sa chambre, elle était couchée depuis une bonne heure. J’allais même pouvoir laisser la lumière allumée pour pouvoir en profiter pleinement. J’ai soulever le drap et je suis resté là à l’admirer enfin comme jamais je l’avais vu. Elle était là devant moi, nue, magnifique pendant son sommeil. Elle dormait comme d’habitude sur le côté. Je me suis mis à quatre pattes au dessus d’elle, ma tête à commencé à tourner, mon sexe était tendu, mon cœur bâtais des records de vitesse.Je l’ai attrapé par l’épaule et l’ai mise sur le dos. Sa chatte était magnifique, je prenais tout mon temps, mon regard se posait sur toutes ses formes que je n’avais jamais pu qu’imaginer. J’étais dingue de ma mère, je l’aurais aimé endormi à jamais, pour pouvoir abuser d’elle comme bon me semblait.Je me suis mis à genoux entre ses jambes en les poussant sur le côté afin d’avoir un accès plus simple à cette boite de Pandore. J’ai plongé ma langue dans ce puits de plaisir et j’ai commencé à jouer avec son clitoris. Sa chatte a immédiatement coulé. Ce jus était enivrant comme jamais.Il était temps que je la viole enfin, réaliser mon fantasme ultime. J’approchais mon sexe, posais mon gland contre ses lèvres, et puis j’ai appuyé un peu plus. Ça y est j’étais dans ma mère, celle qui me dépucela sans le savoir. C’était chaud et doux. Le paradis sur terre. Mes mouvements lents ont commencés à accélérer. Je possédais ma mère enfin. C’était maintenant ma chienne. J’avais le torse collé contre ses énormes seins, ma main gauche tenait sa jambe droite, ma main droite sur son cou, je mis ma langue dans la bouche de ma mère, et lui roulais des pelles monumentales. Je ne pouvais pas imaginer meilleure scène de cul, même tous mes films pornos ne lui arrivaient pas à la cheville: Jeune puceau viol sa mère pendant son sommeil.....Je n’avais pas prévu de préservatifs à cause de l’excitation, je me suis donc retiré juste avant, je me suis assis sur elle au niveau de ses seins, il a pas fallu longtemps avant que j’éjacule sur son beau visage d’ange... Je suis resté allongé 10 minutes collé à elle comme un couple peut le faire après avoir baisé, puis je luis ai nettoyé le visage en faisant bien attention que rien ne puisse lui laisser douter de ce qui venait de se passer. Je lui ai remis le drap dessus, j’ai éteint la lumière et suis partis me coucher. J’ai pas dormi de la nuit, trop d’excitation..... Maman je t’aime. Les jours suivant j’ai recommencé mais cette fois ci avec des préservatifs, ce qui me permis de finir en elle, et de rester allongé entre ses deux énormes seins. Maman je t’ai violé et tu ne le saura jamais, je t’aime tellement. Un soir j’ai même été jusqu’à baiser sa bouche. Le tableau était magnifique, ma bite entrait et sortait de cette bouche pulpeuse, et je me lâchais même à quelques grossièretés: "alors sale pute, j’ai pas fais mes devoirs et alors?" "t’es une trop bonne suceuse maman" "Une grosse chienne comme toi devrait faire les trottoirs". J’aurais dût avoir honte mais non, la situation était irréelle, j’étais aux anges. J’ai profité de ma "pute" comme je l’appelais maintenant dans ma tête tant qu’il ait resté des cachets, c’est à dire 1 mois et demi. Je suis ensuite parti pour mes études à 100 km de là dans une grande ville. Ma mère venait de divorcer et vivait pleinement sa sexualité avec qui bon lui semblait, libérée de son mari, et inconsciemment de son obsédé de fils.Quand à moins loin d’avoir envie de me caser avec une fille, j’ai profité à fond de mes études et du maximum d’étudiantes. Mais aucune n’a jamais réussi à me donner autant de plaisir que quand je violais ma mère....... Suite au prochain chapitre.
