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Mes aventures avec Valérie ...

Chapitre 1

Erotique
Ce jeudi matin , vers neuf heures , avant mon rendez-vous de dix heures , chez mon médecin , j’entrais dans le Salon de Thé .
J’apprécie de venir en ce lieu . Le cadre , presque médiéval , le calme , le peu de fréquentation , toutes ces choses qui rendent cet endroit agréable .
Je m’installais à ma petite table préférée . A demi dissimulé derrière un grand ficus , j’ouvrais mon journal .
La serveuse arriva au bout de quelques minutes pour m’apporter ma commande . Un grand café-crême et deux croissants .
J’avais toujours remarqué l’activité physique de cette jeune fille d’environ vingt cinq ans . Grande . Mince . Les cheveux longs , noirs , noués en catogan . Les traits fins et réguliers . Sa grande gentillesse . Un regard intelligent .
En apportant ma commande , la jeune fille me demanda : < Tout seul aujourd’hui ? > . Je compris immédiatement qu’elle faisait allusion à mes précédentes visites avec Nathalie . A découvrir son sourire amusé , je compris également qu’elle faisait allusion à nos "activités" avec Nathalie . La jeune serveuse avait remarqué , à plusieurs reprises , nos "agissements" .
< Oui , tout seul , hélas , mais d’attaque > répondis-je en fixant la jeune fille dans les yeux . Elle me fit un clin d’oeil en disant < Tout seul , ça peut être bien aussi !> . Je la regardais , amusé , ne sachant quoi répondre . Je la regardais se diriger , en se retournant pour me lancer un sourire troublant , dans le magasin , derrière le grand aquarium .
Au bout d’une dizaine de minutes , la serveuse revint au salon . Déposant un petit carton sur une table , elle me lança un nouveau sourire . J’étais le seul client .
< Je peux vous proposer un café ? > demandais-je . < Avec plaisir > me fit-elle < mais je ne pourrais pas rester plus de quelques instants à votre table , il y a des clients au magasin > .
La jeune fille revint avec une petite tasse qu’elle déposa sur la table . S’asseyant face à moi , elle m’observa avec insistance . Je me présentais par mon prénom < Moi , c’est Jean-Philippes > . < Moi , c’est Valérie > me fit-elle .
Nous commençâmes à bavarder , échangeant des lieux communs et des considérations d’ordre général . Plusieurs fois , Valérie se levait pour aller servir des clients . Je prenais mon portable pour prévenir mon médecin . Il serait préférable de repousser notre rendez-vous . Il me proposa onze heures . Cela me laissait du temps pour faire plus ample connaissance avec la jeune fille .
Au fil de nos conversations , toujours entrecoupées , Valérie me fit comprendre son intérêt pour les situations troublantes . Elle me raconta quelques anecdotes amusantes , arrivées ici , au salon , depuis les deux ans où elle y travaillait . Tout particulièrement celles auxquelles elle avait assisté , entre Nathalie et moi , il y a quelques semaines .
Pour bien comprendre ces allusions, il est préférable de lire les textes où je relate mes aventures avec Nathalie . (A paraître) .

Nous bavardions depuis , plus d’une heure . De nombreuses fois Valérie se levait pour aller servir des clients . Je lui proposait un rendez-vous , un de ces soirs , ou un de ces jours , ailleurs , afin de faire connaissance . Valérie semblait ravie de cette opportunité .
< Lundi est mon jour de repos > me fit-elle < mais le soir , je suis souvent disponible si je m’arrange !>
< Lundi prochain ? > proposais-je . < ok ! > me fit-elle .
Pendant que Valérie était au magasin , je me rendais aux toilettes . Je me déboutonnais au dessus de l’urinoir en faïence . Je restais ainsi à me soulager , presque en sifflotant .
Soudain , la porte des toilettes s’ouvrit . C’était la jeune fille . Valérie , vint directement vers moi . J’étais un peu gêné ! On le serait à moins . Approchant son visage du mien , elle posa sa bouche sur la mienne . je tenais mon sexe de la main droite , j’étais dans une situation inconfortable . M’embrassant sans retenue , Valérie fouillait ma bouche avec gourmandise . Ses mains posées sur mes épaules .
Mon sexe , en quelques instants , devint d’une raideur sans équivoque . J’étais victime d’une érection "de fer" ! Victime totalement consentante .
Ce baiser dura plusieurs minutes . Nos langues se mêlaient avec délectation . Valérie se serrait contre le côté droit de mon corps . La cambrure de son bassin ne laissait aucun doute quand au sens de son désir .
< Il faut que j’y retourne !> me lança t-elle en me quittant précipitamment . Juste avant de sortir , elle regarda mon sexe en me disant < Je l’avais trouvés superbe la dernière fois , sous la table ...> .
Tout était dit ...
J’étais là , pantois , presque consterné . Incapable de reprendre la totalité de mes sens . Je me reboutonnais . J’allais au lavabo . Je me passais de l’eau froide sur le visage .
Revenu au salon de Thé , je passais mon duffle-coat . Volontairement j’attendais que Valérie ait cessé de servir son client . A cette heure , dans la pâtisserie , les clients étaient plutôt nombreux .
La jeune fille revint d’un pas rapide . Elle me donna un papier avec un numéro de portable . Elle me posa la main sur le sexe et me dit < lundi c’est trop loin !> . Elle posa sa bouche sur la mienne et fouilla ma bouche de sa langue. Même si cela ne dura que quelques secondes , je restais totalement décontenancé . Encore une fois .
Je quittais le Salon de Thé . Mon rendez-vous chez le médecin , mon repas de midi et le reste de la journée restent un profond mystère ! Je n’en ai pas souvenances .
Vers dix sept heures , n’en pouvant plus d’hésiter , je prenais mon portable at appelait Valérie .
Rendez-vous fût fixé au samedi soir , devant le restaurant où j’invitais la jeune fille .______________________________________________________________________________________

Episode No 2 .
Premier rendez-vous .
Ce samedi de la mi février , Valérie et moi avions rendez-vous devant le restaurant "La diligence" , dans la vieille ville . J’avais garé la voiture dans une rue adjacente . J’ étais là pour dix neuf heures trente .
La jeune fille arriva quasiment à la même heure . Nous nous fîmes la bise . Nous étions visiblement très heureux de nous revoir .
Vêtue d’un manteau noir , d’un pantalon noir , chaussée d’escarpins noirs à talons hauts , ses longs cheveux pendaient sur ses épaules . valérie était belle et séduisante .
Sur notre demande , le serveur nous installa à une table retirée , dans le fond de l’établissement . Une banquette en angle nous permettait de nous asseoir l’un à côté de l’autre . La jeune fille sur ma gauche . Un grand ficus , aux feuilles magnifiques et touffues nous dissimulait , en partie , à l’ensemble de la salle .
Valérie me parla de son travail de serveuse , dans le salon de Thé où je l’ai rencontré . Elle me parla de ses études . C’était une situation professionnelle provisoire qui durait depuis deux ans . Situation pesante . La jeune fille me racontait sa rupture amoureuse de l’été dernier . De son amour pour cet homme qui restait encore vivace , malgré elle . Je lui racontais un peu de moi .
Après une entrée délicieuse , composée d’un assortiment de crudités , nous dégustions un repas de fruits de mer tout aussi remarquable . Nous devisions , mêlant l’humour et les choses plus sérieuses .
Vers le milieu du repas , je sentis la main de Valérie sur ma cuisse gauche . Cela me procura un frisson . Doucement, sa main remonta jusqu’à mon sexe . Là , elle s’attarda longuement . Provoquant une érection .
Je regardais avec une grande attention autour de nous . Il était environ vingt heures quarante cinq . Personne ne nous apportait la moindre attention . Le couple le plus proche ,sur notre droite , préoccupé par une conversation inaudible , ne regardait que rarement dans notre direction . Il était impossible , à qui que ce soit , de voir sous notre table .
J’ouvrais ma braguette . Avec peine je sortais mon sexe dur et turgescent . Valérie s’en saisit immédiatement . La jeune fille gardait sa main immobile , se contentant de serrer sa main avec un rythme régulier . Nous avions terminé notre repas .
J’étais terriblement excité , là , assis dans ce restaurant , la braguette ouverte , à me faire toucher . Valérie semblait très excitée , me regardant d’un air amusé . Entre son pouce et son index , elle triturait la peau de mon prépuce . Quel bonheur de n’être pas circoncis . Je savourais cet instant et cette caresse .
Passant à mon tour ma main sous la table , je la posais sur la cuisse de la jeune fille . Je remontais doucement vers son sexe . Je la fixais dans les yeux . Quelques battements de cils trahissaient le trouble qui envahissait Valérie .
A présent , mes doigts entre ses cuisses , j’imprimais à ma main gauche un mouvement de pression , lent et régulier .
La situation perdurait depuis quelques minutes . Le serveur arriva pour débarrasser notre table et nous apporter la carte des desserts . Rapidement , nous posions nos mains sur la table . Sans doute repérés quand même ...
Dès que l’employé eut le dos tourné , nos mains retournaient à leurs activités masturbatoires . Je tentais d’ouvrir le pantalon de Valérie . Elle retint mon geste en disant : < Pas ce soir , petit problème de fille .> < Ah ! Mince , pas de chance ! > fis-je . Je me contentais donc d’en rester à la caresse , au travers du tissus du vêtement .
Restant vigilants , nous guettions le retour du serveur avec nos coupes glacées . Ce dernier ne tarda pas . Dès son départ , nos mains se précipitaient sous la table . Reprenant leurs mouvements rythmés .
Les doigts de Valérie , tripotant la peau de mon prépuce , provoquaient un écoulement de liquide séminal . J’avais peur que des traces en persisteraient autour de ma braguette .
A présent que le dessert était terminé , Valérie se mit à imprimer un lent mouvement de va et vient à sa main droite . Entre le pouce et l’index , délicatement et lentement , en appuyant de façon régulière , elle me masturbait . Prenant soin de ne pas me décalotter . Contrôlant bien la chose . Une attention que les "connaisseurs" apprécient ...
Ce qui rajoutait à l’excitation , était cette façon qu’avait Valérie de faire tout cela avec une discrétion absolue . Continuant à converser de choses et d’autres .
Je demandais l’addition . La jeune fille retira sa main . Je fermais mon pantalon . Mon sexe était trempé . J’avais chaud . Je me réjouissais de retrouver un peu d’air frais .
Une fois dehors , Valérie se précipita contre moi et m’embrassa avec fougue , me disant : < Tu as été remarquable de discrétion et de retenue ! > Elle fouillait ma bouche avec sa langue . Mon érection reprit de plus belle . Se cambrant contre moi , la jeune fille pouvait en apprécier la dureté .
Valérie me proposa un tour dans les rues de la ville . Malgré le froid vif , les éclairages et l’ambiance invitaient à la découverte . Il était vingt et une heure quarante cinq .
Valérie me poussait , en riant , dans chaque recoin , pour me toucher le sexe et m’embrasser .
Nous arrivâmes dans un square . Je l’entraînais dans les fourrés . Le lieu était désert . De temps à autre , dans le lointain , un éclat de voix ou le bruit d’un moteur . J’ouvrais la tirette de mon pantalon . Je sortais mon sexe . Il était trempé . Valérie s’accroupit .
Je pouvais sentir l’incroyable douceur de sa bouche , chaude et douce , se refermer sur mon sexe . Cette sensation est sans doute une des plus sensuelles qu’un homme puisse connaître . Il me fallait lutter pour ne pas tomber en arrière . Je fermais les yeux , savourant la sublime caresse ...
Je pouvais ressentir les douces succions jusqu’au plus profond de mon être . Je sentais Valérie goûter , avec saveur , mon intimité masculine . Je sentais sa langue titiller l’ouverture de mon méat , aspirant , suçant , enfonçant ma virilité dans sa bouche , se retirant doucement pour n’en garder que l’extrémité entre les lèvres .
Valérie restait sans bouger . Savourant ma substance au fur et à mesure de son écoulement . Parfois , j’imprimais à mon bassin , un léger mouvement de va et vient . Je contractais mon sexe . Ce qui avait pour effet de répandre du jus . La jeune fille gémissait tout doucement . Parfois , sa respiration devenait forte et rythmée . Je la sentais se concentrer sur ce qu’elle était entrain de déglutir .
Je prenais sa tête entre mes mains , d’un geste doux et sensuel . Je me retirais de sa bouche . La saisissant par les épaules , je l’invitais à se relever . < Aïe , mes jambes ! > me fit-elle < j’ai des "fourmis" ...> . Je posais ma bouche sur ses lèvres humides . Sa bouche sentait le sperme . < Veux-tu continuer dans la voiture , il fait si froid ! > proposais-je . < Oui , je veux bien . Mais il faudra rouler pour faire fonctionner le chauffage > fit-elle en se serrant contre moi .
Sur le chemin du retour , nous marchions vite . Au bout d’une dizaine de minutes , nous étions arrivés à ma voiture . J’allumais le contact et démarrais . Je prenais la direction de la montagne , à droite , en sortant de la cité . Au bout de quelques kilomètres , l’espace intérieur du véhicule devenait agréablement chaud .
Valérie ouvrit mon pantalon , se saisissant de mon sexe . Je roulais lentement sur une route sinueuse qui menait au col de F. Là , pendant que je conduisais , je pouvais sentir la délicieuse succion sur mon sexe . Il était très excitant de me concentrer sur la conduite et la route ainsi que de ressentir cette fellation .
La bouche de Valérie était si douce , que j’avais l’impression d’avoir mon sexe dans de la purée . Que l’on m’excuse cette métaphore culinaire et absurde , mais je n’ai pas d’autres définitions pouvant traduire la sensation . DIVIN ...
Nous arrivâmes au col . Là , une auberge était encore ouverte . Je garais la voiture sur le parking . Il y avait cinq ou six autres véhicules . Je proposais à Valérie de prendre un verre . La jeune fille , se redressant , la bouche humide , regardant autour d’elle , me fit : < On est déjà arrivé ? Ok ! Allons-y , j’aime bien cet endroit . >
Nous sommes entrés dans la petite auberge de montagne . A cette heure , vingt trois heures trente , il y avait encore une dizaine de personnes pour regarder et écouter un trio de Jazz manouche . Superbe ! Même si la soirée touchait à sa fin ...
Devant un chocolat chaud et fumant , nous devisions , amusés et dans notre "bulle" . J’avais mon sexe congestionné , au fond de mon pantalon , qui me faisait penser à ce que je venais de vivre . Valérie était là , si belle , assise à mes côtés .
Un véritable moment de grâce . Elégiaque ...
L’orchestre arrêta sa prestation vers minuit . Nous décidâmes de redescendre . Valérie devait assurer son service au salon de Thé , demain matin , dimanche , jusqu’à midi .
Sur le chemin du retour , la jeune fille recommença à me sucer . J’ai eu le bonheur de rencontrer et de vivre avec des femmes qui aimaient ça . Mais je dois admettre que là , c’était une véritable sublimation .
J’arrivais dans la rue où était garée la voiture de Valérie . Je stationnais derrière le véhicule . Fermant les yeux , je lâchais mon sperme . Une éjaculation démentielle .
J’apprécie de faire durer . Je peux le faire des heures . Mais je dois avouer que là , ce fût la limite entre l’arrêt cardiaque et le basculement dans la démence ...
Valérie me proposa de venir prendre mon petit déjeuner , au salon , d’ici une bonne nuit de sommeil . Elle m’embrassa et me fit , amusée : < Je ne sent plus ma machoire ! >
Je rentrais chez moi , épuisé . Je m’écroulais dans mon lit comme une masse inanimée ...
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Episode No 3 .
Second rendez-vous .
Valérie était libre ce jeudi . Nous nous étions fixés rendez-vous sur le parvis de la cathédrale . Quatorze heures . Nous sommes arrivés presque à la même minute .
La jeune fille était vêtue d’un manteau noir , d’un pantalon noir . Chaussée d’escarpins noirs à talons , ses longs cheveux noirs , flottant sur ces épaules , achevaient de lui donner une silhouette filiforme .
Conformément à ce que nous avions décidé , dimanche dernier , lorsque j’étais venu prendre mon petit déjeuner , au salon de Thé , je lui proposais de passer l’après-midi chez moi .
Après une demi heure de voiture , nous arrivons à mon appartement . Dans l’ascenseur , Valérie m’embrassa . J’aimais sentir sa langue contre la mienne . Les baisers de la jeune fille étaient profonds , sincères . Terriblement sensuels .
Une fois chez moi , la jeune fille se débarrassa de son manteau . Je mettais de la musique en sourdine et proposait un café . Assise dans mon canapé , Valérie feuilletait mon dernier Géo . Magasine que j’apprécie pour ses articles et ses photographies de très hauts niveaux . Des invitations aux voyages et à la découverte .
J’apportais le café . Je déposais la petite cafetière de métal sur la petite table basse . Je m’assis auprès de la jeune fille .
Valérie se serra contre moi . Je remuais ma petite cuillère , afin de dissoudre le morceau de sucre au fond de ma petite tasse . Je sentais la main de la jeune fille monter le long de ma cuisse . S’arrêtant sur mon sexe .
Très rapidement , une forte érection déforma ma braguette . Valérie , déboutonna mon pantalon . Sortant mon sexe turgescent , la jeune fille se mit à jouer , du pouce et de l’index , avec la peau de mon prépuce .
Valérie m’embrassa . Fouillant ma bouche de sa langue exploratrice . Un vertige envahit tout mon être .
Je me levais . Je pris Valérie par la main et l’emmenait devant mon bureau . Là , j’ouvris le bouton et la tirette de son pantalon . Immédiatement ce dernier glissa au sol . Je me baissais et le retirais complètement . J’invitais la jeune fille à s’asseoir sur mon bureau . Elle laissa tomber ces chaussures . Je m’assis sur la chaise .
Ma langue glissait sur les lèvres et sur le petit bouton de Valérie . Appuyée sur ses coudes , penchée en arrière , la jeune fille gémissait doucement . Les cuisses relevées . Les talons en appui sur le bord du bureau . Je léchais ce sexe . Je m’attardais sur le clitoris . Le décalottant doucement . Ma langue s’enroulait autour de ce petit gland . Je dégustais le goût de cette peau . Je m’attardais longuement .
Je descendais vers les lèvres du sexe de Valérie . Du bout de la langue , je fouillait chaque repli . Je pouvais sentir le goût de son miel . Au bas de cette source , je pouvais savourer l’écoulement des sécrétions intimes . Je savourais jusqu’au vertige .
Au bout d’une dizaine de minutes , Valérie s’anima d’une série de petits spasmes . Les gémissements se firent plus nombreux . Soudain , un long frisson parcourut le corps de la jeune fille . De sa main droite , doucement , elle repoussa ma tête en me disant : < Tu es fou , je vais perdre la raison > .
La jeune fille s’était redressée . Assise sur mon bureau , me regardant , elle soufflait en souriant . Elle rajouta : < Et bien ! Quel moment fabuleux ! >
Ecartant ses cuisses , par surprise et très rapidement , je revins placer ma bouche sur son sexe . < Arrête , tu vas me rendre folle ! > fit la jeune fille , tentant , en vain , de me repousser .
Je repris ma succion sur le petit bouton . Je pouvais le sentir durcir à nouveau . La main de Valérie ne cherchait plus à me repousser . Je recommençais à fouiller son intimité . Ma langue parcourait les plis de son sexe . Je pouvais savourer le goût de ses sécrétions . J’éprouvais un plaisir intense à m’attarder , ainsi , dans les moindres recoins de cette source .
Je n’oubliais aucun pli , aucun secrets . Ma langue caressait chaque endroit , plusieurs fois . Je remontais sur le clitoris . Des frissons parcouraient le corps de la jeune fille . Ses gémissements , doux et réguliers , m’enchantaient . J’aurais voulu que ce moment dure toujours . Je me régalais ...
Soudain , de nouveaux spasmes parcouraient tout le corps de Valérie . Des frissons la secouaient . La jeune fille repoussa ma tête . < Je vais perdre la raison ! > Elle se redressa et se leva de la table . Chaussant ses escarpins , la jeune fille retourna s’assoir dans le canapé . Fermant les yeux , laissant tomber sa tête en arrière , elle me fit : < C’était merveilleux . Je ne me souviens pas avoir vécu cela d’une façon aussi intense > . Je répondais : < Après ce que tu m’as offert , samedi dernier , après le restaurant , je te devais bien ce cadeau ! > ...
Je vins m’asseoir à ses côtés . Valérie se coucha sur le dos , posa sa tête sur mes cuisses . Il se passa quelques minutes avant que je ne l’entendis respirer de façon régulière . Valérie s’était endormie . Je regardais son visage . Je la trouvais belle . Ses traits fins et réguliers . Son visage encadré de longs cheveux presque noirs . Je savourais ce nouveau moment . Plus de vingt années nous séparaient . Il me fallait occulter ce paramètre . Surtout , si je ne voulais pas obscurcir le bonheur de l’instant .
Je finis par m’endormir à mon tour ...
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