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Mes histoires de salope

Chapitre 2

Mon entretien de débauche

Avec plusieurs hommes
Il y a quelques temps, je vous ai raconté mon histoire vraie qui a commencé dans le métro et qui s’est terminée en partouze à mon domicile.Je m’appelle Béatrice. J’ai la cinquantaine aujourd’hui et les histoires que je vous raconte se passent pendant ma jeunesse.Après notre fantastique baise chez moi (c’était plutôt une partouze d’ailleurs), nous nous étions séparés en s’échangeant nos coordonnées et en nous promettant de remettre ça rapidement.Quelques jours plus tard, je reçois un coup de fil chez moi d’Éric, le black avec sa grosse queue, à qui j’avais confié que j’en avais marre de mon boulot et que je voulais changer un peu.Eric me demande si je suis toujours à la recherche d’un job plus intéressant. Je lui réponds que oui. Il me propose alors de passer dès que possible pour voir son patron pour en discuter. Quand je lui demande des précisions, il me répond que je verrais cela directement avec son patron car il lui a juste parlé de moi.
Je prends contact avec son patron qui me demande quand je peux passer, le plus rapidement serait le mieux car il est en phase de recrutement, me dit-il. Quand je lui demande pour quel poste et dans quel domaine d’activité, il me dit que nous en parlerons lors de l’entretien parce qu’il pense, d’après ce que lui a dit Eric, que je devrais faire l’affaire.Nous fixons RDV pour le lendemain car c’est mon jour de repos. Je me présente à l’entreprise où j’ai RDV et je demande à l’accueil à voir Christophe L. avec qui j’ai rendez-vous.Je ne comprends pas pourquoi, mais l’hôtesse d’accueil a un petit sourire de coin. Elle me demande de m’assoir dans le canapé de l’accueil pour attendre mon RDV.Je n’attends pas longtemps. Christophe L. arrive et vient directement vers moi. Il se présente et me demande de le suivre. Nous arrivons dans un bureau avec une porte sur laquelle est indiqué « Direction ». Le bureau est cossu : un bureau immense avec des fauteuils dans lesquels on doit être bien pour travailler, un autre canapé, différent de celui de l’accueil (très bas), des miroirs au mur…Une déco un peu étrange à mon gout, mais je sais que l’entreprise est chargée de la communication. Christophe L. me demande de m’assoir dans le canapé, puis vient s’assoir à côté de moi.Il m’explique en quoi consiste le job : il est question de démarcher des entreprises pour qu’elles nous confient leur budget communication. L’activité de l’entreprise consiste également à organiser dans le cadre de son activité, des séminaires pour le compte d’autres entreprises clientes. C’est de cette deuxième activité dont je dépendrais si j’accepte le poste.
Question salaire, Christophe L. m’indique qu’il est constitué d’une partie fixe non négligeable, mais que la partie pourcentage est encore plus intéressante. Bien entendu, il y a une voiture de fonction, plus des petits « à côtés ».Le tout me semble trop beau pour être vrai. Quand je lui demande où est le piège, il me sourit avec un air très intéressé. Il m’avoue qu’effectivement, il y a non pas un piège mais quelque chose que des personnes pourraient considérer comme déplaisant, mais il ne pense pas que ce soit mon cas. Devant mon air interrogateur, il se lève, va à son bureau, compose un numéro de téléphone et demande à son interlocuteur de venir nous rejoindre.Quelques secondes plus tard, j’entends frapper à la porte du bureau et Christophe L. répond « Entrez ». La porte s’entrouvre et je vois Eric qui rentre et me roule une pelle d’entrée. Je suis un peu surprise surtout dans cet endroit, en plein entretien d’embauche…Christophe L. regarde et demande à Eric de continuer. Eric continue de m’embrasser et en profite pour me peloter allègrement les fesses, ce que ne manque pas de regarder Christophe L. d’un air très intéressé.Eric soulève ma jupe, et comme à mon habitude, je n’avais pas mis de culotte. Christophe L. ouvre sa braguette, sort son sexe et s’approche de nous. Il vient derrière moi et se met à me peloter le cul en même temps qu’Éric. Christophe va plus loin : il me doigte le cul et je commence à gémir même si mes gémissements sont imperceptibles parce que la bouche d’Éric est toujours collée sur la mienne.
Son doigt fait des va et vient et cela me fait de plus en plus d’effet. Christophe en profite pour me taquiner le minou et ce salaud s’y prend vraiment bien : un doigt tourne autour de ma chatte, passe de plus en plus près de mon trou puis s’y engouffre subitement. Un doigt, puis deux, trois et même quatre. Ma chatte n’étant pas préparée, il a un peu de mal à y mettre toute sa main, mais je commence à mouiller comme une chienne, et plus Christophe tente de rentrer et plus il s’engouffre dans ma chatte. Il a maintenant passé sa main entière et me fiste comme un malade.Ce qui me surprend le plus, c’est qu’il est en train de me bouffer le cul en même temps qu’il me fiste la chatte. Et ça, c’est un régal. Mais il ne s’arrête pas là : je sens sa deuxième main passer autour de ma taille mais rien ne se passe. Etrange ! Je sens Eric qui se recule. Christophe lui sort sa queue (toujours aussi grosse et dure). Il me pousse pour que je me décale un peu et prend la bite d’Éric en main et le branle énergiquement. Je me demande ce que va faire Eric : va-t-il jouir rapidement ? Non, ce n’est pas le cas. Mais je suis encore plus surprise quand Christophe prend la bite d’Éric en bouche. Il est en train de lui tailler une pipe. Je ne savais pas qu’Éric était bi… J’ai appris plus tard que c’était une première pour lui.Et moi, dans tout ça, qu’est-ce que je deviens ? Christophe suce Eric et me doigte le cul. J’aurais préféré prendre une bonne bite dans le cul. Alors, je me suis allongée par terre et je me suis mise à sucer Christophe que je ne connaissais même pas il y a un quart d’heure. Je suis quand même une sacré salope.Christophe arrête de sucer Eric qui bande comme un fou (il semble avoir apprécié le salaud) et se retourne vers moi, la queue dressée. Christophe semble vouloir me prendre, ce à quoi je ne dis pas non car ils m’ont bien chauffée, ces deux lascars !Je me mets en position, cambrée sur le bureau, les jambes bien écartées. Je sens Christophe arriver et d’un coup sec, il m’encule à fond sans prévenir. J’ai un petit cri de douleur, mais il se transforme vite en gémissements de plaisir. Christophe va et vient dans mon cul. Ça fait du bien car je ne pensais pas que sa queue était aussi grosse. C’est peut-être parce que ma rondelle s’est un peu rétractée lorsqu’il m’a défoncé le cul.
Christophe a l’air d’aimer mon cul et de s’y sentir comme chez lui. Il me ramone comme un dieu en me bénissant de tous les noms : « Salope, tu aimes ça la bite, hein ? » ou encore : « Elle te plait ma grosse queue ? Tu en veux encore ? Tu veux que je te baise encore plus fort ? ».Il me redresse sans sortir sa queue de mon cul. Nous nous allongeons, non sans mal car Christophe ne veut pas abandonner mon petit trou. Après bien des efforts, nous y parvenons. Christophe se couche sur le dos, je lui tourne le dos (il m’encule toujours et je sens bien sa bite). Eric se présente devant moi. Je m’allonge sur Christophe (en lui tournant le dos) et Eric se positionne à genoux devant ma chatte. Il me doigte et il doit sentir la bite de son patron qui est toujours dans mon cul. Il continue de me doigter et se penche pour me bouffer le clito. Putain que c’est bon de se faire enculer et bouffer la chatte en même temps.Eric prend un malin plaisir à me faire mouiller comme une chienne. Il décide alors de positionner son membre, raide et extrêmement dur, à l’entrée de ma chatte. Il me pénètre lui aussi d’un seul coup, à fond. J’en ai les jambes qui flageolent. Je jouie encore et encore. Je sens que ma chatte dégouline de plaisir. Mais c’est encore pire quand Eric et Christophe se mettent à me limer à contresens : le premier rentre dans ma chatte, pendant que le second sort de mon cul et vice et versa… Quel pied ! Je crois que j’ai crié de sorte que toute la compagnie a dû m’entendre.Après une bonne demi-heure, nous nous sommes arrêtés de baiser. Tout le monde s’est ajusté et nous avons repris nos esprits.Et là, Christophe s’est retourné vers Eric et lui a dit : « Tu avais raison. Cette salope convient parfaitement au boulot de pute qu’on a à lui confier. »Et comme je ne comprenais pas, Christophe m’a expliqué que pour obtenir les budgets de certains clients, il fallait parfois payer de sa personne. Alors, tant qu’à faire, autant que ce soit avec plaisir.
J’ai eu le poste. Ma situation financière s’est considérablement améliorée car j’ai souvent su « payer de ma personne » pour le bien de la société qui m’employait. Le Chiffre d’affaires, cette année-là, a bien progressé. Lorsque les contrôleurs fiscaux ont demandé à quoi cela était dû, mon patron, Christophe, leur a répondu qu’ils avaient fait un recrutement qui s’avérait être extrêmement efficace pour le business…Ah. J’allais oublier : au début, je vous ai dit que l’hôtesse d’accueil avait eu un petit sourire en coin. J’ai su après coup qu’elle participait aussi « aux soirées d’intégration » des nouveaux venus dans l’entreprise. Il s’est avéré par la suite que c’était aussi une sacrée salope. Ce sera l’histoire que je vous raconterais après celle-ci.
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