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Mésaventure n° 1

Chapitre 2

Trash
Le reste de la matinée s’est plutôt bien passé. Nous ne tournions que des scènes de dialogue, accompagnées de poses plus que suggestives. Je ne suis intervenue que très rarement. Puis vint l’après midi. 

J’ai commencé par maquiller et coiffer une actrice, en peignoir, puis un acteur, mais lui était entièrement nu. Autant dire que mes nerfs étaient mis à rude épreuve... Je n’arrêtais pas de regarder son sexe démesuré, et mon imagination faisant le reste, c’est encore ma culotte qui en pâtis. Ensuite, les scènes d’actes sexuels se sont enchaînées, et il m’est arrivé à de nombreuses reprises de devoir faire des retouches de maquillage sur scène. Le plus souvent, le couple interrompu dans ses ébats. L’équipe de production ne sembla pas gênée, pour le moindre du monde, continuant son travail. C’en était autre chose pour moi ! J’avais un mal fou à me concentrer sur mon travail, il faut dire que remaquiller une actrice qui se fait prendre en levrette, ce n’est pas commun. Nous avons continué ainsi pour quelques prises, puis les acteurs sont allés se rhabiller. Un autre homme est apparu, habillé de façon très élégante, chemise, pantalon et veste. Il était bruns aux yeux bleus, plutôt bien bâti et avec un sourire façon colgate. 

A l’autre bout du studio, je voyais le réalisateur énervé comme pas possible, en pleine discussion au téléphone. Après quelques minutes, il raccrocha et se dirigea vers l’équipe de tournage. — Bon mes petits, on a un souci. Cassandra ne viendra pas. On n’aura pas notre dernière scène. Les autres actrices ont fait leur quota et c’est la seule scène du film qui nécessite une fille différente......— Y a personne d’autre de dispo ? lui demanda un technicien — Non mec. A moins que......

Son regard s’était arrêté sur moi. J’étais encore sous le "choc" de ma précédente vision de l’homme brun aux yeux bleus quand je m’en rendis compte. Presque toute l’équipe de tournage suivi le regard du réalisateur. Qui se rapprocha de moi, jusqu’à se trouver à quelques centimètres de mon visage. — Toi, me murmura t-il— Pardon ? répondis je— Tu vas remplacer Cassandra. — Mais je ne suis pas actr......— C’est soit ça, soit ta boite d’intérim saura ce que je pense des retardataires. — ......— En plus, je suis sûr que tu en meurs d’envie, me dit-il en posant sa main droite sur mon entrejambe. 

Je sursauta. Il ramena sa main à son nez et en huma le parfum de toute une journée à mouiller ma culotte. Trahie par une tâche sur mon pantalon en lin blanc... Je restai muette, rouge pivoine, tout en baissant la tête. — Qui ne dit mot consent ! Allez, habillez moi la correctement !

A ce moment, une nuée s’abattit sur moi. Je fus mise à nue et on m’habilla avec une paire de bas noirs, porte jarretelles noirs clipsés, une mini jupe noire, un chemisier blanc trop petit pour moi d’au moins une taille, sous lequel on avait aucun mal à distinguer un soutien gorge noir en dentelle, les deux faisant ressortir outrageusement ma poitrine. On me maquilla vulgairement et de façon très appuyée, et on me demanda de me pencher en avant, ce que je fis. La, je sentis entrer dans mes fesses un objet. Un plug anal. Je n’eu même pas le temps de protester, qu’on finit ma tenue avec une paire d’escarpins noirs avec des talons très très hauts. J’étais déguisée en soubrette et j’adorais cela. On m’accompagna sur la scène, toujours ce bureau où s’étaient déroulés tant d’ébats. 

— Bon ma chérie, c’est très simple. Dès que c’est parti, tu sers le café et ensuite... ba tu t’en doutes ! me dit le réalisateur. — Et mon texte ? Je dois dire quoi ? — Improvise, me répondit il avec un clin d’œil. 

J’étais figée, stoïque, à tel point que je n’ai même pas entendu le clap de départ. Par contre, j’ai bien vu mon bel acteur brun rentrer sur scène par une porte au fond. Il s’installa sur le divan. Le fameux divan. 

Je me saisis d’un plateau sur lequel se trouvait une tasse et une cafetière. Je fus obligée de le poser devant lui, sur une table basse, en me penchant vers l’avant, et je suis sûre que la caméra n’a rien raté du spectacle et de l’intrus fiché dans mes fesses. Pendant que je lui servais son café, mon futur partenaire commença par me caresser le dos, puis sa main descendit rapidement et passa sous ma jupe pour venir jouer alternativement avec le plug et ma fente bien humide. Troublée, je dus interrompre mon service, renversant même du café sur la table. De son autre main, il me fit m’allonger sur ses genoux et en profita même pour me fesser gentiment l’arrière train. Quelle douce punition !Après quelques minutes de ce traitement, je n’en pouvais déjà plus. Il se leva, passa derrière moi et sorti un objet de sa poche. Il présenta devant ma bouche un bâillon boule qu’il noua derrière ma tête, puis il me poussa en avant. Je me retrouvais donc à quatre pattes sur le divan, les fesses à l’air. 

Il fit rapidement tomber ses vêtements puis déchira un emballage de préservatif et présenta son sexe, sûrement imposant, devant ma moule luisante et impatiente d’être possédée. Et sans rien dire, il me pénétra d’un coup, pour rentrer presque en entier. Je poussa un cri, mélange de douleur et de soulagement d’être enfin remplie. Puis il commença à me besogner. D’abord, doucement, puis de plus en plus vite, jusqu’à atteindre une cadence régulière et infernale. En plus, chaque fois que son ventre tapait contre mes fesses, je sentais le plug bouger dans mes reins. Je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme. Agrippée à l’accoudoir, je commençais à chanter mon plaisir à travers le bâillon : petits cris et gémissements. Après de longues minutes, il se retira de ma chatte, m’ôta le plug et présenta son sexe gonflé à la place. J’ai tenté d’esquiver mais en vain, il m’embrocha et je cria tout en relevant la tête, yeux grands ouverts. Il en profita pour attraper ma queue de cheval et continua son office. Parfois, il se figeait tout au fond de mes reins, et moi, j’accusais le coup en hoquetant, pour ensuite reprendre de plus belle. A un moment, il s’est même approché de mon oreille et m’a murmuré quelques mots : "tu es parfaite, le cul serré comme il faut". 

Nous changeâmes de position, lui assis dans le divan et moi le cul embroché sur sa queue, face caméra, à me mouvoir de haut en bas telle une affamée de sexe en manque, tout en caressant mon bouton d’amour. Ses mains sur mes hanches me guidaient sur son sexe, et quand je ne descendais pas assez à son goût, il me rabattait sur lui, la base de sa verge se retrouvant comme collée à mon postérieur pour quelques secondes, et je reprenais quand il me libérait. Pour mon plus grand plaisir. Et le sien, assurément. Je sentais que j’allais venir, et lui aussi sûrement. Il se leva, toujours dans mon cul et m’emmena vers le bureau sur lequel il me plaqua. J’avais la tête tournée vers la caméra. Il sortit de mes fesses, laissant derrière lui un trou béant, enfila un nouveau préservatif pour revenir dans ma chatte qui était littéralement en feu. Cette fois, il lâcha les chevaux en m’agrippant les hanches et je sentais que lui aussi était au bout car ses ongles me rentraient dans la peau. J’adore cette sensation de sentir que mon partenaire est sur le point de venir, cela m’entraîne encore plus loin dans mon plaisir et il ne me fallut que quelques allers et retours de plus pour jouir bruyamment à travers le bâillon. 

Il se retira, me mis à genoux et m’enleva le bâillon pour que j’accueille son sexe afin que je le finisse par une petite fellation, qui fut brève, compte tenu, vous vous en doutez, de son état d’excitation très avancé. Je fus satisfaite quand il se vida, enfin, dans ma bouche, et même surprise par la quantité de sperme qu’il envoyait. 

— Coupez ! Parfait ! Superbe prise ! On dirait que tu as fait ça toute ta vie ma chérie !

Mon partenaire m’aida à me relever et m’accompagna même jusqu’aux douches, où nous avons remis le couvert. J’ai également hâte de voir ma prestation à l’écran.

Mais ça, c’est une autre histoire ... !
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