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Mes pipes nocturnes

Chapitre 2

Gay
Mes pipes nocturnes (le Black)
J’étais sur mon site de tchat ; je papotais avec des gars à la recherche d’un beau mâle bien monté qui aurait envie d’une bouche bien profonde pour sa belle queue. Je ne me souviens pas bien de notre discussion virtuelle, mais je me souviens bien de la première fois que je l’ai rencontré. Il m’avait prévenu qu’il était bien gaulé et qu’il mettait longtemps pour se vider. Je lui ai fixé rendez-vous.
Il se présente sur les lieux du rendez-vous. Comme je m’étais décrit (veste blanche, jogging noir) il me reconnaît facilement et me fait des appels de phares. Je me dirige vers sa voiture sans même regarder le mec qui la conduit. J’ouvre la portière, me penche ; et là, surprise : un Black. Je suis tout excité. Il présente bien, mais je ne m’y attendais pas du tout. Il remarque que je bloque pendant quelques secondes ; il plaisante en me disant qu’il ne mange pas les mecs, mais qu’il préfère se faire bouffer la queue par eux. Je souris et je monte.
Il me demande où l’on va, si je connais un coin ; je lui en indique la direction, le long du fleuve, en lisière de forêt. À 1h30 du matin, c’est le lieu le plus sûr. On roule. J’ai une envie grave de découvrir si le mythe du Black est vrai… Je pose ma main sur son jean ; il s’affaisse un peu dans son siège. J’ouvre les boutons ; je la sens molle, mais j’ai peur que ce soit bien ça, qu’il soit mou car, vu l’épaisseur et la grandeur, ça m’a déjà l’air impressionnant… Tout en déboutonnant, je découvre son caleçon gonflé, rempli d’une queue encore molle, mais déjà bien remplie. Je soulève le caleçon et je découvre le membre : impressionnant ! Même mou, il ne doit pas rentrer entièrement dans ma bouche.
Je me penche et j’engorge le tout. Sa queue est succulente ; il ne fait rien : il se laisse faire. Elle durcit doucement mais sûrement ; je peux en prendre de moins en moins en bouche. Le temps d’arriver, j’ai pu goûter à ses petites secrétions de jus, et je n’ai plus qu’une envie : tout recevoir en bouche, bien au fond.
On arrive. Il descend de la voiture ; je le suis et nous nous enfonçons un peu dans les bois. Arrivés un peu plus loin, bien à l’abri, il s’appuie tranquille contre un arbre. Je me penche en avant en appui contre lui, le cul bombé à fond pour l’exciter un peu plus. Bien qu’il n’en voie pas beaucoup, il a l’air de se contenter du peu qu’il aperçoit. Il accompagne ma pipe de délicats mouvements du bassin ; sa main posée sur ma tête m’accompagne. Il pousse à chaque fois un peu plus loin, me laissant deviner ce qu’il désire. Moi, ce que je désire, c’est offrir ma gorge à un si bel engin : je me donne au maximum et j’accélère les mouvements pour l’exciter un peu plus et qu’il comprenne qu’il n’a pas besoin de retenir ses coups de reins dans ma bouche.
Je baisse mon jogging, toujours penché en avant et je tourne mon cul vers lui, contre sa queue. Il ne dit pas non, mais j’ai peur de la suite ; je le préviens que je risque de crier car mon cul est très serré. Il me dit de ne pas m’inquiéter. Je saisis sa queue et place son gland contre mon anus ; je ne suis ni chauffé, ni pré-doigté, ni lubrifié par du gel : je suis sec. Son gland est juste mouillé par toute ma bave.
Je pousse vers l’arrière ; il pousse vers l’avant. Ça ripe, alors il nous retourne : je suis à plat-ventre contre l’arbre, et il est toujours collé à moi. Il me dit à l’oreille que ça ne le dérange pas que je crie car il aime ça et qu’il a l’habitude que son pieu fasse gueuler ou râler. Il me dit aussi que c’est juste pour me faire comprendre ma douleur, me faire comprendre que je suis sa chienne, sa soumise, et qu’une fois rien qu’il n’aura mis que son gland dans mon cul, j’aurai juste envie de me remettre à genoux pour le vider. Il n’a pas eu tort... Il se frotte pendant quelques secondes, ma doigte directement avec deux doigts ensemble. Mes gémissements l’excitent… Il plaque son gland ; un ou deux petits mouvements, puis un coup sec !
Je crie, je râle, je pleure… Il rigole et me prévient que pour l’instant il n’y a que son gland dans mon cul. Il se retire quasiment aussi sec ; je tombe à genoux, les jambes coupées par la douleur. Il m’attrape la tête, me retourne et me dit de ne pas perdre de temps car il est long à jouir et qu’il veut se sentir au chaud pendant une heure. Je m’exécute : je le pompe en effet pendant une bonne heure et demie. Il alterne entre baise à fond, soft, branlette, claquage de bite (de matraque) sur ma gueule. Je le sens râler un peu ; je suis tellement excité que je n’arrête plus de gémir à chaque mouvement de bouche, de bite ou de tête. J’aime sa queue ; je me sens bien rempli. J’ai même mal à la bouche... Soudain, il me prévient qu’il va cracher : il sort sa queue de ma bouche et se branle ; mais je ne veux pas attendre son nectar sur ma gueule, alors je me jette sur son gland qui, tout entier dans ma bouche, atteint presque l’entrée de ma gorge.
Il continu de se branler ; je lui masse les couilles pour en avoir plus. Sa queue, qui durcit un max, est prise de spasmes. Juste avant de juter, sa bite et juste énorme ! Soudain, je sens une grande quantité de jus bien chaud dans ma bouche ; je gémis en le recevant. Il m’insulte, me traitant de bonne salope : j’adore… J’avale tout sans en perdre une goutte ! Il sort de ma bouche, s’essuie un peu sur ma gueule et me demande de le nettoyer : il est encore dur presqu’une minute après avoir joui !
Je me relève tandis qu’il continue de se branler. Excité par cette vision, je lui masse les couilles, à côté de lui. Ça dure un petit moment… Je lui demande pourquoi il se branle encore ; il me répond qu’il ne s’est pas assez vidé : c’est souvent comme ça, etc. Je me mets à genoux devant lui, mais il me demande de ne pas le sucer. Je lui dis que pour moi, c’est une torture, mais je reste devant lui, juste sous cet engin. Je le vois manier son énorme pilon à grands coups d’allers et retours et, au bout de 20 minutes environ, j’ai les yeux braqués sur sa queue qu’il s’approche de moi. J’ouvre la bouche par reflexe et je sens un premier jet puissant sur ma gueule. Il s’est loupé, et le reste tombe dans ma bouche. Il y met sa queue tout en jutant encore un troisième jet ; il me l’enfonce jusque dans la gorge et se sens encore trois puissants jets qui me tapissent l’intérieur de la bouche. Je pompe pour nettoyer. Il ressort de ma bouche et il me ramène à la maison.
C’est une bonne petite soirée : mon estomac est plein, rempli de plaisir.
Nous nous sommes souvent revus : j’ai été son petit jouet pendant un an et demi, à raison de deux à trois fois par semaine. Il m’a tout exploré : la bouche, la gorge et le cul, où il s’est enfoncé jusqu’à la garde après me l’avoir travaillé pendant des mois… J’ai même été son pipeur / videur de vessie : après quelque temps, il avait pris l’habitude de se vider deux fois à chacune de nos rencontres, puis de me pisser dessus. J’étais devenu son petit jouet : il aimait, et moi aussi, j’ai aimé.
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