Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 55 J'aime
  • 3 Commentaires

Mes chéries

Chapitre 9

Inceste
Après le repas, maman va s’installer sur le divan, elle passe un coup de téléphone qui dure peu de temps, elle note quelque chose.–Les enfants, je vais aller voir mes copines d’hier, je vous laisse pour cet après-midi, soyez sage.–Comme toi et Jules tout à l’heure ?–Si tu veux.–Il ne manque rien pour ce soir ?–Non, nous avons tout ce qu’il nous faut.–Ok, à ce soir, je pense rentrer vers dix-neuf heures.–Amuse-toi bien maman chérie.Elle prend ses clés et sort de la pièce. Julie me regarde, elle a un magnifique sourire, ses yeux sont plein de tendresse.–Viens, j’ai envie de dormir un peu, mais je veux dormir avec toi contre moi, ce sera la première fois.–Ok, dormir, rien que dormir.–Oui, mais dans tes bras.Nous allons dans la chambre, nous allongeons sur le lit dans les bras l’un de l’autre. Une main de Julie parcoure mon corps, tendrement, doucement, pendant que j’en fais autant avec son corps. Je glisse sur sa peau douce, le long de ses hanches, sur son ventre, ses seins, sans m’arrêter, juste passer en effleurant pour sentir sa peau vibrer doucement. Ce jeu dure quelques minutes jusqu’à ce qu’elle s’endorme dans mes bras. Je reste éveillé quelques instant de plus, je la regarde, abandonnée dans mes bras, son bras replié sur mon torse, respirant lentement et régulièrement. Je l’aime. Je fini par sombrer moi aussi.
Je suis réveillé par un bruit de vaisselle, c’est Julie qui amène un plateau avec deux tasses, une théière fumante et des petits gâteaux. –Il est presque cinq heures, c’est l’heure du thé, fais-moi une petite place pour le plateau.–Je me pousse un peu, elle pose le plateau sur le lit et vient se blottir contre moi.–Tu as bien dormi mon chéri.–Oui, même un peu trop.–Tu étais fatigué, j’espère que tu vas être en pleine forme tout à l’heure.–Pour l’instant, un petit thé ne peut que me remonter encore plus.Elle sert le thé que nous prenons en nous caressant, nous embrassant, nous faisant des poupouilles. On évite la catastrophe de justesse quand la théière manque de se renverser sur le lit et Julie ramène tout dans la cuisine. Quand elle revient, je suis sur le dos, les jambes légèrement écartées, je bande suite à la séance de poupouilles de tout à l’heure.–Je vois que tu es en forme.–Tu n’y es pas étrangère.–J’espère bien.
Elle monte sur le lit à quatre pattes et viens se mettre entre mes jambes. Sa bouche descend lentement sur mon sexe et le gobe. Sa langue s’active sur mon gland, elle monte et descend le long de ma verge, lentement, en l’enrobant de sa langue. Sa technique devient de plus en plus performante.–C’est maman qui t’a appris ça ?Elle fait oui de la tête sans arrêter sa fellation.–Tu peux pivoter s’il te plait.Pour toute réponse, elle accélère ses va et vient, me malaxe les couilles d’une main et me plante un doigt dans l’anus de l’autre. J’ai comme une décharge électrique dans tout le corps. Ce traitement dure quelques minutes et je ne peux résister plus longtemps. Je me vide dans sa bouche en de longs jets de sperme. Je tremble de tout mon être, ma tête explose, je jouis de tout mon corps, des pieds à la tête. Lentement, je reviens à moi, Julie est partie, j’entends la douche couler, je suis sur un petit nuage et me laisse porter par les évènements. Elle revient au bout de quelques minutes. Je la vois arriver de la salle de bain, elle est merveilleusement belle avec ses seins hauts et fermes qui tressautent à chaque pas, son ventre plat, ses jambes longues et galbées, ses fesses rondes et fermes, son visage d’ange, ses yeux bleus clairs presque transparents et ses cheveux blonds tombant sur ses épaules. C’est une merveilleuse apparition.–Que tu es belle chérie, je t’aime.–Merci mon amour, prouve le moi.Elle vient s’allonger contre moi, les bras derrière la tête.–Aime-moi.Je me tourne sur le côté et pose ma main sur sa peau. Elle frissonne. Ma main parcoure son corps, elle descend vers ses jambes qu’elle écarte légèrement, remonte le long de son flan, arrive vers ses seins qu’elle enveloppe. La respiration de Julie est de plus en plus saccadée, son ventre se soulève et se crispe par intermittence. Ma main redescend vers son ventre et arrive sur son mont de Vénus. Son bassin fait des mouvements ondulatoires, ses fesses se soulèvent légèrement pour redescendre tout de suite après. Une de ses mains s’empare de ma bite et la masturbe doucement, elle se raidie encore plus.–Viens chéri, viens me faire l’amour, je n’en peux plus, je te veux en moi, viens chéri, viens, prends moi en missionnaire.Je me couche sur elle, ses bras m’enlacent, ses jambe se redressent pour me ceinturer, m’ouvrant grand son sexe ruisselant. Je n’ai aucune difficulté à trouver le passage et je m’enfonce doucement dans son vagin chaud et accueillant.–Oui chéri, doucement, tendrement, aime-moi en douceur.Je fais des va et vient lents et doux, sur toute la longueur de mon sexe qui glisse sans obstacle dans ce tunnel doux comme de la soie. Mon rythme lent me permet de résister longtemps, je sens Julie onduler sous moi, son corps et de temps en temps secoué par des frissons, ses mains se crispent lentement sur mes omoplates, son souffle est de plus en plus court, elle se raidi en se plaquant encore plus contre moi.–Oui chéri, oui, je vais jouir, ça monte doucement, ça va être grandiose, je sens que je vais mourir de plaisir dans tes bras, oui, oui, ça y est, je jouis, je jouis, HHHHHAAAAA.Elle explose dans un gigantesque orgasme. Son corps s’arque boute, son sexe me serre la bite, elle tremble de tout son corps, secoue la tête de gauche à droite, est secouée de spasme de plaisirs, je ne peux résister plus et je pars à mon tour dans une violente jouissance.–Oui, vide-toi, vide-toi en moi, ouiiiiiiiiii.Au bout de longues minutes, nous nous calmons et finissons l’un sur l’autre dans un baiser langoureux.–J’aime quand on fait l’amour comme ça, j’aime ta douceur, ta tendresse.–Moi aussi j’aime faire l’amour comme ça.Je m’allonge à côté d’elle, elle se penche sur moi et je l’enlace de mes bras.–Je suis bien chéri.–Moi aussi.Nous restons là, enlacés, nos mains caressant le corps de l’autre tendrement, nos bouches se soudant de temps en temps, nous sommes bien, heureux, vivant le moment présent sans se poser de questions. Nous sommes sortis de notre rêverie par le retour de maman.–Alors mes chéris, vous avez passé un bon après-midi ?–Excellent, juste excellent.–Je vois que vous ne vous êtes pas privé, j’espère que vous avez jouis autant que moi avec mes copines, elles se sont déchainées sur moi, je suis complètement éteinte, je n’en peux plus, je crois que je vais me mettre dans la piscine et attendre que ça se passe.Sur ces paroles, elle fait passer sa robe par-dessus sa tête, elle n’avait rien dessous, et se dirige vers la piscine. Julie l’interpelle.–Maman, tu sors avec cette robe courte sans rien dessous ?–Comme tu as pu le voir, c’est Nath qui m’avait demandé de venir comme ça.–Et tu fais ce qu’elle te demande comme ça ?–Oui, j’ai voulu voir ce que ça faisait, et je dois avouer que me promener comme ça dans la ville, sachant que tout le monde peut voir que je suis nue dessous, m’a tellement excité que j’avais le haut des cuisses mouillées quand je suis arrivé au sex-shop.–Tu as été au sex-shop ?–Oui, mais si tu veux que je te raconte, viens dans la piscine avec moi, tu nous rejoins Jules ?–J’arrive.Nous nous levons et allons rejoindre maman dans la piscine. Julie se met à côté d’elle.–Raconte.–Ok, je vous raconte.« Je suis donc allé rejoindre Nath et Isa dans le sex-shop ou nous les avons rencontrées. J’ai garé la voiture au parking et je suis allé à pied les rejoindre. Il y avait un peu de vent et ma robe se soulevait de temps en temps, au début je la rabattais, mais quand j’ai vu le regard intéressé de quelques passants, hommes comme certaines femmes, je ne suis plus intervenu et ma robe volait aux quatre vents. Je dois dire que j’en ai tiré un certain plaisir, je suis arrivée complètement excitée, je ruisselais de cyprine et l’intérieur de mes cuisses brillait. Quand je suis arrivé, Isa m’a sauté dessus et m’a embrassé goulûment, elle a glissé sa main sous ma robe pour vérifier si j’étais bien nue dessous, et a constaté mon état.–Mais tu dégouline d’excitation ma chérie, c’est de te balader à moitié nue dans la rue qui t’a mise dans cet état ?–Oui, avec ce vent, c’était très excitant, la preuve.–Je vois, je vois, Nath, viens voir ça, une vraie fontaine.Nath est venu, elle a soulevé ma robe pour constater l’étendue des dégâts, en voyant l’état de mes cuisses, elle m’a souri. Ensuite, elle m’a embrassé et nous sommes allées dans l’arrière-boutique. Il y avait une cabine ouverte avec un homme nu qui se masturbait en regardant une vidéo de lesbiennes. Nath lui a fait signe et il nous a rejoints dans la pièce avec le divan ses vêtements à la main. Il y avait les trois hommes de la dernière fois, mais cette fois, ils étaient déjà nus. Nath m’a pris la main et nous somme allé toutes les trois vers les hommes. –A vous.Ils se sont approchés, l’un d’eux est venu vers moi et s’est agenouillé devant moi. Il a pris doucement le bas de ma robe et l’a fait remonter le long de mon corps, lentement, en évitant de me toucher. Les deux autres faisaient la même chose à Nath et Isa. Quand avons été toutes les trois nues, nous sommes allées sur le lit. Là, Nath et Isa se sont occupées de moi, elles m’ont léché, caressé, embrassé, mon corps était à elles et vibrait sous leurs caresses. Elles ont utilisé leurs mains, leurs langues et plusieurs godemichés de plus en plus gros. Elles m’ont prise par mes deux orifices, le sexe et l’anus avec des godes ceintures. Après plusieurs orgasmes, Nath m’a fait mettre sur le dos et bien écarté les jambes.–Je vais te faire connaitre une chose que tu n’as jamais imaginé vivre, détends toi et laisse toi faire.Isa me caresse sur tout le corps qui réagit vite, je suis de nouveau excitée et mon sexe recommence à laisser couler son liquide blanchâtre. Nath se met entre mes jambes, elle fait pénétrer deux doigts dans mon sexe, un troisième le suis très vite ainsi qu’un quatrième. Elle me pistonne, et je sens ses doigts entrer de plus en plus profondément dans mon sexe. Elle s’interrompt, met ses doigts en pointe avec le pouce et me pénètre à nouveau. Elle avance sa main doucement, la recule, l’avance, la recule jusqu’à ce qu’elle dilate mon sexe suffisamment pour pouvoir entrer entièrement. D’un seul coup, j’ai senti cette main s’enfoncer entièrement dans ma vulve et aller jusqu’à mon utérus qu’elle a caressé. –Regarde chérie, ma main est entrée entièrement, je te fiste, ton con est assez dilaté pour recevoir ma main.Je me suis redressée et j’ai constaté que sa main avait disparu au plus profond de mes entrailles avec une partie de son avant-bras. Cette vue m’a fait perdre les pédales.–Vas-y, défonce moi, je veux sentir ta main me défoncer le con.Nath à reprit ses va et vient pendant qu’Isa m’embrassait. Je sentais sa main s’ouvrir et se refermer dans ma vulve, ses doigts me toucher l’utérus, me caresser la paroi vaginal. Mon corps n’existait plus, seul mon sexe et cette main à l’intérieur avait une existence. Cette main qui me faisait connaitre un plaisir inconnu jusqu’alors. Et tout à coup, j’ai eu des éclairs dans les yeux, des décharges électriques dans le ventre et mon sexe qui explosait dans un orgasme comme je n’en avais jamais eu. Tout mon corps était possédé par cette main, cette main qui me fouillait, cette main qui transportait dans un autre monde, cette main qui me dominait, cette main que je voulais pour toujours au fond de mon sexe, au fond de mon être. Mais tout a une fin et mon corps a retrouvé son calme petit à petit. Nath a dégagé lentement sa main de mon sexe, j’en ai ressenti une impression de vide et de tristesse de n’avoir plus ce corps étranger au fond de moi. Isa couvrait mon corps de baisers pendant que Nath m’embrassait. –Tu as aimé ma chérie.–Plus que tu ne peux imaginer, j’aimerais recommencer souvent.–Nous sommes à ton service, et je peux te dire que ce n’est pas fini, tu n’as pas que cet orifice qui peut supporter l’introduction d’une main.–Tu crois vraiment que tu pourrais mettre ta main dans mon petit ?–Oui, certainement, mais il faut y aller doucement, d’abord commencer par des godes plus gros que celui que tu as eu tout à l’heure, mais nous avons le temps, je pense qu’on se reverra ?–Tu peux compter sur moi. Les hommes sont revenus avec nos affaires et celui qui m’avait déshabillé m’a remis ma robe avec la même délicatesse. Nath a fait un signe au vendeur du sex-shop et nous sommes sorties toutes les trois pour aller boire un pot. Nous nous sommes assises à la terrasse d’un bar, Nath et Isa face à la rue, les cuisses écartées montrant toute leur intimité. Cela les excitait beaucoup, elles m’ont fait signe de me mettre entre elles face à la rue. Je dois dire que j’en ai taché ma robe tellement ça m’a excité, heureusement que l’entrée du parking était à dix mètres de la terrasse, je n’aurais pas pu traverser la place avec une telle auréole à ce niveau de ma robe. Voilà mon après-midi avec mes copines, on se revoit dans trois jours, dimanche, il parait que c’est encore plus génial. »Je regarde maman, je ne la reconnais plus, elle a totalement changé en à peine trois jours.–Maman, que t’arrive-t-il, tu ne nous a pas habitué à ce genre de comportement, tu étais si discrète, se réservée.–Il faut croire que c’est fini, j’ai assez donné, je veux vivre, je suis encore jeune, et je veux profiter des belles années qui me reste. Vous allez me quitter, je vais être seule et ça je ne pourrais pas le supporter. Je veux avoir une autre vie que celle de mère de famille.–Oui mais il y a Julien.–Julien est en terminale cette année, il va partir dans un an faire ses études ailleurs et je resterais seule. Je veux avoir des amis, sortir de temps en temps, même si je garderais toujours mon amour pour vous. Venez dans mes bras mes chéris.Nous allons nous blottir dans ses bras. J’ai ses seins plaqués contre ma poitrine et mon sexe qui frotte son mont de Vénus et la cuisse de Julie. L’inévitable se produit, mon sexe se redresse doucement, Julie le sent et passe sa main pour s’en saisir. Elle fait deux ou trois aller-retour pour s’assurer qu’elle est bien raide et la dirige vers la vulve de maman qui écarte les cuisses. Ma verge trouve tout de suite le chemin du bonheur et s’enfonce dans la douceur maternelle. Elle m’enlace, me serre de toutes ses forces et pose sa tête sur mon épaule.–Oui mon chéri, aime ta mère, fais lui l’amour, rends la heureuse.J’ai des mouvements lents, amples, qui la bercent doucement dans l’eau. Mon sexe glisse facilement, et je sens maman se laisser aller à cette douce quiétude. Julie la caresse en m’embrassant dans le cou. De temps en temps, elle pose ses lèvres sur celles de maman et elles échangent un baiser. Maman se crispe un peu, je la sens se donner à fond, elle sait qu’il ne nous reste que quelques jours à être tous les trois. Elle repli ses jambes derrière mon dos pour m’ouvrir complètement son sexe et me permettre d’aller encore plus profond. J’accélère mes mouvements, maman se crispe de plus en plus.–Oui chéri, je viens, je vais jouir sur ton sexe, je t’aime.J’accélère encore plus et elle se tend dans un violent orgasme.–HHHHHHHHAAAAAAAA.Je ne m’arrête de le pistonner que quand je sens qu’elle se détend un peu. Elle est accrochée à moi, ses bras autour de mon cou et ses jambes m’enserrant les hanches. Je mets mes mains sous ses fesses et je la sort de l’eau pour aller la déposer sur un transat. Une fois allongée, Julie se penche sur son entre jambe.–A moi de te donner du plaisir.–Tu n’es pas obligée ma chérie.–Non, mais j’ai envie de te boire.Elle se penche pour lui aspirer le clitoris. Maman réagit tout de suite, elle est à fleur de peau, elle pose ses mains sur la tête de Julie, ferme les yeux et laisse monter la plaisir. Il ne tarde pas à la submerger et je vois son corps se cambrer pour mieux offrir son sexe à la bouche de Julie. Elle est parcourue de spasmes qui la font vibrer sous la bouche de Julie. Quand elle reprend son calme, Julie est toujours sur elle, les fesses en l’air, la chatte offerte que je vois briller. Je n’ai pas joui, et cette vulve humide m’attire. Je prends Julie par les hanches et me plante en elle d’un seul trait. –Oui, vas-y, fais-moi jouir.Je m’active en elle avec ardeur mais en douceur. Son excitation d’avoir fait jouir sa mère et mon excitation de l’avoir baisé, font que nous arrivons très vite à l’orgasme ensemble.–Oui, je jouis, je jouis.–Moi aussi, je me vide en toi.Nous jouissons ensemble, je la prends dans mes bras et la fais se redresser et se retourner. Nous échangeons un baiser passionné pendant un long moment. Maman nous regarde attendrie, elle se lève et vient nous enlacer de ses bras.–Mes chéris, votre amour est trop grand pour que vous puissiez rester dans la région, il faut la quitter, aller dans une ville assez grande ou l’on ne vous connait pas.–Nous savons maman, on y pense sérieusement.–Allez, venez, on rentre il est temps. Ce soir je dors dans ma chambre, je vous laisse entre vous, il vous faut un peu d’intimité.Nous la suivons et allons nous installer dans la partie salon pour boire un apéritif bien mérité.
Diffuse en direct !
Regarder son live