A 16 ans ma mère s’est retrouvée enceinte de moi. C’est très jeune. Elle a trouvé un gentil garçon qui est devenu mon père adoptif. Il a une sœur de l’âge de ma mère. Malheureusement mon mère a perdu son mari dans un accident, je n’avais que 17 ans. Coté finance elle est tranquille: l’assurance du responsable lui règle une bonne somme. Ma tante vit avec nous, elle ne travaille pas très loin. Je mène la vie de tous les jeunes de mon âge: je cherche une fille pour baiser. Un soir en rentrant assez tard je surprend ma tante qui embrasse ma mère sur la bouche: elles sont nues sur le divan. Je fais le moins de bruit possible pour ne pas déranger leurs ébats. Il n’empêche que rien que de les avoir vu en un éclair m’a fait bander. Je me couche vite, tout nu, ma bite à la main. Je me branle en les imaginant dans des positions pas possibles. Le lendemain matin je vais déjeuner: elles sont comme d’habitude. Ou j’ai rêvé ou elles me cachent leurs amours. Je le comprendrai fort bien: ma mère est sans homme depuis plusieurs année. Elle peut bien prendre du plaisir. Elle doit même se masturber. Je suis dans le brouillard. Au repas du soir, ma tante dit à ma mère:— Il faut qu’on lui parle.— Pourquoi, demande ma mère.— je crois qu’il nous a vues hier.— Et alors ce n’est pas un crime.— Non, ce n’est pas courant de voir sa mère et sa tante se faire l’amour.Je suis enfin certain de ce que j’ai vu. — Et alors, reprend ma mère, que va-t-il faire.— Vouloir participer sans doute.— Mon fils nous baiser: ce n’est pas sérieux.— Si je te le dis.La conversation s’arrête là. Personne ne me demande mon avis. C’est vrai que j’ai envie de baiser ma tante. Ma mère est très belle, bien faite et sexy. Je la regarde non plus en fils, mais en homme. Je la veux avec ou sans sa sœur.Elles se lèvent pour ranger. Je reste songeur assis. Ma tante vient me voir, m’embrasse sur la bouche. Sa langue vient dans ma bouche. Elle me fait bander. Elle le voit bien: elle pose sa main là où il faut, me masse un peu, cherche la fermeture de mon pantalon, sort ma bite de bonne taille, appelle ma mère:— Regarde la queue de ton fils, elle en vaut la peine. J’ai envie de la sucer.— C’est vrai qu’il est bien monté, comme son père à l’époque.— On se le paye?Ma mère a du péter un plomb:— Bien sur qu’on se le paye, il est le seul qu’on ait sous la main.Elle vient remplacer sa belle sœur sur ma bouche: elle m’embrasse longuement. Je serre les dents, je ne voudrai pas qu’elle m’embarque vers je ne sais qu’elle destination. Elle insiste tellement que je laisse sa langue venir entièrement dans ma bouche. Le plus fort est que je bande encore plus. Elle n’a que 34 ans, belle, aguichante. J’ose lui demander qu’elle est sa vie sexuelle depuis le départ de mon beau-père. Réponse claire: je me branle et depuis peu nous baisons avec ta tante qui aime les femmes. Pour me prouver ce quelle dit ma mère embrasse ma tante sur la bouche. En attendant je suis avec ma bite bandée dehors. Je me touche un peu. Scandale: elles me veulent, elles veulent que je participe à leur baise. Cette fois ça se passe dans la chambre maternelle. Elles se déshabillent chacune. Je vois enfin de près le corps de ma mère. Elle me plaît comme femme. Ma tante est aussi bien faite qu’elle. Les voila qui viennent ensemble me mettre tout nu. Cette fois j’ai un peu honte de me montrer ainsi à ma mère. Pourtant c’est bien elle qui me prend la bite à plein main, commence une bonne masturbation. Je sens que je vais jouir. Elle arrête tout. C’est au tour de ma tante de me branler. Elle est au moins aussi forte que ma mère. Sa main me serre d’avantage, ceci expliquant cela. Elle aussi arrête: j’aurais tant aimé jouir. Elles s’embrassent encore. Cette fois elles vont bien plus loin que ce baiser. Elles se caressent les seins, les fesses et surtout leurs mains vont se mettre dans leur fente. Je vois les mains bouger en cadence: elles se branlent. Cette fois je n’en peux plus: je me branle en les regardant. Elles me surveillent du coin de l’œil. J’ai donc la permission de me branler. J’en profite pour prendre ma bite à pleine main. Je la fais descendre et monter d’abord lentement et de plus en plus vite. J’astique ma pine nickel. Enfin je jouis. Mes jets vont sur ma mère. Elle ne réagit pas. Entraînée par ma tante, elle se couchent se mettent en 69. Je peux voir la langue de ma tante sucer le clitoris de ma mère qui est dessus. Soudain elle sort un gros godemiché pour le planter dans le cul maternel. Je ne pensait pas qu’elle aime se faire mettre dans le cul. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Quand elle jouit elle pousse un cri. Ce spectacle me fait bander. Elles me voient. Enfin je vais pouvoir participer à la fête. Elle se séparent. Ma mère me dit qu’elle aime bien se faire mettre partout. — Viens baiser ta mère.— Maintenant— Oui: tu bande bien, Baises moi.Ce n’est pas tous les jours qu’une mère demande une chose pareille à son fils. Je pouvais refuser. Ce serait désobéir à sa mère. Je me mets entre ses jambes. Elle me prend la bite et la dirige vers son con. Elle est tellement mouillée que j’y rentre plus facilement que je ne le pensais. Une fois dedans quel délice: j’étais vierge, je suis enfin un homme. Elle jouit plusieurs fois, c’est elle qui me le dit. Maintenant elle se tourne en levrette— Mets moi la au cul.C’est ma tante qui dirige ma queue sur l’anus maternel. C’est encore elle qui me dit comment faire pour faire jouir ma mère. Elle me demande surtout de ne pas jouir dedans: elle me veut aussi dans son cul. Je passe l’anus pour me retrouver au fond du cul. Je vais et je viens dans cet antre de plaisir. Ma mère hurle à chaque jouissance. Je sors d’elle à son grand regret. C’est au tour de ma tante: elle se mouille bien l’entrée, je n’ai pas besoin d’aide pour la lui mettre. Son anus plus étroit me donne d"avantage de sensation que celui de ma mère. Ma tante jouit aussi plusieurs fois. Je ne peux plus me retenir: je jouis dans ce cul.Ma tante me dit ne pas aimer de bite dans son con, mais adore se faire sodomiser. Je ne comprends rien aux besoins des femmes. Nous passons la nuit sur le même lit en dormant. Au petit matin je suis réveillé par les deux femmes qui sont en 69. Cette fois le godemiché est dans le cul de ma tante.Nous vivons pratiquement nus dans la maison, surtout au moment des repas où souvent j’ai comme plat un con devant la bouche: c’est agréable de sucer soit sa tante, soit sa mère
