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Mes chéries

Chapitre 2

Inceste
Je ne lui réponds pas et fonce vers la caravane. Je me jette dans ma tente en pensant à ce qui s’est passé. Mon esprit gamberge, ma sœur s’est offerte à moi, je peux à peine l’imaginer. Je suis dans mes pensées quand la fermeture de ma tente s’ouvre et apparait Julie, nue, avec son tube de crème.–Ma séance de crème frérot.–Tu ne trouve pas que tu en fais un peu trop ?–Pas du tout, pourquoi ?–Tu fais chier, tires toi.–Maintenant je vais te dire, toi aussi tu commences à me faire chier, tu bande quand tu me passe de la crème et tu joues les vierges effarouchées, ça suffit, passe-moi cette crème, et même sur tout le corps, c’est à la base une crème hydratante, et je veux hydrater mon corps qui est souvent au soleil.Je suis pris au piège, elle se rend bien compte que de toucher son corps ne me laisse pas indifférent.–Ok pour le dos, mais c’est tout, tu te démerde pour le devant.–D’accord.Elle s’allonge sur le ventre à côté de moi et met ses bras sous son visage.–A toi de jouer frérot.Je fais couler un peu de crème un peu partout sur son dos, ses jambes et ses fesses. Mes mains étalent la crème par petits ronds sur tout le corps, il faut en mettre une certaine épaisseur pour que ce soit efficace. Je me surprends à laisser trainer mes mains un peu plus que normal sur ses fesses, elles les enduisent de crème, mais comme je m’attarde trop, il faut ajouter de la crème et recommencer. Je ne m’arrête que quand je réalise que les fesses de Julie dansent dans un mouvement de bassin significatif.–Ok, c’est bon pour ce soir, va te coucher, bonne nuit sœurette. Elle se lève, me fait face, se penche pour déposer un baiser sur ma joue.–Bonne nuit frérot, merci pour la crème.Elle sort de la tente et je reste seul, complètement déboussolé, je bande comme un âne, Julie l’a vu, c’est sûr, mais a eu la gentillesse de ne pas me le faire remarquer. Putain, mais qu’est ce qui ce passe, je prends du plaisir à passer de la crème sur le corps de ma sœur, je bande, et rien que d’y penser, je bande encore plus. Je fini par m’endormir difficilement, je résiste à ne pas me branler en pensant à elle.
Le lendemain matin, j’ai préparé le petit déjeuner, avec pain, croissants, café et chocolat pour Julie. Elles sortent de la caravane ensemble, Julie est radieuse, maman en pleine forme. La journée se passe bien quand, le soir, Julie me demande de l’accompagner encore pour une balade.–Tu ne peux pas y aller toute seule ?–Tu plaisante, une fille toute seule le soir, je ne vais pas pouvoir faire un pas tranquille.–Jules, ta sœur te demande de l’accompagner, je ne comprends pas que tu hésites, vous êtes toujours ensemble, que t’arrive-t-il ?–Je suis tout bonnement fatigué et je voudrais bien récupérer un peu.–Bon allez, frérot chéri, viens avec moi, tu ne peux pas me le refuser.Elle me prend par la main, me fait lever et je la suis vers la plage. Nous allons dans le petit coin qu’elle a repéré, elle étale la serviette et me fait assoir.–Maintenant frérot, tu vas devoir faire ce que je veux, je sais que tu bandes quand je suis nue devant toi, alors profites en.
Elle se déshabille en un rien de temps, j’ai à peine le temps de me lever qu’elle est nue devant moi.–Arrête de faire l’innocent, tu aimes me voir nue, j’aime être nue devant toi, pourquoi tu résiste.Elle me pousse et je tombe sur les fesses sur la serviette.–Bon arrête de dire des conneriesElle se rassoie et se sert contre moi. Je suis obligé de la toucher. Elle prend ma main gauche et la pose sur son épaule. Au contact de cette peau chaude et lisse, j’ai une réaction, de plus, je sens son corps parcouru par un frison.–Tu m’excite frérot, j’ai envie de toi, caresses moi.–Non.Tout à coup, je sens sa main sur mon short, elle me tâte et se saisie de ma bite devenue raide au travers du tissu.–Ne me dis pas que je ne te fais rien, tu bandes.–Julie, s’il te plait, laisses moi, je ne veux pas qu’il se passe quelque chose entre nous.–Pourquoi ?–Parce que nous sommes frère et sœur, et que ce serait un inceste.–Et alors, on s’en fou, j’ai envie de toi, et maintenant je sais que tu as envie de moi.Elle me renverse sur la serviette et se couche sur moi. Je réalise que je ne me débats que faiblement, je la laisse sur moi alors que je pourrais facilement la jeter sur le côté. Mes bras se referment sur elle, mes mains touchent son dos, elle frisonne.–Oui mon chéri, caresse-moi.Je reste un moment tétanisé, qu’est-ce que je suis en train de faire ? c’est ma sœur, qui plus est, jumelle, la seule personne au monde avec qui j’ai passé pratiquement tous les moments de ma vie, même à l’école, nous avons tout le temps été ensemble et voilà qu’elle est sur moi, offerte, et que je ne résiste pas, que je suis attiré par ce superbe corps, que j’ai envie de le caresser, de le cajoler, de le sentir contre mon corps. Elle se redresse sur ses bras, avance un peu et descend doucement son visage vers le mien. Elle me regarde droit dans les yeux, son regard est tendre, plein d’amour, je vois sa bouche s’approcher de la mienne, ses lèvres briller dans le peu de clarté qui nous entoure. Quand sa bouche est à moins d’un centimètre de la mienne, je lui prends la tête et l’arrête.–Non.–Si.Elle force sur mes mains et nos lèvres se touchent. Sa langue essaye d’écarter mes dents, mais je résiste. Elle se couche sur moi, me prend la tête dans ses mains et la fait pivoter un peu. Je rends les armes et relâche la pression de mes dents. Sa langue en profite et pénètre dans ma bouche. Commence une samba affolante à laquelle ma langue s’empresse de répondre. Je fini par céder complètement et mes mains commencent à parcourir le corps de ma sœur. Elle redouble de passion dans son baiser. Au bout de trois bonnes minutes elle se redresse, me regarde, me sourit et se couche sur le côté.–Viens me faire l’amour, mais d’abord, déshabille toi.Je n’ai plus de volonté, j’enlève mon short, ma chemisette, mon slip et je m’allonge à côté d’elle. Je suis nu à côté de ma sœur nue, mon sexe dressé au-dessus de mon ventre.–Viens chéri.–Je ne peux pas, je ne peux pas me mettre sur toi, tu es ma sœur, je ne peux pas.–Alors, c’est moi qui vais le faire.Elle me monte dessus, ses seins à hauteur de mon visage. J’ai une folle envie de les happer avec ma bouche, mais je ne réagis pas. Elle se laisse descendre doucement le long de mon corps, jusqu’à ce que je sente son sexe toucher le mien. Elle s’arrête, j’ai mes mains sur ses fesses, je les malaxe doucement.–Ce sera toi le premier frérot et j’en suis tellement heureuse.–Tu es vierge ?–Oui, mais plus pour longtemps.Je sens qu’elle reprend sa progression et mon sexe pénètre doucement dans sa grotte chaude et humide jusqu’à se heurter à une résistance qui cède rapidement.–Ca y est, tu as fait de moi une femme.–Julie chérie, pourquoi moi ?–Parce que tu es la personne la plus importante pour moi. Maintenant, aimes moi, fait moi l’amour, je veux ressentir ce que ressentent les femmes quand elles jouissent avec un sexe d’homme en elles.Elle se débrouille pour être sous moi. Je me redresse sur mes bras et je la regarde dans les yeux. Elle me regarde et me sourit.–Vas-y, fais-moi l’amour.Mon bassin commence de lents va et vient, je ne veux pas lui faire mal, sachant qu’elle vient juste de perdre sa virginité. C’est elle qui donne des coups de reins pour me faire comprendre que je peux y aller. Nous sommes toujours les yeux dans les yeux et je m’active en elle. Son regard est franc, direct, rempli d’amour. Elle me sourit. J’augmente l’amplitude de mes mouvements, tout en accélérant. Tout à coup, son regard se trouble, son corps de tend, son sexe me serre un peu plus.–Oui, chéri, je jouis, tu me fais jouir, viens mon chéri, viens en moi, partages mon bonheur.Je ne résiste pas et je jouis à mon tour.–Oui, jouis mon amour, jouis en moi.Ma tête tourne, je suis complètement désemparé, je viens de faire l’amour à ma sœur, je viens de la dépuceler, je viens de jouir en elle, je viens de prendre du plaisir avec ma sœur, mon corps est repu, mais mon cerveau est triste, je suis mal. Je me couche sur le côté, elle se tourne un peu et pose sa tête sur mon torse.–Tu vois, on s’aime.–Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose.–Peut-être, mais c’est comme ça, on s’aime autrement que comme frère et sœur, et ça ne me déranges pas.–Moi, si.–Pourquoi ?–Mais tu es inconsciente ou quoi, nous venons de faire l’amour alors que nous sommes frère et sœur. C’est un inceste, tu réalises, un inceste.–Oui, et alors ?Je reste complètement éberlué par sa réponse, elle ne réalise pas que ce que nous avons fait est grave, gravissime même. Devant sa détermination à trouver la situation tout à fait normale, je décide de lever le camp, nous nous habillons et nous rentrons sans un mot. Je suis taciturne tandis qu’elle est joyeuse comme une gamine à qui on a donné le cadeau qu’elle attendait depuis longtemps. Je vais me coucher dans ma tente, elle entre dans la caravane non sans m’avoir une nouvelle fois embrassée furtivement sur la bouche. Je suis sur mon lit à ressasser ce qui vient de se passer qu’elle entre dans la tente avec le tube de crème, enlève son peignoir et se met à côté de moi sur le ventre.–Ma séance crème s’il te plait.–Julie !!–S’il te plait, passe-moi de la crème sur le dos.J’étale la crème sur le dos, les jambes et les fesses, en insistant un peu malgré moi sur les fesses. Quand je suis sur le point de fermer le tube, elle se retourne.–Après le pile, le face.–Julie !!–Jules, tu viens de me faire l’amour, ne me dis pas que ce que tu vois te laisse indifférent.Elle me regarde avec ses yeux remplis d’amour et je cède, sans vraiment résister. Je commence par les jambes, remonte vers le haut, évite son sexe, badigeonne son ventre et ses épaules pour me rabattre sur ses seins que je malaxe et caresse avec un immense plaisir, apparemment partagé par ma sœur. Ma main fini vers le bas de son ventre, elle écarte les jambes pour me faciliter le, passage, mais je m’arrête au niveau de son pubis. Julie est complètement hors d’elle, son corps ondule dans tous les sens, elle est au bord de l’orgasme.–Ton sexe n’a pas pris de coups de soleil.–Non, mais il aimerait bien être caressé.–Non Julie, je crois que ça suffit pour ce soir.–Chéri, après ce que tu viens de faire, il faut finir ce que tu as commencé.Elle se saisi de ma main et la plaque contre son clitoris en appuyant très fort. Cela suffit à déclencher son orgasme, son corps se raidi, ses fesses se soulèvent, ses jambes m’emprisonnent la main.–HHHHHOOOOOSon visage resplendi de bonheur dans la pénombre, je suis moi-même très excité, je bande à me faire mal. Julie m’attrape par l’épaule et me fait tomber sur elle, elle bouge de manière à amener mon sexe sur le sien, plaque ses mains sur mes fesses et me tire vers elle, ce qui fait que mon sexe entre dans sa grotte chaude et luisante de cyprine. –Jouis en moi chéri, je veux sentir ton sperme me remplir.Je ne peux pas résister et commence des va et vient amples et rapides.–Oui, comme ça, je vais encore jouir, viens chéri, viens en moi, ça y est, je jouis, je jouis de nouveau.Elle se cambre en me serrant de toutes ses forces, et je me déverse en elle pour la deuxième fois de la soirée. Nous revenons à nous doucement, moi toujours sur elle, elle me caressant le dos doucement.–Je suis tellement bien.–Je ne peux pas en dire autant.–Chéri, nous nous aimons, c’est évident.–Si tu le dis.Au bout d’un moment, je me lève et la fait se lever, je dépose un baiser sur ses lèvres et la fait sortir de la tente.–Il faut dormir maintenant, bonne nuit sœurette.–Bonne nuit mon chéri.Elle s’éloigne doucement, comme à regret et se retourne au moment où elle entre dans la caravane. Je m’écroule sur mon matelas, et contre toute attente, sombre presque instantanément dans un profond sommeil.
Le lendemain, comme d’habitude, je prépare le petit déjeuner, j’appréhende le premier contact avec ma sœur. Ma mère apparait la première, elle est en petit deux pièces blanc, beaucoup plus petit que celui des autres jours.–Tu as un nouveau maillot de bain ?–Oui, il te plait ?–Oui, beaucoup, mais tu ne trouves pas qu’il est un peu trop petit pour toi ?–Dis donc toi, dis tout de suite que je suis trop vielle pour porter ce genre de maillot.Elle fait un tour complet sur elle-même.–Tu vois de la cellulite ?–Non, tu n’en as jamais eu.–Donc ta sœur peut avoir un mini deux pièces et pas ta mère ?–Ok, je n’ai rien dit, il te va très bien et fait bien ressortir ton ventre plat, ta belle poitrine et tes magnifiques fesses.–Oh là, mais c’est que mon fils chéri trouve sa mère à son goût ?–Maman, s’il te plait arrête.–Viens m’embrasser mon chéri.
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