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mes dix huit ans

Chapitre 16

Zoophilie
-Allez vous deux,venez ici et asseyez vous au bord du divan,ordonna maman à Daniel et à Adrien.Elle avait pris la direction des opérations,je ne la reconnaissais vraiment plus,dans cette situation de sexe débridé elle n"était plus la même femme. Papa en perdrait son dentier s’il la voyait en ce moment. Les deux compères se mirent en position,leurs bites pointant vers le plafond,aussitôt les femmes se mirent assises à califourchon sur eux,ou plutôt sur leur dard. L’homme lâcha le chien qui fonça directement sur Sonia pour lui lécher l’ anus,elle écartait ses globes avec les mains pour encore mieux sentir la langue qui la fouillait. Elle gémissait sans discontinuer. Je voyais très bien la bite du chien qui commençait à sortir de son fourreau. Lorsqu’il eut fini l’oeillet de Sonia il la délaissa pour aller aussitôt lécher celui de maman qui apprécia de suite. Je pouvais vraiment maintenant me rendre compte de la taille du sexe qui pendait sous son ventre,complètement sorti de sa gaine protectrice,et ma foi ,il était de belle taille. Moins long que celui d’Adrien mais plus gros encore. Lorsqu’il eut fini de lécher maman,ne sentant certainement plus ces fameuses odeurs de phéromone, il sauta sur sa croupe et chercha à s’accoupler avec elle. Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment là,mais le fait est que je me suis agenouillée à côté du chien,j’ai saisis son sexe dans ma main et j’en ai dirigé la pointe vers l’ouverture anale . Il s’y engouffra de suite ,de toute sa longueur,maman accusa le coup en poussant un "oh oui" de satisfaction. Le chien commença alors sa danse endiablée sur le fessier maternel. Je regardai ce sexe animal rentrer et sortir à une vitesse incroyable du conduit qui l’accueillé. Cette vision déclencha ma production de cyprine,je me mis à mouiller,je dû me rendre à l’évidence. Malgré mes réticences du début de soirée ,j’avais maintenant moi aussi envie de sentir cette bite inhabituelle au fond de mes fesses. Je me levai et me dirigeai vers le seul mâle encore disponible :-Je suppose que tu as toujours envie de jouir dans ma chatte ?-Bien sur ma petite salope! t’as vu la gaule que j’ai?-Ok ,dans ce cas tu me tartines l’anus avec ta crème et après tu t’assois avec les autres. Je m’empalerais sur ta bite et tu pourras me baiser.-Ca me va! baise toi et ouvre ton petit cul de chienne.Il m’étala le précieux produit puis alla se mettre en place,je l’enfourchais ,il s’enfonça directement dans mon ventre ,sans effort tellement je mouillais.-Putain ! tu mouilles comme une pute,attends je vais te la ramoner,moi,me dit le poèteSentir sa queue en moi ne me fit pratiquement aucun effet,lui par contre s’en donner à coeur joie,vocabulairement parlant. Dès que le chien senti la trace olfactive il s’extirpa du cul de maman pour venir s’occuper du mien. Le premier contact de sa langue sur ma rondelle m’envoya un choc qui me fit contracter tous mes muscles ,y compris ceux de ma chatte. Le poète crût en être responsable,-Ah ouais,tu l’aimes ma bite dans ton trou de salope,serre moi la bien,continue comme ça ,sale chienne.Je ne l’écoutais même plus ayant décidée de le laisser se vider dans mon ventre. Tous mes sens étaient en alerte uniquement braqués sur le plaisir que me procurait le chien. J’étais si détendue que je sentais mon oeillet palpité,il réussit même à y faire entrer le bout de sa langue. La puissance de cette sensation me fit m’empaler encore plus à fond sur la bite qui occupait mon ventre.-Oui,oui,vas y chiennasse empale toi sur mon pieu; Vas y Rex prends là par le cul !Comme si le chien avait compris les paroles de son maître,il sauta sur mon dos entourant mes hanches avec ses pattes avant. Je sentis de suite le sexe chaud battre contre ma raie,plusieurs fois il tapa contre mon petit oeillet mais sa cadence était trop rapide. Exaspéré par le fait qu’il ne pouvait pénétré sa femelle il retomba sur ses quatre pattes,il me lécha la raie avec frénésie quelques instants déclenchant ma jouissance. Il remonta sur ma croupe,alors que j’étais encore en pleine orgasme son sexe trouva l’ouverture qu’il convoitait. Il était à moitié emmanché dans mon rectum,je sentais mon anus distendu à l’extrême, m’arrachant un rictus. Il donna un coup plus violent ,le reste de la longueur glissa en moi. Je n"eus pas le temps d’apprécier cette intrusion ,il commença de suite à me pistonner. La queue humaine et la queue animale me pilonner de concert. Il coulissait parfaitement dans l’étroit conduit qui épousait au maximum ce chibre brûlant dur comme de la pierre. Le plaisir ne tarda pas,d’autant plus que l’homme avait saisi mes tétons ,les écrasant,les malaxant ,les étirant au maximum. Je ne pouvais me retenir plus longtemps ,j’extériorisais par des cris,des râles,des gémissements,encourageant les deux mâles de la voix. J’explosais à répétition. Le "noeud" cognait maintenant entre mes globes,je savais ce qui m’attendait aussi je relâchais autant que possible tous mes muscles afin de faciliter sa progression. Je voulais absolument sentir ces giclées de foutre se déversées dans mes intestins afin de savoir si cela me procurerait le même plaisir que tout à l’heure dans ma chatte. Ça y est ! elle entrait. Je ne pus m’empêcher de crier,-oh la vache! putain que c’est gros!Je respirais comme une forge,la boule luttait avec mon anneau rectal qui résistait comme l’hymen d’une pucelle,enfin il céda ,laissant le noeud se fiché dans mon anus. Immédiatement les jets de foutre se déclenchèrent ,tapissant mes intestins. Une chaleur inhabituelle rayonna dans tout mon ventre,l’homme se déversait lui aussi dans ma chatte. Cette combinaison me fit décoller,je hurlais mon bien-être.-OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, je suis une chienneeeeeee,je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii par tous mes trous,c’est bonnnnnnnnnnnnnn,ahhhhhhhhhh,mamaannnnnnnnnn c’est bonnnnnnnn!Maman me dit plus tard que j’avais pris mon pied pendant plus de cinq minutes,sans discontinuer. Je ne me rappelais plus,le temps ne comptait plus,j’étais sur une autre planète.Cette soirée se termina au petit jour, une véritable orgie,j’ai même poussé le vice jusqu’à pratiquer une fellation au chien, je voulais le faire jouir dans ma bouche afin de pouvoir goûter son sperme. Je n’ai jamais regrettée cette nuit car j’ai connue des orgasmes déments ,je vous laisse les imaginés, si vous n’y parvenez pas alors une fois dans votre vie faites vous prendre par un chien. A ce moment là,vous comprendrez mieux ce que j’ai pu ressentir comme plaisir,il n’y a pas de mots assez fort pour les exprimés.Le lendemain de cette mémorable journée je suis retournée seule à la brasserie ou j’avais été avec maman lors de notre sortie au ciné. J’y ai rencontré Paul,j’en suis tombé amoureuse,un an après nous nous sommes mariés.Maman est restée avec papa ,tout en continuant sa double vie,il ne l’a jamais su. Je n’ai plus jamais couchée avec Daniel et Sonia,Adrien non plus d’ailleurs. Avec Paul j’ai vécue une vie heureuse,tant sur le plan affectif que sexuelle,je ne l’ai jamais trompée. Malheureusement ,il m’a quitté maintenant,il est décédé depuis peu. Aujourd’hui je vis seule,j’ai soixante dix ans et vous savez quoi ? Un jour que je me promenais dans la rue,passant devant la fameuse brasserie qui existe toujours,j’ai croisée une autre femme d’à peu près mon âge. Nous nous sommes regardées toutes les deux le temps que nous nous croisions. J’ai encore fait quelques mètres puis je me suis retournée pour l’observer. Elle avait fait de même. Non ,ce n’est pas possible,me disais je. J’osais alors et dis :-Sonia ?Elle resta quelques secondes sans rien dire puis à son tour:-Carole ?Après toutes ces années,je venais de retrouver Sonia,compagne de toutes mes turpitudes sexuelles de ma jeunesse. Elle était seule également, Daniel décédé depuis de nombreuses années dans un accident de voiture. Adrien avait déménagé et n’avait plus jamais donné signe de vie. Après plusieurs rencontres nous avons convenue de vivre ensemble. Nous avons même un compagnon en commun à présent;EH OUI ! NOUS AVONS ACHETE UN CHIEN
PS : Mais pschtttt! ceci est une autre histoire.
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