Je regarde Virginie se doigter furieusement. D’une main, elle enfonce deux doigts dans sa chatte et de l’autre, trois doigts fouillent son cul. La grosse bite de son gode ceinture est dressée en l’air. Tante Sandrine et Noémie se bouffent toujours la gueule. Sandrine descend sa langue vers les tétons dressés de sa nièce en chaleur. Elle les lèche en y appliquant beaucoup de salive. Un filet de bave s’étire entre le téton et sa langue quand elle s’éloigne des gros seins fermes et bronzés. — Regarde Noémie, ta petite cochonne de sœur qui se fait du bien sans nous. Elle me fait mouiller la salope. Ce qu’elle me fait mouiller… Viens avec moi, je veux jouir sur elle. Sandrine et Noémie vont retrouver Virginie. Sandrine s’installe debout, les jambes écartées au-dessus de Virginie qui se caresse toujours. Elle gémit très fort. — Écoute-là la salope… ce que j’aime l’entendre jouir, ça me fait mouiller, dit Sandrine en commençant à caresser son clitoris. Bouffe mon cul Noémie pendant que je me masturbe, je veux jouir sur ses gros seins bien durs, je veux les inonder de mon jus, vas-y, plante ta langue dans mon petit cul serré, bouffe mon cul de salope. Noémie s’installe à genoux derrière sa tante dont elle écarte les fesses pour trouver son petit anus rosé. Elle lèche doucement tout autour du petit trou de Sandrine qui caresse furieusement son clitoris. — Oh oui… c’est bon… Enfonce ta langue dans mon cul, petite chienne. Je ne serai pas longue à venir… oui… comme ça, continue. Mets tes doigts dans ma chatte en feu… ohhh... oui… Mmmmm, c’est bon. Tu es une bonne petite pute, espèce de petite salope. Continue, bouffe-moi le cul, je viens…. Ahhhh… Robert approche toi… ahhh putain que c’est bon… plus profond la langue… plus profond… ahhhhh salope, tu me fais du bien. Je m’approche face à elle en me masturbant. Elle a vraiment l’air d’une chienne quand elle jouit cette pute. — Approche ta bite de ma chatte, je vais mouiller dessus… Noémie, rejoins-nous, dit Sandrine en se mettant de côté, mais toujours sa chatte au-dessus de ma queue gonflée et des gros seins de Virginie. Noémie obéit. Elle se place face à sa tante en se masturbant furieusement. Ma queue est au centre de cette paire de chattes mouillées, au-dessus des nichons de Virginie. Tout en se caressant toutes les deux, elles s’embrassent en jouant de leurs langues devant moi. Je me joins à ces deux cochonnes en léchant leurs organes buccaux. Nous nous embrassons tous les trois, pendant que nous caressons notre sexe respectif. Virginie, qui se doigte encore, n’attend que la jouissance de sa sœur et sa tante pour jouir également. — Je viens, dit Sandrine… Je viens… approche ta queue que je mouille dessus… ahhhh… mhhhhh…— Moi aussi… je viens… je coule… bon Dieu que c’est bon… Prend tout ma petite salope de sœur… prends notre décharge… Nom de Dieu de putain de merde… Je viens…!! Sandrine et Noémie laissent aller en même temps un immense jet qui éclabousse ma queue pendant que je me masturbe et qui tombe sur les seins et le visage de Virginie, qui elle aussi, mouille ses doigts avec un puissant jet qui émane de sa chatte en chaleur. — Vous êtes deux salopes, dit Virginie à sa tante et sa sœur. Oui, deux salopes… Je viens aussi, espèces de chiennes… ahhhh… c’est bon… Que j’aime faire éclabousser mes tétons par votre mouille… Putains… salopes, sales chiennes… Encore du jus, encore… J’en veux dans ma bouche… allez espèces de cochonnes, continuez de vous doigter… j’en veux plus… mouillez-moi la gueule… je vais tout avaler.
Je dois me retirer, je cesse de me masturber, car ces bêtes de sexe vont me faire venir. Sandrine s’agenouille au-dessus du visage de sa nièce, les jambes de chaque côté de sa tête et elle continue de s’enfoncer 3 doigts dans la chatte, pendant que de l’autre main, elle frotte son clitoris. Noémie elle, vient face à sa tante et se place de la même façon, à genoux au-dessus du visage de sa sœur et elle aussi, se doigte comme un experte. — Ouvre bien ta bouche de petite salope, l’orage arrive, dit Sandrine.— Tu vas en avoir du jus petite chienne, ouvre bien grand, je déborde de foutre, dit Noémie. En même temps, les deux laissent aller un bon flot de cyprine partout sur le visage de Virginie qui ouvre grand sa gueule de suceuse pour recueillir le plus de jus possible. — Oui!! J’en veux… remplissez ma bouche de petite chienne… c’est bon…. Mmmmm… — Avale tout petite pute, avale tout, dit Sandrine qui se vide de son liquide de jouissance.— Ouvre grand petite sœur… j’en ai une autre rasade pour toi… Ah la salope comme elle me fait jouir… Quand la crise est passée, Sandrine se retire et Noémie se couche sur sa sœur et commence à lécher la cyprine qui mouille le visage de Virginie. Elle lèche chaque centimètre de peau humide, bouffe la langue de sa sœur et ensuite, s’attaque aux gros seins trempés par sa propre mouille et de celle sa tante. Sandrine qui s’est déplacée derrière Noémie qui est à quatre pattes au-dessus de sa sœur, le cul bien ouvert. Sandrine se met à lui bouffer l’anus, ce qui fait gémir Noémie. — Oh oui tante Sandrine, bouffe-moi bien le cul, salope et ensuite défonce moi comme tu me l’as promis… Bien au fond... Je veux ta grosse bite bien au fond de mon petit cul bien chaud. — Tu l’auras chienne, je vais te bourrer ton petit cul avec ma queue, mais tu auras celle de ta sœur aussi… nous allons t’écarteler petite salope. Sur ces mots, Sandrine place le gland de la bite du gode ceinture de Virginie sur la chatte dégoulinante de Noémie qui, instantanément, s’empale sans plus attendre. Elle se fait aller de plus en plus vite. Elle enfonce cette grosse queue bien au fond de son puits d’amour. — Oh qu’elle est grosse ta bite… C’est bon. Quel plaisir d’avoir une grosse queue dans la chatte et une langue dans le cul. Et toi tante Sandrine, qu’attends-tu pour me déchirer le cul sale pute? — Tu l’auras petit putain, tu l’auras ma grosse bite dans le cul. Ouvre bien tes fesses. Noémie de ses deux mains, écarte ses belles fesses fermes et Sandrine présente le gland de sa grosse bite sur l’anus de sa nièce. D’un grand coup, elle l’enfonce jusqu’à la garde dans ce petit trou bien lubrifié par sa langue. — Tu l’as jusqu’au fond petite chienne… tiens… prends ça… encore… Jusqu’au fond de ton petit cul de salope. Virginie de son côté, propulse sa bite dans la chatte de sa sœur en alternance avec la bite de Sandrine. Après un moment, elles la défonce toute les deux à la même cadence, les deux bites bien au fond de sa chatte et de son cul, en même temps. Noémie se met à dire des propos obscènes. — Oui… défoncez moi mes salopes… déchirez-moi… plus fort sales putes… plus fort. Et toi tonton Robert, tu aimes voir ta petite salope se faire labourer? J’aimerais ta grosse queue dans ma bouche pour la sucer jusqu’à ce que tu décharge en me traitant de petite chienne. Ça te plairait? Nom de Dieu de salopes de chiennes de sales putains, vous me faites du bien… plus profond, plus fort… Je suis une salope qui aime se faire défoncer… C’est bon de se faire défoncer comme une putain… Ahhhhh… Virginie qui enconne toujours sa sœur, bouffe les beaux seins de Noémie. Elle lèche les tétons bien durs. Sa langue tourne autour des petits boutons bien dressés. J’approche ma queue tendue près du visage de Noémie. Elle lèche ses lèvres en voyant ce morceau de viande dressé. Je regarde Sandrine qui est occupée à limer le trou de balle de sa nièce en la tenant fermement par les hanches. Son pubis vient frapper violemment les fesses de Noémie, qui pousse un gémissement à chaque fois. Virginie défonce toujours la chatte de sa sœur avec de puissants coups de bassin. — Tu la veux ma grosse queue dans ta gueule de salope? Tu veux que je te l’enfonce au fond de ta gorge, petite chienne?— Oui… Oui… répond Noémie entre deux coups de bites.— Robert, ne fais pas ça, la cochonne va te faire venir en deux coups de langue. Pense à Émilie… ta promesse.— T’inquiète Sandrine, je tiendrai parole. Mais elle me fait tellement bander dur cette chienne quand elle se fait déchirer par deux cochonnes comme vous. Je retire ma queue du visage de Noémie avant qu’elle ne l’engouffre et je m’installe, les fesses au-dessus du visage de Virginie, sur mes pieds, les jambes écartées, en prenant appui sur mes mains derrière moi. Le visage de Noémie est tout de même assez près de ma bite. — Tu n’auras pas ma queue salope, mais bouffe-moi mes grosses couilles pleines de foutre. Toi Virginie, lèche bien mon cul. Enfonce ta langue dans mon cul. Lèche-moi bien le fion petite chienne. Noémie se rue sur mes couilles qu’elle lèche avec férocité. Sa langue est douce et je ne sais pas si je tiendrai longtemps avant d’inonder son visage de foutre. Virginie lèche mon anus et enfonce sa langue de salope bien profondément dans mon petit trou bien ouvert. La sensation est divine. Je regarde Sandrine qui se déchaîne sur le cul de sa nièce. Elle retire sa grosse bite du cul qu’elle lime à fond, pour le lécher et y enfoncer sa langue en claquant les fesses de Noémie et en disant des obscénités comme c’est son habitude. — Alors petite chienne, t’aime te faire limer le cul et la chatte en même temps… tu n’es qu’une sale pute, une salope de chienne… Tiens, je te la remets ma bite… Prends ça… encore… tu aimes bien au fond hein? Salope… salope… salope!!!! Tiens… un dernier coup… Hannn!! Noémie gémit puis hurle sa jouissance pendant qu’elle a mes couilles bien en bouche. Elle jouit la cochonne… encore une fois. Elle relâche mes couilles quelques secondes pour crier. Sa bouche s’ouvre, je ne peux résister et j’enfonce d’un coup ma grosse queue gonflée au fond de sa gorge ce qui a pour effet d’assourdir les sons qui sortent de sa bouche. Je la prends par la tête et je me mets à lui baiser la gueule comme si je baisais son cul serré. — Tiens salope de chienne de nom de Dieu de petite pute, tu la voulais ma queue, prends la… prends tout… je te lime la gorge, tu aimes connasse? Bouffe là ma grosse bite… Espèce de sale putain de chienne… suce… avale ma queue, elle est à toi. Mais prend garde si tu me fais décharger, je te défoncerai le cul et la chatte pendant une nuit entière, jusqu’à ce que tu demandes pardon. Tu t’en souviendras salope. — Robert!, me crie Sandrine, retire-toi de cette saloperie de bouche de suceuse!— Tu la veux ma queue, cochonne, tu veux que je te défonce ta gueule à toi aussi? Elle n’a pas le temps de répondre, que je me lève rapidement, je la prends par la tête et lui enfonce d’un coup sec ma bite au fond de sa gorge qui en a déjà vu d’autres. — Tiens salope… tiens… tu vas la fermer ta grande gueule de chienne. Avale ma bite toi aussi connasse. Oh oui… avale ma grosse queue. C’est ça belle petite salope… Tu es une bonne chienne toi aussi. J’y vais tellement fort que mes grosses couilles frappent son menton avec force. Je lui défonce littéralement la gorge. Puis vient le moment que j’appréhendais, je sens le foutre monter. Je me retire en vitesse et je serre la base de ma queue pour ne pas éjaculer. Il était moins une. Suite bientôt
