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Mes aventures avec Sabrina

Chapitre 5

Erotique
Rentrant du travail et après avoir fait quelques emplettes dans une grande surface, Sabrina s’approchait de sa voiture sur le parking sans remarquer la camionnette garée à côté de sa voiture, côté conducteur.
De loin, elle avait déjà désactivée la fermeture des portes et posant la main sur la poignée de sa portière, elle sursauta quand dans son dos la porte coulissante de la camionnette s’ouvrit brusquement permettant à deux hommes de l’empoigner tout en la bâillonnant d’une main ferme et de l’entrainer vigoureusement à l’intérieur du fourgon dont ils refermèrent la porte.
Aussitôt plaquée au plancher par les deux voyous, elle fut immédiatement immobilisée, les pieds entravés et les mains liées dans le dos par plusieurs tours de ruban adhésif.Pour l’empêcher de crier, ils lui fermèrent la bouche à l’aide du même ruban, puis goguenards, satisfaits de leur prise, ils quittèrent la partie stockage de leur véhicule par la porte coulissante pour s’installer sur les sièges avants, et éteignirent de la cabine de pilotage les deux plafonniers, plongeant ainsi Sabrina dans une obscurité complète.
Sabrina entendit le moteur se mettre en marche et sentit le véhicule démarrer, elle était atterrée, son souffle s’accélérait, son cœur palpitait.Juste avant de s’asseoir sur les sièges avant, l’un des hommes lui avait palpé les seins tandis que l’autre d’un geste lent et appuyé passait le tranchant de la main dans l’entrejambe provoquant à travers le fin tissu en nylon de sa petite culotte l’ouverture de ses lèvres.Elle savait désormais parfaitement à quoi s’en tenir...........Elle serait, au mieux leur jouet sexuel, au pire victime de leur sadisme et peut être même vendue on ne sait où.
Elle qui si souvent se voyait malmenée, troussée, ramonée, baisée par tous ses orifices lors de ses nombreux fantasmes de viol se voyait désormais confrontée réellement, en vrai de vrai à ses désirs les plus secrets.
De là à dire qu’elle jouirait de la situation, cela n’en prenait pas la tournure.
Le véhicule lui donnait la sensation de rouler vite et régulièrement, visiblement les kidnappeurs avaient pris l’autoroute à proximité du magasin.Le seul espoir de Sabrina était sa voiture dont la portière était restée largement ouverte et son sac à main ainsi que ses achats qui s’étaient éparpillés sur le parking ;Autant d’indices qui attireraient rapidement l’attention sur sa disparition, à moins que et cela ajoutait à son angoisse qu’un ou une imbécile ne s’empare du sac et des achats et qu’il trouve les clefs de sa voiture pour en faire de même.Sabrina avait maintenant l’attention attirée par le véhicule qui, après un interminable parcours angoissant, avait, sans aucun doute, vu les secousses, pris une route chaotique.Et de fait, le véhicule avait emprunté un chemin agricole et s’approchait d’une cabane de bois à l’orée d’une forêt.Là, Sabrina comprit d’après les voix entendues et les cris de satisfaction, que les hommes avaient rejoint 2 compères.La nuit s’apprêtait déjà à tomber car comme nous étions en été et que Sabrina avait quitté le magasin vers 18h, l’obscurité en cours de progression totale lui laissa supposer qu’ils avaient roulé environ 3 heures.
Elle fut débarquée du véhicule et transportée comme un sac de pommes de terre sur l’épaule du plus costaud d’entre eux.Reposée sur ses deux pieds et placée dans la lumière éblouissante des phares, ses liens furent coupés à l’aide d’un cutter et son bâillon adhésif arraché d’un seul coup comme une bande de cire épilatoire, ce qui n’eut heureusement pas le même effet douloureux compte tenu du fait qu’elle ne se laissait pas poussé la barbe. Cette pensée incongrue en ces circonstances eut pour effet de la détendre un peu.Celui qui l’avait libéré de ses liens, la pointait du doigt lui expliquant d’un air méchant qu’elle aurait désormais intérêt à obéir.Exposée en pleine lumière des phares, à l’extérieur et sans bâillon, Sabrina en conclut qu’elle devait être dans un bled complétement paumé et qu’il lui serait illusoire de s’encourir avec quatre cinglés à ses trousses.Eblouie par les phares, elle entendit sans savoir lequel, un des hommes lui dire :« Allez Sabrina, désape toi qu’on puisse te mater »
Quoi, comment est-ce possible, ce type m’a appelé par mon prénom, me connaitrait il ?Et cet exhib forcé, encore un autre de mes fantasmes, se dit-elle, mais dire que cette situation m’excite serait faux, quoique, s’ils ne sont pas violents, je pourrai peut-être y trouver mon compte.En réalité, pour l’instant, elle ressentait un mélange de trouille et d’excitation et son vagin devait être aussi sec que la couche d’un nouveau-né qu’on venait de langer.
Comme elle n’obtempérait pas et n’arrivait toujours pas à émettre un son tant elle était tétanisée, un des hommes s’approcha et en la secouant lui dit d’un ton sec : « à poil ».Et comme, elle ne réagissait toujours pas, une deuxième injonction plus forte et plus déterminée la convainquit qu’elle ferait mieux de se déshabiller au plus vite.Après tout, se faire sauter faisait partie de son rôle de femme, rôle qu’elle ne se privait jamais de remplir consciencieusement avec compétence tant elle aimait le sexe et même le sexe brutal.Et, c’est sous des « Ah » de satisfaction qu’elle commença à déboutonner sa blouse. « Allez, poulette, continue » entendit-elle.
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