Mes débuts de coquin (2) Je reprends ici mes débuts de coquin qui se déroulent en 1985. Pendant de nombreuses semaines après mes ébats avec Justine ma charmante voisine, je me revoyais encore avec elle dans sa piscine, j’avais l’impression de sentir encore ses lèvres sur mon sexe. Je n’ose vous dire la fréquence avec laquelle je me masturbais tous les jours. Parfois je l’apercevais dans la rue qui mène à la boulangerie, nous échangions des regards complices des sourires pleins de sous-entendus. A chaque fois je détaillais sa silhouette et cela me redonnais envie de partager des moments torrides avec elle. Depuis ma fenêtre de chambre parfois je l’espionnais alors qu’elle était dans sa piscine, par contre pas de chance pour moi son mari avait eu un accident et il était en arrêt de travail pour un mois. Je rongeai donc mon frein, jusqu’à ce qu’une nouvelle occasion se présente à moi. Cela se produisit au cours du mois de septembre, son mari rétabli dû se rendre en stage pendant cinq semaines en région parisienne. Le lundi suivant son départ, en allant chercher mon pain je rencontrai Justine toujours aussi pimpante et sexy."Tiens Serge comment vas-tu depuis notre dernière entrevue? Tu sais Claude est parti en stage pour l’usine et cela tombe assez mal, il devait m’amener faire les boutiques à Dijon, je dois renouveler un petit peu ma garde-robe. Cela te dérangerait de me servir de chauffeur?"Ma réponse fut un peu empruntée "Bonjour Justine, euh non pas de souci j’ai des jours de congés à prendre il te suffit de me dire quel jour tu veux y aller""Disons jeudi en début d’après-midi, les filles seront à leurs cours et en plus j’ai envie pour te remercier de ta gentillesse de t’amener en boîte avec moi à l’Espace 39 jeudi soir il y a une soirée comme souvent. Tiens voilà déjà un bisou pour te remercier"Elle dépose alors un baiser léger au coin de mes lèvres en prenant bien soin de coller sa poitrine contre mon bras. "A jeudi alors mon coquin j’espère qu’on passera une bonne journée ensemble"L’après-midi même en reprenant le travail, je préviens mon chef que je pose mon jeudi et vendredi en congés. Pendant les jours qui me séparent de ces moments partagés avec Justine mon esprit vagabonde je pense au plaisir de partager sa présence, qui sait de lui voler des baisers. Notre différence d’âge ne me gêne pas du tout je dois même avouer qu’elle m’excite; et je devine que c’est réciproque pour Justine. Le jeudi matin, je me lève le cœur joyeux, je prends une longue douche, je me parfume avec Sagamore, et je choisis mes vêtements, un pantalon léger en toile et une chemisette en lin. La matinée me semble très longue, enfin vers 13 h 30 on sonne à ma porte. Je vais ouvrir et là je vois Justine portant une robe avec un décolleté rond et qui est fermée par de nombreux boutons, ses cheveux sont lâchés sur ses épaules. Alors que je veux déposer un baiser au coin de ses lèvres, elle me glisse à voix basse "Attention Serge la vieille chouette d’en face nous espionne derrière sa fenêtre"
Je dépose donc un chaste baiser sur sa joue, et je dis assez fort "bonjour madame, je suis à votre disposition. Nous pouvons y aller si vous le voulez" Je l’accompagne à ma modeste 104 Style Z et je lui tiens la portière ouverte afin qu’elle s’installe, je peux alors profiter de la vue de ses jambes que découvre sa robe en s’entrouvrant, et bien sur cette coquine ne fait rien pour remettre de l’ordre dans sa tenue. Surtout que le regard inquisiteur de la voisine ne peut pas pénétrer dans la voiture. Déjà tout émoustillé je démarre non sans regarder ses jambes découvertes. Alors que nous sommes sortis de la commune et que nous traversons une zone boisée, Justine me dit "Serge j’ai envie que tu m’embrasses, prends donc ce petit chemin là à droite" Je pose ma main droite sur son genou et j’emprunte ce petit chemin de manière à masquer la voiture du regard des autres automobilistes. A peine à l’arrêt, je me tourne vers elle et je pose mes lèvres sur les siennes, ma langue entrouvre sa bouche. Elle répond à mon baiser avec passion, elle prend ma main droite et la promène sur sa cuisse gauche. Je commence à la caresser de son genou à la limite de sa robe que je remonte un petit peu.Entre deux baisers, en riant Justine me souffle à l’oreille "Soit patient jusqu’à ce soir Serge, en plus tu vas me donner trop envie de toi et je vais être obligé de te sauter dessus"J’arrête donc la remontée de ma main mais je la dirige vers la face intérieure de sa cuisse, sa peau frissonne sous mes doigts.Nous échangeons encore de nombreux baisers, puis je décide de redémarrer avant de plus pouvoir me contrôler et de lui sauter dessus. En riant je lui dis "Regarde donc dans l’état où tu m’as mis coquine" je m’avance sur mon siège qu’elle puisse voir la bosse qui déforme mon pantalon léger en toile et mon boxer. "humm que des promesses ou peut-être pas j’ai hâte de voir cela ce soir" Nous roulons ensuite sagement en direction de Dijon mais je regarde souvent les jambes que Justine me dévoile en les croisant et décroisant. Je me gare dans une petite rue, puis galant je lui ouvre la portière, et cette coquine prend bien son temps pour sortir ouvrant aussi largement que possible ses cuisses. Dès qu’elle est sortie, je l’attire pour la serrer contre moi et ouvrir sa bouche avec ma langue. Je ne me gêne pas pour descendre mes mains au creux de ses reins et sur ses fesses tout en appuyant mon bas ventre contre le sien. Elle s’écarte de moi avant que quelqu’un hurle à l’attentat à la pudeur, me prend la main et m’entraine dans les rues de Dijon. Nous commençons à faire le tour de plusieurs boutiques, bien souvent j’ai droit à des regards interrogatifs des clientes et vendeuses, elles doivent se demander ce que fait un homme jeune avec Justine. A un moment nous entrons dans une boutique dont presque la moitié des rayons sont emplis de lingerie fine. Alors que Justine se dirige vers le rayon jupes et robes, moi je flâne au milieu de ces si jolis et sexy dessous, il y a là des ensembles en dentelle très fine, je découvre même quelques porte-jarretelle qui me font penser immédiatement aux films X que je matte la nuit sur Canal +. Pris au jeu je prends dans mes mains un ensemble en dentelle bleue nuit et noire très fine, il se compose d’un tanga, d’un soutien-gorge aux balconnets complétement ajourés et bien sûr d’un porte-jarretelle. Je sens une main se poser sur mon épaule, une vendeuse d’une trentaine d’années, l’air très BCBG, me fait un grand sourire "Je peux vous aider jeune homme, vous semblez être très intéressé par ce bel ensemble?""Euh oui madame je me demande si cela plairait à mon amie que j’aimerais voir porter cela?"La vendeuse regarde dans la boutique si elle voit une jeune femme de mon âge, "Euh vous voulez faire la surprise à votre petite amie? Car le plus simple serait qu’elle l’essaye, vous devriez revenir avec elle"Je lui réponds avec un petit sourire "Ah mais cela tombe bien cette femme est présente, elle est là-bas à regarder les jupes et robes. Attendez je vais la chercher."Je laisse la vendeuse ébahie, arrivé auprès de Justine je lui glisse à l’oreille "Justine, viens avec moi, je voudrais voir si la vendeuse va faire une attaque. Je viens de voir un superbe ensemble en dentelle, et je lui ai dit que je voulais l’offrir à mon amie."Justine me répond avec un petit sourire "Ah bon monsieur aime les femmes qui portent de la dentelle, et puis quoi d’autre. Toi tu es un sacré coquin et dire qu’on te donnerait le bon dieu sans confession. Allons-y j’ai hâte de voir sa réaction et qui sait je vais peut-être te surprendre moi aussi"Nous revenons vers la vendeuse qui nous regarde étonnée, en effet Justine a pris ma main et se presse contre moi.Arrivée devant la vendeuse, Justine joue le jeu "Humm, mais dis-moi Serge tu as très bon goût. Madame vous avez le soutien-gorge en 95B et le bas en 38? J’ai hâte de montrer à ce jeune homme ce que cet ensemble rend sur moi, et s’il me convient je crois bien que je prendrai des bas fumés qui seront du plus bel effet avec une jupe fendue que j’ai aperçue tout à l’heure."Elle nous regarde avec de grands yeux, Justine pour accentuer le jeu me dépose un baiser passionné sur mes lèvres et moi j’en profite pour promener ma main sur sa hanche. "Je récupère cette jupe et apportez moi l’ensemble aux cabines d’essayage, vous voulez bien?" Justine se dirige vers les cabines, prend la jupe comme je ne bouge pas elle me glisse "ah non tu ne vas pas te défiler tu viens avec moi pour me donner ton avis coquin, tu veux jouer on va bien s’amuser" La vendeuse nous rejoint, donne l’ensemble en dentelle à Justine qui entre dans la cabine, avant de fermer complètement le rideau Justine lui dit "Ne vous inquiétez pas monsieur ici présent viendra vous voir si nous avons besoin de vous, mais je ne veux surtout pas se passer de son avis"Et cette coquine commence à ouvrir les boutons du haut de sa robe alors qu’elle n’a pas encore fini de refermer le rideau. La vendeuse en devient rouge pivoine et moi je me rince l’œil attendant la suite avec impatience. Justine ne ferme pas complètement le rideau, je peux donc la voir ouvrir lentement sa robe qu’elle laisse ensuite glisser jusqu’à ses chevilles, s’exhibant sans gêne avec ses dessous à mes regards plein de désir. Je matte sa poitrine son ventre mis en valeur par sa lingerie pourtant tout à fait classique.Elle s’avance vers moi "Bon ben maintenant il te faudra attendre pour voir le résultat" et là elle ferme le rideau. Mais je n’ai pas trop à attendre pour voir s’entrouvrir à peine le rideau à hauteur de sa tête. "Serge tu veux être chou, va voir la vendeuse et demande lui une paire de bas comme cela tu pourras voir le résultat final et je suis sûre que tu vas être content" Je pars presque en courant pour lui rapporter les bas, et me revoici devant la cabine la vendeuse curieuse est avec moi. Je passe ma main à l’intérieur de la cabine pour lui donner les bas. "Voilà ma belle tes désirs sont des ordres" Je n’attends que deux ou trois minutes pour voir s’ouvrir le rideau de la cabine une des visions les plus sexy auxquelles j’ai eu droit.Justine est devant nous, une main sur la hanche droite, ses seins sont moulés par la dentelle du soutien-gorge je peux même apercevoir ses tétons à travers. Ses jambes sont magnifiquement gainées par les bas, et en remontant mon regard je vois son ventre à peine caché par le tanga qui épouse la forme de son sexe.Je reste muet de surprise et j’entends la vendeuse lui dire "Je vois que madame aime porter ce genre de dessous elle porte le tanga par-dessus le porte-jarretelle, cet ensemble vous va à ravir monsieur doit être heureux de son choix"Je ne peux que lui répondre "Oh là oui c’est sûr on croirait cet ensemble fait pour son corps"Justine pose son regard sur mon bas-ventre et rétorque "Oh cela oui je vous confirme monsieur est très content de son choix et de me voir comme cela. Et pour vous répondre madame, oui je porte toujours ma culotte par-dessus un porte-jarretelle, comme cela au moins si je veux retirer ma culotte je ne suis pas obligé de tout défaire. N’est-ce pas Serge que parfois il peut arriver qu’une femme ne porte pas de culotte" Je rougis à cette allusion qui m’excite encore plus et je regarde Justine passer la jupe qu’elle a choisie avant, elle s’assied dans la cabine croise ses jambes et me dit "Tu as vu je crois qu’elle est de la bonne longueur, la fente de la jupe dévoile la limite du bas, et il ne manque plus qu’une de tes mains là"Et là Justine promène sa main de son genou à la limite de son bas, je me tourne encore plus vers elle que cette pauvre vendeuse n’aperçoive pas la toile de tente qui déforme mon pantalon. "Tout cela te va si bien ma belle que je te l’achète, qui sait je vais peut-être en profiter un jour, mais je crois que si on ne veut pas être en retard il faudrait qu’on y aille""Tu as bien raison et je crois que tu vas même en profiter ce soir Serge, le temps que je me change et on pourra y aller, pour gagner du temps je te donne de suite les vêtements" et sur ces paroles Justine referme le rideau de la cabine et cinq minutes plus tard en écartant à peine le rideau elle me tend les dessous et la jupe. Je remarque qu’en prime elle a ajouté la culotte qu’elle portait en arrivant. Je prends cette culotte et je la glisse dans la poche de mon pantalon.Je rejoins la vendeuse à la caisse et je règle les achats (heureusement que je gagne bien ma vie car c’est fou ce que coûte de si beaux morceaux de dentelle) "Excusez-nous pour ces petits écarts de conduite madame, mais de temps en temps Justine aime bien s’amuser ainsi"La vendeuse rougit une nouvelle fois "J’ai cru voir cela en effet jeune homme et heureusement pour vous il n’y avait pas d’autres clientes, mais je dois vous avouer que vos jeux sont très plaisant, et cela ne me dérangera pas si jamais vous revenez dans la boutique de préférence à une heure où il n’y aura personne. Voici une carte du magasin que nous préveniez quand vous avez prévu votre retour, il vous suffira de demander à parler à Corinne" Je prends la carte en laissant traîner mes doigts sur les siens. A ce moment-là, Justine nous rejoint et m’embrasse à pleine bouche. "Merci mon ange ou plutôt mon démon, tu me fais un superbe cadeau et toi tu auras le tien ce soir" Quand je la regarde, je vois que sa robe est plus ouverte qu’à notre arrivée aussi bien dans le haut que dans le bas, et je me dis "humm le retour va être intéressant", je dis à Justine "Corinne ici présente nous propose que si nous décidions d’autres achats un jour, nous venions quand il y aura aussi peu de monde, il suffira de la prévenir" Justine la regarde "Humm c’est gentil cela Corinne, vous savez je crois bien qu’on va vous prendre au mot, car vous avez de très belles choses dans cette boutique" J’ajoute "Et la vendeuse aussi est très belle et je suis sûr que comme toi ma belle, elle devrait porter des vêtements plus à même de la mettre en valeur" Taquin je dépose un petit baiser à la limite de ses lèvres "A bientôt Corinne, on se fera un plaisir de revenir ici" Justine prend ma main et m’entraîne en dehors de la boutique "Tss Tss arrête de draguer comme cela mon coquin tu vas me rendre jalouse. Allez viens rejoignons la voiture j’ai hâte d’être seule avec toi"Nous parcourons ainsi le chemin qui nous sépare de ma 104, ma main posée autant que possible sur la hanche de Justine et en échangeant de nombreux baisers sous les regards réprobateurs des femmes que nous croisons et les regards envieux des hommes. Arrivés à la voiture j’ouvre à nouveau la portière à Justine qu’elle s’installe et comme je m’y attendais celle-ci prend tout son temps me laissant deviner son sexe par l’ouverture de sa robe quand elle ouvre ses jambes pour se placer sur le siège. La bandaison me reprend, son regard se pose sur ma braguette et pour seul réaction elle passe la pointe de sa langue sur ses lèvres. Je m’installe au volant et une fois démarré je ne peux m’empêcher de poser ma main sur son genou puis je remonte sur sa cuisse."Dis-moi coquine ta culote je te la rends ou c’est un cadeau?""C’est un cadeau pour cet après-midi que tu m’as fait passer, crois-moi il y a bien longtemps que je n’ai agi ainsi avec un homme. Et j’ai très envie d’aller encore plus loin avec toi, et je te le prouverai ce soir lors de notre sortie en boîte. Par contre avec les mauvaises langues qui traînent dans le quartier il faudra qu’on se méfie et qu’on reste sages" Tout le long de la route du retour je promène ma main de son genou à la limite de sa robe la remontant le plus haut possible. Justine elle en retour parfois passe sa main sur ma braguette pour caresser mon sexe qui ne dégonfle pas. "Vue l’heure coquin il faudra que tu attendes jusqu’à ce soir pour faire dégonfler tout cela tu y arriveras? ""Sans souci Justine car je sens que cette soirée va être mémorable, et j’ai trop désir pour toi surtout après t’avoir vue dans cette tenue si sexy, tu ferais bander un mort tu sais quand tu fais ta coquine" A quoi Justine répond "Et encore pour ce soir je crois bien que je vais te réserver une autre surprise mais chut!" Tout ce que je peux te dire c’est qu’en plus d’aller en boîte avec toi, je t’invite à La Chaumière avant" Nous arrivons hélas à destination, je rentre dans ma cour et Justine me laisse là, je n’ai plus qu’attendre la soirée (Suite au prochain épisode, si vous le voulez bien)
