AU TOUR DE LUCIEN Branle-bas dans la villa! Chloé a insisté auprès d’Annie pour qu’elle invite Lucien le week-end suivant. Les femmes sont fébriles au grand amusement de Philippe. Annie se reproche d’avoir négligé son père ces derniers temps. Elle craint qu’encouragé par l’ambiance érotique en vigueur, il ne l’accapare. Chloé espère trouver un partenaire stable. Elle ressent le besoin d’une liaison durable. Ses fils et les futurs petits amis de sa fille ne lui offrent pas d’avenir! Nicole se fâche presque avec sa mère quand celle-ci hésite à l’autoriser à faire l’amour avec Lucien. — Tu t’es bien payée François! A mon tour de profiter des visites. Je suis sûre qu’Annie n’y voit pas d’objection. — Pas du tout ma chérie, approuve celle-ci en l’embrassant. Lucas lui, ne comprend pas que l’on fasse si grand cas du père d’Annie. Ce n’est qu’un bonhomme après tout et un vieux en plus! Il débarque vers onze heures avec un magnifique bouquet qu’il offre à Chloé, plus une boite de chocolat pour Nicole. — Je ne sais pas ce qui fait plaisir aux garçons, s’excuse-t-il auprès de Lucas. Annie lui fait les honneurs de la maison. — Oh! Il y a une piscine! Pourquoi ne m’en as tu rien dit? J’espère que Philippe me prêtera un maillot. La jeune fille sourit, elle commence à avoir l’habitude de ce reproche! — Voilà ta chambre. Celle de Chloé est juste en face. — Pourquoi me le précises tu? — Euh… Je sais pas. — Tu veux que je lui rende visite cette nuit? — Oh! Comment peux tu penser! Annie rougit d’indignation. Elle sort en claquant la porte. Lucien la rattrape dans le couloir. — Excuse moi ma chérie. Je reconnais que ma remarque est de très mauvais goût. Tu me pardonnes? Calmée, elle lui sourit. — Ah! J’entends Nicole et Lucas qui plongent. Tu veux les voir de la fenêtre de ma chambre? Il la suit sur le balcon. Les deux jeunes nagent, fuseaux roses dans l’eau bleutée. — Ah! Je comprends pourquoi tu ne m’as pas proposé d’emporter de maillot. Elle lui sourit, ravie de l’effet produit. Il l’attire contre son épaule, la main sur la hanche. — Tu te baignes nue aussi?
— Bien sûr! Il soulève la jupe pour caresser la cuisse. Une bouffée de désir grossit son sexe. Il a envie de sa fille. Pourra-t-il lui faire l’amour en cette maison pleine d’étrangers? Il lui semble que le moment est bien choisi. Ses doigts remontent vers le ventre. Annie se colle contre lui. — Vous descendez? Philippe les interpelle. Lucien soupire, c’est loupé! A regret il enlève la main. La jupe retombe sur les jambes. Chloé arrive à son tour sur la terrasse. D’un geste naturel, elle quitte sa sortie de bain et les invite d’un signe à les rejoindre. Lucien avale sec. Elle est magnifique la mère de Philippe. Quelle poitrine! Quelles hanches! Ce cul! Annie sourit devant la figure de son père. — Va te déshabiller dans ta chambre. Il y a un peignoir dans le cabinet de toilette. Quand il ressort, sa fille tourne dans l’escalier une serviette sur l’épaule. Il sourit à la vue des fesses dorées par les bains de soleils. Il débouche sur la terrasse. Les pierres sont chaudes. Les jeunes jouent dans l’eau. Chloé l’invite à se rapprocher d’elle. — Nous ferons trempette un peu plus tard, j’ai envie de vous parler. Il s’assied sur la chaise longue qu’elle lui désigne. — Pourquoi n’enlevez vous pas votre peignoir? Le soleil est très agréable. — Euh… Mon admiration est trop visible. La nudité de sa voisine et des naïades est éprouvante! — Je vous en prie. Je prends votre désir pour un compliment… Ah! Oui! Je suis flattée!… Non, non! Ne vous cachez pas, votre réaction est naturelle, je serais vexée dans le cas contraire. Lucien sourit. Son hôtesse a raison, il n’a pas à rougir d’être sensible à sa beauté. — Merci d’être indulgente, dit il en lui prenant la main. — De rien. Dites, mon cher Lucien, euh… Vous acceptez que je vous appelle Lucien? — Pas de problème Chloé. — Merci. Je disais donc cher Lucien, que j’en ai appris de belles sur votre compte. Il sursaute et lâche la main. Le sourire en coin de Chloé ne le rassure pas. — Oui, il paraît que vous ne dédaignez pas compter fleurette à votre fille. Il pâlit. Annie a révélé leurs relations. Quelle imprudence! Comment se sortir de ce mauvais pas? — Notez, poursuit Chloé qui fait celle qui ne remarque pas la gêne de son voisin, je vous comprends. Elle est adorable votre Annie. Je serais un homme, je crois que je n’y résisterais pas. C’est donc vrai? — Euh… je l’admets. Elle reprend la main de Lucien. — Je… Je ne vous fais pas horreur? s’inquiète-t-il. — Horreur? Mon Dieu non! Quelle idée! Moi aussi j’ai quelque chose à vous avouer. Je… euh… ne résiste pas comme l’exige la majorité bien pensante lorsque mes fils se font pressants. — Ah! Il porte à ses lèvres la main qu’on lui abandonne. — Nous sommes faits pour nous entendre. — C’est la réflexion que je me faisais avant votre arrivée. — Oh! Auriez vous changé d’opinion depuis? — A votre avis? Main dans la main ils contemplent les jeunes qui s’amusent dans la piscine. — Allons les rejoindre, invite-t-elle. Elle se lève. Quel cul! La verge de son voisin fait un bond. Chloé glisse dans la piscine et parle à l’oreille de Nicole et Annie qui dévisagent Lucien en riant. Que lui préparent elles? Rien de bien méchant, devine-t-il. Confiant, il plonge à son tour. Les jeunes filles se précipitent sur lui appelant les garçons à la rescousse. Même Chloé s’y met. Sous prétexte de le faire couler, ils papouillent son corps. Des mains se battent pour prendre possession de la verge qui n’a rien perdu de sa superbe. Il en profite pour caresser ce qui passe à portée de ses mains, seins, cuisses, ventres, queues juvéniles. Il s’attarde sur les fesses de Chloé qu’il reconnaît à leur volume. La jeune femme se prête au jeu. Elle ne s’écarte avec un soupir que lorsqu’un doigt fouille son vagin. Ce n’est pas dans l’eau entourée de ses enfants qu’elle veut faire l’amour avec cet homme qui l’attire. — Euh… Je crois qu’il est temps de dresser la table. Elle grimpe à l’échelle. Lucien regarde avec envie les fesses rebondies avec entre les cuisses, les poils agglutinés par l’eau qui tombe en gouttelettes. Il lui faut cette femme! Les jeunes placent les assiettes et les couverts. Lucien sourit de les voir s’activer nus, sans aucune gêne. Il sourit à sa fille. C’est vrai qu’elle est mignonne, ainsi que Nicole. On dirait deux sœurs. Le programme de ce week-end est tout tracé. D’abord faire l’amour avec Chloé. Avec un cul pareil ce doit être somptueux! Ensuite? Ben, renouer avec Annie et pourquoi pas se payer la fille de la maison qui lance des regards pleins d’envie à son sexe? Il est sûr que personne n’y verra d’inconvénient. — Vous rêvez? Il se secoue. Chloé lui présente un verre de pastis. — Merci… A votre santé! — Et à celle de nos enfants! A la fin du repas, Chloé s’essuie la bouche. — Euh… Je crois que je vais faire une sieste. Vous ne m’en voudrez pas de vous laisser débarrasser la table et faire la vaisselle. Vous venez Lucien? — Tout de… euh… oui, je vais m’allonger quelques minutes. Je vous suis. Ils rentrent dans la maison accompagnés de quatre paires d’yeux moqueurs. — Ne vous fatiguez pas trop! leur lance Philippe. Il monte les marches derrière elle, fasciné par les fesses qui chaloupent. Arrivé sur le palier elle l’attend, l’entraîne dans sa chambre et se colle contre lui. Leurs lèvres se rejoignent pour leur premier baiser. — Aah! Viens! Elle l’attire sur le lit. — Vous… vous ne fermez pas la porte? — Nous n’avons rien à cacher. Ils savent ce que nous faisons. Elle a raison, point d’hypocrisie. Ils s’enlacent et roulent sur les couvertures. Pour cette première étreinte leur impatience rend inutiles les préliminaires. Le vagin dans lequel il s’enfonce est doux, onctueux. — Aaaah! La verge qu’elle reçoit est une vraie queue de mâle, une queue d’adulte expérimenté. — Aaaah! Ils varient les positions, prenant tour à tour l’avantage pour terminer, elle à plat ventre, lui au dessus des fesses qui l’ont fait saliver toute la matinée. Il est fier de lui. Par deux fois il a senti sa partenaire tressaillir sous l’effet d’un spasme de jouissance. Il amplifie les pénétrations. Son cœur s’emplit de joie en l’entendant gémir de plaisir. Il fouille sous le ventre à la recherche du clitoris qu’il devine sensible. Le tremblement que sa caresse déclenche porte sa jouissance à son paroxysme. Il déverse sa semence avec des grognements de fauve rassasié. Epuisés, ils restent soudés l’un à l’autre, heureux de leur entente sexuelle. — Qu’est-ce qu’ils font? s’inquiète Nicole. On n’entend plus rien. Elle va entrer mais Philippe la retient. — Laisse les se reposer. La jeune fille se frotte contre lui. — Dis, tu veux pas faire la sieste avec moi? — Tout à l’heure, je te promets. Va avec ton frère. Il enlace Annie tout heureuse de l’avoir à elle seule quelques temps. Les couples se séparent dans le couloir…— Je t’aime! Annie est comblée. Son Philippe vient de lui procurer plusieurs orgasmes. Elle ne s’en lasse pas. — Il n’y a que toi qui me fais jouir comme ça! — Même pas ton père? Je croyais que lui aussi…— Oh!… Oui, admet elle après un instant de réflexion, je jouis avec lui mais pas autant qu’avec toi. — Je t’adore!… Ne voudrais tu pas le rejoindre? demande-t-il après un long baiser. — Oh! Maintenant? — Oui, avoue que tu en as envie… Ne nie pas! — Mais ta mère…— Je m’en charge. Allez viens! Elle le suit la tête basse. — Pourquoi fais tu ça? demande-t-elle. — Parce que je t’aime et que je veux ton bonheur. — Moi aussi je t’aime, dit elle en embrassant le lobe de l’oreille. Ils poussent la porte entrouverte. Chloé et Lucien dorment. Il l’enserre par derrière. Philippe s’approche. Il baise la figure de sa mère à petits coups. Elle se réveille. Il lui fait signe de rester silencieuse et l’aide à se dépêtrer des bras qui l’entourent. Lucien grogne, se retourne sur le dos mais reste assoupi. Philippe entraîne sa mère. Sur le seuil elle se retourne. Annie prend sa place sur le lit. Chloé regarde son fils un peu étonnée. — Oui, lui souffle-t-il, je le lui offre. Et puis aussi, j’ai envie de t’aimer. — Mon grand! murmure-t-elle en caressant la verge qui grossit dans ses doigts. (A suivre…)
