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Mes jeunes années.

Chapitre 1

Inceste
Mes jeunes années.Ceci est le récit de moments tels que réellement vécus lors mon apprentissage précoce des plaisirs de la vie début de mon adolescence dans une famille soudée, libre et insouciante, aux idées et aux mœurs sans doute plus libertines que la moyenne.J’ai découvert au fil des ans que ma famille avait une particularité vestimentaire certainement commune autrefois, mais qui me semble être de moins en moins répandue. En un mot, cela se résume au fait que dans notre foyer, le port des sous-vêtements était très loin d’être systématique. Cette habitude bien assumée par tous, a perduré chez nous de générations en générations, malgré la création de dessous de plus en plus affriolants pour les femmes… et pour les hommes. . Très certainement, cette pratique a contribué à me donner une grande précocité sur les choses de la vie. J’ai souvent vu mes parents enfiler qui une robe ou une jupe, qui un short ou un pantalon, directement, sans rien dessous. Idem pour ma sœur ainée. Et je sais que mon grand père paternel ne portait jamais rien, même en hiver, sous ses pantalons de velours…
C’est ainsi que tout naturellement, à la fin des années soixante, nous avions été élevés, depuis tout petit, à se passer de sous-vêtement en dehors de l’école, à la maison ou à la campagne chez mes grands parents. Il n’y a eu qu’à l’école primaire que j’ai porté des slips systématiquement. Maman y tenait, craignant toujours un incident avec ses petits; je ne crois pas que papa de son coté se serait battu. Lui avait toujours été à l’école sans slip ou sans caleçon. Il n’avait connu les sous-vêtements que beaucoup plus tard.Mais pendant les vacances ou les jours sans école, Maman ne nous donnait jamais de slip à mettre sous mes culottes ou sous ses jupes, à ma sœur. Comme Papa, elle trouvait que c’était plus hygiénique d’être aéré, et plus agréable. Cela faisait accessoirement quelques économies en achats, avec des sous-vêtements qui duraient plus longtemps, et surtout moins de lessive à s’occuper. A cette époque, les garçons, nous étions pratiquement toujours en culottes courtes. Ces culottes courtes, comme on les appelait par opposition aux culottes longues, étaient beaucoup plus courtes que maintenant. Elles étaient portées dans l’année beaucoup plus longtemps, au printemps et à l’automne, à la maison, à l’école, bien sûr en vacances, et même au lycée, bref, pour certains enfants, et même certains ados, tout le temps.D’être nu sous ma culotte, courte ou longue, j’en avais donc l’habitude et même, je dois dire que cela me convenait bien. Aux rentrées de grandes vacances, je ne comprenais pas pourquoi je devais remettre un slip, alors qu’il faisait toujours aussi beau. Un peu plus vieux, cela m’arrivait d’aller de plus en plus souvent au lycée sans slip ou sans caleçons (caleçons que j’avais découvert entre temps). Les parents, et surtout Maman, pris au piège de leur propre éducation, ont complètement baissé le pavillon sur le sujet, nous disant alors simplement de « faire attention », après nous avoir dit, petits, de « serrer nos cuisses », lorsque nous étions nus sous nos shorts. Ma sœur Babette, elle aussi, pareillement nue dessous, portait des jupes au genou, et souvent également des shorts courts de garçon, assez masculins, que je récupérais lorsqu’ils devenaient trop petits pour elle. Une année, nous reçûmes une semaine avant les vacances de Pâques un correspondant Allemand à la maison, venu en France avec sa classe, pour un échange scolaire avec elle. Notre maison avait quatre grandes chambres, mais la chambre d’invités, un peu isolé dans la cour, remplie de bric à brac ne permettait guère de coucher décemment un invité au delà d’une nuit. Il avait été donc convenu qu’il serait hébergé dans ma chambre, où il y avait deux petits lits, tout comme dans celle de ma sœur. Pour que l’on soit entre garçons.
Nous avons récupéré Dieter un soir au lycée, arrivant d’Allemagne avec un petit groupe, fatigué, après un long voyage en car. Il était nettement plus grand que nous, qui pourtant étions minces et élancés. Il était blond, avec une mèche barrant le front, des joues rebondies, des yeux bleu sombre. Bref, un beau jeune homme, sans doute bien sous tous rapports… et pour tous les rapports. Il ne parlait bien évidemment que très peu le Français. De notre coté, bien qu’à l’école étant tous les deux de bons élèves, faisant Allemand deuxième langue, nous ne parlions pas plus Allemand que lui ne parlait le Français. Les parents s’essayèrent également à nos cotés en Anglais, avec peu de succès. Après le repas nous allâmes assez vite dans ma chambre pour se coucher, et je me déshabillais devant lui, normalement, sans penser à essayer de me préserver de son regard, car en famille, nous étions assez peu pudiques entre nous. De son coté, il avait une chemise, et un pantalon gris, banal, sous lequel il portait un petit caleçon jaune en toile fine qu’il retira sans hésiter, après m’avoir vu enlever ma culotte courte. Comme de plus en plus souvent, je n’avais rien mis ce jour là-dessous pour aller au lycée. Je pus voir qu’il avait un zizi plus gros que le mien, une paire de couilles bien pendantes, le tout entouré d’une toison blonde, alors que j’étais encore pratiquement imberbe. J’en étais complexé. Nous nous couchâmes, tous nus tous les deux, car il faisait déjà chaud pour la saison. Le lendemain matin, maman est venue dans notre chambre, alors que nous étions encore au lit. Elle avait une serviette pliée à la main et a essayé d’expliquer à Dieter que c’était pour la douche. Comme il ne comprenait pas, je me suis levé, et l’ai emmené par la main à la salle de bains. On s’est retrouvé tous les deux ensemble sous la douche, face à face, et à un moment, par inadvertance, j’ai touché de la main son zizi. Dieter a rigolé, m’a regardé, et a pris le mien volontairement, dans sa main un instant. Ca m’a fait tout drôle ; j’ai repris le sien dans ma main, et on a rigolé. Les choses en sont restées là, et après nous être essuyés, nous sommes rentrés, toujours à poils, dans ma chambre. Pendant que j’enfilais à nu mon short puis ma chemise, je l’ai vu farfouiller dans ses affaires et en sortir une culotte tyrolienne, qui visiblement avait beaucoup servi. Elle était d’un cuir épais et raide, de couleur beige, déformée et marquée par endroits de marbrures foncées et de plis d’usure qui luisaient sous la patine du temps, avec des coutures curieusement montées à l’envers. Une paire de bretelles avec une sorte de plastron brodé sur la poitrine remplaçait la ceinture. Comme pour attirer l’attention sur les cuisses, les deux côtés extérieurs du bas des jambes de la culotte comportaient deux petites fentes fermées par des lacets de cuir. J’avais déjà aperçu de temps à autres de telles culottes, car dans ces années là, on pouvait en acheter en France dans quelques boutiques. J’avais entre autres, vu deux ou trois garçons qui en portaient régulièrement dans la cour de l’école primaire mais plus maintenant au lycée. Je n’avais pas attaché jusqu’ici spécialement d’intérêt à ces tenues, mes parents non plus.
Ayant vu que je ne me cachais pas pour m’habiller et sans doute peu pudique lui-même, Dieter enfila sa culotte directement, face à moi, sans avoir pris non plus de caleçon ou de slip. D’un coup de rein qui dénotait son habitude, il fit redresser et disparaitre sous le cuir sa bite et ses couilles qui pendaient jusqu’alors au repos devant le rabat à deux boutons qui remplace la braguette, releva ce rabat, le boutonna et ajusta à même son torse nu les deux bretelles. Il passa une chemisette sur les bretelles, le bas de celle-ci libre par dessus sa culotte. Je ne perdis pas une miette de ce strip-tease à l’envers et commençais à bander sous mon short. Cette curieuse culotte en cuir plutôt courte et large sur ses fesses me laissait clairement imaginer son mandrin et ses boules en totale liberté sous les grands revers des jambes qu’il venait de relacer bien haut, après avoir regardé par la fenêtre le temps magnifique. Ses attributs que l’on ne pouvait voir dans l’instant, ne devaient certainement demander qu’à sortir par le coté de la jambe maintenu béant par la rigidité du cuir. J’eus soudain envie d’essayer cette culotte si suggestive.  Nous sommes alors allés retrouver mes parents et ma sœur pour le petit déjeuner. Ma sœur Babette avait simplement sur elle un short et un t-shirt ; et bien sûr pas de soutien-gorge pour envelopper ses seins naissants. Maman n’en avait pas non plus. Dieter s’en aperçut assez vite ; ses yeux ne quittaient pas les deux paires de seins. Lorsqu’il se leva de table, je vis que le rabat de sa culotte présentait une bosse. Ce premier jour, qui était un samedi, nous sommes allés faire un tour en ville, pour faire découvrir les environs à Dieter. Maman avait avais remis un soutien-gorge, une petite culotte, je ne crois pas. En tous cas, je savais à la forme de la bosse sous le short de papa, et aux mouvements de son paquet lorsqu’il marchait, qu’il n’avait pas lui non plus mis de slip.Mes parents avaient à cette époque une 404 Peugeot. Nous étions les trois enfants derrière, Dieter au milieu, les jambes légèrement écartées, les pieds de chaque coté de la bosse de la transmission arrière. Nos jambes nues faisaient plus que se frôler, et très vite je vis la main de Babette posée sur la cuisse de Dieter. Celui-ci ne la repoussa pas, au contraire, il mit sa main sur la cuisse de Babette. De mon coté, je ne pouvais m’empêcher de toucher le short de Dieter, tripotant son revers et ses lacets. Au voyage du retour, les mains de Babette et de Dieter étaient carrément enfilées sous les lisières des jambes de leurs shorts. Revenus à la maison, Babette emmena Dieter dans sa chambre, soit disant pour lui faire voir quelque chose et je les ai suivi. Je vis que le short de Babette avait une tache humide devant.Dieter s’assit sur le lit, et Babette, à coté de lui, l’embrassa tout de suite à pleine bouche et lui enleva sa chemise. Dieter prit le t-shirt de Babette et le lui fit passer par-dessus ses épaules. Ses seins avec leurs auréoles brunes pointaient en avant. Il l’embrassa de plus belle, tout en faisant glisser ses bretelles et déboutonnant son short. Il le baissa et le fit gicler plus loin d’un coup de pied. Maintenant, Babette était également toute nue, à coté de lui. Et là, elle fit un truc auquel je ne m’attendais pas. Je n’en perdais pas une miette. Elle se baissa sur le bas ventre de Dieter, et commença à enfiler son sexe dans sa bouche. Après quelques va et viens, je vis qu’il se passait quelque chose : Dieter se raidit, poussa avec ses mains sur la tête de Babette qui visiblement avalait et déglutissait. Ils se détendirent, tous les deux, allongés sur le lit. Moi, je bandais comme un âne, et il me passa par la tête une idée.
Je dis à Dieter qui était ailleurs dans les nuages et ne comprit pas sur le coup: « Dieter, j’essaye ta culotte »Je retirai mon short par-dessus mon érection, et pris la culotte de Dieter. Il n’avait même pas défait les bretelles, seulement un des deux boutons de la bavette, et le seul bouton qui tenait les rabats en dessous de celle-ci. La culotte était vraiment très grande pour moi, et elle me pendait à l’entrejambe. J’ai rapetissé les bretelles au niveau du plastron et fermé les boutons devant. Et là, quel confort ! Quelle sensualité ! Je suis allé jusqu’à la salle de bain, me voir dans la grande glace et me dis qu’avoir une culotte comme ça, ça me plairait bien. J’avais une belle bosse devant. Alors que je revenais dans la chambre, Babette avait repris ses esprits. Elle était resplendissante, avec quelques traces blanches et humides dans ses cheveux et sur sa figure... Elle me prit par la taille, et pour rigoler, et commença à me tripoter a travers le short de cuir. Je m’étais déjà masturbé quelque fois. Papa m’avait expliqué quelques mois avant, à quoi ça correspondait, et comment faire, avant d’avoir une copine qui s’occuperait de moi. Se masturber le soir dans un mouchoir, c’était efficace pour éviter de salir les draps, comme le matin où je m’étais réveillé dans l’humidité, honteux, croyant avoir refait pipi au lit, mais trouvant tout de même curieux l’aspect gluant de ce qui était sorti. C’était ce qui avait motivé le petit cours de Papa. Mes parents contrairement à beaucoup d’autres à cette époque, considéraient qu’il ne fallait surtout pas à nos âges être ignorant en matière sexuelle pure, ainsi qu’en matière de baise. Pour eux, il n’y avait pas de mal à se faire du bien. Les sujets un peu lestes revenaient souvent dans les discutions à table, sans gène. Papa disait : « La bouffe et le cul, il n’ya que ça qui mène le monde. » C’est vrai que dans notre famille, on est plutôt bons cuisiniers… Pour le reste aussi, finalement.Babette ne s’attendait pas à ce que ses caresses apparemment anodines pour elle sur le short en cuir de Dieter produisent un tel résultat si vite. Malgré mon jeune âge, j’explosai plusieurs fois dans la culotte, et elle le vit bien. J’étais tout rouge, honteux. « Jean, mais fais quelque chose, retiens toi ! », me dit-elle. Elle défit alors tous les boutons, la culotte tomba par terre. Elle la prit et, décidément, je ne connaissais pas ma sœur, se mit à lécher avec délectation le plus gros de ce liquide blanchâtre qui était à l’intérieur. Pendant ce temps là, je m’essuyai avec un mouchoir, et remis mon short. Dieter, lui rigolait, en regardant ma sœur. Il remit sa culotte toute mouillée et encore gluante à l’intérieur, comme ci de rien était. Rien n’était visible de l’extérieur. Tout ceci n’avait duré guère plus qu’un quart d’heure.Babette avait dans sa garde-robe une jupe fauve en croute de porc épaisse et rigide, faite de deux pans sans doublure, qui s’assemblaient sur le devant et sur le derrière, du haut en bas par deux séries de pressions en inox. Elle prit celle-ci plutôt qu’un short propre. Elle l’enfila bien entendu sans mettre quoi que ce soit dessous. On la vit très souvent ainsi vêtue avec cette jupe les jours qui suivirent. A travers les boutons pression espacés, Dieter avait un accès aussi facile qu’elle à travers la bavette de la culotte tyrolienne. Ma chaude sœur l’avait bien compris. Et c’était également aussi discret que le short en cuir, pour les fuites.
  Nous sommes ressortis de la chambre et après un rapide passage à la salle de bains, avons été tous les trois faire un grand tour de vélo, avant le repas du soir. A chaque fois que Dieter enjambait la barre de son vélo pour monter dessus, pourvu que l’on soit sous le bon angle, on voyait tout à chaque fois: vue plongeante le temps d’un éclair sur le chibre bien souple et bien détendu, et les valseuses dansantes. Babette et moi avons apprécié ce spectacle à plusieurs occasions au cours de ces ballades.De toutes ses vacances en France, Dieter ne porta que cette culotte en cuir, y compris la semaine où il alla avec Babette en cours, les revers généralement bien relevés en short, quelques fois dépliés en culotte un peu plus décente, par exemple au Lycée. Lorsque maman lui demanda si il avait du linge à laver, il ne lui remit que le caleçon qu’il avait le premier jour, et quelques chemises. Je dis à maman qu’il était comme nous quatre, pratiquement toujours sans slip. Je lui expliquai qu’il m’avait fait comprendre que si les coutures de sa culotte étaient à l’extérieur, c’était volontaire pour que cela ne gène pas les mouvements à l’intérieur, que son short en cuir ça ne se lavait pas souvent, et qu’il absorbait pratiquement tout, justement parce que c’était du cuir… D’ailleurs j’étais bien placé pour en savoir quelque chose.En ce printemps, maman voulait me racheter lorsque l’occasion s’en trouverait dans les magasins, un short pour l’été, ma précédente culotte courte réservée pour la maison devenant trop petite. Et je me chamaillais régulièrement avec Babette pour lui prendre l’un de ses shorts préférés que j’aimais bien. Maman pensait me prendre un short en jeans, comme on commençait à en voir. Avant la venue de Dieter, l’idée me convenait. Maintenant qu’il était là, je dis à Maman plusieurs fois que finalement je voulais une culotte en cuir comme la sienne ; les autres garçons Allemands et quelques filles de leur groupe linguistique en portaient également sans arrêt. J’avais vu ces lederhosen, comme les appelait Dieter, sur le catalogue d’été des Trois Suisses qui était à la maison. Je me rappelle encore aujourd’hui de ce qui était écrit en dessous des photos du catalogue, «Mamans habillez vos garçons avec ces jolies culottes tyroliennes en cuir inusable; avec bretelles». Maman hésitait car ces culottes courtes coutaient nettement plus cher que les autres, mais Papa appuya ma demande, estimant que si je les portais plusieurs années, comme Dieter, cela serait un bon achat. Finalement, elle céda et commanda un seize ans, qui serait un peu trop grand pour moi, qui venait juste d’avoir mes treize ans ; un quatorze ans aurait suffi. Lorsque ma culotte tyrolienne arriva, Dieter était reparti depuis une semaine. En rentrant du lycée, je l’ai trouvée à la cuisine où maman avait ouvert le paquet des Trois Suisses apporté par le facteur. Le cuir vert foncé lisse et brillant était lourd et épais, quelque part sensuel. Cela sentait bon le cuir neuf. La culotte me paraissait très grande et était d’un poids et d’une raideur sans comparaison par rapport à la culotte courte en flanelle que je portais ce jour là. La culotte était effectivement taillée pour un grand adolescentMaman dit : « Jean, essayes la, qu’on voit ce que ça donne sur toi. J’ai l’impression que c’est peut être un peu grand.»J’ai alors sans attendre improvisé un mini strip-tease dans la cuisine, en enlevant ma chemise et ma culotte courte sous laquelle comme de plus en plus souvent, et surtout après les aventures des vacances de Pâques, je n’avais rien mis dessous. J’étais maintenant tout nu devant maman et ma sœur qui était arrivée entre temps. Maman me fit une réflexion, trouvant que j’exagérais et pourrais mettre un slip au moins pour aller au lycée. Je répondis que j’étais mieux sans et que de toutes façons j’en avais un dans mon sac de sport que je mettais avant les heures de gym; elle me redit de « faire attention » et que je finirai par « me faire avoir avec ça.
« Et toi, Babette, continua maman, tu mets une culotte pour aller au lycée ? Je n’en vois plus guère à toi non plus aux affaires sales. ».« J’en mets les jours où j’ai mes ragnagna, et pour le sport. »« Quelle famille ! Enfin, de toute façon, je suis pareille ! » Soupira-t-elle « N’en parlons plus, faites ce que vous voulez, vous verrez bien ! ».
J’ai pris ma culotte en cuir neuve et l’ai enfilée. Elle était nettement trop grande à la ceinture, surtout à poils. J’avais du mal avec les boutonnières neuves, et je voyais que ma sœur se marrait à la vue de mon zizi qui se baladait de droite et de gauche. Mai j’ai finalement pu ajuster les bretelles au minimum devant et refermer le rabat. Les bretelles créaient une sensation totalement différente d’avec une ceinture, et surtout, la culotte, trop grande ou pas, restait bien en place. A même la peau du torse, on se sentait à la fois libre et bien harnaché, comme en sécurité, bien dans son linge.Et là je me suis tout de suite senti bien dans cette nouvelle culotte sous laquelle je me sentais plus en liberté que sous tout autre short. Il y avait quelque chose d’érotique dans tout cela. Quasiment instantanément, je me suis mis à bander, comme lorsque j’avais essayé la culotte de Dieter. J’ai rapidement remis par-dessus ma chemisette, le tour était joué, plus rien à voir, mais maman n’était pas dupe. Elle passa sa main derrière, dans la culotte et dit en me caressant doucement les fesses : « Heureusement qu’il y a les bretelles, sinon tu la perdrais ! », avant de revenir par devant. Puis elle enfila facilement sa main par en dessous, par le large entrebâillement de l’entrejambe et, avec un regard appuyé, droit dans mes yeux, en tripotant consciencieusement mes boules, faisant rouler celles-ci entre ses doigts experts et étirant ma verge gonflée, maintenant bien dure, murmura: « de ce coté la, ça va plutôt bien ! ». Cela me parut durer une éternité. Elle retira sa main de la culotte, m’attira vers elle, me prit dans ses bras et m’embrassa à pleine bouche et me dit « je t’aime mon amour ». Je me tenais plaqué contre elle, bloquant mon sexe contre son ventre. Je sentais ses seins contre ma poitrine et sous mes mains, ses fesses libres sous le tissu léger de sa robe. Elle non plus n’avait pas de petite culotte ce jour là. Je commençais à malaxer ses fesses fermes. Finalement maman s’écarta et me fit une petite claque sonore sur le cuir qui enveloppait mon derrière. « Elle est trop grande pour toi», dit elle en se reculant pour me voir d’un peu plus loin, « mais étant donné le style, et surtout avec les bretelles, finalement, ça se tient bien à l’entrejambe, ça te donne un peu d’épaisseur et ça te va plutôt bien. Ca fait sport, c’est joli. Cela devrait te faire de l’usage longtemps.» J’étais aux anges.Je suis sorti dans le jardin, et au bout de quelques pas, j’ai éprouvé le besoin de relever les bas de jambes en revers, en reprenant leurs lacets, pour que cela fasse plus short, comme était Dieter. Ma sœur que je n’avais pas vu venir, ma surpris par derrière, et a passé sa main dans le rabat, comme elle l’avait régulièrement fait avec Dieter ; elle a empoigné ma bite qui ne débandait pas et m’a dit « ça va frérot ?, viens dans ma chambre ! »
Nous sommes rentrés dans sa chambre; je sentais que je commençais à être franchement humide. Babette a fermé la porte, s’est assise sur son lit, et m’a attiré, debout face à elle. Elle a défait les deux boutons de la bavette de ma culotte et mon membre a jailli, libre, toujours bien raide. Sans que je m’y attende, elle a commencé avec sa main à me caresser, a fini de me décalotter ce qui m’a occasionné une grimace. « Oh mon Dieu » dit elle, « Je vois que tout ça a un grand besoin !... » Et elle commença à me lécher, puis mit mon gland dans sa bouche et commença à me pomper. Le résultat se fit sans attendre, je giclais dans sa bouche. J’allais de surprise en surprise, en constatant qu’elle ne me lâchait pas, en déglutissant et en avalant. Elle en redemandait et visiblement adorait ça. Subitement, elle changea de position, se releva, et m’embrassa à pleine bouche. « Goutes », me dit elle, en lâchant ma bouche dix secondes, « tu verras, c’est bon.». Je goutais pour la première fois ma semence ; c’était légèrement salé, gluant. Elle m’avoua que c’était Maman qui lui avait expliqué que de sucer et d’avaler, c’était bon, et que ainsi de vider complètement le garçon à plusieurs fois, immédiatement avant de se faire pénétrer, cela tenait lieu de contraception. En ces temps là, il n’y avait pas la pilule.Elle me laissa me détendre, me lécha une dernière fois et rajusta les deux boutons de la bavette de ma culotte que je n’avais même pas quitté. Très pratique, ce short tyrolien !Innocemment, nous sommes retournés voir nos parents pour le diner. Papa dit que ma culotte m’allait bien et que je devais être contant. Effectivement, je l’étais ; s’il savait tout!Comme sur tout vêtement neuf, il y avait des étiquettes : une en Français qui expliquait très sommairement comment entretenir le cuir, et une autre, l’originale en Allemand, que j’ai encore et qui m’a longtemps servi marque page, avec un joli dessin d’un gamin en short en cuir, et avec un texte un peu long au verso.
“Lederhosen sind haltbar, bequem und praktische. Sie sind leicht und einfach zu reinigen: etwas angewarmte seifenlauge -Ca 40°C-. Mit Schwamm reiben. Wenn Sie gewöhnlich Lederhosen ohne Unterwäsche tragen, können Sie diesem Lederhose gelegentlich mit kaltem Wasser und Seife waschen. Abspülen. Nicht wringen. Zum trocknen flach, ohne hitze. So wird die Lederhose nicht in der Wasch schrumpfen und nicht verformen.Wenn die Lederhose getrocknet ist, ist es notwendig, mit Fett der Außenseite zu füttern. Mit den Nähten zu beginnen.”Avec Babette, pour une fois que nous voyions autre chose qu’un texte scolaire, et sur un sujet qui nous intéressait, nous nous sommes collés à notre dictionnaire Allemand- Français.
Cela donnait à peu près ceci: « Les culottes de cuir sont durables, confortables et pratiques. Elles sont aisées et simples à nettoyer : un peu de mousse de savon à 40°, frotter avec une éponge. »Et surtout la suite :« Si vous portez habituellement vos culottes en cuir sans sous-vêtement, vous pouvez laver cette culotte-ci de temps en temps à l’eau froide et avec du savon. Rincer. Ne pas essorer. Faire sécher à plat sans source de chaleur (sèche-linge ?). Ainsi elle ne rétrécira pas au lavage et ne se déformera pas. Quand votre culotte est sèche, il est obligatoire de la nourrir de graisse sur la face extérieure. Commencer par les coutures. » On découvrait au travers de cette étiquette le fait que pour certains Allemands, il était tout à fait naturel de porter leurs shorts tyroliens directement, sans jamais rien dessous. Nous avons fait part de notre découverte à papa et maman. Papa dit qu’à y réfléchir, le slip avait dû être inventé bien après la culotte tyrolienne. Maman était contente de savoir comment entretenir correctement cette culotte de cuir.
Avec Babette, nous avons repris nos petites séances de jeu de jambes en l’air plusieurs soirs de suite. Un jour, Babette m’a demandé d’emprunter ma tyrolienne pour aller voir ses copines. Je lui ai dit, d’accord, mais on fait d’abord tout ce que tu as fait avec Dieter. « D’accord ! ». Babette m’a enlevé mon short et mon t-shirt , et s’est déshabillée complètement. Après m’avoir pompé copieusement, comme elle savait si bien le faire, elle m’a fait s’allonger sur elle. Le contact de sa peau douce, de ses seins et son odeur, m’a électrisé, et m’a instantanément redonné toute ma vigueur. Je ne croyais pas que cela pouvait être si bon. Elle a alors passé une main entre nous deux et m’a guidé en elle. Une sensation extraordinaire, de chaleur, d’étreinte très douce. Puis je me suis spontanément enfoncé le plus loin possible et suis resté quelques minutes qui m’ont semblé une éternité, sans bouger, tétanisé… Je me suis redressé, j’ai remué en elle, je crois encore qu’elle a joui. Quand à moi, j’étais vidé d’avance, et je commençai à me ramollir. Lorsque je suis ressorti, Babette m’a dit : « Tu vas voir, on va finir par un soixante neuf ». Elle m’a fait mettre tête bêche, pour que je lui nettoie la foufounette, pendant qu’elle suçait une dernière fois mon zizi redevenu tout rabougri. Entre ses cuisses, j’ai aimé l’odeur, le nez dans sa toison brune, et la douceur de ses lèvres dans ma bouche. J’ai titillé avec ma langue son petit bouton, et à mon tour, j’ai aspiré et léché. Et Babette s’est à nouveau cambrée de bonheur. Je n’étais plus puceau ! Nous avons lentement repris nos esprits. Babette a passé sur elle ma culotte ; elle lui allait bien, c’était très sexy avec ses seins nus, directement sous les bretelles ! Mais elle déchanta vite car cela l’irritait au niveau des tetons, et elle dut mettre un soutien gorge lorsqu’elle me l’empruntait. Après quelques semaines, un lundi matin, je me décidai à aller carrément au lycée avec mon short de cuir. Après tout, je ne serais pas le premier à porter une telle culotte au lycée ; il y avait eu les Allemands avant Pâques. Au moment de partir, Maman qui ne m’avait pas vu m’habiller dit «Jean, Tu ne crois pas que c’est un peu décontracté pour le lycée ? En plus, je suppose que comme à ton habitude, tu n’as pas de slip dessous ! Fais attention assis à ne pas écarter les jambes ! Ce short est beaucoup plus large que tes culottes en flanelle». Avec cette réflexion, je me croyais revenu à mes cinq ans. Je répondis :« La fin de l’année approche, la classe est de plus en plus relaxe depuis Pâques. De plus en plus de copains viennent en shorts en jeans, alors pourquoi pas moi avec mon tyrolien ? Et ces lederhosen sont faites depuis toujours pour être portées sans rien dessous, c’est écrit sur l’étiquette, Maman, on ne l’a pas inventé! Pourquoi alors s’enfermer dans un slip ? ». J’ai tout de même délacé les lacets des larges revers, pour les déplier, les jambes de la culotte sont devenues un peu plus longues, mais toujours aussi larges. Ainsi la culotte faisait moins short, et surtout protégeait mieux des regards indiscrets.Et je suis parti…
Comme elle me plaisait cette culotte tyrolienne ! D’un cuir vert bouteille avec ses lacets sur les côtés, ses bretelles en cuir assorties et son plastron sobrement décoré, elle était à la fois, belle, inusable, ne craignant pas les taches à la cantine, et, je l’avoue, d’un contact doux et très sensuel sur la peau nue et le sexe en liberté. J’aimais me caresser sur son cuir et je me sentais si à l’aise que je ne voulais plus porter mes culottes de flanelle. Je bandais souvent, mais avec la bavette et le cuir épais, ça ne se voyait pas. Certains camarades de classe se sont moqués de moi la première fois qu’ils m’ont vu en disant que c’était « un short de gonzesse ». Cela n’a pas duré. A l’inverse, mes copines de lycée me l’enviaient me trouvaient « très bath » ou « très mignon » ou « très chou » dans cette tenue. Et dés le lendemain du jour où j’avais été au lycée avec cette culotte, un autre garçon de ma classe, d’habitude habillé de façon plutôt élégante en portait une semblable qui visiblement avait déjà fait un peu plus d’usage que la mienne et qui l’habillait plus près du corps que moi. Il me dit qu’il avait toujours eu depuis tout petit des culottes tyroliennes, parce que sa mère trouvait ça pratique, pas salissant, et inusable. Et lui aimait bien les mettre. Il les avait porté à l’école primaire, mais plus au lycée, jusqu’à ce jour. Il avait à nouveau eu un tyrolien, celui qu’il portait maintenant, l’année précédente, pour aller pendant les grandes vacances un mois dans un camp Scout. La veille sa mère m’avait vu à coté de lui à la sortie des cours, ils en avaient parlé et il avait repris sa culotte en cuir pour le lycée. On parla des Scouts, chez qui je n’allais pas ; il m’expliqua tout ce qu’on y faisait, que c’était génial de partir de chez lui tout un mois, et qu’il lui était même arrivé de se retrouver sans slip sous sa culotte après la baignade ou certains jours vers la fin du séjour, parce qu’il n’en avait plus de propre. Je n’ai pas relevé. S’il savait… Il vint avec sa culotte en cuir régulièrement jusqu’à la fin de l’année scolaire. Un peu vicieux et voyeur, j’avais pu voir qu’il avait un slip blanc dessous.
Entre temps, fin juin, Babette étaient partie en Allemagne. Un peu jalouse de moi, les parents lui avaient donné de l’argent pour qu’elle s’achète un short en cuir. Elle nous revint rayonnante, portant à la descente du car un vrai tyrolien qui lui allait comme un gant : il était taillé dans le même cuir vert foncé que le mien, mais faisait bien fi-fille avec ses revers et la bavette soulignés de bordures rouge, les lacets rouges assortis et une multitude de petits rivets décoratifs en inox sur les poches, la bavette et sur le plastron entre les bretelles. Ces bretelles, en H devant et ce plastron en travers faisait bien ressortir sa poitrine. J’avais l’impression que ses seins avaient grossi. Elle avait un soutien gorge. Je lui demandai si elle avait une petite culotte dessous. Elle me répondit, droit dans les yeux, avec un regard rieur: « Jamais !».
Quelques jours après son retour, un après midi que nous n’étions que tous les deux à la maison, elle me dit : « Viens, il faut que je t’apprenne à me faire un truc que Dieter me faisait en Allemagne. Cette fois, tous les deux, on a été au bout du bout. ». Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire. « Mais avant, il faut que l’on prenne une bonne douche. » Après une longue douche que nous avions prise ensemble et qui nous avait bien excités, bien préparés, s’embrassant avec des mains baladeuses et glissantes de savon sur la peau, et sur les sexes, nous avons joué à nous essuyer l’un l’autre. Puis Babette a pris le pot de crème Nivea qui était toujours dans la salle de bain, et m’a entrainé dans sa chambre. Je ne comprenais pas le pourquoi du pot de crème. Elle s’est assise sur son lit, a commencé à me sucer tout doucement, mais lorsque j’ai été bien raide, elle a arrêté son manège, et m’a enduit le gland et son pourtour d’une bonne couche de crème. Elle m’a dit « il faut que tu pousses très fort. ». Et elle s’est retournée, mise à genoux le corps sur le bord du lit et m’a tendu son derrière et sa petite ouverture toute rose. J’ai compris ce qu’elle voulait. Je me suis mis à genoux derrière elle, j’ai appuyé, effectivement assez fort avec mon gland, ça faisait mal, et c’est rentré d’un coup. Elle a crié. Je me sentais beaucoup plus enserré que de l’autre coté, dans son vagin. J’ai remué fort en elle, la tenant par les hanches, en poussant au maximum, les boules à taper plusieurs fois contre ses fesses, totalement excité. Et je me suis déchargé.
Aux grandes vacances, je n’ai porté que mon tyrolien comme short, les revers bien relevés, souvent torse nu. Il n’y avait pas plus pratique, ça ne craignait rien lorsque, chez mes grands parents, j’allais jouer n’importe où avec les copains de la campagne, sans avoir à faire attention. Le short restait toujours propre… au moins à l’extérieur. Discrètement, je me branlais souvent, et giclais à travers la bavette déboutonnée. A l’intérieur, il y avait souvent des traces qui une fois sèches étaient brillantes ; elles disparaissaient assez vite, remplacées par d’autres. Plus d’une fois, j’ai retourné le short, et ai nettoyé vite fait l’intérieur avec du savon et une éponge, puis ai réenfilé instantanément celui-ci encore bien mouillé à l’intérieur. Très pratique, personne ne voyait rien. Mon meilleur copain de l’époque avec qui je discutais bien, avait facilement vu par les entrejambes, dès les premiers jours des vacances, que je ne mettais jamais de slip. Il m’en parla, me demanda pourquoi et si c’était confortable. Je lui répondis que notre mère ne nous donnait pas de slip en été, ni à Babette, ni à moi, que j’étais déjà comme ça les années précédentes, depuis tout petit, et que de toute façon, à l’habitude, je me sentais bien mieux sans rien dessous. Il s est mis à faire comme moi dés le lendemain, et il était dur sous son short quand je le revis. Ca se voyait bien. La toile, ça masque moins que le cuir. Je lui ai passé la main sur son engin, je lui ai dit que ça allait lui passer rapidement quand il n’y pensera plus. Il me répondit que sans rien dessous, c’était vraiment épatant, qu’il aurait dû le faire plus tôt. Je ne crois pas qu’il ait remis un slip cet été là. J’ai bien vu également qu’il regardait intensément Babette, qui promenait aussi tous les jours son derrière caparaçonné de cuir. A la fin des vacances, elle m’a dit qu’il ne s’était rien passé entre eux.En septembre, j’ai fait ma rentrée de troisième avec ma culotte tyrolienne, les revers tout de même dépliés. Les bretelles et le plastron m’avaient fait des marques de bronzage. Dans le vestiaire, au moment du premier cours de gym, des copains de classe me l’ont fait remarquer. Maman m’avait racheté une culotte courte en Tergal, que je portais en alternance. Je n’avais pas voulu que maman me rachète des slips et je n’en ai plus mis du tout, hormis pour la gym au début de l’année. J’avais découvert les caleçons courts avec celui de Dieter et Maman m’en avait acheté deux, peu après la rentrée, sur je ne sais quel catalogue. Sous le short de gym, ça faisait curieux, le caleçon dépassait parfois et je crois que plus d’un copain a vu mon matériel. Cette année là J’ai porté mes culottes courtes très tard en automne, avec des chaussettes montant juste au dessous des genoux, et tout de même un de ces caleçons court pour le froid, les derniers jours de novembre. A l’hiver, je suis passé aux culottes longues, avec ou sans caleçons courts dessous, selon la température et l’humeur…

Epilogue. Babette n’a pas pu porter son short en cuir au lycée, les shorts et culottes courtes étant alors proscrits pour les filles par le règlement intérieur. Elle me jalousait, et par jeu, chaque fois qu’elle en parlait, le lendemain matin, je mettais ma tyrolienne. Les garçons avaient droit aux culottes courtes, eux. Nous avons échangé quelques lettres avec Dieter, puis les contacts se sont distendus. Babette et moi avons continué nos parties de jambes en l’air quelques années, tout en ayant des petits copains et des petites copines, cela n’empêchait pas, avant de se marier et de s’éloigner l’un de l’autre, d’avoir des enfants. L’histoire continue.
Maman qui aimait de plus en plus me caresser lorsque j’étais à poil, ma dit un jour qu’elle m’avait surpris avec ma sœur, nous avions par inadvertance laissé la porte de ma chambre entre-ouverte. Elle nous avait enviés et avait trouvé que nous étions de beaux enfants. Elle en avait parlé avec Papa qui avait dit avec nostalgie qu’il fallait bien que jeunesse se passe. Elle s’est alors assise à coté de moi, s’est penchée sur mon ventre et s’est mise à me pomper. « Si tu savais comme j’aime ça ! Sucer cette grosse sucette, gouter et avaler. Qu’est ce que c’est bon ! ». Babette avait de qui tenir !
Je n’ai jamais racheté de slips et je n’ai que quelques caleçons courts que je ne porte que très occasionnellement. A l’intérieur des shorts de bains, je supprime toujours le slip qui est cousu. Rien que d’essayer ces maillots au magasin, je sens que je ne supporte pas cet espèce de filet. Je n’ai jamais non plus essayé les strings ou les jocks-strap, cela ne m’a jamais tenté. Rien, c’est mieux, y compris au travail, sauf sous quelques pantalons d’été en tissu trop fin. Idéal sous les jeans. Je n’ai jamais été exhibitionniste. Je suis simplement sur les traces de mes géniteurs.Au fil des ans, je me suis racheté plusieurs fois, en Allemagne ou en Autriche des lederhosen, et encore aujourd’hui, j’en porte régulièrement l’été. J’ai également revu il y a peu Babette avec une tyrolienne. C’est quelque part indémodable, en dehors du temps. Toujours aussi pratique, confortable et …érotique si on le veut bien.
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