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Ma mère, son jules, ma soeur et moi

Chapitre 1

Inceste
C’est le claquement d’un volet qui m’a réveillé … ou bien les gémissements de ma mère que le vent soufflant en rafale ne parvient pas à couvrir. C’est encore son jules qui la tringle. Elle y a droit tous les soirs … et moi aussi ! Il a la santé le Jean Claude ! Et elle a de l’appétit maman. Il faut dire qu’abandonnée par son mari, notre père à Marie et moi, qui s’est tiré aux States avec une pétasse plus jeune que ma sœur, elle est restée dix ans seule à se priver de tout pour nous élever, avant de rencontrer cet homme dix ans plus jeune qu’elle. Directeur commercial, il a épousé la secrétaire qui savait si bien le détendre avant une réunion importante.J’ai essayé de me masturber dans mon lit mais ça venait pas. Je me suis levé et je me suis approché furtivement de la porte de leur chambre. C’est bien ce que je pensais, pour les entendre aussi distinctement il fallait que la porte ne soit pas fermée. Maman y prend garde pourtant, elle est très anxieuse que nous puissions l’entendre. C’est ce con de Jean Claude qui a du se lever pour pisser et qui ne l’aura pas fermée correctement. J’entrouvre le battant. La nuit est claire, nuit de pleine lune et les volets de leur chambre ne sont pas fermés. Je les vois parfaitement dans le grand miroir. Elle est sur lui, penchée. Ses gros nichons balottent. Ses fesses montent et descendent en cadence au dessus de la trique raide. La vache, il est bien monté ! Elle cale sa tête au creux de l’épaule. Ça fait ressortir son cul et je vois distinctement son trou du cul qui se dilate quand l’énorme chibre la comble. Elle gémit, elle feule en même temps qu’il la pistonne en lui mordillant les tétons. Ma trique me fait mal tellement elle est bandée. Je l’extrais du pyj et la manuélise fermement. Un glissement à mes côtés. C’est Marie que je n’ai pas sentie venir. Sa main écarte la mienne et s’empare de ma queue. Elle adopte le rythme de maman qui justement s’accélère. Le souffle des amants devient heurté. Leurs gémissements s’amplifient. Maman part le première, elle tressaute ; ses mains se crispent sur les épaules de son jules, elle couine en essayant de réprimer les hurlements qu’elle pousserait si elle laissait aller. Le spectacle de sa jouissance joint aux bons soins de Marie me fait venir à mon tour. Ma sœur a senti mon raidissement et, se penchant vivement, elle m’absorbe dans sa bouche au moment où je gicle. Sa langue m’enveloppe en même temps que je me répands dans sa gorge. Je la sens déglutir. J’adore quand elle avale mon foutre. Elle savoure, elle déguste, c’est une vraie suceuse. Comme notre mère qui après avoir jouis prend son homme dans la bouche. J’avance un peu la tête pour la voir directement. Agenouillée sur le lit, le cul haut, la tête basse, elle nous offre sa moule ouverte et baveuse et elle reçoit dans la bouche l’hommage de Jean Claude pendant que Marie achève de me pomper.Nous nous retirons alors que les amants basculent sur le côté. J’ai juste le temps d’apercevoir maman, les joues rouges, le souffle court et la bouche maculée de sperme qu’elle pourlèche.Marie m’entraîne dans sa chambre pour que je la suce à mon tour. Ça fait partie de nos conventions : les mains, la bouche, jamais plus. Sinon c’est de l’inceste me dit Marie. Moi ça me fait rigoler. Et sucer ? Sucer c’est pas baiser ! C’est une intello Marie. Deux ans de plus que moi, hypokhâgne et pas de temps à consacrer à des mecs. En même temps le tempérament de sa mère. La première fois qu’elle m’a surpris à la reluquer sous la douche en me branlant, elle m’a foutu une baffe. La fois suivante elle m’a attirée à elle et elle m’a sucé à fond. Elle avait réfléchi. Elle a des besoins et moi aussi. Elle n’a pas envie de passer pour une Marie salope. On se rend service mutuellement et si j’en parle à quiconque elle me la coupe avec les dents. Juré craché, si elle ment elle termine au bordel !Après m’avoir pompé la première fois, elle m’a mis à l’épreuve. Je ne l’ai pas déçue. C’est une grande suceuse mais, sans me vanter, moi aussi. Il est vrai que pour la modestie, je ne crains personne. J’aime la moule ! Je la suçote, je fais rouler son petit bouton sous ma langue. Il me semble que celui de maman est plus gros. Je mordille les grandes et petites lèvres en allant au plus profond de sa grotte pour avoir tout le jus. Je me pourlèche et l’enveloppe d’un grand coup de langue, avant d’attaquer son petit trou dont j’éprouve la résistance. Le sphincter est tonique mais il s’écarte quand même devant le petit bout de langue dur qui le sollicite. Quand elle me sent baver ainsi à l’entrée de son trou du cul, ça la rend folle. Elle crispe ses mains sur ma tête. Elle me tire les cheveux. Ça fait mal mais en même temps ça m’existe furieusement de la sentir jouir. Elle jute abondamment et je lape tout. Après elle m’attire à elle et sa langue explore ma bouche. Elle aime partager, comme quand elle m’a embrassé après m’avoir sucé. Je me suis retrouvé avec tout mon sperme dans la bouche ; étrange mais pas déplaisant. Je me demande si on est pas un peu homo tous les deux … Avant de regagner ma chambre je pose ma joue sur sa chatte. J’aime sa foufoune. Une fois elle s’est rasée. Je l’ai engueulée. Il faut dire que c’est une vraie rousse et que sa toison est une pure merveille. Le lait et le miel de la Bible ! Quand on a eu fini notre petite affaire, elle m’a fait un petit bisou, m’a donné une claque sur les fesses et hop, au lit ! Demain est un autre jour et on a du boulot.
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