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Mes dernières grandes vacances

Chapitre 2

Divers
« Mon cher beau-frère, il me semble que nous venons de faire une adepte du cul en la personne de ma chère petite sœur. »
« Je crois aussi ou elle est morte asphyxiée. »
« Non, j’adore, oui j’adore lécher son cul de ce salaud » qu’elle nous crie, la petite sœur.
D’une main, j’écrase sa tête sur mon anus, l’obligeant à pénétrer mon cul de sa langue. Très vite, je sens cette langue frétiller dans mon rectum et j’explose de bonheur, entrainant Gisèle avec moi. Je me couche sur elle, ma tête sur sa poitrine très avantageuse. À poil, je me dégage de ces deux femmes et plonge dans l’eau fraiche de la piscine. Après quelques brasses, je ressors, couche Manon sur mes cuisses et, avec l’approbation pervers de ma belle-sœur, je la fesse copieusement en ne manquant pas d’insinuer mes doigts dans ses orifices. Gisèle agenouille près de moi, assise sur ses talons, elle m’embrasse pour m’encourager à y aller plus fort encore. Comme mon frère me précise-t-elle. Manon cherche à me fuir, mais plus je malaxe son sexe, plus je fesse, plus sa muraille s’effrite. Sa résistance faiblit, son corps se tend lentement. Elle va jouir, c’est sûr. Gisèle m’encourage verbalement. Que c’est bon de fesser une fille de son âge ou plus âgée, hein Gisèle ! Soudain, Manon parvient à se retourner sur le dos, sa main entre ses nymphes et jouit en me fixant droit dans mes mirettes. Je me penche, l’embrasse, lui dis qu’elle est superbe dans l’orgasme. Je caresse sa vulve gonflée de désir, masse ses seins. Je veux encore la faire jouir. Cela ne tarde pas, elle repart quelques minutes après et de plus belle. Je me couche sur l’herbe, bras en croix, remerciant le ciel de ce présent.
Dans la salle de bain, je prends une longue douche bien fraiche et, nu, je rejoints mes deux gourgandines qui s’adonnent à des plaisirs autrement plus saphiques. Je les regarde, je détaille chaque geste que l’une ou l’autre fait sur le corps de l’autre. C’est une pure merveille de les voir s’aimer, il en a de la chance le grand frère. Je commence à l’envier méchamment. Les deux femmes jouissent tellement fort qu’elles réveillent mon neveu.
Je monte le prendre, il me tend ses petits bras, doux ange. Contre moi, il se calme. En bas, je trouve de quoi le changer. Pendant que je m’occupe de mon neveu, deux femmes me regardent faire. Deux mains viennent à mon secoure. Manon me montre, se plaçant dans mon dos. Elle guide mes mains, douce jeune femme. Je n’ai plus l’envie de quitter ce paradis, plus jamais. Manon se montre bonne institutrice. Dans sa couche, Grégory rigole quand je le caresse. Ma merveilleuse belle-sœur se glisse devant moi, me fixe, m’enlace, m’embrasse. Pour un peu, je voudrais la coucher près de mon neveu et la baiser comme une…non, comme une femme.
Plus tard, alors que dehors la chaleur devient insupportable, on est dans le salon à manger une bonne salade bien fraiche que j’ai faite selon la recette de ma défunte mère. À les voir manger, elle doit être excellente ou elles sont une faim de loup. Je m’étends sur un canapé, la chaleur m’endort.
Je ne me réveille qu’en fin d’après-midi, Grégory sur ma poitrine. Tant bien que mal, tout en douceur, je me redresse très lentement. Il ouvre un œil pour aussitôt le refermer. Dans mes bras, je monte le coucher dans son lit. Dans la chambre de Gisèle, deux femmes se sont endormies collées l’une à l’autre. Je redescendais tranquillement pour me prendre une nouvelle douche. En jetant un œil par la fenêtre de la salle de bain, une jeune femme nageait dans la piscine et entièrement nue. Plus jeune que Gisèle, elle devait tout même être plus âgée que moi. Après tout, pourquoi ne pas aller voir de quoi il en retourne.
Nu, je suis sorti et sans plus aucun complexe. Sans qu’elle me voit, je ramasse sa robe et la pose près du mur de la maison avant de m’assoir en tailleur sur le bord du bassin. Quand elle me voit, elle se cache. Je plonge à mon tour, la rejoins, lui tourne autour.
« Si tu veux crier, ma belle-sœur dort avec sa sœur et tu risques de réveiller mon neveu et, tu vois, ce ne serait pas très gentil de ta part »
« Mais t’es qui ? »
« Julien, le frère de Marc. »
« Oh, le petit suisse »

Là, elle me vexe, je fais bien mon mètre huitante et si elle continue, je crains de devoir être obligé de la fesser durement.
« Tu sais ce qu’il te dit le petit suisse ? »
« Désolée, je suis la cousine de tes belles-sœurs. Agate, j’étais au mariage. »
« Me souvient pas »
Là, c’est moi qui la vexe. À la croire, c’est elle qui se mariait. Bref, sortant de l’eau, plus de robe et elle panique déjà. Nue, stressée, elle ne cache plus son corps et son pubis touffu. Dommage, un mauvais point mademoiselle Agate, très mauvais point. Pervers, je pousse la robe derrière un pot de fleur assez grand pour m’y cacher derrière. Nue, elle finit par s’assoir sur l’herbe. Gentleman, je sors la robe de sa cachette et la lui tends.
Elle la roule en boule en me fixant, la mine défaite. Je me pose près d’elle, lui demandant ce qu’il lui arrive. Sa tête se pose sur a mienne. Entre deux sanglots, elle me demande de la déflorer. Là, c’est moi qui suis surpris et pas qu’un peu.
« Alors, petite chienne, t’es revenue te baigner dans ma piscine ? »
« Oui madame, vous me manquiez. »
« Tu vois, Julien, cette petite garce est notre chienne, notre soumise. Il lui est interdit d’avoir des rapports avec des hommes ou de se dépuceler à la main. Tu peux vérifier, elle est vierge à vingt ans. »
Je ne me privais pas de vérifier. Elle mouille, c’est certain et elle est réellement vierge. Je la regarde, me demandant comment une jeune femme peut devenir une soumise, une chienne si j’en crois ma belle-sœur. À quatre pattes, elle s’avance maintenant en direction de Gisèle, lui baise ses pieds et me revient, s’assoir comme une chienne devant sa Maîtresse. Je suis abasourdi de découvrir ce qu’un humain peut faire par amour, oui, comment cela se pourrait sans amour, c’est impossible, du moins, c’est ce que je pense en l’état des choses. Agate ne bronche plus, fixant Gisèle comme si elle attendait son nonos. Je me lève, ma belle-sœur fait un geste et Agate la chienne obéit en venant me sucer ma bite au repos. Très vite, dans cette bouche, ma queue se tend. Si elle est vierge, elle sait faire une excellente fellation. Mieux que mon ex et c’est peu dire. Elle suce si bien, je me retiens si mal que je ne tarde pas à jouir en tenant sa tête, ma queue bien au fond de sa bouche. Elle tousse, mais ne crache pas. Sa bouche maintenant ouverte en grand, je la regarde, elle avale.
« Tu vois, c’est une bonne petit chienne. Elle est prête à tout pour avoir sa dose de sperme. »
« Je vois. Pourtant, je n’arrive pas à piger comment on peut se rabaisser de la sorte »
« Et tu n’as encore rien vu, pas ma petite chienne. Il n’a pas tout vu ton nouveau Maître ? »
« Ouaf ! »
Je suis scié, perdu. Elle aboie maintenant. C’est à ne plus rien comprendre. Manon nous rejoint. Passant devant Agate, elle lui assène une paire de gifle qui la couche sur l’herbe. J’arrête Manon, un coup de sang et je gifle Manon avec la même force. Sur l’herbe, je la regarde se tenir ses joues, hébétée, ne comprenant pas.
« Même à une chienne, je ne ferais pas ce que tu viens de faire, tu pige ? »
Elle me fixe, Gisèle m’enlace, me calme. Je vais vers Agate, la relève. Elle reprend sa position de chienne assise comme si rien ne s’était passé, à n’y rien comprendre. Près de moi, Manon s’excuse platement pour son geste. Elle va jusqu’à caresser les joues rougies par les baffes reçues. Si j’osais, je la traiterais de nazie, cette Manon. Je rentre, encore fâché. Gisèle me suit.
« Tu ne peux pas savoir tout sur tout. Sache que j’ai beaucoup apprécié ton geste même s’il n’était pas logique en l’état. Agate est une soumise. Nous ne l’avons forcée en rien. Plus elle s’est soumise à nous deux, plus elle recherche la douleur, l’humiliation. Elle aime sa vie de soumise quand elle est parmi nous. C’est une autre manière de voir le sexe. Manon n’a pas fait juste, c’est clair. Mais il te faut comprendre qu’Agate ne vit que dans le désir de n’être traitée comme un esclave. »
« Désolé, mais j’ai de la peine à te croire. Surtout que je t’ai entendu au téléphone avec Marc. Il sait que j’ai couché avec toi. Mais pourquoi ? »
« Parce que Marc ne peut plus avoir d’enfant. Il est devenu stérile après une petite intervention à l’hôpital. S’il ne se faisait opéré, il serait mort avec la même maladie que ta maman. »
« Mais pourquoi moi ? »
« Parce que tu es son frère, issu du même sang et que nous voulons un autre enfant. »
« Moi, père ? »
« Non, oncle seulement et parrain. Tu vois, cela reste dans la famille. »
Enfin, j’avais un début de vérité. J’ai pris ma belle-sœur dans mes bras. Je fis amende honorable et ajoutais que je lui ferai l’amour aussi souvent qu’elle ne serait pas en ceinte. Du dehors, Manon arrive en tenant Agate par la main. Je pris le visage de Manon, l’embrassais en m’excusant. Pour Agate, je ne savais quoi faire, le prendre pour une chienne ou une adulte, une humaine. Regardant la pendule, Agate ramassa sa robe et partit sans un mot. Là, Manon tombe sur le fauteuil. Je m’assois sur l’accoudoir, embrassant son cou. Elle me fixe, un peu émue que je m’excuse pour mon geste de colère. Elle pose sa tête sur ma cuisse.
Maintenant que je savais la vie secrète de cette maison, je pouvais me libérer entièrement de mes préjugés et donné libre court à ma libido.
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