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Mes premiers émois avec mon père

Chapitre 4

Gay
Le lendemain matin, je me lève, je me sens transformée. J’ai l’impression d’être une autre personne. Je me sens bien dans ma peau, heureuse, épanouie. L’amour de mon père n’est certainement pas étranger à ce nouvel état. Mon père est dans la cuisine, je suis avec mon bas de pyjama, torse nu.« Bonjour chérie » me dit mon père doucement.« Tu as bien dormi ? »« Oui merci et toi ?»Il me prend dans ses bras, me serre contre lui, me caresse les seins.« ça va, ton anus ne te fait pas trop mal ? »« Non ça va, je le sens un peu mais ça va »Il me caresse les fesses, je me cambre.« J’ai rêvé de toi Virginie »« Ha bon ? » Il continue de me parler doucement.« Oui tu étais dans la même tenue que ta mère, l’autre nuit. Tu portais une combinaison noire très courte. Des bas résilles tenus par un porte jarretelles noir et blanc, culotte et soutien-gorge assortis. Tu portais des talons aiguilles. Tu étais maquillée, très belle. Tu déambulais dans la maison en te déhanchant.Je vois que mon père a un début d’érection. Moi aussi. Mon père le voit.« va mettre le haut de ton pyjama, il couvrira ça » dit-il en montrant ma bosse.Je reviens avec mon haut de pyjama.« ça te plaît ce que je te raconte ? »Je lui souris il comprend.« Il me tarde de te voir habillée en femme et maquillée. »Je sais que cela arrivera, mais quand ? Je ne suis pas sûre d’être totalement prête.Je m’assois pour boire mon chocolat. Mon père me caresse le cou. Il se met derrière moi, me caresse les épaules. Je me sens bien, ses mains sont chaudes. Il descend ses mains sur ma poitrine et commence à me masser. Je me cambre, poitrine en avant pour lui montrer que je m’offre à lui.« C’est bien, tu es belle comme ça, seins en avant et fesses en arrière »Mon père me fait des compliments, je suis au ciel.Je continue de prendre mon petit-déjeuner, je l’entends descendre sa braguette. Je me tourne, son sexe est dressé, dur, superbe. Je comprends ce que mon père cherche. Je prends sa bite en main et je commence un lent va et viens. Elle est chaude douce, dure, raide épaisse. J’aime cette texture, j’aime l’odeur dégagé par son sexe tendu. J’aime les poils qui dépassent au dessus de sa queue. Il me sort de mes rêveries en me disant doucement pour n’être entendu que de moi :« taille moi une pipe avant que ta mère ne se lève et avant que je parte au travail »Je me lève, je me mets à genou devant mon père, je prend sa queue d’une main, je place son gland luisant dans ma bouche et je commence mon travail. J’aime sucer, à genou, c’est la position qui m’excite le plus. De mon autre main, je lui caresse les couilles. Je m’active de plus en plus vite.« Dépêche toi salope, je ne voudrais pas que ta mère nous voit comme ça »
J’obéis en continuant de le sucer, de le branler et de lui caresser les couilles. Il me prend par la tête, il m’immobilise, et c’est lui qui fait des vas et viens dans ma bouche. Je me laisse faire avec plaisir.« Petite salope, je vais jouir dan ta bouche et tu vas tout avaler jusqu’à la dernière goutte, pour ne laisser aucune trace »Je sens que sa queue se raidit dans ma bouche, je m’attends à recevoir sa semence. Elle arrive en quatre jets que j’arrive à avaler sans problème. Le goût de son liquide ne me déplaît pas. Je commence à m’y habituer.« Avale tout cochonne, tu suces mieux que ta mère et en plus toi tu reçois dans la bouche et tu avales sans rie dire, alors que cette pute ne veux même pas recevoir dans la bouche.Une fois les jets de sperme arrêtés, je lèche le gland qu’il serre fortement pour faire sortir les dernières gouttes que j’avale avec délectation. Il me caresse le visage, remet sa queue à sa place, m’embrasse sur le front.« Merci chérie, tu es divine »Je suis heureuse d’avoir satisfait mon père, et j’aime quand il me complimente.Il s’assoit à côté de moi. « Il me tarde de te refaire l’amour, mon cœur »Je suis charmée par mon père. Je lui souris. Je suis contente.Ma mère s’est levée, elle nous rejoint. Elle semble remarquer que mon père est assis très proche de moi. Elle nous embrasse et dit sur le ton de la boutade : « on dirait deux tourtereaux en lune de miel. »Elle ne croit pas si bien dire : mon mari m’a dépucelé cette nuit et mon mari est le même que le sien. Si elle savait. En plus je viens de le soulager de ses tensions sexuelles matinales. Je me sens pour la première fois jalouse de ma mère, ou en compétition avec elle pour obtenir les faveurs de mon père.Mon père part travailler. Il fait un bisou à ma mère. Je me lève de ma chaise et me pend à son cou pour l’embrasser (sur la joue). Mon père pose ses mains sur mes reins, me serre contre lui et me dit :« Allez, lâche-moi chérie, il faut que j’y aille » et il me tapote le fesses pour me faire lâcher. Ce que je fais.Mon père s’en va.Ma mère reste silencieuse mais au bout d’un moment :« Dis donc c’est devenu une vrai histoire d’amour vous deux »Je rougis et ne réponds pas.« Tu l’as embrassé quasiment, comme une femme embrasse un homme »Je deviens écarlate.« il t’appelle chérie, il veut que je t’habille comme une fille ou presque »« Je ne suis pas habillée comme une fille, maman »« Quand tu portes tes djinns et que tu marches en te déhanchant, je peux te dire que des hommes te regardent »« Ha bon ? »« Ton père m’a toujours dit que tu étais un drôle de garçon et c’est pour ça que ça ne se passais bien entre vous. Mais depuis quelques temps je vois bien qu’il te regarde différemment. »« Que j’étais un drôle de garçon ? »« Oui il t’a toujours trouvé féminin »Je ne réponds pas. J’ai l’impression que ma mère est jalouse de l’attitude de mon père envers moi. Me considèrerait-elle comme une rivale ? La conversation s’arrête là et je me prépare et je pars à l’école.Toute la journée je pense à mon dépucelage d’hier soir, la petite gêne que je ressens entre mes fesses l’entretient certainement. Cette gêne m’excite ; je repense à mon père qui m’a faite femme hier soir. Je me sens femme aujourd’hui et je me déhanche librement et je me fous de ce que pensent les autres. Je me sens libérée et imperméable aux jugements des autres. Mon père m’a rassurée, en me faisant l’amour. J’espère que je lui ai plu et qu’il aura de nouvelles envies de moi.
Pendant les jours et les semaines qui vont suivre ma mère s’absente peu, elle reste le soir avec mon père et moi, je ne peux plus être seule avec lui. Le soir la porte de leur chambre est fermée mais j’entends leurs ébats. J’aimerais tant être à la place de ma mère.Un matin mon père m’amène au lycée et me dit qu’il a eu une discussion avec ma mère. Il l’a sentie jalouse de moi et qu’elle me trouvait de plus en plus féminin.« Ma chérie il ne faut pas s’affoler. Sur ta féminité, tu fais ce que tu veux, tu vis ta vie, elle ne pourra rien te dire et si elle t’embête je te défendrai. Je t’encourage même à continuer et si ça te plaît à être plus féminine encore »
Je me sens rassurée et j’ai envie de me féminiser.« Pour nous deux il faut faire attention : continuer de bien s’entendre mais ne pas manifester notre désir devant elle ok ? »« Ok papa »« Ne t’inquiète pas je trouverai le moyen de te baiser »Je lui souris.« J’aimerais bien que tu sois plus féminine »« Moi aussi, je vais continuer, j’aimerais arrêter de porte des slips de garçon, je préfèrerais des culottes en dentelles »« Tant qu’à faire porte des strings chérie, tes fesses n’en seront que plus désirables »J’acquiesce d’un sourire.Arrivés devant le lycée, mon père arrête la voiture. « Ne remue pas trop tes fesses en sortant, sinon tu vas te faire une réputation de pd dans tout le lycée. »Je souris, j’embrasse mon père, je sors de la voiture et en marchant je me déhanche comme jamais je ne l’ai fait en extérieur. Mon djinn moulant fait bien ressortir mes fesses. Des garçons me regardent, certains se moquent. Peu importe les moqueries, je veux me féminiser. J’espère que mon père remarque mon manège et l’apprécie.Le soir en rentrant ma mère est là. Je l’embrasse.« Ta journée c’est bien passée au lycée mon chéri ? »« Oui maman, très bien »Je m’éloigne en me déhanchant fortement. J’espère que ma mère le remarque.Je vais dans ma chambre, je me place devant mon miroir et je baisse mon djinn sur mes hanches. Je retourne voir ma mère.J’arrive face à elle en me déhanchant outrageusement. Ma mère me regarde mi étonnée, mi dégoûtée (elle semble faire la moue).Je me prépare un goûter. Ma mère rompt le silence.« Je trouve que tu marches d’une drôle de façon depuis quelques temps. »« Ha bon et comment ? » dis-je étonnée.« Hé bien tu te déhanches beaucoup »« Ha bon j’ai pas l’impression d’avoir changer quelque chose » dis-je embarrassée.« Je me fais peut-être des idées, mais je peux te dire qu’hier quand nous étions avec René (notre voisin) et que tu nous a quitté il t’a regardé d’une drôle de façon »« Et comment m’a-t-il regardé ? » dis-je faussement attristé mais en fait heureuse d’avoir tapé dans l’œil d’un homme mur. René a la cinquantaine, bien conservé avec un bon ventre …« Il a regardé tes fesses, comme il aurait regardé une femme, et il m’a dit il a grandi celui-là, il a mit un cul de fille »« Ha bon ? »« Oui, il plaisantait, mais il l’a dit »Je rougis gênée de ce qu’elle me dit, mais en même temps curieux de savoir ce que pense vraiment René de moi.Le soir je vais me coucher, je sais que ma mère va rester avec mon père.Dans mon lit je pense à notre voisin, René ….
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