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La Mère de Philippe

Chapitre 9

Inceste
TOUT EST BIEN… (FIN)
Les verres vidés, ils jouissent du soleil de fin août particulièrement généreux cette année. — N’est-ce pas que nous sommes bien ici? déclare Lucien. Sylviane ouvre un œil. Qu’est ce que son père leur mijote? — Moi je suis on ne peut plus heureux, poursuit il, entre les trois femmes que j’aime le plus au monde, mes deux filles et toi ma chère Chloé. Il lui prend la main et la porte à ses lèvres. — A ce sujet, nous avons quelque chose à vous déclarer. — Je croyais qu’on attendait le retour de Lucas et Nicole. — Nous leur répèterons quand ils reviendront. Voilà, Chloé et moi… euh…— Vous allez vivre ensemble? l’interrompt Annie. — Mieux, je l’ai demandé en mariage et j’ai le plaisir de vous annoncer qu’elle accepte. Pas vrai Chloé chérie? Celle-ci tout à coup intimidée ne sait plus que dire. — Pour une nouvelle! Je veux être la première à vous féliciter. Annie se lève d’un bond et va embrasser Chloé d’abord puis son père. — Moi aussi je vous félicite, déclare Sylviane qui imite sa sœur. Philippe est un peu perturbé. Sa mère aurait pu lui en parler avant. Puis il réfléchit, Chloé est encore jeune, ses quatre enfants sont pratiquement casés, la sœur aînée est mariée, lui intègre une grande école et ne viendra à la maison qu’épisodiquement, son frère et sa jeune sœur vont bientôt s’émanciper. De quel droit lui refuser du bonheur? — Je vous félicite également... Prends garde Lucien, tu auras affaire à moi si elle se plaint. — Je propose d’ouvrir une bouteille de champagne pour célébrer cet événement. Le père d’Annie se lève pour chercher la boisson au réfrigérateur et des flûtes.
— Nous aussi, on a quelque chose à déclarer… Joseph prend son temps pour reposer son verre. — Ah! Accouche, lui lance Philippe. Sylviane sourit, le mot est de circonstance!
— Ben, nous allons nous marier. — C’est une véritable épidémie, s’amuse Annie. Ça vous est venu comme ça? — Non réplique sa sœur, tout en y pensant nous n’étions pas pressés, mais un événement précipite notre décision. — Ne nous faites pas languir, supplie Chloé. — Ben voilà Papa, tu vas être grand-père! Voilà la raison de la poitrine abondante de sa fille! sourit Lucien. Annie et Chloé se précipitent sur Sylviane : « Ma chérie… Pourquoi as tu pris du champagne… Tu devrais te reposer… tu as été imprudente tout à l’heure… etc. » — Laissez la respirer, s’emporte Joseph! Elle n’accouche pas encore! — C’est pour quand? — Pour Mai prochain, dans un peu moins de huit mois. Nous n’en sommes qu’au début de la grossesse. — J’aime bien le « nous », persifle Annie. Lucien ne dit rien. Grand-père! Un nouveau rôle à jouer. Que Chloé a eu le nez fin d’organiser cette séance de réconciliation aujourd’hui!
Le reste de la soirée se passe en prévision des deux cérémonies. Il est vite décidé de réunir les deux célébrations. — Et pourquoi pas trois? La question d’Annie prend tout le monde de court même Philippe qui n’y était pas préparé. Chloé et Lucien s’accordent pour tempérer l’ardeur de la jeune fille. — Terminez vos études, on en reparlera plus tard, affirme-t-il. Sylviane approuve. — Bon, d’accord, on attendra. Mais au fait, Papa? poursuit Annie. Où allez vous vivre Chloé et toi? — Euh, ici je pense, répond il. — Oui, Lucas et Nicole sont inscrits au lycée de Chantilly à proximité. — Alors l’appartement est libre. — Je pensais le conser… Oh! Je vois où tu veux en venir! Qu’en dis tu Chloé, et toi Sylviane? Pouvons nous laisser cette jeune écervelée maîtresse des lieux? — Cela ne s’est pas trop mal passé avec le petit logement n’est-ce pas? — Tu as raison Sylviane. C’est d’accord, vous pourrez emménager, mais je garde une chambre comme pied à terre. — Euh… Tu pourrais reprendre le petit appartement, suggère Annie. — Ah! Non! C’est ça ou rien! Annie se lève embrasser son père. — Merci Papa, Philippe et moi t’en sommes très reconnaissants. Vous verrez comme nous vous accueillerons bien.
Lucas et Nicole reviennent tard dans la soirée. Ils ne sont pas seuls. Ils présentent leurs amis, Léa et Noël à l’assemblée. Ils sont déçus. Ils espéraient que les aînés seraient couchés. Ils avaient fait miroiter un bain de minuit qui avait excité leurs jeunes amis. Sylviane et Chloé plus intuitives échangent un regard. Il est temps de leur laisser la place. — Wouah! bâille Chloé. J’ai sommeil. Tu arrives Lucien? Celui-ci aurait bien bavardé avec les jeunes mais un coup d’œil impératif le fait se lever. — Bonne nuit tout le monde. — Nous aussi nous allons nous coucher, déclare Sylviane qui entraîne Joseph. Annie tire Philippe à leur suite. — Ton frère et ta sœur n’ont pas besoin de nous, lui souffle-t-elle à l’oreille. Ils manquent d’éclater de rire en retrouvant Lucien et Chloé accoudés au balcon. — Vous avez eu la même idée que nous. — Chut! Il ne faut pas qu’ils nous aperçoivent. En bas les quatre jeunes se sont déshabillés. Léa voulait garder ses sous-vêtements. Nicole la persuade de les quitter. — Tu verras comme c’est agréable de se baigner toute nue. Les fous rires et les éclaboussures succèdent aux chuchotements. — Chut, s’alarme Lucas. Vous allez réveiller toute la maison. Les spectateurs du balcon sourient entre eux. Les enfants se calment. Les caresses remplacent les batailles. Chloé se retire et commande aux autres d’en faire autant. — Il n’y a plus rien à voir. Le lendemain, Annie et Philippe se moquent des traits tirés des deux jeunes. — On voit que vous avez fait la fête! — Il fait bien l’amour ton nouvel ami? demande Annie à Nicole… Ah! Je vois qu’il a su te satisfaire. J’en suis ravie… Je t’assure, je ne suis pas jalouse, je ne te le volerai pas…Philippe rassure de son coté son frère. Il ne lui fera pas concurrence, promet il. — Laissons les se découvrir, susurre-t-il à Annie. Nous ferons connaissance plus tard avec ces merveilles.

Un an a passé. Ils sont tous réunis pour un barbecue dans le parc. Il fait beau, ils ont quitté leurs vêtements, même Isabelle dont le ventre rond fait l’admiration de son mari. Le bébé de Sylviane, un garçon, dort à l’ombre d’un sapin. Les jeunes se poursuivent sur le gazon. Les filles qui glapissent sont rappelées à l’ordre par Chloé. — Faites attention, le petit dort! Allez faire les fous dans la piscine… Alors Isabelle? Ce n’est pas trop dur par cette chaleur? — Oh si! J’ai hâte qu’il arrive, encore trois mois à patienter. C’est une fille, j’en ai eu la confirmation avant hier à l’échographie. — Tu es content Michel, c’est ce que tu voulais n’est-ce pas? lui sourit Joseph. Ça fera le couple avec notre bout de chou. Tu te rends compte? On les marie ensemble! — Je crois que tu t’emballes mon chéri, lui dit Sylviane. Laisse les grandir! Euh… Isabelle, tu as été imprudente tout à l’heure, faire trois fois l’amour! — Tu as quelque chose à dire toi! Si je compte bien, tu t’es payée les trois jeunes, Joseph plus Michel. Il n’y a que ton père qui a été épargné. — Euh… C’est ma faute, je ne tenais pas la forme, s’excuse Lucien, Léa m’avait épuisé. — Tu m’as mal comprise, se défend Sylviane. A te dépenser ainsi, tu risques l’accouchement prématuré. Et je sais de quoi je parle, notre bout de chou s’est amené avec un mois d’avance après une soirée mouvementée. Il a évité de peu la couveuse. — Ah! Tu as peut-être raison. — Nous ferons attention, n’est ce pas chérie? promet Michel. Jusqu’à l’accouchement, il n’y aura que moi qui y aurais droit. Joseph, prends en ton parti! — A condition que ce soit réciproque, réplique son épouse. — Euh… D’accord! Nous ne devons plus prendre de risques. Michel embrasse Isabelle et s’installe à ses cotés, protecteur. — Ma chère Sylviane tu devras attendre la venue de notre héritière pour avoir le plaisir de venir dans mes bras. — C’est long trois mois! Dis Joseph? Et si nous cherchions ailleurs des compensations? On pourrait tomber sur le couple rare qui nous ôte l’envie de les revoir ces deux lâcheurs? — Veux tu te taire! Je n’aime pas vous entendre parler ainsi, même pour blaguer, supplie Chloé. — Tu as raison Chloé. Excuse moi Isabelle. Sylviane se lève pour embrasser son amie. Michel en profite pour la caresser. — Je t’y prends! Je croyais que tu prônais l’abstinence, s’exclame-t-elle. — Des caresses, rien que des caresses, c’est permis ça, n’est-ce pas ma chérie? — Mais oui mon amour, je ne peux pas tout t’enlever, sourit Isabelle.
Dans la piscine Lucas et Noël se chamaillent pour savoir celui qui a le plus baisé ce week-end. — Qu’est-ce que ça peut faire? s’énerve Annie. L’amour n’est pas une affaire de performance. Demande à Léa, Lucas, si ça la dérange que tu baises moins ou plus que Noël. L’important pour elle c’est que tu la fasses jouir. Je me trompe? demande-t-elle à la jeune fille qui lui répond par une mimique affirmative. De toute façon vous n’arrivez pas à la cheville de Philippe, alors pourquoi vous battre? Annie nage vers son copain et l’embrasse goulûment. Ses mains explorent le bas ventre. — Ah! Je le savais! Tu as encore des ressources pour moi! Tu es un amour. La jeune fille se soulève pour retomber sur la verge de Philippe. Il la tient à bras le corps. Ils progressent en sautillant dans l’eau tout en faisant l’amour. Il la coince contre le bord. Elle pose les bras sur la margelle. Libérés du souci de ne pas boire la tasse, ils s’enferment dans leur plaisir réciproque. — Alors, triomphe Annie, qu’attendez vous pour l’imiter, les garçons? Ceux-ci en sont incapables en cet instant et baissent la tête confus. Nicole et Léa se précipitent pour les consoler. Ils se caressent rejoint par Annie et son copain que leur séance d’amour a un peu calmés.
— Sortons, propose Philippe. Demain, Annie et moi débutons au supermarché du coin. Il ne faut pas se présenter avec des cernes sous les yeux! — Moi mes parents n’ont pas voulu que je trouve un job pour les vacances, affirme Noël. — Que vas tu faire? — On en a discuté avec Nicole. Peut-être on ira une semaine en camping. Le reste du temps on le passera ici. — Et toi Léa? interroge Philippe. La jeune fille s’accroche à Lucas. — Ton frère ne veut pas me lâcher. — Pas question que tu me quittes. J’aurais trop peur que tu trouve un mec mieux que moi en vacances! — Venez vous restaurer la jeune classe! invite Chloé en apportant un plateau rempli de sandwichs. Tout le monde se précipite sur la nourriture. Ils sont heureux, il fait beau et l’avenir s’annonce serein. Que demander plus à la vie ?
(Fin des aventures d’Annie la lycéenne)
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