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Merveille du monde

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Je me demande pourquoi les deux garçons en face de moi regardent sous ma jupe. Je sais qu’elle est très courte, que je porte des bas ne montant pas bien haut, mais de là à regarder sous mes vêtements, je ne comprends pas. Puis, je me souviens ; j’ai oublié de mettre mon string. Ils peuvent donc apercevoir ma chatte. Je ne suis pas choquée, au contraire, ils sont amateur de belles choses : je pense que mon sexe est une des merveilles du monde. Ces regards m’excitent plus que prévu : j’en suis excitée. Je sens que ma chatte se mouille très vite. J’ai envie qu’ils regardent mieux : j’écarte les cuisses pour qu’ils puissent être au moins aussi allumés. J’en regarde un qui se masse la bite à travers le pantalon, sans pudeur. Il me plaît ce jeune. Ils murmurent des choses que je ne comprends pas, il doit s’agir de moi et de ce qu’ils me feraient. J’écarte les jambes pour qu’ils voient d’avantage.Je leur fait part de mon accord en souriant largement. Je m’apprête à descendre du tram : ils me suivent. Tant mieux. Je n’habite pas loin. Je m’arrête souvent pour regarder une vitrine sans intérêt pour moi. Je peux les voir me suivre de plus près. J’entre dans l’entrée de l’immeuble, je les attends. Quand ils sont tout près :— Venez avec moi, chez moi.-D’accord.C’est un cri du cœur ou du bas ventre, je ne sais pas, en tout cas ils me suivent comme le feraient des chiens attirés par une chienne. Nous sommes dans mon deux pièces, — Asseyez-vous.Poliment ils me disent merci. Leur merci je m’en fous je veux qu’ils s’occupent de mon cul. Je passe ma main sous ma chemise d’homme pour faire tomber mon soutien gorge. Ils m’énervent à rester immobiles. Je les voudrais contre moi, m’embrassant et me pelotant. Pas possible je suis tombée sur deux puceaux. Je me trompe un peu quand ils viennent enlever les restes de mes vêtements. Ils sont très doux, trop presque. Je ne porte plus que les bas ; ils peuvent venir sur moi me baiser. Je mouille comme une fontaine : c’est la première fois que je suis avec deux hommes. Je connais plein de façons de les contenter. Je préfère les laisser faire.La suite dira que j’ai raison, sous des apparences juvéniles, ils connaissent pas mal de ficelles. Ils se déshabillent rapidement ; je vois enfin leurs sexes épais et court pour l’un, fin et long pour l’autre. Je suis comblée d’avance : au moins je pourrais en sucer un pendant que l’autre m’enculera. Sans rien dire le plus grand vient derrière moi : il pose sa bite entre mes deux globes : déjà entre mes fesses. Il prend mes seins à deux mains. Il les caresse tellement bien que je les sens durcir ainsi que les mamelons. Sa bouche embrasse mon cou, juste sous les oreilles. Je ne sais comment il a deviné que j’adore ça. Son copain lui se consacre à mon bas ventre. Il pose une main sur ma chatte, trouve très vite mon petit bouton sensible. Mouillée comme je suis, il sait bien me masturber. Je ne résiste pas au plaisir qui arrive. Je jouis pile au moment où il pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue est aussi agile que ses doigts. — Oui, encore, merci, d’avantage je veux la même chose au cul. Je prends sa bite en main pendant que son copain accède à ma demande, il me rentre un puis deux doigts dans l’anus. Putain que c’est bon. Je pousse mes fesses en arrière, il comprend fort bien en entrant entièrement les doigts. Je fais jouir la bite que je tiens, j‘ai du sperme sur tout mon ventre, je cherche à en faire autant à celle entre mes fesses. Je réussis quand je sens gicler la pine entre mes fesses. Dommage, il débande. Nous allons nous coucher : je préfère qu’ils s’occupent de moi ainsi, couchée. Je suis allongée entre les deux. J’ai les deux bites entre les mains. Je les caresse pour qu’ils bandent. J’y arrive finalement sans trop forcer mon talent. Ils ont passé tous le deux un bras sous ma tête. Leurs autres mains servent pour me caresser encore les seins. C’est bon d’être ainsi pelotée par deux types à la fois.Grosse bite vient poser sa main sur mon pubis. Il me masturbe aussi bien que l’autre. Je gémis sans cesse pour manifester mon plaisir. Je cherche à lui rendre la politesse : j’arrive à trouver sa bite que j’ai du mal à prendre dans ma main à cause de sa grosseur. Tant pis, je vais faire comme s’il avait un bite normale. Je la prend par dessus avec mes doigts. Je commence à la branler lentement. Lui aussi gémit. Il reste l’autre bite que je peux facilement prendre dans ma main. Ils ne peuvent pas se plaindre, je les branle à la même vitesse. J’arrête bien avant qu’ils jouissent. J’ai envie d’être baisée. Je me mets presque assise sur la bite du Gros. Je me laisse pénétrer seule. Je sens mes chairs s’écarter devant le vit qui est presque trop gros. Quel bonheur de l’avoir dans le ventre: il ne va pas très profond, mais je me sens totalement pleine d’un sexe étranger. Je me laisse tomber sur lui: il m’embrasse sur la bouche. Sa langue est vite contre la mienne qui ne résiste pas à ce qui arrive. Je sens l’autre amant qui vient aussi sur moi. Je crois savoir ce qu’il veut: m’enculer. Pourquoi pas ? Pourtant c’est la première fois que je vais avoir deux bites ensemble dans le ventre. Il mouille bien mon anus, pose délicatement sa queue sur le rectum. Je me détends totalement pour ne pas avoir mal. J’aime me faire enculer, pas ainsi. Je sens sa salive quand il crache sur mon cul. Comme il recommence à me donner sa salive, je crains brusquement qu’il me fasse mal. Je sens à peine le gland passer, je sens la bite aller très profondément. Je ne pense pas avoir été aussi bien enculée si profond depuis ma première sodomie. Je sens enfin ce plaisir innommable de la double pénétration. Quel bonheur de sentir deux bites qui vont et viennent dans son ventre. Ils vont lentement, trop lentement presque. Pourtant je sens le plaisir envahir mon corps entier. C’est indescriptible ce plaisir qui arrive quand je jouis. Mon con est plein d’une grosse bite et mon cul d’un bite plus fine et plus longue. Je ne sais comment ils font pour ne pas jouir. Moi, je ne me gêne pas pour assouvir mes plaisirs qui arrivent en rafale. — Continuez, encule moi, toi, baise moi toi aussi. Oh oui, encore n’arrêtez pas. Je me sens pute et salope. En plus je ne connais même pas leurs prénoms. Je sens quand les bites sortent de moi. Je m’attendais à ce que leur sperme coule entre mes cuisse: je garde tout en moi.Ils se rhabillent sans un mot, sinon pour vanter mes talents de baiseuse.
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