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Merlin, l’enchanteur ?

Chapitre 4

Zoophilie
Tremblante, je me levai d’un bond tandis que sur l’écran du PC le chien continuait à baiser la fille. Ses gémissements de plaisir qui tout à l’heure m’excitaient au plus haut point me mettaient maintenant terriblement mal à l’aise. Profitant du silence de mon beau-père, je fis un pas, puis un autre, en direction de la porte en balbutiant : « Bon… euh… je… je vais aller me coucher là… ». Mais lorsque je passai devant lui, il m’attrapa fermement par le bras en désignant de son autre main Merlin que je n’avais pas remarqué jusque-là. « Quoi ? Regarde… tu ne vas quand même pas aller te coucher maintenant… ». Il n’était nul besoin d’approfondir son regard luisant pour comprendre instantanément l’allusion, et je tentai aussitôt d’échapper à l’étau de ses doigts. « Mais lâchez-moi enfin ! » Tout en faisant mine de me dégager, je me rendis compte que je n’avais pas mis toute la conviction de rigueur dans ma voix. Je décidai alors de mettre au moins plus d’entrain dans mes gesticulations, et d’une ruade, parvins finalement à me libérer de son emprise. Cependant, tandis que je me précipitai d’un bond vers la porte, il se jeta sur moi et me plaqua sans ménagement dos au mur. Saisissant mes poignets, il se colla contre moi et me susurra à l’oreille : « Alors… Elle t’a pas plu cette petite vidéo ? Tu sais… C’est l’occasion ou jamais… Non ? Je suis sûr que t’as envie d’essayer… »
Complètement déstabilisée, sans réfléchir, je jetai un coup d’œil oblique vers la porte : « Non… C’est pas possible… –Et pourquoi pas ?–Quelqu’un peut venir… et…–Aucun risque de ce côté-là ma chère… belle-maman a pris ses cachets et Louis est tellement bourré qu’il serait bien incapable de se lever ! » Il hissa alors mes bras haut au-dessus de ma tête et en les maintenant plaqués contre le mur, emprisonna mes deux poignets collés l’un à l’autre dans l’une de ses mains. Tandis qu’il glissait l’autre sous ma jupe, j’aurais dû me débattre, crier… mais je n’en fis rien. Il glissa un doigt sous le tissu et caressa ma fente que je savais encore trempée d’excitation. Peut-être dans un sursaut de lucidité, alors qu’il faisait descendre ma culotte le long de mes cuisses, je tentai de résister, au moins en parole :« Mais… arrêtez… putain… qu’est-ce que vous faîtes ? Mais lâchez-moi… »Indifférent, il assura plus fermement son emprise autour de mes poignets et s’écarta légèrement en tirant vivement sur mon sous-vêtement. Le tissu ne résista pas et j’entendis bientôt un craquement. Le bruit caractéristique du tissu qui se déchire. Il venait d’arracher ma culotte. Incrédule, je le vis chiffonner son trophée entre ses doigts, et restai sans réaction lorsqu’il se mit à le frotter contre mon sexe. « On va commencer par faire sentir ça au chien… non ? »Il accompagna le geste à la parole et tendit le morceau de tissu à l’animal qui se mit immédiatement à le renifler et à le lécher. Bien malgré moi, je me sentis terriblement excitée par la situation. Était-ce dû à la manière déterminée dont il avait arraché ma petite culotte ? Le fait d’être prisonnière et maintenue avec force contre ce mur ? Voir le chien réagir à ma mouille qui imbibait le tissu ? Tout ça confinait au pur délire… « On dirait qu’il l’aime l’odeur de ta petite chatte… Non ? »Tétanisée, j’étais bien incapable de répondre quoi que ce soit tant le tumulte de mes pensées étaient contradictoires. Il profita de mon hébétude pour lancer une main dans mon dos et faire glisser la fermeture éclair de ma jupe. L’instant d’après elle gisait déjà à mes pieds.« Tiens, dit-il au chien en agitant ma culotte devant lui, viens… viens plus près… allez ! »Ce faisant, il approcha lentement les vestiges du sous-vêtement en direction de mon entre-jambe et je sentis bientôt le souffle de l’animal glisser sur mes cuisses serrées l’une contre l’autre. Au contact de sa truffe contre ma toison, suppliante, j’articulai un ultime et vague : « Non… il ne faut pas… ». Mais déjà sa langue cherchait à s’insinuer… je la sentais… chaude… râpeuse… insistante. Je luttais contre une envie irrésistible de lui libérer sur le champ le passage… la douce sensation de me faire ainsi renifler était sur le point de me faire céder. Je revoyais les images de la vidéo… cette femme attachée… livrée en pâture.
Mon beau-père, qui m’emprisonnait toujours avec force les deux bras, se pencha soudain vers mon oreille et me susurra dans un souffle d’écarter les jambes. Je ne pouvais pas… même si j’en mourrais d’envie. Voyant que je n’obtempérais pas, il glissa une main entre mes cuisses toujours serrées. Comme si je n’avais attendu que cela, qu’il me force, qu’il m’oblige, je n’opposai aucune résistance et le laissai m’entrouvrir. Le chien, bien entendu, profita aussitôt de l’occasion et se rua à l’assaut de mon sexe. Impossible d’offrir la moindre résistance… comme tétanisée, incapable de nier que j’adorais ça, je m’abandonnai déjà avec délice… à ces caresses buccales… à cette langue qui lapait ma fente… à la pression de cette truffe humide et fraiche contre mon pubis. Au lieu de gémir de plaisir, en guise de dernier rempart à ma déraison, je lançai à mon beau-père :« Non… Arrêtez… non… il ne faut pas… c’est pas bien…–Bien-sûr que si ! Et je suis sûr que tu aimes ça… petite cochonne… »Il avait dit cela en glissant sa main sous mon chemisier et tout en pelotant mes seins, il poursuivit :« Alors… tu vois comme c’est bon ? Non ? T’avais jamais osé faire ça avant, hein ? »Je murmurai un non tant je n’osai avouer la vérité. Affolée par l’excitation qui faisait tambouriner mon cœur, je me surpris à écarter d’avantage les jambes, à décoller même peu à peu mon bassin du mur pour le tendre vers l’animal. Le plaisir malsain d’être forcée, abusée, était en train de me faire chavirer. Comment tout cela était-il possible ? Comment pouvais-je apprécier le fait d’être clouée à ce mur ? Comment avouer que j’avais aimé la façon dont il avait pris les choses en main ? Sa manière déterminée d’arracher ma petite culotte puis d’ouvrir mes cuisses ? Tous ces plaisirs se télescopaient en moi. Sous l’effet conjugué de cette langue qui lapait mon sexe et de cette main qui tripotait mes seins sans aucune pudeur, de plus en plus vicieuse, je me sentais sombrer dans le plus inavouable de mes fantasmes.
Mon beau-père dut percevoir mon changement d’attitude car il desserra légèrement sa prise sur mes poignets.
« Alors, tu veux toujours arrêter ?–Oh oui ! lançais-je sur un ton qui ressemblait dangereusement à un gémissement de plaisir, il faut arrêter… tout de suite…–Menteuse… regarde… comme tu aimes ça… »Je préférais me taire, car comment affirmer le contraire alors que je me trémoussais en tendant mon entre-jambe à l’animal ? Profitant de la situation pour pousser un peu plus loin son avantage, il déboutonna son pantalon. Lorsque je sentis son sexe dur se presser contre l’une de mes cuisses, je ne pus réprimer un frisson de plaisir, puis une espèce de jubilation obscène à sentir ainsi sa virilité se frotter tout contre moi. Il libéra soudain mes bras et d’un geste ferme, attrapa l’une de mes mains pour la conduire sur son sexe. Sans un mot, sans aucune résistance, je refermai mes doigts autour de son pieu. Il était court, mais épais et terriblement dur.« Tu vois comme tu m’excites… branle-moi maintenant petite cochonne… oui… voilà… comme ça…» Il était tout à fait inutile qu’il me le demande car dès avant la fin de sa phrase je m’empressais déjà de faire coulisser son membre entre mes doigts. La situation avait plus que sacrément dérapée… J’étais en train de branler mon beau-père pendant que le chien de la famille me léchait la chatte ! C’était totalement improbable… inenvisageable… Et pourtant… contre toute attente… c’était bel et bien vrai et j’adorais ça. C’était pervers… malsain… interdit… mais tellement bon… Quand il me demanda d’écarter de mes doigts les lèvres de mon sexe, ce fut cette fois docile et soumise que je m’empressai d’obéir. Ouvrant alors grand ma fente, je dégageai mon clitoris. Il me semblait dur, saillant et anormalement gonflé. Chaque coup de langue dessus me faisait tressaillir et mes jambes devenaient cotonneuses sous l’effet du plaisir ravageur que me procurait le chien. Mon beau-père saisit soudain les pans de mon chemisier et tira rageusement dessus avec une impatience et une détermination bestiales. Subissant le même traitement que ma culotte, le tissu ne résista pas d’avantage et je me retrouvai en une seconde les seins à l’air. Bombant le torse, je me surpris à avancer le buste, comme pour une invitation muette et provocante. Il n’hésita pas une seule seconde à cueillir les fruits que je tendais… et je le laissai faire… il les prit à pleine main pour les pétrir, les frotter l’un contre l’autre… j’adorais ça. A force d’avancer mon bassin vers le chien, je me retrouvais désormais sur la pointe des pieds et seules mes omoplates étaient encore en contact avec le mur. La position était des plus inconfortables et mes muscles tendus devenaient douloureux. Pourtant, pour rien au monde je ne voulais que tout cela s’arrête. Tout en pelotant ma poitrine sans vergogne, mon beau-père se mit à gémir et à accompagner le rythme de ma branlette par de petits coups de reins.« Hum… c’est vraiment trop bon… continue…–Comme ça ? dis-je en accélérant un peu la cadence.–Hum… oui… oui… tu sais y faire toi… t’es une bonne… petite branleuse... tu vas me faire jouir si tu continues… » Je ne répondis rien et me contentai d’astiquer son pieu, interrompant seulement de temps à autre ma manœuvre pour venir en frotter le bout sur ma cuisse. Il prit l’un de mes tétons entre ses lèvres et je ne pus m’empêcher de gémir doucement. Il se mit à le téter, à le mordiller et finalement à aspirer dans sa bouche l’intégralité de mon aréole. Ses manières un peu rustres m’effrayaient et m’excitaient tout à la fois. Le sentiment obscur qu’il était en train d’abuser de moi et le plaisir que j’en retirais me laissaient sans volonté. Il glissa une main derrière mon dos et se mit à me peloter le cul. Après en avoir palpé outrageusement les rondeurs, ses doigts s’aventurèrent jusqu’entre mes fesses. Confuse, je ne pus résister et ondulai doucement lorsqu’il se mit enfin à caresser puis à faire pression contre mon petit trou.« Hum… petite cochonne… on dirait que tu aimes ça aussi… »Ah… je n’osai l’avouer, mais oui… putain, j’adorais tout ça. La langue du chien sur ma chatte. Cette bouche qui maltraitait mon téton. Cette main entre mes fesses… et ce membre dur entre mes doigts… Mes jambes se mirent à trembler. Des gémissements incontrôlables s’échappaient de ma bouche grande ouverte. C’était trop bon, je n’en pouvais plus… j’étais sur le point de jouir. Je sentais la langue du chien glissait entre les lèvres de mon sexe. Elle tournoyait dans une danse infernale et moi je m’offrais à lui, je m’ouvrais pour lui. Incapable de le retenir d’avantage, l’orgasme que j’avais réussi jusque-là à contenir explosa finalement avec une violence inouïe, comme en vagues successives qui firent trembler chacun de mes muscles. Je n’en revenais pas du plaisir intense que je ressentais. Inconsciente, j’avais du mal à admettre que les mots crus que mon beau-père glissait à mon oreille puissent décupler encore ma jouissance.« Oui… vas-y… branle… branle bien ma queue petite salope… continue… t’arrête surtout pas… Ah… putain… mais tu vas me faire gicler… Oui… comme ça… Hum… Plus vite… allez ! Allez… petite branleuse… »Encore agitée par les derniers soubresauts de ma jouissance, je m’empressai de lui obéir. Ma main coulissait à toute vitesse autour de son manche.« Ca vient… Hum… ça vient ! Oui… continue… »Il positionna son gland tout contre ma cuisse et aussi dingue que cela puisse paraître, je me surpris à guetter le moment fatidique. A attendre avec une impatience vicieuse qu’il éjacule enfin. Et lorsque son jus éclata sur ma peau, je ressentis un plaisir impur, une joie obscène. Je venais de branler mon beau-père… je l’avais fait jouir sur moi…J’étalai sa crème sur ma cuisse en faisant rouler son gland contre ma peau, me servant de son sexe comme d’un pinceau. Je me barbouillais. Je me salissais. Et cette pensée m’emplissait d’un bonheur étrange.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, c’était comme si je lui étais reconnaissante de m’avoir forcée à faire tout ça...Comme s’il venait de me faire vivre le plus inavouable de mes fantasmes...
A suivre
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