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Mes amies d’enfance

Chapitre 2

Hétéro
Chapitre 2 : Kamille
Elena vient de quitter ma chambre. Je suis confus. Ok, nous avons baisé et nous nous sommes avoués des choses ; et maintenant ? A-t-elle fait ça avec moi juste pour assouvir un fantasme ? Suis-je juste un amant passager ? Ou me considère-t-elle désormais comme son copain ? J’aimerais bien le savoir. En tout cas, des trois, je dois dire que c’est bien la dernière avec laquelle je pensais me retrouver. La vie prend parfois des tournures étranges.  Kamille et Emilie sont toujours dans la piscine. Une chance ; elles ne se doutent de rien. Je préfèrerais que cela reste ainsi. Je m’en fais peut-être pour rien, mais j’ai peur que cette histoire fasse des vagues si cela s’ébruitait. Elles m’invitent à me baigner avec elle, je refuse poliment et décide de bronzer un peu. Je leur suis reconnaissant de ne pas faire de commentaires sur ce qui s’est passé tout à l’heure. Lorsque Elena débarque peu après, je ne sais pas comment réagir. D’un côté, j’ai envie d’aller l’embrasser, mais d’un autre, même si ses sœurs n’étaient pas là, je suis pas sûr de savoir comment elle réagirait. Puisqu’elle se comporte de la façon la plus naturelle du monde, je décide de faire pareil. M’enfin, tout cela ne m’aide pas à savoir où nous en sommes. Le lendemain, nous prenons le petit déjeuner tous ensemble. Nous discutons de nos plans pour la journée, nous réalisons que nous n’en avons aucun, nous vivons le jour le jour, sans rien prévoir.
-  Moi, là tout de suite, j’ai envie de faire une balade, déclare Elena. Clay, tu m’accompagnes ?-  Heumm, je… oui… D’accord, fais-je en bégayant.
Je m’attendais à ce qu’une autre sœur se propose de nous rejoindre, mais non. Je ne sais pas si j’en suis soulagé ou si cela me stresse encore plus. Nous nous baladons à travers le village, traversons une plage les pieds nus, puis allons au petit bois où nous allions souvent faire du vélo. Je ne sais toujours pas sur quel pied danser lorsque nous parlons. Elle ne mentionne jamais ce que nous avons fait hier, et j’ai trop peur pour aborder le sujet. Je n’arrive pas à savoir ce qu’elle a dans la tête, jusqu’à ce que tout à coup, elle m’embrasse.
-  Ici, nous serons tranquilles, dit-elle.  
Elle s’agenouille et se met à me sucer.
-  Elena ? Qu’est-ce que tu fais ?! fais-je.-  J’ai envie de toi. Pas toi ?
Bien sûr que si… Je me laisse faire. Je ne me l’imaginais pas aussi coquine, à vouloir faire ça comme ça dans les bois. J’essaie de me détendre. Elle a raison, nous nous sommes écartés du sentier, personne ne devrait nous déranger. Je ne sais toujours pas si elle a juste envie de se faire sauter pendant les vacances, ou si c’est quelque chose de sérieux, mais en tout cas, je suis ravi de voir que ce n’était pas qu’un coup d’une fois. Maintenant qu’elle m’a bien chauffé, elle se relève et se penche contre un arbre. Je lui baisse son pantalon et sa culotte puis la prend là comme un porc. C’est tout à fait différent de notre première fois, cette baise n’a absolument rien de romantique ou de passionné, nous ne sommes que deux animaux en manque à la recherche de plaisir. Cela me fait toujours drôle de voir Elena « la sage » aussi « femelle » et de réclamer des coups de bite dans la chatte ; cela m’excite à mort aussi. Je la saillis comme un mâle qui a besoin de lui défoncer le vagin. Je joue avec ses seins à travers ses vêtements. Je suis fier de voir que je parviens à donner du plaisir à une femme qui a quatre ans en plus que moi. Je lui lèche le cou. Je la veux, je tiens à ce qu’elle le sache. Il ne lui faut pas très longtemps avant de jouir, je la rejoins presque instantanément et lui éjacule dans la chatte.
Elle m’embrasse tendrement. Nous ne disons presque rien, puis nous rentrons à la maison.  Je me sens plus à l’aise que ce matin. Je sais désormais qu’elle me veut, et que je n’ai pas à avoir honte de la désirer. Au soir, j’ai encore envie d’elle. Je décide de prendre l’initiative et d’aller la voir dans sa chambre. Mince, elle n’est pas seule. J’essaie de regarder discrètement avec qui elle est sans les déranger. Je n’en reviens pas de ce que je vois, je dois avoir des hallucinations : Elle est avec Kamille, et ce n’est pas pour discuter ni pour une bataille d’oreillers. Elles sont nues, toutes les deux. Jusque-là, ça va, après tout, entre sœurs… pourquoi pas. Sauf qu’Elena porte une gode ceinture et qu’elle prend sa sœur violemment en missionnaire... Je ne sais pas ce qui me choque le plus. De découvrir qu’Elena a des tendances lesbiennes, que Kamille aussi, où qu’elles font ça entre sœurs. Je ne sais plus quoi penser. Bizarrement, de la part de Kamille, je peux comprendre. Le fait qu’elle soit lesbienne expliquerait d’ailleurs pas mal de chose à son sujet ; mais bordel, Elena… Moi qui l’imaginais comme la fille sage et droite, ces derniers jours, je me rends compte combien j’étais à côté de la plaque. Je devrais partir et oublier ce que j’ai vu, après tout, ça les regarde ; sauf que je ne suis pas moi-même quelqu’un de sage. C’est peut-être mal, mais ça m’excite de les voir comme ça.

Elena est allongée sur sa sœur. Cela ne doit pas être leur première fois, car elle la baise comme un vrai mec. Elles s’embrassent, elles se caressent, il y a beaucoup d’amour et de tendresse. Kamille a les jambes relevées pour mieux la recevoir. Vu qu’elles gémissent toutes les deux de plaisir, j’imagine qu’il doit y avoir un bout du gode qui rentre dans la chatte d’Elena.
-  Vas-y Elena, plus fort s’il te plait, supplie Kamille.
Je ne les savais pas aussi proche, cela me touche quelque part. Kamille a tellement tendance à être dure avec moi que je ne la voyais pas douce et câline. Elle serre sa sœur contre elle et ne font plus qu’un. Je dois être tordu, je trouve ça magnifique. Elles changent de position. Maintenant, c’est Kamille qui chevauche Elena et qui fait tout le boulot. Je peux enfin bien la voir à poil. Elle ne ressemble pas du tout à sa sœur. Elle est petite, elle est maigre, elle n’a pas de seins, mais bordel, elle me fait de l’effet. Je ne résiste plus à l’envie de sortir ma queue et à me branler. Si je m’étais déjà imaginé sortir avec elle, jamais je ne m’étais imaginé des images salaces la mettant en scène. La voir en pleine action, même avec une autre fille, me donne envie d’elle. Elle est vraiment belle, ce que je regrette maintenant que nous nous sommes éloignés. Elle se penche sur sa sœur pour jouer avec ses seins. Elle les masse, elle les pétrit, puis joue avec ses tétons. Pour la remercier, Elena fait pareil, même s’il y a moins de matières à peloter. Cette dernière commence à lui donner elle-même des coups de bassin. Elle doit être lassée ou trop excitée pour se contenter de la voir rebondir sur elle. Au bout d’un moment, Kamille finit par jouir :
-  Oui ! Oui ! Elena ! Aaaaaaaah !
La scène se finit lorsqu’elle la fait jouir à son tour en lui faisant un délicieux cunni :
-  Hmm, Kamille ! Ma chérie ! Oui ! Suce-moi bien le clito, doigte-moi. Je viens ! Ooooooooooooh !
C’était splendide à regarder. Trop. J’ai besoin de me soulager. Je cours aux toilettes et m’astique pour me faire éjaculer du sperme. Je me vide les couilles dans la cuvette. C’est du gâchis, mais putain, j’en avais besoin. Je retourne dans ma chambre en essayant de mettre de l’ordre dans ma tête. Elena couche avec sa sœur, mais aussi avec moi. Comment dois-je interpréter ça ? Si elle est bi, qu’en est-il de Kamille ? Je pense que c’est une vraie lesbienne. C’est malin, maintenant que je l’ai vue comme une femme et que je me mets à fantasmer sur elle, j’apprends qu’elle est doublement inaccessible. Il y a de quoi être écœuré. J’essaie de chasser toutes ces idées bizarres afin de trouver le sommeil. Cela ne change rien, demain, tout sera comme avant. Au matin, lorsque j’apprends qu’Elena est sous la douche, je me décide à faire ce que j’avais l’intention de faire hier soir. Je vais la trouver dans la salle de bain dans le but de lui faire l’amour. Elle est surprise mais ravie. Je l’embrasse tendrement, puis la plaque contre une parois de la cabine, et la baise là. Je ne me lasse pas de la voir brulante d’envie pour moi. Je savais que je passerais les meilleures vacances de ma vie, mais je ne pensais pas que ce serait en m’envoyant en l’air dans tous les coins avec une de mes amies d’enfance. J’espère que cela durera au-delà de ça. J’éclate dans sa chatte en la remplissant de foutre, et elle jouit avec moi. Nous nous séparons rapidement afin d’éviter d’éveiller des soupçons.Les jours passent, et Elena et moi continuons à faire l’amour secrètement dès que nous en avons l’occasion. C’est excitant que personne ne se doute de rien. J’aimerais dire que ces vacances sont parfaites, mais il reste une ombre au tableau : Kamille semble toujours me faire la gueule. Je pensais que ça lui passerait avec le temps, mais je me trompais. Je prends mon courage à deux mains et décide d’avoir avec elle une discussion sérieuse. Il faut que je tire cette affaire au clair, je n’ai pas envie de passer les semaines qui restent en froid avec elle.  Le seul moment que je trouve pour lui parler, c’est le soir lorsqu’elle est seule dans sa chambre. Je toque à sa porte, elle m’invite à entrer, jusque-là, tout va bien :
-  Qu’est-ce que tu veux ? me lance-t-elle d’un ton glacial une fois à l’intérieur. -  Te parler, c’est tout. -  De quoi ?-  De toi et moi.-  Je ne vois pas de quoi tu parles.
Je prends une grande respiration avant de me lancer :
-  Kamille… Je ne sais pas comment aborder le sujet. Cela fait longtemps que nous sommes amis toi et moi. Je ne suis pas totalement idiot, je vois bien que depuis que je suis ici, tu m’évites. J’aimerais vraiment savoir pourquoi. Je sais qu’on a eu des différents tous les deux, mais on a surtout eu de bons moments. Je n’ai pas envie de gâcher notre amitié. Dis-moi, tu m’en veux pour quelque chose ?
Elle me fixe en me croisant les bras, l’air sévère :
-  Le plus triste, c’est que tu ne le saches même pas.- Ben alors, je suis un idiot. Éclaire-moi s’il te plait. -  Non, tu n’as qu’à trouver par toi-même. Je ne vais pas te faciliter la tâche non plus.-  Kamille, on va rester encore ensemble dans cette maison pendant un bout de temps, tu tiens vraiment à passer le reste des vacances à me bouder ?
Elle ne dit rien, elle réfléchit. Après quelques secondes, elle brise le silence :
-  Quatre ans, dit-elle.-  Quoi ? -  Quatre ans que je n’ai pas de nouvelles. Quand tu es parti, on s’écrivait encore de temps en temps. Puis du jour au lendemain, plus un mail, plus un sms, rien. Je pensais que je valais mieux que ça ! Tu m’as tout simplement oubliée ! -  M’enfin… Toi non plus tu n’écrivais plus rien. Je pensais que… tu ne voulais plus de moi. -  Tu es un idiot, Clay. Tu l’as toujours été. -  Je suis désolé. Tu dois avoir raison, je suis un con. J’ai merdé, mais je ne t’ai pas oublié, jamais je ne t’oublierais ! Je n’ai jamais cessé de penser à toi. Tu me manques, et je ne parle pas seulement de la Kamille d’il y a quatre ans. Je parle de celle d’avant, de ma meilleure amie avec qui j’étais super proche. J’aimerais la retrouver. Je ne comprends pas : qu’est ce qui nous est arrivé ? Pourquoi as-tu changé comme ça ? -  Parce que cela va être ma faute, maintenant ? C’est une blague ?-  Parce que ce n’est pas toi qui a pris tes distances ? Moi, j’ai toujours voulu être là. -  Tu es un imbécile, Clay.-  Alors aide-moi à ne plus l’être, et explique-moi ! -  J’ai pris mes distances, parce que je t’en ai voulu ! -  De quoi ?-  D’être aussi aveugle, bon sang !-  Mais de quoi ?!-  Tu vois, c’est ça que je te reproche, même avec le recul, tu ne le vois pas. Clay ! J’étais amoureuse, bordel ! J’étais amoureuse de toi ! Mais non, toi, tu ne m’as jamais remarquée, tu étais intéressé par les autres filles. Je n’étais jamais « que » ton amie. Ça m’a fait du mal, beaucoup de mal. Est-ce que tu imagines seulement ce que j’ai pu ressentir ? Comment tu veux que je continue de rester là à faire semblant d’être gentille après ça ?-  Mais… je… tu te fiches de moi, là ?!
Elle soupire :
-  Je ne plaisanterais jamais sur un truc aussi sérieux. -  M’enfin, ce n’est pas possible. Tu… tu es lesbienne.
 Elle me regarde avec des yeux grands ouverts, frappée de stupeur. Elle ouvre la bouche, mais pendant un instant, aucun son n’en sort :
-  Je n’arrive pas à le croire… parvient-elle à prononcer finalement. Moi ?! Lesbienne ?! Mais qu’est ce qui t’a fait penser un truc pareil ?! -  Je.... heumm… Je t’ai vu l’autre jour avec Elena...
Mince, je ne sais pas du tout pourquoi j’ai dit ça :
-  Parce que tu m’espionnes en plus ? Tu es sérieux là ?! Tu es vraiment un obsédé en plus d’être le dernier des crétins ! Non, je ne suis pas lesbienne. Ce truc avec ma sœur… c’est… autre chose. Je suis une femme. J’ai besoin de câlins et d’amour, sauf que personne ne veut de moi, personne hormis mes propres sœurs. Alors oui, Elena me… réconforte à sa manière. Je sais, c’est ma sœur, c’est dégueulasse ou tout ce que tu veux. En attendant, elle me fait du bien, et grâce à elle, je me sens vraiment aimée.
Je me sens vraiment bête, tout commence à avoir un sens. Mon dieu, tout ce temps perdu pour des conneries. Elle a honte que j’aie découvert son secret ; je ne la juge pas. C’est sûr que c’est particulier, mais je trouve ça mignon en fin de compte.
-  Moi, je veux de toi, dis-je.-  Te fous pas de moi.Je sais que tu n’en as rien à faire de moi.-  C’est faux. Kamille, si j’avais su… Je te jure que…
Je soupire. Je m’emmêle les pinceaux, il faut que je recommence :
-  Tu as raison, je suis un crétin. Un crétin de n’avoir jamais vu que tu étais intéressée par moi. C’est ma faute ; à cette époque, je ne te voyais que comme une amie. Ça a changé par après, mais manifestement trop tard : tu m’en voulais déjà, alors j’ai laissé couler. Je suis profondément désolé pour tout, Kamille ; mais maintenant que nous savons tous les deux tout cela, tout peut changer ! Je te jure que tes sentiments pour moi sont partagés et cela ne date pas d’hier ! Bon sang ! Si tu savais ! S’il te plait, laisse-nous une chance ! -  Tu es sincère ? Tu veux vraiment de moi ?
Je ne réponds pas, au lieu de cela, je l’embrasse. La connaissant, elle aurait pu me gifler pour mon culot, je suis heureux qu’elle me rende mon baiser. Elle se calme, elle se détend. Je sens sa colère fondre dans mes bras. Je sais que c’est mal vu que je couche avec Elena, mais je crois que je suis amoureux.
-  J’ai besoin d’amour et de câlins, me dit-elle.-  Alors laisse-moi te faire l’amour.-  Je… je suis vierge. Enfin, je ne l’ai jamais fait avec un garçon. -  Cela va aller, fais-je touché par son aveu.
Elle enlève mon haut, j’enlève le sien. J’ai une trique d’enfer lorsque je lui retire son soutien-gorge. Elle a de tout petits seins ridicules, mais ce sont les siens. Je perds la tête, je vais faire l’amour avec Kamille, MA Kamille ! Mon amie d’enfance, celle dont j’avais un faible durant mon adolescence ; c’est comme réaliser un fantasme. Je ne m’étais jamais autorisé à l’époque de l’imaginer nue ou dans des situations salaces, j’avais trop de respect pour elle et trop honte d’être un pervers ; aujourd’hui, j’ai envie de tout voir, tout faire. J’ai envie de la baiser.Je la caresse langoureusement et lui suce les tétons, elle glisse ses mains dans mes cheveux en gémissant. Je l’embrasse puis la retourne vers le mur, elle se penche contre en se tenant par les bras. Elle s’offre à moi, c’est tellement érotique. Je soulève sa minijupe et lui retire sa culotte. Elle se cambre bien pour me montrer son cul, il est magnifique. Je couvre ses fesses de baisers, elle écarte ses cuisses. J’ai le nez plongé sur son minou. Il est magnifique, tout rasé, suppliant d’être pénétré par une bite. J’y enfonce deux doigts, elle coule. Je récolte son jus en la léchant.
-  Prends-moi, Clay, fait-elle brusquement. -  Tu es sûre que c’est ce que tu veux ?-  Oui, j’attends ça depuis trop longtemps. -  Vraiment ? Alors demande-le-moi encore, tu es trop belle quand tu le dis. -  Tu n’es qu’un salaud !-  Si tu le prends comme ça, tant pis alors. -  Je te veux en moi ! Ça te va ? Je veux que tu prennes ma virginité !
Satisfait, je me relève et défait mon pantalon. Je pointe mon gros dard à son entrée. Je suis tout excité. Je l’enfonce dans sa chatte d’un seul trait, nous gémissons de plaisir tous les deux.
-  Vas-y, prends-moi maintenant.-  
Je fais du va-et-vient dans son vagin. Puisque c’est une vierge sans hymen, je n’ai pas à être trop doux. Je la baise pour de vrai en la maintenant par les hanches. Elle est petite et maigre, mais terriblement bandante.
-  Ah ! Salaud ! Oui ! Oui !-  Alors, c’est meilleur avec une vraie bite, hein ?-  Oui ! Oui !
Mes coups sont de plus en plus puissants. Mes couilles claquent contre son pubis. Son corps se balance sous mes assauts. Je suis un salaud, c’est vrai. Je ne devrais pas faire ça, je couche déjà avec sa sœur, mais comment pourrais-je le lui avouer ? J’aimerais pourtant le lui dire, qu’elle sache que je ne la saute pas juste parce que je suis un pervers en manque. Si je voulais juste tirer un coup, j’irais voir Elena. Si je prends le risque de tout foutre en l’air et de tout perdre, c’est parce que je la veux, elle, et personne d’autre. J’ai besoin d’exprimer charnellement ce que je ressens, à coup de queue.  
-  Aaaah ! Crie-t-elle. Tu n’es qu’un salaud ! C’est trop bon ! -  Ta chatte est si serrée, Kamille.-  Salaud ! Elle le serait moins si tu avais bien voulu de moi il y a des années ! -  Je suis désolé. Je vais me faire pardonner.-  Tu as intérêt ! Commence par me faire jouir, on verra ensuite ! -  Hmm, oui, je vais te faire jouir.-  Ah, salaud ! Je te jure que si tu jouis avant moi, je te défonce la gueule !
Voilà que j’ai la pression, maintenant, je ne voudrais pas la décevoir. Je tiens à ce qu’elle se souvienne de sa première fois. Je la défonce contre le mur. Elle se laisse faire, ou plutôt elle me laisse faire tout le boulot. Cela m’étonne d’elle, elle qui prend d’habitude toujours les initiatives. Cela me plait bien, cela me change d’avoir le contrôle sur elle. Elle tourne la tête vers moi pour me regarder pleine de passion. Elle passe une main autour de mon cou. Ce qu’elle est belle, mais ce qu’elle est belle. Je l’embrasse. J’ai une mèche de ses cheveux roux dans les yeux. Ma langue joue avec la sienne, je suis frustré lorsque nous nous séparons, j’ai besoin d’accélérer le rythme pour compenser.
-  Ah ! Oui ! Salaud ! Encore ! Plus fort !-  Plus fort ?!-  Oui !
À sa demande, je la ramone comme un animal. Tout comme avec Elena, cela me fait drôle de voir Kamille en manque de bite ; j’adore. Elle fait toujours autant la fière, la petite salope. Je sens son plaisir monter, elle n’est sans doute plus très loin de jouir. Je m’apprête à lâcher ma sauce pour la rejoindre.
-  Clay ! Stop ! s’exclame-t-elle soudainement.-  Hein ? Quoi ?-  J’ai dit stop !-  J’arrête mes coups de reins par un effort surhumain. -  J’ai fait quelque chose de mal ? dis-je.
Je ne comprends pas ce qui se passe.
-  Non, non. Je veux juste que tu me prennes à quatre pattes, comme une chienne.
 Putain, elle m’a fait peur pour rien. Elle grimpe sur le lit. Je la regarde ébahi. Kamille, le cul à l’air, sa fente dégoulinante de mouille. Elle se met en position pour que je lui démonte son trou. On ne voit pas ça tous les jours.
-  Tu te dépêches oui ? s’impatiente-t-elle. Viens-me la mettre !
Je la rejoins mais je prends mon temps. C’est un spectacle sublime. Elle regarde droit devant elle, elle m’attend comme une petite soumise. J’ai toujours rêvé de la voir comme ça.
-  Allez bordel ! Ne me dit pas que tu n’en as pas envie ! -  Je veux que tu me le demandes encore une fois.-  Salaud ! Je n’en peux plus ! Je veux que tu me baises comme une chienne ! Là, tu es content comme ça ?-  Oui !
Je la pénètre et la lime à fond pour la récompenser. Elle crie de bonheur en retrouvant ma bite. J’avoue que je trouve un malin plaisir à la voir esclave de mon bon vouloir. J’ai envie de la faire payer pour tout ce qu’elle m’a fait durant toutes ces années. Je ne suis pas que l’idiot sur lequel tu peux crier dessus et tourmenter à ta guise, je suis aussi le mec qui va te rendre folle et te faire jouir. Quelle douce vengeance.
-  Alors, c’est comme ça que tu demandes à ta sœur de te baiser, salope ?— Ça ne te regarde pas !-  Tu es sure ? Je pourrais peut-être participer un jour.-  Ne touche pas à ma sœur, salaud ! Elle est à moi ! -  Et toi tu es à moi, rien qu’à moi !-  Aaaaaaaaah !
Elle s’écroule en avant, la tête dans l’oreiller. Je prends un pied monstrueux à la dominer comme ça. Peut-être qu’elle m’en voudra après, mais pour le moment, je m’en fou. J’ai une envie folle d’éjaculer dans sa chatte, cela devient super dur de me retenir, je prie qu’il ne lui faille plus longtemps pour jouir, je tiens absolument à lui donner un bel orgasme.
-  Aaah ! Salaud ! geint-elle. T’arrête pas surtout, ou je te tue ! -  Alors, c’est mieux qu’avec ta sœur hein ? Avoue !-  Oh oui ! Ta queue est bien meilleure ! Putain, c’est trop bon ! Baise-moi ! Je te jure, tu n’as pas intérêt à éjaculer avant moi ! Fais-moi jouir ! -  Je vais te faire jouir, sale petite pute !
C’est une torture. J’ai beau avoir tirer mon coup il n’y a pas si longtemps, j’ai l’impression que mes boules vont exploser tellement qu’elles sont trop pleines. J’essaie de la sauter à bon rythme comme elle le demande, mais outre la fatigue physique, le plaisir est tellement intense que c’est d’autant plus dur de ne pas cracher mon jus. Mes hanches bougent toutes seules, j’ai ce besoin bestial de lui labourer le vagin jusqu’à ce que mort s’en suive. Plus rien d’autre n’existe, plus rien d’autre ne compte. J’ai perdu la tête, je suis dans un autre univers, un où je ne peux plus penser qu’avec ma bite. 
-  T’aime ma chatte ? Elle est bonne, hein ? me nargue-t-elle. Tu n’en as jamais baisé une comme ça avant, n’est-ce pas ?-  Putain, oui ! Je l’adore !-  Fait la bien jouir, salaud, et je te promets de t’assécher les couilles comme jamais.
J’ai hâte de voir ça !
-  Allez, continue, ça ne va pas tarder là, je le sens.
C’est la dernière ligne droite. Je deviens encore plus violent. Je tiens à son plaisir plus qu’au mien. C’est plus qu’une question fierté, je veux qu’elle m’appartienne, que je sois son mec, et pour ça, je dois être capable de l’emmener au septième ciel.
-  Ah ! Putain ! Oui ! Oui ! Oui ! crie-t-elle.
Ça y est, elle va venir, j’ai gagné. Je lui donne encore quelques coups de reins, puis elle explose de jouissance :
-  Salauuuuuuuuuuuuuuuuud. Ouiiiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiiis !
Elle tremble de plaisir. Son vagin se resserre comme un étau. Je suis obligé de sortir pour ne pas venir avec elle. Je la regarde en train de se perdre dans les nuages. Je suis heureux d’être celui qui l’a mise dans cet état. Elle est à moitié dans les vapes, la respiration courte. Elle ouvre les yeux et me regarde. Elle se redresse, le dos collé à moi, puis m’embrasse.
-  Tu as mérité ta récompense, déclare-t-elle.
Elle me pousse sur le lit, puis rampe jusqu’à ma queue. Sans dire mot, elle m’avale pour me sucer. Je suis surpris par son audace. C’est sa première fois avec un garçon, même si elle s’est peut-être entrainée avec les godes de sa sœur, je ne m’attendais pas à ce qu’elle se mette à me pomper le dard comme ça. D’ailleurs, je ne pensais pas qu’elle serait du genre à faire ça tout court. Elle ne doit pas se rendre compte de ce qu’elle fait. Avec mon niveau d’excitation, si elle me suce comme ça, je vais éjaculer.
-  Kamille ! Attends ! Non ! Je vais…-  J’ai dit que j’allais t’assécher les couilles, m’interrompt-elle. Tu vas voir, je vais te les vider avec ma bouche.
Putain de salope ! Elle est folle ! Cela ne rate pas : à la seconde où elle reprend sa fellation, je me sens venir. Même si je le voulais, je ne pourrais plus me retenir à présent. Je grogne pour la prévenir. Elle comprend le message et fait ventouse avec ses lèvres.
-  Kamiiiiiiiiiiiiiiiiiiiille !
Je lui crache un premier jet de foutre en plein dans la gorge. Elle déglutit. Je lui en envoie un second, elle fait de même. Sérieux ? Kamille avale le sperme, MON sperme. Je la maintiens par la tête pour la forcer à avaler les giclées suivantes, non pas qu’elle ait besoin de ce genre d’encouragement. Ça pour m’assécher les couilles, elle me les assèche. Je la nourris, et elle me boit. Je suis au paradis. Elle continue jusqu’à ce que ma source se tarit. Je ne suis pas sûr d’avoir déjà jouis aussi fort, elle est incroyable.
-  Kamille… fais-je en soupirant tandis qu’elle me fixe d’en bas avec des petits yeux de chat. -  Je t’aime, me dit-elle.-  Je t’aime aussi.
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