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Merlin, l’enchanteur ?

Chapitre 2

Zoophilie
Les battements de mon cœur fouettaient mes tempes et résonnaient dans ma tête tel un étourdissant tambour. Complètement tétanisée, alors que je m’attendais à tout moment à être découverte dans cette position des plus inconvenables, et surtout contre nature, j’entendis la voix de mon mari me parvenir du bout du couloir.– Chérie ? Tu es là ?
Malgré la panique qui me serrait la gorge jusqu’à l’étranglement, je lançai un oui le plus anodin possible tout en essayant désespérément de me libérer de l’étreinte Merlin qui, lui, ne saisissait absolument pas l’urgence de la situation. Pire même, aux tressautements irréguliers de son sexe qui agitaient encore mon ventre, je réalisai soudain dans un étrange mélange d’affolement et de plaisir qu’il continuait à déverser en moi sa semence impure par saccades. Étourdie par ces sensations, je percevais le souffle chaud et rapide de ses halètements courir sur mon dos, et aussi la chaleur de son ventre contre mes fesses. Mais toute ma conscience se focalisait sur ce sexe improbable qui restait planté en moi tel un harpon. Il me semblait ne jamais vouloir dégonfler, comme si le chien considérait ne pas en avoir encore terminé avec moi. Ou comme s’il voulait montrer, en prolongeant ainsi la saillie pour m’inoculer jusqu’à la dernière goutte de son jus. Que j’étais maintenant sa femelle, et qu’en conséquence, il n’envisagerait pas de libérer la place avant d’être certain d’avoir complètement terminé sa besogne. Pourtant, il fallait bien que je me débarrasse de lui, et sans tarder ! Mais que faire ?
–On est revenu ! Je prends juste les clefs du garage pour y décharger la télé. Tout en entendant mon mari farfouiller parmi les différents trousseaux, je priais avec l’ardeur du condamné pour qu’il ne lui traverse pas l’esprit l’idée de venir me faire un petit bisou avant de repartir. Mais non, ouf ! il n’en fit rien, et la porte d’entrée claqua bientôt à nouveau. Aux aguets, je tendis l’oreille quelques instants. Aucun bruit… Soulagée du bref répit qu’il m’était accordé et de la dernière chance de me sauver, je lançais mes deux bras derrière moi pour attraper les cuisses arrière de Merlin. Désespérée, je tentai alors en vain de le repousser tout en avançant en même temps mon bassin. Mais impossible de le faire bouger même d’un millimètre ! Il restait collé, comme si sa tige était soudée aux parois de mon vagin. J’insistais. Je luttai. Je le poussais de toutes mes forces et à chaque tentative infructueuse, je sentais peser encore d’avantage le poids de chacune des secondes qui me rapprochaient inexorablement de l’instant fatidique de ma perte. Allez… murmurais-je, putain… fais un effort…
Mes bras tendus devenaient douloureux et j’étais à bout de force. Comment était-il possible qu’il pût me pénétrer et qu’il soit maintenant impossible de le faire sortir ? Les muscles brûlants, la joue écrasée contre le sol, je ne savais plus quoi faire. J’étais presque en train de me résigner, d’abandonner. Mon cerveau tournait à plein régime mais je ne parvenais pourtant pas à réfléchir de manière rationnelle. Peut-être pourrais-je dire que le chien avait abusé de moi ? Que j’étais à quatre pattes pour ramasser quelque chose qui avait glissé sous le canapé ? Qu’il m’avait sauté dessus et que dès avant avoir pu réagir, il avait déjà pris possession de moi ? Non, ridicule… qui pourrait bien croire une chose pareille ? Qui s’est déjà fait violer par un chien ? Bon, mais sinon, comment dire et assumer que je voulais juste qu’il me lèche ? Et que les choses ont ensuite dérapé… J’étais dans une impasse et le piège de ma lubricité allait bientôt se refermer sur moi.
Avec l’énergie du désespoir, je réitérais mes tentatives. Et soudain, alors que je n’y croyais plus, ce fut dans un bruit de succion et de ventouse qui me parut emplir toute la maison, qu’il extirpa enfin son sexe. Et ce, aussi sauvagement qu’il l’avait introduit tout à l’heure, sans aucun égard ni délicatesse pour moi, sa femelle, et encore moins pour le trou désormais distendu dans lequel il venait de se soulager sans vergogne de toute sa semence. Alors que son nœud avait forcé et dilaté ma chatte à l’extrême pour se frayer un chemin vers l’extérieur, j’avais du mordre mon point pour ne pas crier tant mon intimité s’était écartelée au passage de son pieu.
Aussitôt après s’être retiré, profitant de mes quelques instants d’hébétude, il se précipita à nouveau pour lécher avec application mon entre-jambe. Creusant les reins, soulagée qu’il m’eût enfin libérée de son sexe, je goûtais avec plaisir les douces sensations que me procurait sa grande langue qui s’insinuait, me semblait-il, jusqu’à l’intérieur même de ma chatte. Toujours à quatre pattes, tiraillée entre l’excitation qu’il était sur le point de faire renaître en moi et l’urgence absolue dictée par le retour imminent de mon mari et de mes beaux-parents, je tendis un bras tremblant pour vers mon peignoir qui gisait sur le sol, profitant néanmoins encore de quelques ultimes coups de langue.
Sans même un regard pour le chien, je me relevai et sans non plus réfléchir, courus toute nue jusqu’à la salle de bain. Ce n’est qu’une fois la porte verrouillée derrière moi que je me rendis compte à quel point mes jambes étaient cotonneuses et prêtes à se dérober sous moi. Toute tremblante, je dus même prendre appui de mes deux bras sur le lavabo afin de ne pas m’écrouler. Dans ma confusion, j’étais totalement incapable d’analyser les raisons objectives de la panique qui faisait ainsi trembler chacun de mes membres. Était-ce le fait d’avoir bien failli être surprise ? Ou était-ce plutôt parce que je prenais pleinement conscience de ce que je venais de faire ? En tout cas, la semence de Merlin, preuve irréfutable de mon forfait, de ma lubricité, coulait en de longs filets transparents le long de mes cuisses, et je me sentais à la fois sale et souillée. Et aussi incroyable que cela pût paraître, terriblement excitée. C’était comme si ce cleps avait révélé en moi les pulsions les plus viles, les plus inavouables. Je me sentais prête à tout. J’aurais voulu qu’on me baise, là, tout de suite, sans ménagement, qu’on abuse de moi. J’étais dans un tel état que n’importe quelle queue aurait pu faire l’affaire, celle de mon mari ou celle d’un autre. J’aurais même accepté celle de mon beau-père pourvu qu’il me prenne sauvagement à quatre pattes.
Finalement, lorsque je sortis de la douche, tout le monde était rentré. Ma belle-mère préparait le repas dans la cuisine pendant que mon mari et son père discutaient des aménagements nécessaires pour caser la nouvelle télé. Eh ben oui ! me dis-je, il ne fallait sans doute pas en prendre une aussi démesurée ! Enfin bref ! Au passage, je remarquais que Merlin, allongé sur son tapis dans l’entrée, dormait paisiblement…
La vie reprenait donc son cours, du moins ce fut le cas jusqu’au soir…
En pleine lecture, allongée sur le ventre au-dessus des couvertures sur le grand lit de notre chambre, je ne portais qu’une petite nuisette qui découvrait la moitié de mes fesses. Lorsque Louis, mon mari, me rejoignit, il s’installa à côté de moi et caressa mes jambes en les effleurant tout doucement.–Dis-donc, me lança-t-il, tu n’as rien remarqué ce matin ?–Non, quoi donc ?–Eh ben… quand je suis remonté et que tu étais encore sous la douche, Merlin était dans le salon et il avait une putain de gaule…
–Ah ? répondis-je, soudain sur mes gardes. Euh… ben non, je n’ai rien vu moi…–Hum… Peut-être que c’est l’odeur de ta chatte qui l’a mis dans un tel état… A ces mots, il glissa discrètement une main sous ma nuisette et entreprit de me caresser langoureusement les fesses.–Déconne pas ! Tu crois vraiment que c’est possible ça ?–Bien sûr ! Pourquoi pas ? Et peut-être même que tu as fait des trucs pour qu’il soit autant excité…Je trouvais troublante la coïncidence qu’il me parlât de ça le jour même de ma première expérience car nous n’avions auparavant jamais évoqué ce sujet. J‘aurais pu lui dire qu’il était dingue… que je trouvais la chose dégueulasse et ainsi couper court. Mais au lieu de cela, aiguillonnée par le fait que ce soit lui qui aborde la chose, et de plus, dans des termes aussi directs, je ne pus nier et encore moins refouler une envie vicieuse qu’il aille plus loin.–Comment ça ? dis-je en tournant la tête de son côté avant d’ajouter d’un air ingénu : tu imagines que j’aurais pu faire des trucs… sexuels ? Avec un clébard ?–Oui… pourquoi pas… dit-il en saisissant ma main pour la poser sur son entre-jambe où je sentis immédiatement sous l’étoffe du pantalon la bosse explicite que formait son sexe.–En tout cas, petit cochon, on dirait que ça t’excite d’y penser !–Regarde… dit-il en baissant son froc pour exhiber son membre fièrement dressé.–OK… Je vois… dis-je en prenant sa queue en main. Et tu aimerais par exemple si je te disais que j’étais dans le canapé du salon, en peignoir, et que je ne portais pas de culotte ? Que les pans du peignoir n’arrêtaient pas de glisser sur mes cuisses…–Pourquoi pas… C’est un bon début. Et le chien était là ?–Oh oui, et il me matait tu sais… Alors pour m’amuser, j’ai ouvert un peu les cuisses et… –Ouh ! Tu m’excites là… petite cochonne… Continue !–Alors… Tu pourrais imaginer que j’ai commencé à me caresser devant lui… et qu’il avait l’air très intéressé par ce que je faisais…
Tout en parlant, je branlais lentement sa queue gonflée à bloc et j’étais éberluée, mais secrètement ravie, que tout cela pût l’exciter. Volontairement, je restai silencieuse, attendant qu’il m’invite ou pas à poursuivre ce qui pour lui était un jeu et pour moi une sorte de confession. –Et t’as pas eu envie qu’il te lèche ?–Bien sûr que si… répondis-je précipitamment, ça te choque ?Il glissa une main entre mes jambes et palpa ma fente, et constatant à quel point j’étais humide, il enchaîna :–Oh non ! Ça me plaît même… Et t’étais autant mouillée que maintenant ?–Non, encore plus mon chéri… répondis-je avec un petit sourire à la fois malicieux et provocateur.
Le fait de tenir entre mes doigts un sexe dur, conjugué au souvenir de ce que j’avais fait le matin même et surtout au plaisir que j’avais alors éprouvé, me portait dans un état de lubricité tel que je me sentais déjà prête à me plier sur le champ aux plus viles pulsions. Mille pensées, toutes plus perverses les unes que les autres, agitaient mon esprit en ébullition. Enivrée de mes bas instincts, j’imaginais que mon mari faisait entrer Merlin dans la chambre et qu’il me demande avec autorité de palper ses couilles. Qu’il m’ordonne ensuite de caresser son fourreau jusqu’à en extirper sa tige. Qu’il me traite aussi de vicieuse, de salope même, tandis que sous ses yeux luisants de vice, obéissant docilement à ses directives, je branlerais le chien jusqu’à le sentir bien dur sous mes doigts. Je l’imaginais m’exhortant à aller plus vite… à aller jusqu’au bout… jusqu’à ce que le chien commence à cracher sa semence…
–Alors, tu étais donc sur le canapé, reprit-il, les jambes écartées ?–Oui, c’est ça ! approuvais-je avec un hochement de tête.–Et qu’est-ce qu’il a fait ? Il t’a regardé te caresser ?–Oh oui… Mais… Tu sais, j’étais très… excitée… Il me fallait autre chose…
Je sentais une fébrilité grandissante dans la voix et les manières de mon mari, et je n’étais d’ailleurs pas, moi non plus, en reste. De raconter tout cela  m’échauffait les sens à un point inimaginable et devant l’évidence de l’excitation de Louis à ces évocations, mon état frisait l’hystérie. J’avais déjà atteint un point de non-retour. J’écrasai alors et frottai son gland contre mes aréoles aux pointes dressées Puis ce fut avec une délectation qui m’arracha un gémissement que j’accueillis les deux doigts presque rageurs qu’il enfonça dans ma chatte. De son autre main, il saisit alors l’un de mes seins et le malaxa avant de poursuivre :–Tu l’as appelé pour qu’il vienne près de toi ?–Oh non ! J’ai pas eu besoin… Tu sais… Il a compris tout de suite ce que j’attendais de lui… J’étais prête à poursuivre, mais il me coupa la parole en fouillant plus énergiquement mon ventre.–Ah ! Je suis sûr que tu n’attendais que ça… Non ? Qu’il vienne et te renifle comme une femelle… hein ? –Oh que oui… répondis-je en repensant au contact électrique de cette truffe contre mon intimité. J’étais curieuse… j’en mourrais d’envie… je voulais juste voir ce que ça me ferait…
Tandis que ses doigts allaient et venaient énergiquement entre mes lèvres détrempées, je luttai toujours contre l’envie folle et presque obsédante de lui demander d’aller chercher le chien sur l’instant. En fait, je fantasmais surtout à l’idée qu’il le fasse de lui-même et qu’il m’offre à l’animal. Comme si le fait de me réfugier derrière la perversité de mon mari pouvait me dédouaner de la mienne. Comme si me soumettre à ses ordres garantirait à ma bonne conscience la possibilité de rester sauve. J’étais pourtant prête à tout, y compris à subir les pires affronts et les pires insultes. Je rêvais aussi de dire à Louis que non, qu’il ne fallait pas. Lui demander d’arrêter et me mettre pourtant à quatre pattes. Jouer à l’effarouchée, dire sans conviction que je ne pouvais quand même pas me laisser prendre par un chien et pointer pourtant mon cul pour l’offrir à l’animal. Dire non tout en espérant ardemment que le chien vienne sans tarder me couvrir. Le supplier tout en gémissant de plaisir sous la saillie.
Tout à fait consciente de ma déraison et du surtout du caractère dérangeant de mon désir, je préférai le taire et poursuivre notre petit jeu pervers et cérébral. Aussi, pour guider mon mari dans ses derniers retranchements, j’ajoutais d’une manière provocatrice :–Alors ? Ca te fait quoi d’imaginer ta garce de femme écartant les cuisses devant un clébard ?–Hum… Putain, c’est dégueulasse… mais ça m’excite à mort !–Ah oui ? Et c’est quoi qui t’excite le plus ? Qu’il m’ait léchée ou que j’ai aimé qu’il le fasse ?–Les deux… petite cochonne.–Et si je te disais qu’ensuite j’ai écarté avec mes doigts les lèvres de ma chatte pendant qu’il s’occupait de moi...–Hum… Dégouttant… J’adore ! J’imagine que ça t’as plu et que tu t’es trémoussée en couinant sous sa grande langue…–Oui… T’as raison… c’est vrai… C’était délicieux… et j’avoue qu’il a même bien failli me faire jouir à force de me lécher ainsi dans les moindres recoins… mais ce con s’est arrêté juste au mauvais moment ! Et… Je ne savais plus quoi faire moi…–Qu’est-ce que tu voulais ? Qu’il continue ? Ou… qu’il te fasse autre chose ?–Comment ça ? De quoi aurais-je pu avoir envie ? répondis-je en jouant à l’ingénue et en glissant aussitôt son gland dans ma bouche. –Ben… je sais pas moi… qu’il te baise par exemple ?–Hum… au départ… non, articulais-je en sortant un peu son sexe de ma bouche avant de l’enfourner à nouveau.
Je le laissai encore une fois volontairement mijoter quelques instants en m’appliquant à le sucer de manière la plus provocante possible avant de continuer :–Tu veux que je te montre ce que j’ai fait ?Sans attendre de réponse de sa part, je me dégage de lui, ôte en vitesse ma nuisette, et m’installe à quatre pattes sur le lit. Puis écartant mes fesses de mes deux mains, je lui lance :–Tu vois… là… c’est comme ça que je me suis mise…Et ce faisant, tandis que je revivais mentalement la scène, je ressentais le besoin impérieux, presque douloureux, d’être possédée, brutalement, de manière animale, voir bestiale. Et comme si mon mari avait lu dans mes pensées, il renchérit :–Hum… Quelle salope ! Tu t’es mise à quatre pattes devant lui en espérant que ça l’exciterait de te voir comme ça… hein ?–Oh oui… et ça a marché… il a recommencé à me lécher… c’était trop bon… j’adorais sentir sa langue passer et repasser sur mes trous…–Ah ! Je suis sûr que t’étais tellement excitée que n’importe quel mec aurait pu te baiser… Hein ? T’étais même prête à te taper un chien…–Oh oui… je m’en foutais… En fait non, je crois que ça me plaisait encore plus même… Je me demandais juste si c’était possible…
Mon mari, que cette dernière remarque avait semblé affoler au plus haut point, se précipita pour se positionner à genoux derrière moi. Puis, saisissant fermement mes hanches, il pointa son sexe tout contre ma fente et en écarta les lèvres de son extrémité. Même si j’avais une envie folle de m’empaler immédiatement sur son pieu si délicieusement dur, je n’en fis rien et ondulai langoureusement du bassin. Jugeant qu’il n’était pas encore au bout de son excitation, je repris :–Tu veux vraiment savoir la suite ?–Oh oui… Vas-y ! Raconte…–OK ! Alors voilà… Soudain, il a grimpé sur moi… Ca m’a surprise… mais aussi terriblement excitée… Tu te rends compte,il essayait de me prendre ! Il s’est mis direct à donner des coups de reins frénétiques… et sa queue… hum… sa queue heurtait et glissait sur mon cul… puis j’ai senti son jus… il jouissait sur moi… et ça me plaisait… de le sentir gicler… et couler sur moi… sur mes fesses…–Ah ! Oui ! Petite salope, voilà ce que c’est que d’exciter un clébard ! De lui tendre son cul ! s’exclama-t-il en plantant enfin d’un seul coup sa queue en moi, normal qu’il essaye de te baiser après ! Et je suis sûr qu’il a fini par te la foutre sa bite, hein ?–Oh oui ! Qu’est-ce que je pouvais faire d’autre… Hein ? J’attendais que ça moi ! Je le sentais cogner contre ma fente… Il était tout prêt… Hum… Oui ! Vas y ! C’est-ça ! Continue ! Baise-moi comme lui ! Voilà ! Il s’est enfoncé d’un seul coup… comme une brute… Oh oui ! Il s’est mis à me limer à toute vitesse… c’était trop bon ! Trop excitant d’être traitée en femelle...
Me tenant rageusement par les hanches, Louis me besogna enfin avec toute la brutalité que j’attendais. Ses couilles claquaient contre moi et mes mamelles étaient secouées dans tous les sens à chacun de ses assauts. Voilà, me dis-je, c’est comme ça que j’ai envie ! Continue ! Ne t’arrête pas !
Nous nous laissâmes alors emporter par une vague lubrique qui semblait ne plus avoir aucune limite, un peu comme une onde qui se propage en ne rencontrant sur son passage aucune résistance, aucun obstacle. Tout à sa fougue, il lâcha entre deux gémissements qu’un de ces jours il me ferait sauter comme une chienne en chaleur. Et moi, ne rêvant que de cela, je l’encourageais et creusait au maximum mes reins pour lui tendre ma croupe, exactement de la même manière que je l’avais fait pour Merlin. Son sexe qui me pistonnait me faisait perdre tout contrôle, toute retenue. Complètement désinhibée, serrant convulsivement entre mes doigts repliés les draps du lit, j’allai même jusqu’à lui susurrer d’aller chercher Merlin, que lui saurait me baiser comme une vraie femelle, que je voulais sentir sa queue se frotter sur moi, sur mes fesses, sur ma chatte. Mais tout à son délire, il ne réalisa pas à quel point ma demande était sérieuse, ni que j’en mourrais littéralement d’envie et que mes mots dépassaient largement le cadre de notre échange pervers. Cependant, alors qu’il me besognait toujours plus fort, il envisagea tout de même la chose en paroles ce qui, entre parenthèses, me rendit complètement dingue. Je sentis ses mains m’écarter outrageusement les fesses et l’entendis me dire que oui, qu’il me ferait lécher puis sauter par un chien puisque j’aimais ça. Que oui, il lui offrirait ma chatte de vicieuse pour qu’il la remplisse de foutre. Ah ! Je jubilais ! Je jouissais même à la pensée perverse de me faire prendre devant mon mari, à la pensée de l’imaginer écarter mes fesses et présenter mes orifices palpitants à un animal en rut.
Excités comme nous l’étions, nous ne tardâmes guère à jouir tous les deux dans une débauche de plaisir et de gémissements. Puis, ahurie, et maintenant un peu honteuse de ce que j’avais eu l’audace de lui demander, je n’osai plus bouger et restai comme ça, le cul en l’air, tandis que sa queue commençait à dégonfler peu à peu en moi.–Putain ! lança-t-il le souffle encore court, tu m’as drôlement excité avec tout ça… Bon en tout cas, la seule chose dont on est sûr, c’est bel et bien que le chien bandait dur ce matin... Peut-être il s’est frotté quelque part et s’est branlé… Hein ?–Oui… peut-être, murmurai-je en regrettant au fond de moi de ne pas avoir le cran de lui confier que presque tout ce que je venais de lui raconter relevait de la réalité, que s’il avait vu Merlin en aussi belle forme, c’était qu’à peine cinq minutes avant, il était encore en train de jouir tout au fond de mon ventre. Même si je ne pouvais avouer ma déviance, j’étais secrètement ravi de tous les chemins du possible qui désormais semblaient s’ouvrir à moi…
Il ne me restait plus qu’à attendre des circonstances favorables…
A suivre.
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