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Mes amies d’enfance

Chapitre 3

Hétéro
Chapitre 3 : Emilie
   Je viens de baiser avec Kamille et elle a avalé mon sperme. Je ne m’attendais pas à ce qu’une vierge fasse ce genre de chose à sa première fois, elle m’épate. Je lui demande pourquoi elle a fait ça :
—    Bah, je ne sais pas, je n’ai pas réfléchi. Quand tu as commencé à éjaculer, ça m’a semblé plus simple pour ne pas en avoir trop dans la bouche. —    Ça ne t’a pas écœurée ?—    Non, ça va. On pourra le refaire quand si tu veux si t’a plu. —    Un peu que ça m’a plu ! Aucune fille ne m’avait jamais fait ça.
  Ce n’est pas la seule chose extraordinaire qui s’est passé. Elle m’a dit « je t’aime », et je le lui ai répondu aussi du tac-o-tac. Cela venait du fond du cœur. Ce sont des choses que je ressentais pour elle depuis longtemps et que j’avais enfoui pour ne pas souffrir, je n’avais aucune idée qu’elle pouvait ressentir la même chose. Nous nous allongeons tous les deux dans son lit, sa tête contre mon épaule. Qu’est-ce que je me sens bien, je ne l’ai jamais vue aussi câline. J’ai une pensée pour Elena : je l’ai trompée avec sa sœur. Je ne suis même pas sûr de comment elle réagirait si elle le savait. Qu’est-ce que je représente pour elle exactement ? Juste un coup de vacance ? J’ai envie de dire que c’est parce que notre relation n’a jamais été bien définie que je n’ai pas hésité à coucher avec Kamille, mais c’est faux. Même si cela avait été officiel avec Elena, j’ai honte de l’avouer, mais cela n’aurait rien changé. Je l’aime. Est-ce que cela veut dire que je n’aime pas Elena ? Non, bien sûr que non, mais… Raaah, je ne sais pas, c’est le bordel dans ma tête. C’est possible d’aimer deux filles en même temps ?
  Il est temps que je parte avant que quelqu’un ne se rende compte de ce que nous avons fait.
—    Tu t’en vas ? me demande-t-elle surprise.—    Oui, sinon, tes sœurs pourraient nous surprendre.—    Et alors ? Ce serait mal ? Elles ont le droit de savoir qu’on est ensemble, maintenant.—    Je ne sais pas. Comment réagiraient-elles, tu penses ? Je n’ai pas envie de causer du remue-ménage alors qu’on vit ensemble dans la même maison.—    Pourquoi cela ferait du remue-ménage, on fait ce qu’on veut, non ? —    Je ne sais pas. Tu connais tes sœurs mieux que personne, à toi de me le dire. Et puis même, je ne sais pas… je serais un peu gêné de nous afficher en couple alors qu’elles sont célibataires. Je veux dire, moi je serais un peu jaloux, ça me rappellerait ma solitude. —    Ça, ce n’est pas faux. Ce n’est pas pour rien qu’Elena et moi… faisons ce que nous faisons. Je pense que ça l’affecterait, en effet. Sans parler d’Emilie. Elle n’a jamais eu de copain, je sais que ça la travaille. —    Tu es sérieuse ? Emilie ? M’enfin, elle est super mignonne. Les prétendants doivent se bousculer.
  Je sens que ma remarque l’a un peu irritée, elle est jalouse :
—    Oui, oui, je sais, Emilie est super jolie, mais c’est une geek qui reste tout le temps enfermé. Puis elle est compliquée aussi, elle repousse tous les mecs. On dirait qu’elle a peur. Tu me pensais lesbienne ? Ben elle c’est sûr, si elle continue comme ça, tout le monde va y croire.
—    À propos d’Elena... Tu comptes recommencer avec elle maintenant que nous sommes ensemble ?—    Pourquoi ? Cela te dérange ? —    Non, non, je trouve ça mignon quelque part. C’est juste que… je ne sais pas…—    Je ne sais pas non plus. C’est ma sœur, je l’aime. Je sais qu’on faisait ça juste pour… s’entraider au début, mais je pense que c’est devenu plus que ça avec le temps. Je veux dire, on… s’aime. Pas comme des amoureux, mais plus que comme de simple sœur. C’est compliqué.—    Je crois que je comprends. —    Vraiment ? Bah pas moi. —    Je veux que tu saches que quoique tu fasses, je ne te juge pas, et que je ne t’en empêcherais pas.—    Vraiment ? C’est… gentil et… inattendu. —    Bon, il faut que j’y aille maintenant. —    D’accord d’accord. On ne leur dit rien pendant les vacances, mais on le leur dit plus tard alors, ok ?—    Ok. —    Ça va être dur de faire comme si de rien était n’empêche…—    Pour moi aussi.
  Je quitte sa chambre pour rejoindre la mienne. Je sais ce qu’on peut penser, que je n’ai dit ça que pour sauver mes fesses. Ce n’est pas tout à fait faux, pourtant, j’ai pensé chaque mot de ce que je lui ai dit. Peu importe comment le prendra Elena, à la fin des vacances, je lui dirais tout. Si j’étais un mec bien, je commencerais tout de suite par « rompre » avec elle histoire de préparer le terrain, mais je n’en suis pas un. Alors quand elle me saute dessus pour me sucer le lendemain, je ne parviens pas à lui dire non. Je l’ai rebaisée sans hésiter.
   J’aime Kamille, mais putain, ce qu’elle est bonne elle-aussi. Je sais, je devrais avoir honte, mais mettez-vous à ma place : je vis dans la même maison que mes trois amies d’enfance pour tout un mois de vacance. Elles sont belles, elles sont chaudes, alors si deux d’entre elles veulent coucher avec moi, comment pourrais-je leur dire non ?! Ces filles sont de vrais canons, cela me tue de n’être « que » leur ami. Cela fait peut-être de moi un salaud, mais j’ai trop envie de pouvoir en profiter, les savoir avec d’autres mecs me rendraient jaloux. J’admets également que de pouvoir m’en taper deux sans qu’elles ne le sachent, ça a quelque chose d’excitant. Pauvre Emilie. Tout le monde baise dans cette barraque et elle ne se doute de rien. Prude comme elle est, je n’imagine pas le choc si elle savait. C’est un véritable joyeux d’innocence.
   Jongler entre Elena et Kamille n’est pas chose facile. Elles sont toutes les deux très demandeuses, et je me dois d’être toujours dispo sous peine d’éveiller des soupçons. Quand l’une me réclame alors que je viens de me taper l’autre, non seulement, c’est éreintant, mais en plus, il faut savoir rebander. Heureusement, j’ai de la vigueur ; faut dire aussi que de les savoir si coquine aide beaucoup. Je ne me suis jamais senti comme ça, en manque tout le temps. Plus je baise, plus j’ai envie de baiser. Je le fais maintenant plusieurs fois par jour. J’ai l’impression que ne faire que ça ; non pas que je m’en plains.
  Kamille est surprenante, elle est totalement décomplexée. Je pensais qu’une fille qui a été vierge jusqu’à vingt ans serait beaucoup plus coincée que ça. Maintenant qu’elle est lancée, on ne l’arrête plus. Elle veut qu’on s’envoie en l’air tout le temps. Je crois qu’elle a beaucoup de frustration à évacuer. Pas seulement d’avoir été pucelle si longtemps, mais aussi vis à vis de nous. À ce point de vue-là, moi aussi. Ça me rend si heureux de pouvoir me dire qu’on est ensemble. Je n’espère ne pas tout gâcher. Rien qu’avec elle, je serais plus que repus sexuellement, mais alors là, avec Elena en plus… Je ne revivrais jamais une période aussi érotique de toute ma vie.
  J’adore ses façons de réclamer du sexe. Elle n’essaie pas d’être subtile ou d’être câline pour lancer la chose. La deuxième fois où nous l’avons fait ensemble, nous étions au bord de la piscine. Elle est venue me voir pour me glisser à mon oreille :
—    J’ai envie.—    Envie de quoi ? —    J’ai envie de baiser.
  Elle avait l’air un peu gênée de demander ça, mais c’était bien la seule fois.
  Rien que de l’entendre me dire ça, j’ai bandé directe. Ni une, ni deux, nous nous sommes isolés dans un coin et je l’ai saillie contre un mur. C’était à la fois animal et passionné. Ses jambes autour de ma taille et ses bras autour de mon cou, elle m’a susurré des insanités à l’oreille. « Je suis en manque. J’ai besoin de ta queue. Baise-moi plus fort. Fais-moi jouir. Je veux sentir ton sperme m’éclabousser les entrailles. » Nous avons joui ensemble et j’ai nourri son vagin affamé avec mon foutre. Elle est vraiment trop belle quand elle se comporte comme une femme pleine de désir.
  Le lendemain, je me suis réveillé du plus doux des réveils. Je l’ai découverte sous la couette en train de me faire une fellation.
—    Bonjour toi, me salua-t-elle. J’avais trop envie, je ne pouvais plus attendre. —    Excuse acceptée, fais-je.
  Après m’avoir rendu bien dur, elle m’a chevauchée pour sa première fois. Elle s’est servie de ma queue comme si c’était le gode michet de sa sœur. J’ai pu l’admirer dans toutes sa splendeur : mince, avec ses tous petits nichons. Elle s’est allongée sur moi pour m’embrasser. C’est là que je suis devenu fou et que je me suis mis à lui donner des coups de bassin. Elle m’a laissé faire. Elle m’a supplié de continuer de la prendre. J’étais tellement excité que je l’ai ramonée aussi fort que j’ai pu, puis je nous ai fait jouir tous les deux et je lui fais déborder la chatte de sperme.
—    Je t’aime, me dit-elle. —    Moi-aussi.
  Nous sommes restés collés l’un à l’autre un bon moment, au risque de nous faire surprendre. Je l’aime, je l’aime vraiment. C’est pour cela que j’ai eu l’impression de la tromper lorsque j’ai couché avec Elena plus tard dans la même journée. Le plus gênant, c’est qu’il m’arrive de ressentir parfois la même culpabilité envers elle lorsque je le fais avec Kamille. Je crois que je suis en train de perdre la boule.
  Le temps passe trop vite, cela fait presque deux semaines que nous sommes là. Je suis déprimé à l’idée que cette vie puisse avoir une fin. Je m’amuse dans la piscine avec Elena et Kamille. Il fait chaud, nous y allons tout le temps. Je les soupçonne toutes les deux d’attendre que l’autre s’en aille afin de coucher avec moi. Finalement, c’est moi qui part le premier. Emilie passe trop de temps toute seule dans sa chambre, je n’aime pas ça. La connaissant, elle doit être en train de réviser pour prendre de l’avance sur l’année prochaine. Sérieux, il faut qu’elle arrête, c’est les vacances. En plus, on aura rarement d’autres occasions d’être comme ça tous ensemble. Je veux la convaincre de nous rejoindre.
  En approchant de sa porte, j’entends des bruits bizarres. Enfin, non, pas bizarre, caractéristiques plutôt, du genre que je sais que je devrais partir lui laisser un peu d’intimité. Pourtant, je ne peux pas m’empêcher de rester. C’est d’Emilie dont on parle, là. Je sais que c’est sale, mais l’idée qu’elle soit en train de se masturber m’excite. Elle, si pure et innocente. J’entrouvre la porte et y jette un coup d’œil. Je ne m’étais pas trompé. Elle est allongée sur le lit, les seins à l’air, en train de s’enfoncer une gode. La petite coquine, c’est bien la dernière que j’imaginais aller dans un sex shop pour s’acheter ce genre de jouet ; elle est tellement coincée. Je ne serais pas étonné que ce soit plutôt celui d’une de ses sœurs.
  Elle gémit très fort, elle se pince les tétons, elle a vraiment d’énormes nichons. À chaque fois que je la vois en maillot, j’ai envie de le lui enlever pour les voir, et maintenant que je peux les admirer, j’ai plus que jamais envie de la rejoindre pour les toucher. Elle a dix-huit ans, c’est aujourd’hui une femme, cela me fait drôle de savoir que j’ai connu cette bombe toute gamine, plate comme une planche à pain. Cela me fait encore plus drôle de l’imaginer avoir des désirs sexuels. Oui, je sais, c’est normal après tout, mais elle a toujours été si innocente. C’est difficile de réaliser qu’à partir d’un moment, alors que je grandissais à ses côtés, elle a commencé à avoir la chatte en feu et à avoir envie de se caresser. La fille qui a été ma meilleure amie pendant des années, celle à qui je parlais tous les jours. Nous étions tellement comme des frères et sœurs que la regarder se branler en est presque incestueux. Je ne me suis rendu compte de rien, nous n’avons même jamais parler sexualité entre nous. Je sais que je ne devrais pas et que ça fait de moi le pire des salauds, mais comme pour Elena et Kamille, j’ai envie d’elle, de pouvoir profiter de son corps fabuleux, comme si c’était ma récompense pour lui avoir été fidèle durant tout ce temps. Cela fait peut-être de moi un gros porc, mais je n’y peux rien, je reste humain. Je ne peux pas me sortir de la tête l’idée que si je les avais connues ado et non enfants, nous serions sortis ensemble. Ce n’est pas juste !
  J’observe le gode entrer et sortir de sa… Mais… j’ai la berlue ou quoi ?! Je n’avais pas bien fait attention tout à l’heure, mais en réalité, c’est par son cul qu’elle est en train de se masturber. Emilie… je ne la verrais plus jamais comme avant… Même ses sœurs ne font pas ça. Elle va de plus en plus vite en se bourrant l’anus. Vu comment elle y va franchement, non seulement elle doit être habituée, mais en plus, elle adore ça. Et dire qu’il y a cinq minutes, je la pensais innocente, voilà maintenant que je découvre qu’elle aime l’anal. J’ai une trique d’enfer. Je sors ma queue pour me branler. Elle pousse des couinements trop adorables. Elle rougit, comme si elle avait honte de ce qu’elle faisait, mais qu’elle en avait trop besoin. Elle n’est plus très loin de jouir, cela se voit. Elle continue quelques instants, puis elle se cambre soudainement en s’enfonçant entièrement son joujou.
—    Ouiiiiiiiiii ! Jouit-elle. Claaaaaaaaaaaaaay !
 Que… quoi ? J’ai rêvé où elle vient de prononcer mon nom ? Serait-ce possible que... que ce soit de moi qu’elle fantasme ? La voir jouir par le cul, c’est déjà trop, mais alors ça… Je n’en peux plus. Je range mon sexe et je m’en vais. Je vais devenir dingue ! Il faut que je me calme. Non, que je me soulage. Il faut que je baise. Peu importe que ce soit avec Kamille ou Elena, mais j’ai besoin d’en tirer une des deux pour oublier Emilie. Je rencontre Kamille en premier. Fou de désir, je l’emmène vite fait dans un coin pour lui faire l’amour. Elle est étonnée par mon entrain, mais plus que partante. Je la ramone comme un chien en manque en missionnaire, au ras du sol. Je n’ai rien d’un amant attentionné, j’ai juste besoin de me vider les couilles. Elle le sent et ça l’excite.
—    Ah, salaud ! Vas-y ! Défonce-moi !
 Elle me chevauche ensuite en me tournant le dos. Elle se fait plaisir sur ma bite. C’est bon, mais je ne parviens vraiment pas à rester passif. Je l’attrape par les jambes pour les lui relever et lui donne des coups de reins.
—    Ah ! Oui ! Tu vas me faire jouir ! Salaud ! Salaud !
  Je la prends comme un sauvage jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. Elle me récompense par une fellation :
—    Kamille, chérie, pitié ! Finis-moi !
 Elle me fait éjaculer dans sa bouche et avale mon sperme comme une grosse gloutonne. Elle n’en laisse pas s’échapper une goutte. Nous nous rhabillons tout de suite après ça et nous nous séparons. Nous ne sommes vraiment que des animaux.
  J’essaie d’oublier ce que j’ai vu les jours suivants, mais même en faisant l’amour à Kamille et Elena, mes pensées vont toujours vers Emilie. J’ai honte, je n’ai pas envie d’être cet homme-là. J’ai déjà de la chance d’être avec deux filles super géniales, pourquoi je ne pourrais pas m’en contenter au lieu d’en désirer une troisième ?! Je veux rester un bon ami, un frère, mais dès qu’elle est dans les parages je bégaye et j’ai des idées salaces. Ce n’est pas vrai, il me les faut vraiment toutes ou quoi !
   Je finis par craquer. C’est plus fort que moi : je ne peux pas rester là à rien faire sachant qu’Emilie, la fille la plus canon que je connaisse, a envie de moi et qu’il me suffirait de me baisser pour la cueillir. Je vais la voir dans sa chambre un soir avec une idée très claire derrière la tête. Nous nous allongeons tous les deux sur son lit à parler de tout et de rien comme nous avions l’habitude de le faire dans le temps. Je perds un peu le fil de la conversation trop occupé à l’admirer. Elle est vraiment sublime. Elle s’est faite une queue de cheval avec ses cheveux blonds aujourd’hui. Cela lui va vraiment bien, j’adore quand elle fait ça. Elle porte un T-shirt et un short en jeans. Même sans décolleté, ses seins sont tellement gros qu’on ne voit que ça. C’est difficile de la regarder dans les yeux, surtout depuis que je sais ce qui se cache en dessous. Elle est prude, elle ne porte pas souvent des vêtements sexy hormis son bikini, mais même ainsi, elle l’est diablement. Le temps passe, puis je prends mon courage à deux mains et me lance enfin dans le sujet sensible. Je me sens mal, je ne suis pas sûr de comment m’y prendre :
—    Emilie, je… j’ai un aveu à te faire. —    Quoi ? s’inquiète-t-elle. —    Eh bien, l’autre jour, tu sais… Je ne l’ai pas fait exprès, mais… je t’ai vue en train de…—    De quoi ? rougit-elle.—      Elle sait de quoi je parle, mais elle espère qu’elle se trompe et que je parle d’autre chose. Je prends une profonde respiration et le lui dit :
—    Je t’ai vue en train de te masturber.
  Elle baisse la tête. Moi aussi, cela me fait drôle rien que de le dire à voix haute. C’est marrant, Kamille m’aurait déjà tué pour avoir osé faire un truc pareil, mais elle, c’est elle qui se sent coupable.
—    Bah quoi. Je... j’ai le droit, non ? Je suis une grande fille, se justifie-t-elle sans croiser mon regard.—    Non, non, je sais. Mais tu as… je t’ai aussi entendue prononcer mon nom…—    Quoi ?! Mais… non ! Ce n’est pas du tout ce que tu crois ! —    Ah bon ? Qu’est-ce que c’est alors ?—    Et bien… je… Mais cela ne te regarde pas, voyons ! Et puis... je… Oh zut !—    Quoi ?—    Ok, je l’avoue Clay ! Je… je pensais à toi en me caressant… Je suis désolée. Je suis une horrible personne. Tu ne m’en veux pas ?
  C’est moi le pervers, mais c’est elle qui s’excuse. Je la trouve vraiment trop craquante.
—    Bien sûr que non, je trouve ça même touchant.—    Ce… c’est vrai ? Je ne te rebute pas ? —    Bien sûr que non, pourquoi penses-tu une chose pareille ? —    Parce que nous sommes amis depuis si longtemps. Je sais que c’est mal de penser à ce genre de chose ; je ne devrais pas.—    Tu sais… moi aussi il m’est déjà arrivé d’y penser. —    C’est vrai ? —    Évidemment. Nous sommes peut-être très proche, mais nous restons des hommes et des femmes.
  Elle glousse. Non pas parce que j’ai dit quelque chose de drôle, mais c’est une réaction naturelle pour essayer de se détendre dans une situation stressante.
—    C’est vrai ? Tu me trouves jolie ?—    Tu en doutes ? Non mais regarde toi ! Qui ne te trouverait pas jolie ?!
  Elle glousse à nouveau.
—    Tu dis ça, mais tu sais… je n’ai jamais vraiment eu de copain… Alors je ne dois pas être si attirante que ça.—    Mais qu’est-ce que tu racontes ! Évidemment que tu l’es ! Je n’ose franchement pas te répéter les commentaires de certains de mes potes à l’époque à ton sujet tellement ils te trouvaient canon. Sauf que tu passes tout ton temps dans ton coin à t’isoler des autres, ça n’aide pas à trouver quelqu’un.—    Je sais, c’est vrai, je suis désolée.—    Lol. Ce n’est pas pour moi qu’il faut être désolé. —    Le problème c’est que… Raah. C’est difficile à dire.—    Qu’est-ce qu’il y a ? —    Je ne sais pas si je peux vraiment en parler…—    C’est moi voyons, tu sais que tu peux tout me dire. —    C’est à propos de ce que tu as dit tout à l’heure, que c’était « normal » de ressentir ça parce qu’on reste des filles et des garçons. Le problème, c’est que je crois que c’est un peu plus que ça… —    Comment ça ? —    Je… je ressens vraiment quelque chose pour toi, Clay. Je sais que tu ne m’as toujours vue que comme une petite sœur, mais moi, j’ai toujours… voulu plus.
  Je suis ébahi par cette déclaration, je ne m’attends pas à ça.
—    Mais pourquoi tu ne m’en as jamais parlé avant ?—    Parce que je ne suis qu’une gamine pour toi, je le sais bien. Je ne suis pas idiote, je sais que c’est Kamille qui t’intéresse. —    Mais c’est n’importe quoi !—    Tu ne m’aimes pas. Enfin, pas comme ça.—    Si, je t’aime. —    Je ne te crois pas.—    Emilie… je t’aime… dis-je du plus profond du cœur.
  Elle ne dit rien. Le silence s’installe. Elle me fixe avec des yeux pétillants. Nos lèvres se rapprochent doucement l’une de l’autre. Soudain, nous nous embrassons d’un vrai baiser d’amour. Nous nous enlaçons tandis qu’elle se laisse retomber sur le matelas.
—    Je t’aime, Clay.—    Moi aussi Emilie.
  Elle rougit et détourne du regard.
—    Qu’est ce qui ne va pas ?—     Je… j’ai envie…—    Envie de quoi ? —    J’ai envie de faire l’amour avec toi. —    Vraiment ? —    Oui… Tu… tu veux bien de moi ?—    Bien sûr que je veux de toi. J’ai envie de toi moi-aussi. —    Ce… c’est ma première fois.—    Je m’en doute. Ce n’est pas grave. —    Tu vas me faire l’amour, alors ?—    Oui, Emilie, je vais te faire l’amour.
  Elle est trop craquante, je bande comme un âne. Je me penche sur elle pour la gouter à nouveau. Nos langues s’entremêlent. Il émane tant de désir venant d’elle, c’est enivrant. Je la pelote à travers ses vêtements. Je peux enfin caresser ses seins, ils me font envie depuis le début des vacances. Cela ne me suffit pas, je veux sentir sa peau sous mes doigts. Je n’arrive pas à croire ce qui est en train de se passer. Je vais la baiser, je vais me la faire. De tous les mecs qui fantasment sur elle, c’est moi qu’elle a choisi. Je la veux tellement, elle me rend fou. Je veux lui voler son innocence et en faire une femme.
  Je lui retire son haut. Elle porte un soutien-gorge en dentelle. On dirait qu’il va exploser tellement sa poitrine est énorme. Je masse avidement ses globes prisonniers tout en l’embrassant.
—    Tu veux les voir ? me demande-t-elle remarquant mon intérêt pour ceux-ci. —    Si tu savais…
  Sa voix était toute fébrile. Elle est effrayée pour sa première fois, mais ses yeux sont brulants d’envie. Elle ne cherche pas qu’un orgasme, elle veut se sentir désirée, aimée ; je compte lui offrir bien plus encore. Elle me fixe du regard pendant qu’elle enlève doucement son soutien-gorge ; elle veut observer ma réaction. Je m’illumine devant l’apparition de ses monts merveilleux qui se dévoilent enfin. Je la sens mal à l’aise d’être torse-nue devant un garçon, mais partiellement rassurée de constater que ce qu’il voit lui plait beaucoup.
—    Ils te plaisent ? —      Elle le sait, mais elle a besoin de me l’entendre dire.
—    Ils sont magnifiques, les plus beaux que je n’ai jamais vu.
 Elle rougit
 Je me rue sur ses adorables tétons pour les prendre en bouche. Je les suce. Elle gémit lorsque je les lui mordille tendrement. Elle respire bruyamment, excitée et stressée.
  Je glisse une main vers son entrejambe. Elle tremble lorsque je la passe sous sa culotte, personne ne l’a jamais touchée là-bas, mais elle écarte néanmoins les cuisses pour m’en donner l’accès. Elle me fait confiance, elle s’offre à moi. J’atteins enfin sa chatte déjà humide. On dirait qu’elle s’est fait le maillot, je ne sens pas un seul poil. Je la taquine de mes doigts pour lui faire monter son envie. Tout son corps est traversé par un frisson électrique lorsque je me décide de lui titiller le clitoris. Elle ferme les yeux pour profiter du bien que lui procure mes caresses. Je lui enfonce deux doigts et lui fouille son vagin ; cela la fait mouiller davantage. Même dans une telle situation, elle a l’air si innocente. On dirait qu’elle découvre le plaisir sexuel pour la première fois et qu’elle en a honte. J’augmente mon rythme.
—    Aaah ! geint-elle en se cambrant.
  Elle se tort dans tous les sens comme si elle cherchait à me désarçonner ; pas de bol pour elle, je parviens à rester en scelle. Lorsque je la sens à l’agonie, soudain, je m’arrête. Elle cesse de remuer, le souffle court. Le calvaire est terminé. Elle se calme, mais pas de la façon dont elle l’aurait espérée. Elle doit me maudire de ne pas l’avoir faite jouir.
  Je lui enlève son short. Elle me laisse faire, comme paralysée. Je lui débarrasse de son dernier rempart avant que ma tête ne se fraye en chemin entre ses jambes. Elle sait ce qui va venir, elle en a envie, mais j’attends un moment sans rien faire pour jouer avec sa frustration. Elle me regarde dans l’expectative, la bouche entrouverte, se demandant si elle doit me supplier.
  J’en profite pour admirer sa chatte. Je n’ai jamais rien vu aussi beau. Une belle fente glabre aux lèvres gonflées, vierge de toute intrusion masculine, mais débordante de jus. Je veux être le premier pénétrer cette forteresse.
  Je l’ai assez faite souffrir ainsi, je lui lèche le minou afin de la gouter. Elle est délicieuse, il m’en faut encore. Je joue avec son clitoris du bout de ma langue. Je le pince entre mes lèvres. Elle resserre les cuisses autour de mon cou. Je lui renfonce deux doigts au plus profond de son être. Elle se remet à gigoter, c’est plus que ce qu’elle peut endurer, sauf cette fois, c’est pour se presser la chatte contre ma figure. Elle cherche à m’emprisonner, à me forcer de lui donner la délivrance de l’orgasme, mais j’arrive hélas à me délivrer au dernier moment.
—    Clay… me supplie-t-elle. —    Tu veux que je te fasse l’amour ? —    Oui, s’il te plait. —    Alors demande-le moi. —    Je veux que tu me fasses l’amour. —    Dis-moi comment.—    Comment ? répète-t-elle, elle ne comprend pas.—     Tu veux que je te lèche encore ? Ou que je te pénètre avec ma bite ?—    Je voudrais… avec ta bite… rougit-elle.—    Tu veux que je te prenne ?—    Oui…
  Sa voix est si douce, on dirait une enfant.
  Je me redresse et me déshabille. Elle fixe mon sexe bandé lorsque je me débarrasse de mon caleçon. C’est le premier pénis qu’elle voit en vrai, elle est obnubilée par ce qu’elle voit. Elle n’a pas l’air effrayée, plutôt curieuse et impatiente. Je me place entre ses cuisses, la bite en main. Je n’arrive pas à croire ce que je m’apprête à faire. Elle est là, allongée devant moi, complétement nue. Emilie… La douce et vierge. Je vais violer le temple de son corps. Elle va être souillée à jamais ; mais avant ça, je veux jouer encore un peu avec elle :
—    Dis-moi ce que tu veux. —    Je veux que tu me fasses l’amour.—    Mais encore ?—    Que… que tu me prennes. —    Tu veux me sentir dans ta chatte ?—    Oui…—    Alors dis-le moi…—    Je… je veux te sentir dans ma chatte.
 Elle a honte de ses mots, mais elle est dans un tel état que je peux lui faire faire n’importe quoi. Je pousse mon champignon au bord de ses lèvres, puis le presse pour m’insérer en elle. Je la pénètre. Comme je m’en doutais, elle n’a pas d’hymen, elle a déjà dû le faire sauter avec son jouet. Je me loge jusqu’au raz des couilles, nous gémissions ensemble de plaisir. C’est doux, chaud et humide. Je suis si heureux d’être le premier à entrer dans ce territoire inconnu.
  Je démarre un lent va-et-vient. Je suis peut-être un enfoiré de la tourmenter un peu, mais je tiens à ne pas lui faire de mal. Je me penche sur elle pour l’embrasser, je joue avec ses énormes seins. Elle est à moi, rien qu’à moi. Je veux la garder pour moi tout seul. Mon dieu… Emilie… Je la considérais tellement comme ma sœur à une époque que ce que nous faisons en est presque incestueux. C’est si bon de lui faire l’amour. Je me laisse aller à mes instincts primaires qui exigent que je la saillisse même si j’ai déjà deux autres partenaires. Mon dieu, les sœurs Mallory, elles me rendent dingues ! Je suis désolé, je n’y peux rien, elles sont tellement canons. Je veux les baiser, je veux TOUTES les baiser. Je les ai aimées comme un gamin, je veux les aimer comme un adulte, en leur donnant de l’amour et du sperme. Dieu que je les aime…
  Je profite de ce corps qui s’offre à moi. Je caresse ses courbes généreuses et fait glisser mes doigts sur sa peau douce. Elle me laisse la prendre désormais à bon rythme. Elle m’enlace pour me maintenir contre elle. Je lui fais ressentir mon souffle dans son cou.
—    Clay… gémit-elle.—    Alors, qu’est-ce que tu préfères ? Ton gode ou ma bite ?—    Ta… Ta bite. —    Tu veux que je continue ?—    Oui… —    Que je continue de quoi ?—    De… me baiser…—    Tu veux que je te baise ?—    Oui…—    Alors dis-le moi…—    B… Baise-moi !
  Elle se prend au jeu. Elle était déjà moins gênée de le dire tout haut. Si je continue comme ça, je vais vraiment réussir à la décoincer.
   Mes hanches bougent toutes seules, j’ai le besoin irrépressible de lui défoncer la chatte. Je veux la prendre, la posséder. Ce qui me rend encore plus fou, c’est de voir qu’elle aime ça, qu’Emilie la prude aime la bite et réclame de se faire ramoner le vagin. Je veux la pervertir et la faire jouir si fort qu’elle en redemande tous les jours. Je sens d’ailleurs qu’elle n’est plus très loin de l’orgasme. Je pourrais continuer et la finir, sauf que moi, j’ai envie d’en voir plus. Il me faut alors un effort surhumain pour m’arrêter.
—    Qu’est ce… qu’est ce qui se passe ? demande-t-elle confuse quand je sors d’elle.—    Rien.
  Elle ne doit pas comprendre ce qui lui arrive, la pauvre. Je suis une belle ordure. Elle était si proche… Elle me regarde avec des yeux de chiens battus :
—    J’ai fait quelque chose de mal ? —    Non, pas du tout, au contraire. —    Mais alors… —    Tu as envie de jouir ?—    Je… oui, rougit-elle. —  Alors il va falloir te faire jouir toi-même. Tu n’espérais pas que je fasse tout le boulot tout de même ? Allez, viens, je vais m’allonger, et tu vas me chevaucher, d’accord ?
  Elle hoche de la tête, mais je sens bien que l’idée la rend mal à l’aise. Pour une timide comme elle, c’est sûr que c’est facile de se laisser se faire prendre par un mec, c’est plus difficile de s’empaler soi-même ; c’est pourtant exactement ce que j’ai envie de voir.
  Je m’installe dos sur le lit. Elle se redresse à côté de moi et fixe ma verge dressée. Elle hésite. Je sais parfaitement ce qui lui passe par la tête : elle est effrayée par l’idée qu’un homme puisse la regarder se donner elle-même du plaisir, que ce soit avec un gode ou une bite. Je ne lui demande pas ça parce que je suis un bourreau, j’aimerais juste qu’elle apprenne à mieux assumer ses désirs. Elle n’a aucune honte à avoir.
  Elle passe une jambe au-dessus de moi et se met lentement en position. Cela doit lui en couter de faire ça, mais elle en a tellement envie. D’un geste peu assuré, elle attrape mon sexe pour le guider vers son entrée. Elle s’en insère doucement le gland avant de le faire glisser entièrement au fond d’elle en s’affaissant.
—    C’est bien, ma chérie, l’encourage-je. Remue du bassin maintenant.
  Ses instincts reprennent le dessus malgré ses réticences. Elle remonte et redescend lentement sur ma queue pour mieux me sentir sans son vagin. Je pose mes mains sur ses hanches tandis qu’elle pose les siennes sur mon torse. Ses seins se balancent au rythme de ses allers-retours. Ils sont incroyablement gros, on dirait deux énormes melons qui pendent. Ils m’excitent.
  Elle ferme les yeux de peur de croiser mon regard. Elle augmente la cadence. Elle se sert de moi comme d’un vibro. Sa chatte est affamée, elle a besoin de se faire du bien. Elle gémit, à la fois gênée et heureuse. C’est un spectacle magnifique à observer, c’est la plus belle femme du monde. Elle dégage un tel érotique que je pourrais en éjaculer.
  Je me relève et glisse un bras dans son dos pour la serrer près de moi. Elle rouvre les paupières lorsque je l’embrasse, surprise. Elle est obligée de me regarder maintenant. Elle me rend mon baiser avec la langue, j’accompagne un peu ses mouvements afin de mieux nous emboiter. Nous sommes collés l’un contre l’autre, nous ne faisons qu’un. Elle me tient contre elle en s’empalant frénétiquement sur ma queue. Le plaisir la rend folle et elle cherche la délivrance. Ses peurs et ses inhibitions s’évaporent. Elle veut jouir, peu importe les conséquences, peu importe ce que je peux penser d’elle. Je lutte contre ma propre envie de cracher mon jus, je tiens à rester dur pour elle, que ma bite devienne son nouveau jouet et qu’elle en oublie à jamais son stupide gode. Je veux qu’elle devienne l’objet de ses fantasmes.
  Je joue avec ses seins puis lui mordilles les tétons. Je me rallonge sur matelas afin de mieux l’admirer à l’œuvre. Elle est proche, toute proche de l’orgasme. Je me refuse de l’aider. Si elle le veut, elle doit se le donner elle-même.
—    Fais-toi jouir, Emilie. Vas-y !—    Oui ! Oui ! Je veux jouir ! Je vais jouir ! Aaaaaaaaah !  
  Ça y est, elle vient, elle tremble en étouffant un cri. Le visage de la petite Emilie crispé par le plaisir que lui procure ma queue, je n’en rate pas une miette, c’est merveilleux, et obscène aussi. Elle s’effondre sur moi, à la fois épuisée et étourdie. Sa vague de plaisir passe, elle commence à se calmer.
—    Clay… je t’aime… me dit-elle. —    Moi aussi.
   Je l’enlace contre moi. Je suis toujours dur en elle. J’aurais pu la rejoindre mais je me suis retenu. Ce moment n’appartenait qu’à elle, puis j’avoue que j’ai encore envie d’en profiter un peu.
—    Ça va ? Tu es bien ? Tu as aimé ? lui fais-je.
  Je suis soucieux d’avoir ses impressions :
—    Oui… Mais… —    Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? —    Non, rien. Tu vas me prendre pour une perverse. —    Mais si, allez, vas-y.—    Je… j’en veux encore… —    Encore ?!  —    Tu vois ? Je savais que tu réagirais mal. —    Mais je ne réagis pas mal, je suis agréablement surpris, c’est tout. Et puis moi, je n’ai pas joui, tu te doutes bien que je ne comptais pas en rester là. De quoi as-tu envie ? On fera tout ce que tu voudras.—    Je... J’ai une idée, mais j’ai peur que tu aies une mauvaise image de moi. —    Emilie… Comment pourrais-je avoir une mauvaise image de toi ?!—    J’ai peur que tu ne me voies plus jamais comme avant.—    C’est déjà trop tard ça. Avec ce que nous venons de faire, il est clair que je ne te verrais plus jamais comme avant. J’ai vu la femme derrière l’amie d’enfance, celle qui a la chatte en feu et a besoin de jouir. J’ai très envie d’en voir plus. —    Je… j’ai envie de sucer, dit-elle en fuyant mon regard.—    Sérieux ?! —    Je… oui… J’ai envie… de sentir un sexe en bouche. Tu veux bien ?—    Bien sûr que je veux bien !
  Elle n’est pas croyable. Je pensais que j’aurais besoin de le lui demander pour qu’elle me fasse sa première pipe. Son vagin me manque déjà lorsqu’elle fait sortir ma queue hors elle. Elle s’installe à côté de moi. Je m’assieds plus confortablement contre la tête de lit. Elle regarde ma verge dressée avec fascination. Elle hésite instant, puis avance une main pour la saisir timidement. Je l’ai baisée, elle l’a eu en elle, mais je réalise que c’est la première fois qu’elle peut en voir une en vrai et jouer avec comme ça.
— Elle est belle, elle est grosse, me dit-elle.—    Je suis content qu’elle te plaise.
  Elle me branle doucement, elle prend son temps. Elle est curieuse de découvrir le sexe d’un homme. Elle recouvre et décalotte mon gland en branlant fermement ma verge. Mon méat suinte de pré-sperme dû à notre précédent ébat. Il en a qui lui en coule sur les doigts, mais elle ne s’arrête pas.
—    C’est bon ? me demande-t-elle. —    Oui, continue ma chérie.
 Elle me sourit, elle est heureuse de savoir qu’elle me fait du bien. Elle se penche vers moi. Je retiens ma respiration en voyant qu’elle ouvre la bouche. Elle va le faire ! Elle m’avale et se met à me sucer. Quelle vision divine : Emilie Mallory en train de faire une pipe à un garçon. On est décidément bien loin de l’enfant innocente que j’ai connue, et c’est tant mieux.
  Je la guide un peu en lui prodiguant des conseils. Je lui caresse tendrement ses cheveux blonds. Elle apprend vite. Elle salive beaucoup en faisant des bruits obscènes. Elle essaie de me prendre le plus loin possible dans sa gorge.
—    Oooh… Emilie.—    Tu aimes ? —    J’adore.
 Elle reprend sa fellation. Pour sa première, elle ne fait pas semblant. Elle a vraiment envie de pomper mon dard. Elle fait discrètement glisser son autre main sur sa chatte pour se caresser en même temps. Elle doit mouiller la coquine.
  Elle prend de l’assurance et augmente son rythme. Elle n’a pas peur de jouer avec sa langue. C’est trop bon de voir une fille aussi timide et coincée faire un truc aussi obscène, surtout quand on voit combien elle aime ça malgré qu’elle goute aussi ses propres secrétions. Elle se met même à la sortir pour me lécher.
  Elle est à l’écoute de mes réactions pour voir ce qui me fait de l’effet. Je gémis bruyamment de bonheur. Quand elle commence à faire ventouse avec ses lèvres tout en me branlant très vite, je suis à l’agonie. Elle ne se rend pas compte de ce qu’elle fait, si elle continue, elle va avoir une surprise, je l’arrête avant qu’il ne soit trop tard.
—    Emilie, arrête ! Arrête !
  Elle ne m’écoute pas, je suis obligé de la forcer à lâcher ma queue.
—    Quoi ? Cela ne te plait pas ? me demande-telle toute apeurée. —    Si, mais justement, tu vas me faire jouir si tu continues comme ça. —    C’est ce que je voulais. —    Quoi ? Tu voulais que je jouisse dans ta bouche ? Tu réalises que j’allais éjaculer plein de sperme ? Tu ne trouves pas ça dégueulasse ?—    Ben… j’en ai déjà gouté un peu sur ton gland finalement, ça ne m’a pas dérangée.
  Elle rougit, c’est trop mignon. Ainsi donc, elle serait peut-être prête à avaler, il faudra que je note ça pour plus tard.
  Ce n’est pas que j’aurais eu des scrupules à la laisser faire et à lui arroser le gosier de foutre sans la prévenir comme le dernier des salauds, mais c’est surtout que j’avais d’autres plans en tête. C’est la raison pour laquelle je me retiens depuis le début :
—    Emilie, j’ai un aveu à te faire. —    Quoi ?—    Quand je t’ai surprise en train de te masturber, j’ai remarqué que ton gode, tu te l’étais enfoncé dans le cul.
  Les joues rougissantes, elle détourne le regard en ne disant rien.
—    Tu aimes vraiment ça ? lui fais-je.—    Je… oui… —    Tu le fais souvent ? —    Oui… très. —    Tu vas me prendre pour un gros porc, mais je n’arrête pas d’y penser depuis que je t’ai vue. Tu veux bien que... je te prenne par-là ?—    Tu voudrais ? Ça ne te rebute pas ?—    Un peu que non ! Quel mec dirait ça ?—    Je… j’ai envie moi aussi. —    Envie de quoi ?
   Je joue à nouveau avec elle pour la forcer à le dire tout haut :
—    J’ai envie… que tu m’encules.
  Bordel, j’aurais voulu pouvoir l’enregistrer.
—    Moi-aussi, Emilie. Je vais t’enculer ma chérie.
  Je lui demande de me faire confiance et de s’installer à quatre pattes. Elle m’écoute. Putain, c’est trop beau de la voir en petite chienne soumise. Comment ne peut-on ne pas avoir envie de la ravager ? Je sais que c’est assez culotté de lui demander un truc pareil alors que c’est sa première fois avec un homme, mais si elle-même a l’habitude de se branler par ce trou-là, où est le mal ? Je m’approche d’elle par derrière la verge plus dure que jamais. Waow. Elle a un cul fantastique. Elle se cambre comme pour me supplier que je m’occupe de son petit trou. Je lui caresse les fesses puis je lui prépare sa rosette avec un peu de salive. Je lui enfonce un doigt dans l’anus, elle frémit. À vrai dire, moi aussi. C’est la première fois que je suis avec une fille qui est attirée par l’anal, j’en ai toujours rêvé. C’est quand-même dingue que ce soit la plus jeune et la plus innocente des sœurs Mallory qui est prête à faire ce genre de truc. Kamille me tuerait si je faisais mine de m’approcher de son cul.
  Je teste ses réactions avec mon doigt. Elle ne fait pas semblant, ça lui plait vraiment. J’ai envie de lui enfoncer un truc bien plus gros. Je me redresse et pointe mon dard vers son entrée de derrière.
—    Tu es prête ma chérie ?—    Oui, vas-y. Sodomise-moi.
  Je presse mon champignon contre son anus, puis, après une légère résistance, j’y fais entrer ma verge. Waow, putain ! Je n’en reviens pas ! Je suis dans le cul d’Emilie ! C’est tellement serré.
  Je commence à la prendre tout doucement, mes mains sur ses hanches. Je suis soucieux de son bien-être et ne voudrait pas lui faire du mal :
—    Ça va, Emilie ?—    Oui. —    Je continue ? —    Oui.
  Après un peu de temps, cela devient plus facile de faire du va-et-vient. J’en profite pour augmenter ma cadence. Bientôt, je lui lime le cul comme j’aurais baisé sa chatte, c’est-à-dire fort. Elle gémit… de plaisir. Putain mais elle aime vraiment ça. Elle cachait décidément bien son jeu, la petite salope :
—    C’est bon ?—    Oui ! Oui !—    Tu en veux encore ?—    Oui ! Encore !
 Bordel, elle a l’air encore plus excitée que lorsque je lui ai fourré le vagin.
 Voir Emilie totalement offerte, à quatre pattes rien pour moi, avec mon sexe qui disparait dans son anus, cela me fait perdre la tête. Je deviens une bête. Je veux la défoncer tellement fort qu’elle en boitera demain et que ses sœurs lui demandent ce qui lui est arrivée. Pris sous l’envie du moment, je lui donne soudain une fessée. Merde ! Je suis fou ? Je n’aurais pas dû.
—    Ah ! Oui ! gémit-elle.
  Elle a aimé ? Sa réaction m’étape ! On dirait une vraie petite soumise. Cela m’encourage à être plus brutal. Je veux que son cul devienne un cratère qui ne se referme jamais. C’est vraiment trop bon. Maintenant que j’y ai gouté, je ne vais plus pouvoir m’en passer. Je sens que je vais abuser d’elle et de son petit trou tous les jours. Elle m’appartient, elle est à moi. Je ne laisserais personne d’autre la toucher.
   Mes couilles pleines claquent contre son pubis. Ses gros nibards se gigotent dans tous les sens. Je ne vais plus pouvoir me retenir, j’ai besoin d’éjaculer depuis trop longtemps. Elle s’écroule en avant, la poitrine écrasée sur le matelas. Elle non plus ne parait plus très loin de l’orgasme. Je grince des dents, plus qu’un petit effort à faire. Son corps frissonne à chaque nouvelle fessée.
—    Petite salope ! fais-je.
  Je sais que c’est vulgaire, mais c’est sorti tout seul.
—    Je suis désolée, dit-elle presque en pleurant. —    Désolée de quoi ?—    D’être une salope. —    Tu aimes qu’on te prenne par le cul comme une chienne ?—    Oui… Encule-moi ! Je vais jouir ! —    Jouis, ma petite chienne ! Jouis pour moi !—    Oui ! Oui ! Aaah ! Ça vient ! —    Vas-y Emilie !—    Ouiiiiiiiii ! Aaaaaaaaaaah !
  C’est incroyable. Elle jouit, elle jouit par le cul. Je n’aurais jamais cru ça possible, il faut le voir pour le croire. C’est trop, cela déclenche mon propre orgasme, sauf que je suis bien trop vicieux pour me contenter de gicler dans ses intestins. Rapidement, je sors d’elle et la retourne sur le dos alors qu’elle est encore frappée par sa jouissance. J’ai besoin de la salir comme la dernière des putes, de souiller son innocence. Je me branle devant son visage et grogne lorsque j’expulse mon premier jet de sperme.
—    Héééééé ! Non ! s’écrie-t-elle en comprenant à peine ce qui se passe.
  Je suis incapable de m’arrêter. Je lui envoie d’autres copieuses trainées de foutre. Je me vide les couilles sur sa délicieuse petite figure de vierge.
—    Allez ! Prends ! Salope !  
  Malgré qu’elle remue la tête pour l’éviter, son nez, ses cheveux et ses joues sont recouverts de jus de mâle. Je m’essors la queue pour lui donner les dernières gouttes lorsque ma source se tarit. Je pousse un râle de bonheur une fois fini :
—    Raaah ! Putain ! Emilie…—    Tu n’es qu’un gros dégueulasse ! m’engueule-t-elle. Tu m’en as mis partout.—    Désolée, mais c’était trop bon. —    Tu n’es qu’un salaud ! Je ressemble à quoi maintenant, moi ?! —    Tu es magnifique. —    Je… Tu… Tu trouves ? me demande-t-elle d’un ton plus calme. —    Oh oui. Je suis peut-être un gros dégueulasse, mais je te trouve encore plus belle avec mon sperme sur le visage.
  Elle rougit en détournant le regard :
—    Ça va alors. —    Tu es sûre ?—    Oui. Si cela te plait, tu peux me jouir dessus à chaque fois que tu as envie. —    Je t’aime Emilie.—    Moi aussi.
  En se redressant, du sperme coule sur ses seins, laissant des trainées jusqu’aux tétons. Elle en ramasse un peu, puis le goute.
—    Qu’est-ce que tu fais ? lui fais-je. —    J’étais curieuse. Je... je confirme que ce n’est pas mauvais.
  Bordel, je ne vais pas m’ennuyer avec elle. Je l’enlace contre moi, et lui fais un baiser sur le cou.
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