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Ma mère toute à moi

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Le résultat de ma petite expérience était allé au-delà de ce que j’espérais. Mon père était complètement tombé dans mon jeu et avait fait subir à ma mère le fantasme que je lui avais livré sur le net.
Mon père ne s’était pas contenté de baiser la bouche de maman cette nuit là, ils avaient continué à discuter après, sans que je comprenne leurs paroles, mais quelques temps plus tard, ils avaient remis ça de manière plus conventionnelle.
Mon père la prit fortement et longuement, la faisant gémir pendant de longues minutes. Le lendemain matin je croisais maman la mine défaite, qui me demanda gênée si j’avais bien dormi. Prenant mon air le plus innocent possible je lui annonçais m’être endormi à peine allongé et avoir dormi comme une souche. Elle parut soulagée et vaqua aux taches ménagères en chantonnant.
La journée se passa tranquillement, mon père profitant du beau temps pour bricoler dehors. Je me retrouvais seul à l’intérieur avec maman. La douceur de la température aidant, ma mère portait une jupe légère au genoux et un petit boléro moulant sa poitrine. Je pouvais à loisir admirer ses jolies jambes et ses fines chevilles alors qu’elle regardait une niaiserie quelconque à la télé.
Voyant qu’elle commençait à s’assoupir je m’approchais du canapé prétextant être intéressé par le programme et m’asseyais à ses cotés sur le canapé. Quelques minutes plus tard elle piquait du nez et commençait une sieste réparatrice. pas étonnant vu la nuit qu’elle avait passée..
Après m’être assuré de la profondeur de son sommeil, je me rapprochais doucement d’elle, le cour battant, et admirait de beaucoup plus près ses jambes, ses genoux ainsi que le bas de ses cuisses que sa position dévoilait. Et si sa jupe remontait un peu plus ?....Saisissant l’ourlet entre deux doigts, je soulevais délicatement le fin tissu découvrant plus haut ses jolies cuisses.
Je penchais la tête plongeant mon regard plus haut vers la fourche admirant la finesse de sa peau et découvrant la dentelle délicate de son dessous. Blanche, sa culotte est virginale mais transparente. Je peux apercevoir les poils fournis sur son pubis mais également au niveau de son sexe. Maman ne se fait pas le maillot ça c’est une certitude. !!! Va falloir que cela change. Mon deuxième challenge est là. Convaincre mon père de lui raser la chatte .
Mon père justement à l’air d’être prêt à rentrer. Je lâche à regret sa jupe et m’éloigne doucement à l’autre extrémité du canapé. Je suis plongé dans mon feuilleton alors qu’il arrive dans la pièce.
La voyant somnolente, il la secoue pour la réveiller lui conseillant d’aller faire la sieste dans un endroit plus confortable. en sa compagnie !!! Sieste crapuleuse en perspective. Maman hésite, me sachant là, mais je profite de la fin du feuilleton pour leur annoncer que je sors voir un copain, et que je reviendrais pour le diner.
Alors qu’ils partent tous les deux vers leur chambre, je sors, fais le tour du pâté de maisons et reviens discrètement vers notre pavillon. Après avoir jeté un coup d’oil par la fenêtre, je rentre sans faire de bruit. Si jamais je suis surpris, je pourrais toujours prétexter un objet oublié. Je marche à pas de loup jusque vers leur chambre tendant l’oreille. Je les entends très distinctement, et pour cause, se croyant seuls ils ont laissé la porte grande ouverte .j’écoute.
— " Enlèves tout que je te vois bien pour une fois ! Tu m’excites.
— Fermes le volet.

— Pas question, je veux te voir. Allez ! "
Je l’entends se déshabiller, sans un mot, obéissante. Je m’approche encore, et suis devant la porte, de là j’ai une vue de leur lit via le miroir de l’armoire, sans qu’ils ne soupçonnent rien. Je les vois, je LA vois.. je vois ses fesses pleines et bien fermes, bien fendues. Elle est bandante.Fébrile, il lui enlève lui-même le boléro et le soutif. Je ne vois pas ses seins, elle est de dos, mais mon père les lui saisit et les caresse fort. Elle gémit.
  " Suces-moi comme cette nuit. "
Je le vois, lui, son sexe tendu n’est pas si impressionnant que ça. Je suis plus gros et plus long que lui.
Elle se penche, se met à quatre pattes me montrant encore mieux sa jolie croupe, et commence à le prendre dans sa bouche. Rapidement le manège reprend. Il s’enfonce en elle, lui baisant la gorge. Elle bave, hoquète, ahane devant l’intrusion mais ne se dérobe pas. Pour assurer une meilleure prise il se relève, la plaçant à genoux, la tète à hauteur de son sexe et recommence à lui enfourner sa bite en bouche. La bave gluante lui sort de la bouche, mélange de salive et de pré sperme. Ses yeux pleurent devant l’intrusion profonde. Maman est maintenant de profil, je peux distinguer enfin ses seins. Je suis surpris: ses aréoles sont rétrécies et ses bouts tellement bandés que ses tétons ont palis, preuve que l’étouffement de la bite l’excite. Je meurs d’envie de les prendre et les serrer entre mes mains.
Mon père continu son va et vient, s’enfonçant à fond dans sa bouche. Elle a ses 16 cm dans la gorge. Il commence à sentir les prémices d’une jouissance et il se retire. Il ne veut pas jouir tout de suite, pas comme ça, il veut autre chose, sa chatte. Il l’allonge lui caresse les seins en passant, et descend vers son ventre. Il enfonce deux doigts d’un coup. Elle crie :
— " OOHH !!! "
Elle est trempée, mon père lui fait remarquer :
— " Tu mouilles cochonne. "
Il retire ses doigts, se penche vers elle et l’enfile d’un coup !!!
— " AAAAHHHH !!! "
Elle crie, elle se lâche, elle jouit. il la pilonne en force, à fond. Leurs pubis s’entrechoquent violemment en claquant. Elle n’arrête pas de gémir partie dans son orgasme, dévastateur, qui m’en apprend encore beaucoup sur elle. Elle aime vraiment la baise hard et violente et aime se faire défoncer. Mon père arrive au bout de sa résistance, il va jouir, se retire brutalement, se place au dessus d’elle, et se vide sur son visage. Trois, quatre giclées la frappent sur la bouche, le nez, les cheveux. Elle est couverte de foutre, qui coule maintenant, lui tombant dans les yeux, la rendant aveugle. Il rentre son sexe dans la bouche qu’elle ouvre docilement, lui nettoie son vit qui se dégonfle et mollie doucement..
C’est fini., il faut que je file vite. j’ai jouis sans me toucher.
(à suivre.)
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