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Ma métamorphose

Chapitre 1

Divers
Pendant des années, j’ai cru être un pur hétérosexuel, au point de me marier avec une femme superbe rencontrée à la fin de mes études. Avec Nathalie, nous menions une vie pépère remplie de projets et agrémentée d’une sexualité banale, sans histoires et sans beaucoup de fantaisie. Nous nous sommes installés d’abord dans un petit appartement et deux ans plus tard, à la naissance de notre fille, nous avons acheté un petit pavillon dans la banlieue d’une grande ville de province.
Employés, tous les deux, dans la fonction publique territoriale, nous étions, sans aucun doute, l’archétype du couple idéal. Tout allait pour le mieux, même sexuellement, nous étions parfaitement en phase. Nous faisions l’amour souvent, pas tous les jours mais presque et pas uniquement le soir au coucher. Durant nos ébats, on aimait se raconter des histoires et se faire fantasmer. Tout y passait, les monstres, les vieux, les extraterrestres… j’en passe et des meilleurs. Nous avions même acheté des « jouets » qu’on utilisait à loisir dans tous nos orifices pour donner plus de véracité à nos délires, jusqu’au jour ou nous évoquâmes le triolisme. Nathalie se montra tout de suite très réceptive et moi, à ce moment là, je l’imaginais se gouinant avec une beauté fantasmée que nous baiserions à deux ou qui la baiserait avec moi.
L’idée du triolisme nous tentait et nous n’avons pas mis longtemps à l’évoquer sérieusement en dehors de nos jeux. Comme je suggérais de chercher une partenaire consentante pour une première expérience, elle m’avoua qu’elle était plus intéressée par l’inverse, mais elle accepta quand même de faire l’essai avec une femme. Elle avait une amie, collègue de travail, qui ne cachait pas ses penchants lesbiens et qui la draguait gentiment depuis quelques années. L’affaire fut vite réglée, nous avons confié notre fille à mes beaux-parents et Martine est venue un samedi soir à la maison.
Les deux femmes étaient très sexy et très excitante. Elles n’ont pas tardé à s’embrasser devant moi et à se caresser les fesses par dessus leurs robes moulantes et avant la fin de l’apéritif, elles n’avaient plus de culottes sous leurs jupes et avaient largement ouverts leurs chemisiers. Il était convenu que je n’intervienne pas tout de suite ; Nathalie voulait d’abord profiter de sa première relation saphique. J’avais donc seulement le droit de regarder. Après le repas, durant lequel j’ai fait le service, nous sommes allé directement dans notre chambre.Nathalie et Martine se sont déshabillées mutuellement en s’embrassant et en se caressant, avant de se jeter sur le lit où trainait déjà nos jouets. Elles se sont gouinées longuement, changeant souvent de position, se léchant l’une et l’autre ou s’enfonçant dans la chatte des pénis factices avant de se mettre en soixante neuf. A ce moment, ma femme était au dessus de Martine et me tendait son cul en s’écartant les fesses. Martine lui léchait le bouton et lui branlait la chatte avec un gode. Nathalie lui rendait la politesse. Je me suis approché, mon sexe était bien tendu et j’ai appuyé mon gland sur sa rosette plissée. Nathalie m’a demandé de l’enculer, c’était une pratique qu’elle appréciait, et je l’ai pénétrée. Nous avons joui rapidement tous les trois et Martine nous a quitté. L’expérience ne nous avait pas transcendés, Nathalie et moi aurions pu arriver au même résultat tous les deux. Aussi nous avons décidé de ne pas renouveler un trio de ce type.
Du coup, dans nos délires, nous sommes devenus plus précis. Il ne s’agissait plus que de moi et d’un autre homme pour elle. N’étant pas certain d’avoir envie de voir une bite lui investir la chatte ou le cul, je n’en parlais pas en dehors de nos galipettes. Mais Nathalie s’efforçait de me donner d’autres envies et il n’était pas rare qu’elle me mette un doigt ou m’enfonce un gode dans l’anus. Elle me faisait aussi sucer certains de nos jouets lorsque je le prenais et tout ça commençait à me plaire. C’est elle qui remit le sujet de vivre des expériences de triolisme sur le tapis. Comme il était clairement question de la partager, je n’affichais pas vraiment d’enthousiasme et j’ai botté en touche plusieurs fois. Mais Nathalie est tenace et quand elle a une idée en tête, elle ne l’a généralement pas ou je pense, même si, dans ce cas précis elle l’avait et en tête et ou je pense. Elle fut assez habile pour ramener encore et encore le sujet jusqu’à ce qu’un jour, je dise oui.
Je ne le savais pas encore, mais ça a été le début de changements profonds dans notre relation et dans ma sexualité.
En discutant du comment, du « comment », « avec qui » et du « où », nous sommes tombé d’accord sur un week-end où nous pourrions confier notre fille à ses parents, avec un inconnu contacté pour l’occasion et soit chez nous, soit chez lui, peu importe. On avait écarté l’hôtel car on trouvait ça ringard et inconfortable. Notre homme fut sélectionné grâce à une annonce passée sur internet. Bien sûr ce ne fut pas tâche facile, vous imaginez, nous avions posté, dans notre message plusieurs photos de Nathalie, avec un masque sur les yeux, dans le plus simple appareil et dans des poses plus que suggestives, voire osées pour certaines ; Les mâles avaient mordu à l’hameçon ! Notre messagerie débordait de réponses le plus souvent inintéressantes et vulgaires. Le choix fut vraiment fastidieux, nous avons d’abord établi une limite d’âge.Nathalie voulait un homme de notre génération, deux ou trois ans plus jeune ou plus vieux maximum. Elle voulait aussi que le candidat soit de notre région et là, ce fut beaucoup plus simple car ils n’étaient plus que trois à répondre à nos critères d’âge et de géographie. C’est Nathalie qui s’est chargée de discuter avec eux et de sélectionner le candidat. Bien sûr, elle me donnait des détails, me faisait lire certains de leurs échanges mais pas plus. De toute façon, je n’aurais rien su leur dire d’autre qu’une vulgarité du genre « ce que tu fais je m’en fous, viens baiser ma femme avec moi, elle a besoin de deux queues ». Il est évident que ça n’aurait convenu ni à Nathalie ni à l’heureux élu.
Cependant, elle se retrouva vite confrontée à un problème cornélien. Elle ne savait pas lequel choisir. Du coup, elle était allé assez loin dans les échanges en n’hésitant pas à décrire certaines de nos pratiques et à envoyer des photos de nous deux. Certaines étaient très osées et je les avais préparées moi-même en floutant nos visages chaque fois que nécessaire. Elle en reçut en retour des trois étalons bien à leur avantage, à poil et la bite au garde à vous. Elle me les montra un soir pour savoir ce que j’en pensais.
La première chose que j’ai vue sur les clichés c’était leurs sexes tendus. D’imaginer que dans un avenir proche l’une de ces bites allait s’enfoncer, sous mes yeux, dans l’intimité de ma tendre épouse me troublait et m’excitait. Je sortais de ma douche, j’étais nu et mon étendard se dressa instantanément.
— On dirait qu’ils te plaisent, mon Chéri, remarqua Nathalie amusée. Tu t’intéresses aux grosses bites ?— Aux grosses bites ? Faut pas exagérer, une photo ça se retouche. Regarde moi, j’ai une belle bite, tu me le dis tout le temps.— Oui, tu as une belle bite, bien lisse et très élégante que j’aime bien la sucer, mais, sans vouloir te vexer, elle est tout à fait standard.— De toute façon, ce qui compte c’est de bien s’en servir. Tu veux une piqûre de rappel ?— Là ? Tout de suite ?
— Bien sûr, comme ça t’aura leurs trois bites sous le nez en même temps.
Sans attendre, ce soir là, j’ai relevé Nathalie de sa chaise, lui ai retiré son peignoir de bain, j’ai tiré son cul vers l’arrière. Ma coquine de femme me le tendait, les jambes légèrement écartées. Penchée en avant, appuyée sur ses avants bras au bord du bureau, le visage devant l’écran, elle me présentait sa moule ouverte. Elle s’était touchée en lisant les mails de ses prétendants, en regardant leurs photos et son sexe était bien ouvert et luisant. Il n’y avait pas besoin de préparation, j’ai présenté ma bite à sa porte et je l’ai prise en levrette.
Rapidement, elle changea légèrement de position pour manipuler la souris et lança le diaporama. Une image première image apparut. C’était le gros plan d’un sexe épais, très légèrement courbé vers la droite, sa hampe large et le gland rose violacé, un peu pointu, lui donnait l’air d’un véritable obus. Je me souviens qu’en limant ma chérie, je ne voyais plus que ça en grand sur l’écran de notre ordinateur et dans ma tête, je me dis que c’était elle, que ce serait cette bite là qui lui écarterait la chatte. J’imaginais cette belle queue la prenant avec moi ou avant moi pendant toute une nuit ou tout un week-end peut-être. D’autres photos ont suivi mais elles m’intéressaient moins.
Nathalie, entre deux gémissements de plaisir et deux encouragements, repris en main la souris et lança une petite vidéo faite à la webcam sur laquelle un autre homme se branlait en gros plan. La bite n’était visiblement pas la même, elle devait être plus longue et moins épaisse et une main qui l’enserrait s’agitait sur toute sa longueur. Elle était un peu brune, son gland violet sombre était plus large que le corps de la verge et le prépuce ne le recouvrait pas. Au fur et à mesure de ses mouvements, on voyait nettement le méat s’ouvrir, bailler et refouler un abondant liquide pré-séminal annonciateur de l’éjaculation. Personnellement je n’en pouvais plus, j’étais au bord de l’explosion et la chatte de Nathalie semblait plus humide que d’habitude. Au fond de moi, je me dis que je serai capable de la sucer mais, bientôt, je chassai cette idée. Je baignais littéralement dans le jus de chatte et le hasard fit bien les choses car j’ai éjaculé exactement en même temps que la bite à l’écran et Nathalie poussa un cri de contentement que je ne lui avais encore jamais entendu pousser.Nous sommes resté immobiles quelques instants, mon sexe se vidait en elle, puis comme il s’était ramolli, il fut expulsé par la chatte baveuse qu’il venait d’honorer.
Quand on eut repris nos esprits, nous avons convenus qu’on était prêts à mettre un homme dans notre lit. Ça avait pris du temps et je n’étais pas certain de ne pas en éprouver de la jalousie quand même, mais je ne pouvais nier le plaisir que j’avais eu à imaginer ces deux bites en elle et à en voir une éjaculer pour elle. Alors, j’ai fait un truc que je n’avais encore jamais fait. Le sexe de Nathalie dégoulinait, il portait les traces de ma jouissance. Elle s’était rassise sur la chaise, je me suis agenouillé pour me mettre sous le bureau entre ses cuisses et j’ai léché sa chatte. Je m’abreuvais de ses secrétions amoureuses et bouffait le trop plein de sperme qui s’écoulait de son sexe humide. Nathalie me bloqua la tête, pour que je ne puisse pas me défiler et j’ai continué jusqu’à ce qu’elle jouisse.
— Cochon ! T’as mangé ton sperme ?— Oui, il y en avait plein, répondis-je amusé et heureux.— T’as aimé ça, on dirait, t’en voudrais d’autre ?— Ben vu ce que l’autre a balancé sur son écran, si c’est lui que tu choisis ça risque d’arriver…
Notre choix était fait, nous commencerions avec le gars de la vidéo.
L’heureux élu s’appelait Enzo, il était grand, brun, d’origine italienne et avait la peau mâte. Sportif, il s’entretenait le corps avec soin et était intégralement épilé. Il a demandé à Nathalie, sans pour autant en faire une condition absolue, si elle accepterait d’en faire autant. Elle n’était pas très chaude, alors je lui ai dis que, moi aussi, ça me plairait qu’elle n’ait plus un poil. Face à mon insistance, elle s’est donnée deux jours de réflexion durant lesquels elle a intensifié ses échanges avec Enzo. Elle m’a demandé de la filmer en train de se masturber avec un gode qu’elle s’était acheté le jours même, en me demandant d’alterner les plans rapprochés et généraux.
Le phallus factice était plus gros et plus grand que ma bite et pourtant, elle n’avait aucune difficulté pour se l’introduire complètement. Elle s’est occupée de sa chatte pendant quelques minutes et puis elle a changé de position. Elle a collé sa tête sur l’oreiller, son cul était bien relevé, et elle a retiré la bite de latex de sa chatte pour l’appuyer sur son anus. Je n’en revenais pas, ça me paraissait trop gros et, même si elle aimait bien, je savais qu’il fallait qu’elle soit très excitée pour accepter d’être enculée. Qu’à cela ne tienne, là, devant la caméra, pour envoyer à Enzo des images d’elle en action, elle s’est prise le cul elle-même avec un gode. C’était un choc pour moi, j’avais l’impression qu’elle le lui offrait déjà. Moi qui avais pensé que ça n’entrerait pas, naïf que j’étais, je l’ai filmée en train de se l’enfoncer en douceur, lentement mais surement, jusqu’à ce que l’engin disparaisse dans son cul. Elle le bougea, lui fit faire des allers et retours puis le ressortit en me demandant de filmer son anus en gros plan, ce que je fit. J’étais fou, je filmais du porno, je filmais ma femme en vedette dans une vidéo porno destinée à un inconnu. Ma bite était raide, je n’en pouvais plus et le lui fit savoir. Elle se retourna, s’assit en tailleurs sur le lit, je filmais toujours, elle a approché le gland de plastique de sa bouche, la sucé un peu et a regardé la caméra en faisant un clin d’œil et en disant : « A bientôt Enzo ». C’en était trop, j’ai éteint la caméra, j’ai arraché mes habits plus que je ne les ai enlevés, je suis grimpé sur notre lit, ma verge était tendue à me faire mal. Nathalie a rit, comme si elle savait déjà ce qui allait lui arriver, je l’ai retournée pour la prendre en levrette, j’ai ramoné sa chatte humide quelques instants et j’ai ressortit ma bite pour la positionner à l’entrée de son cul. Nathalie a adapté sa position en m’encourageant et je l’ai enculée. C’est entré tout seul, je l’ai ramonée comme un salop, sans trop me demander si elle y prenait du plaisir et j’ai éjaculé au fond de ses entrailles.
En revenant à moi, je lui ai présenté mes excuses mais elle m’a rassuré en me disant que c’était ce quelle attendait et que le plaisir qu’elle avait pris était mental et très intense. On s’est fait un câlin et j’ai reparlé des poils alors Nathalie m’a fait part de sa décision. Elle était simple : si elle retirait tout, moi aussi je devais adopter une nudité absolue. J’ai commencé par rigoler, mais elle était très sérieuse, la seule pilosité qu’elle m’accordait c’était celle de ma tête, pour le reste je devrais être comme elle.
— Tu sais, lui fis je remarquer, ça m’étonnerai beaucoup qu’un institut de beauté accepte de m’épiler intégralement, on n’est pas à Paris.— Et bien détrompe toi, j’en ai parlé avec Enzo et il m’a donné une adresse d’un salon où l’on s’occupera de tous tes poils.— T’en as parlé avec Enzo ?— Bien sûr ! C’est important, si on baise à trois, vous allez vous toucher, c’est inévitable… Alors, tu décides quoi ? Tu t’épiles tout ou pas ?— J’ai pas trop le choix, non ? Bien sûr que j’enlève tout.
Nathalie s’est mise sur l’ordinateur pour envoyer un message à Enzo dans lequel elle confirmait que nous serions tout lisse, elle et moi, pour notre rencontre. Elle déchargea la carte mémoire de la caméra et y joint le fichier de ses exploits solitaires. Je n’avais rien à dire, de toute façon, les dés étaient jetés. Depuis le début, je m’étais soumis à son désir, je n’avais pas le choix que de continuer.
Jusqu’à ce moment, je ne m’étais pas franchement intéressé à Enzo, pas plus que je ne m‘étais intéressé aux deux autres prétendants, je voyais tout cela comme quelque chose d’encore fantasmé, mais il fallait que je me rende à l’évidence, nous avions pris rendez-vous pour une première rencontre réelle. Enzo que nous fassions connaissance, lui et moi ; il voulait aussi s’assurer que je ne réagisse pas mal en le voyant caresser ou embrasser Nathalie. C’était un après-midi de semaine, notre fille était chez la gardienne et nous avions jusqu’au soir pour aller la chercher. « On ne sait jamais », avait dit Nathalie, « c’est pas prévu, mais nous pourrions avoir envie d’aller plus loin tout de suite ».
Nous avons retrouvé Enzo à la terrasse d’un café et avons commencé à discuter d’un peu tout. Le moins que l’on puisse dire c’est que Enzo avait beaucoup de classe et je me suis vite rendu compte que je n’étais pas totalement insensible à son charme. Il nous a beaucoup parlé de lui, il était divorcé depuis un an, l’avait relativement mal vécu mais depuis six mois, il avait changé de stratégie. A défaut de trouver l’âme sœur, avec qui vivre le restant de ses jours, il cherchait des partenaires d’un soir sur le site où l’on s’était trouvés. Il nous avoua que d’habitude, il ne regardait pas les annonces de couples cherchant un troisième larron. C’était une première pour nous trois.
Nous avons reparlé de nous, de notre couple et de comment nous en étions venus à penser au triolisme, de l’expérience décevante avec Martine et du plaisir que nous avions eu en faisant l’amour devant sa vidéo ou en se faisant épiler pour lui. Enzo se révélait très sympathique et très attentionné à mon égard, il voulait savoir jusqu’où il pourrait aller avec Nathalie et si je ne le vivrais pas mal. Après de longues minutes de discussion, il m’annonça qu’il avait sa main sur la cuisse de ma femme, je jetais un œil pour voir et lui demanda s’il la trouvait douce. Il répondit affirmativement et me demanda ensuite s’il pouvait l’embrasser, je fis oui de la tête en précisant que la réponse appartenait à Nathalie. Sans un mot, ma femme s’est penchée vers lui et leurs bouches se sont touchées, timidement du bout des lèvres, puis ils m’ont regardé tous les deux. J’avais un sourire qui en disait long et dans mon slip, ma verge prenait des proportions respectables. Rassurés par ma réaction, ils ont recommencé avec plus d’entrain. Pour la première fois de ma vie, je voyais ma femme, la mère de notre fille, embrasser un autre homme que moi. Vu la tournure que ça prenait, je leur ai demandé s’ils ne seraient pas mieux dans un endroit plus intime. Enzo nous a dit que son appartement était à deux pas et nous l’y avons accompagné.
Nous marchions tous les trois côte à côte, Nathalie, entre Enzo et moi, se lâchait, elle l’embrassait à pleine bouche et m’embrassait ensuite. Arrivé chez lui, nous nous sommes dirigés directement dans sa chambre. Ma femme était aux anges, nous l’avons déshabillée à deux et je guidais ses mains sur notre nouveau compagnon de jeu pour qu’elle en explore le corps et lui retire également ses vêtements. Ils s’embrassaient en même temps et les mains d’Enzo parcouraient la silhouette de ma femme, ses hanches, ses seins, ses fesses tandis que Nathalie s’attaquait à son dernier rempart largement déformé par son érection.Les photos n’étaient pas truquées, Enzo avait un sexe très long et plus épais que je ne le croyais. Il me faisait penser au gode que ma femme s’était acheté pour que je la filme en train de se masturber. Je réalisais alors que cette similitude de taille n’était sans doute pas due au hasard ; Nathalie ne faisait jamais rien par hasard. Je pris un peu de recul, j’étais encore habillé, ils étaient maintenant allongés sur le lit enlacés dans un baiser sans fin. Une main du latin fouillait l’intimité de ma chérie. J’en profitais pour me rincer l’œil et, très curieusement, je remarquais que je n’éprouvais aucune jalousie. Sur le lit, Nathalie s’était mise à quatre pattes et avait entrepris de sucer son partenaire, j’ai retiré mes habits, je me suis approché de sa croupe tendue vers moi. Je l’ai caressée un peu et j’ai entrepris de la lécher pour la préparer à l’assaut à venir de cette grande verge.
Je la léchait, la doigtait, le désir de Nathalie de se faire prendre était de plus en plus fort, alors Enzo m’a indiqué où il rangeait ses capotes. J’ai ouvert le tiroir de sa table de nuit pour en sortir une que j’ai déballée sans qu’on me le demande. J’ai fait le tour du lit, je me suis approché d’Enzo. Nathalie a relevé la tête et libéré le membre qu’elle pompait depuis plusieurs minutes, j’ai positionné la capote sur le gland et l’ai déroulée sur toute sa longueur. J’ai dû rougir, c’était la première fois de ma vie que je tenais entre les main une bite qui n’était pas la mienne, mais ni Nathalie ni Enzo ne me dirent quoi que ce soit. J’avais donné mon accord pour qu’il la baise maintenant, dans son lit, devant moi.
Nathalie enfourcha son partenaire et s’empala sur son pieu de chair. Elle montait et descendait sur cette bite, se penchant régulièrement en avant, pour embrasser Enzo qui lui pelotait et lui pinçait les tétons. Elle gémissait, disait qu’elle se sentait bien remplie, qu’il la faisait jouir, me prenant à témoin en me vantant le pied qu’elle prenait. Je ne pouvais que constater et me branler. Enzo la retourna, la mis sur le dos et la prit puissamment dans la position du missionnaire. Elle serrait ses cuisses et ses jambes autour de son bassin, elle avait la tête au bord du lit et la bouche grande ouverte, je me suis approché d’elle pour lui pénétrer la bouche. Elle a avalé ma bite tant bien que mal, ballotée comme elle était par les coups de reins puissants de notre compagnon. Enzo la manipulait comme un fétu de paille, il se retira, la mit à quatre pattes et la pénétra en levrette.
Dans cette nouvelle position, elle pouvait me sucer plus facilement et, à chaque poussée d’Enzo, elle s’enfonçait ma bite au fond de la gorge. Sa bouche débordait de salive, elle ne pouvait plus geindre, mais les expressions de son visage ne mentaient pas, cette grande première répondait à ses attentes. Elle abandonna subitement ma bite qu’elle garda quand même en main et supplia Enzo de l’enculer. Il me demanda une nouvelle capote et du gel qui se trouvait également dans le tiroir de son chevet.
J’ai accompli ma mission en tremblant d’excitation, retirant le préservatif qu’il avait utilisé dans la chatte de Nathalie pour lui enfiler le nouveau et me suis occupé d’enduire le petit œillet de Nathalie avec le lubrifiant. Enzo s’impatientait et Nathalie aussi, alors j’ai empoigné ses deux fesses pour bien les écarter et Enzo a pénétré, sous mes yeux envieux, le petit trou de ma chère et tendre. De toute évidence, Nathalie prenait son pied. Je me suis glissé sous elle, la tête entre ses cuisses et me suis mis en devoir de lui lécher la chatte. La bite d’Enzo glissait sous mon nez et Nathalie alternait fellation et masturbation sur ma queue tendue. A partir de ce moment là, j’ai joui très vite, expulsant ma semence au visage de ma chérie qui goba mon gland pour en récupérer le maximum. Enzo grognait, Nathalie jouissait sous ma langue et sous les assauts virils de son amant. Arrivé au bord de la jouissance, Enzo a ressorti sa bite du cul de Nathalie, a retiré sa capote et a éjaculé sur l’hôtel de son plaisir, barbouillant de sa crème la rosette meurtrie, la vulve gonflée et mon visage ébahi, juste en dessous.
Nous sommes resté enlacés quelques instants encore, l’après-midi était bien avancée maintenant. Notre hôte nous a invité à prendre une douche, Nathalie en voulait encore et m’a demandé l’autorisation de prendre la sienne en compagnie de notre nouvel ami. J’ai accepté et ils se sont enfermés dans la salle de bain. J’ai entendu la douche couler, puis elle s’est arrêtée, puis Nathalie s’est mit à geindre, elle a crié et le bruit de l’eau s’est de nouveau fait entendre. J’ai regardé le tiroir du chevet, ils n’avaient pas pris de capote.
En rentrant dans notre « banlieue », nous n’avons pas décroché un mot sur ce qu’il venait de se passer. Nous sommes allé chercher ensemble notre fille, nous nous sommes préparés un bon repas. Nathalie était très amoureuse mais semblait gênée également. Le soir, quand nous nous sommes mis au lit, nous avons fait l’amour tendrement, Nathalie m’a ouvert son petit trou en me disant qu’elle y prenait goût et j’ai joui, pour la deuxième fois de ma vie dans son cul.
C’est après ça, seulement, que nous avons pu parler de cet après-midi et dévoiler nos impressions. Elle avait bien aimé me voir enfiler les capotes sur la verge d’Enzo et m’a demandé ce que j’avais pensé de lui, de sa bite et de son attitude. J’ai avoué que je l’avais trouvé très beau, que sa bite m’avait fait de l’effet, que j’avais aimé la voire pénétrer sa chatte et son cul. La seule chose que je regrettais vraiment, en fait, c’était de ne pas l’avoir possédée devant lui et d’avoir été, finalement qu’un mari cocu spectateur. Nathalie a ri en disant que j’avais quand même été un spectateur très assidu au point de me prendre du sperme au visage. Elle a voulu savoir ce que j’en pensais, ce que j’avais ressenti. En me posant ces questions, sa main parcourait mon sexe qui reprit de la vigueur. Elle m’a rappelé les fois où j’avais bandé en regardant les photos des verges tendues de ses prétendants et le plaisir que je prenais, parfois, à lécher un gode lors de nos ébats. Je savourais sa masturbation en acquiesçant.
Nathalie pensait que j’étais attiré par les bites et que j’avais peut-être des désirs refoulés par rapport à ça. Bien sûr, je m’en suis défendu, je n’avais jamais été attiré par la bite, mais Nathalie trouvait certaines choses troublantes. D’abord, je m’étais mis à lui lécher la chatte après avoir éjaculé dedans et j’avais même goûté au sperme qu’Enzo m’avait balancé au visage. Ensuite, j’avais touché sa queue sans qu’il ne me le demande, et Nathalie était certaine d’avoir lu de l’envie et du désir dans mon regard.
— Si ça se trouve t’aurais bien aimé la sucer, a affirmé Nathalie.— Quand même pas… Un gode en jouant…— Mm, je ne te crois pas, tu dis non mais ta bite dis oui. Je suis certaine que la bite d’Enzo t’excite, c’n’est pas vrai ? A-t-elle ajouté en me masturbant avec plus de vigueur.— Oooh… Oui c’est vrai… mmm, oui— Et dans le cul ? Ça te plairait ?
Nathalie a glissé sa deuxième main entre mes cuisses et plongé un doigt vers ma rosette, Son œil brillait d’excitation et de perversion. Je mes suis soumis à ses caresses et son doigt a pénétré mon anus.
— T’aimerais ça, avoue, te faire baiser comme un petit pédé.— Aaah ! Mmm…— Cocu et pédé, tu n’trouves pas que ça t’irais bien ? t’as vu comme ça t’excite.— Oh ! Oui, ça… ça m’excite.
Nathalie excitée m’a chevauchée comme une furie, elle me traitait de cocu et de pédé en me pinçant les tétons et nous avons joui ensemble rapidement.
Une deuxième rencontre était prévue avec notre ami et quelques jours plus tard, nous avions déposé notre fille chez ses grands-parents pour un long week-end de sexe en compagnie d’Enzo. Nathalie a été à la fête, quand son amant ne la baisait pas, c’était moi qui le faisais. Nous avions acheté un stock de capotes et du gel pour les sodomies, mais son cul a tellement servi qu’elle n’en a rapidement plus eu besoin. En rigolant, à l’évocation de notre première fois, ils m’avaient nommé « Grand enfileur de capotes » et je fis honneur à ce noble titre.
Enzo ne se couvrait pas lui même, c’était à moi de le faire. De fois en fois, je me faisais plus attentionné, allant jusqu’à masturber un peu sa verge pour m’assurer que le manchon de latex était bien mis, mais ça n’allait jamais plus loin. Par contre, le dimanche, avant de nous quitter, nous avons fait l’amour vraiment à trois. Enzo et moi avons alterné sans relâche dans la bouche et dans la chatte baveuse de Nathalie, puis il s’est allongé pour qu’elle le chevauche et je me suis placé derrière elle pour m’introduire par la porte de service. C’était sa première double pénétration, je lui ramonais le fion, branlant ma bite sur celle d’Enzo qui remplissait sa chatte. Nos mouvements se sont synchronisés un peu, Nathalie hurlait si fort que j’étais certain que les voisins devaient l’entendre. Elle m’a avoué plus tard n’avoir jamais ressenti d’orgasmes d’une telle intensité. Enzo et moi avons jouis simultanément, moi en tapissant son rectum et lui en remplissant sa capote plantée fond de sa chatte.
Après ce week-end, Enzo est devenu notre compagnon de trio et l’amant de Nathalie qui le voyait parfois seule à sa pause de midi ou certains soirs après son travail. On se voyait très régulièrement tous les trois et je prenais toujours autant de plaisir à lui enfiler ses capotes. Avec le temps et après avoir fait les tests nécessaires, nous avons cependant convenu, tous les trois, d’abandonner l’usage du préservatif entre nous. J’en étais un peu chagriné car j’allais perdre mon titre de « Grand enfileur de capotes ». J’ai confessé ce sentiment étrange à Nathalie qui m’a dit que ça ne m’empêcherait pas de toucher à la bite d’Enzo si j’en avais envie. Elle m’a avoué qu’une bite sans plastique autour, c’était mieux et que je pourrais m’en rendre compte par moi-même. Je n’ai pas tardé à en faire l’expérience.
Avec les vacances scolaires, notre fille allait passer deux semaines loin de nous, chez les parents de Nathalie d’abord et chez les miens ensuite. Dès qu’elle fut elle partie, Enzo a débarqué chez nous, l’ambiance était étrange puisque, à l’exception des samedis et dimanches, nous étions au travail la journée et nous nous retrouvions tous les trois à la maison le soir. C’était l’expression la plus totale du trio, mais la chose la plus folle pour moi s’est produite dès le premier jour. Il n’y avait plus de capote et je me remémorais les propos de Nathalie ; ça me perturbait. Alors j’ai osé demander à Enzo, tandis que nous étions tous les deux, si je pourrais encore toucher sa verge. Avant de me répondre, il m’a caressé et les fesses et m’a embrassé sur la bouche. J’en ai rougi mais je l’ai laissé faire. Il m’a fouillé la bouche avec sa langue en me pelotant le cul et puis, il m’a dit que pour lui, une bouche était une bouche et que n’importe quel cul en valait bien un autre. Il m’a tout de suite avoué qu’il avait déjà pris son pied avec des hommes passifs comme moi. J’ai failli m’insurger à cette remarque, mais j’ai réalisé que dans notre trio, il était le mâle dominant et que j’étais soumis tant à lui qu’à ma femme.
Enzo m’a demandé si j’avais déjà sucé une bite et j’ai fait non de la tête. Alors il a dégrafé son pantalon et m’a fait mettre à genoux. Sans qu’il me le demande, j’ai écarté sa braguette et descendu son jean sur ses cuisses. Son slip blanc sentait fort, une petite tâche jaune en ornait le devant. J’ai glissé ma main sous l’élastique pour dégager son phallus et ses couilles bien pleines. Il ne bandait pas encore et souhaitait que je le mette en forme pour qu’il puisse honorer Nathalie dès son retour des courses. J’ai approché ma bouche, mon nez, ça sentait la pisse et la sueur. Je tenais son pénis du bout des doigts, j’ai ouvert la bouche et j’ai avalé le gland à moitié décalotté. Ma langue jouait autour, repoussait le prépuce, les actions de ma langue, sur son gland et le long de sa bite faisaient leur effet, je sentais le sang affluer dans sa hampe qui prenait, peu à peu, toute son ampleur. Enzo m’a fait arrêter et m’a demandé de me mettre à poil. Je me suis déshabillé, lui même a retiré ses vêtements, puis il s’est installé dans un grand fauteuil du salon. A sa demande, je me suis accroupi entre ses cuisses et me suis chargé de le maintenir en forme jusqu’au retour de Nathalie. Retours que je me suis surpris à vouloir le plus tard possible, espérant bien découvrir ce que ça faisait de recevoir le foutre d’un homme dans la bouche.
L’idée de recevoir le sperme d’Enzo dans ma bouche et au fond de la gorge, m’excitait et je bandais dur. Nathalie est rentré avec deux sacs de super marché et a découvert la scène qui se passait dans le salon. Enzo lui a dit qu’il m’avait demandé de le mettre en forme pour elle, alors Nathalie a posé ses sacs, m’a embrassé le dessus de la tête et a embrassé Enzo sur la bouche. Sans plus attendre, elle a retiré ses habits et m’a repoussé la tête pour que je m’écarte de son amant. Elle l’a enfourché très vite, elle voulait qu’il la baise et ils ont commencé à niquer pendant que moi, je ramassais les affaires qui trainaient, rangeais les courses et commençais à préparer le dîner. Quand ils ont eu fini au salon, je les ai rejoint et j’ai pris ma femme en levrette sur le tapis. Sa chatte était, pour la première fois, remplie du foutre d’Enzo et je n’ai pas tardé à y ajouter le mien. Nathalie m’a demandé de m’allonger, elle s’est accroupie au dessus de moi et m’a donné son sexe à lécher en me traitant de pédé. J’ai nettoyé sa chatte et me suis repu du sperme qui s’en écoulait sous le regard amusé d’Enzo. Ensuite, nous avons fini les préparatifs du repas ensemble et avons dîné rapidement.
Nous étions très décontractés tous les trois. Nathalie et Enzo étaient encore amusés par ma prestation de début de soirée. Ma femme a avoué que ça l’excitait de me savoir attiré par les hommes et a demandé à Enzo si ça le gênait. Son amant s’est empressé de redire à Nathalie ce qu’il m’avait dit plus tôt et lui a avoué qu’il trouvait mon cul plutôt mignon. Aussitôt Nathalie lui a demandé s’il serait capable de me prendre comme une femelle, en précisant que ça l’exciterait beaucoup que je développe mon côté homosexuel. Elle m’a même dit en souriant : « tu aimes les bites, chéri, ça crève les yeux ! ». Je ne sais pas si ça crevait les yeux à ce point, mais en tout cas ça m’a fait un drôle d’effet. Malgré mon trouble, j’ai affirmé ne pas avoir envie d’aller au delà de la fellation même si au fond de moi une petite voix disait autre chose.
Pendant toute la première semaine j’ai sucé Enzo. Je l’ai sucé avant qu’il ne pénètre la chatte ou le cul de Nathalie, je l’ai sucé en cours de coït avec ma femme ; chaque fois qu’il me présentait sa bite, je la suçais et quand il allait jouir, il n’était pas rare qu’il le fasse dans ma bouche, soit pour son plaisir, soit à la demande de ma femme. J’étais devenu une bouche à pipe et un bouffeur de sperme. Pour le reste, je fonctionnais en homme « normal » et Nathalie n’avait pas à s’en plaindre puisqu’elle avait toujours une ou deux queues vaillantes pour s’occuper de ses orifices de plus en plus gourmands.
J’aurais pu croire que les choses allaient en rester là, mais Nathalie, avec la complicité pleine et entière d’Enzo, était décidée à me faire passer à la casserole. Son travail était patient et insidieux. En dehors de nos baises torrides, nous connaissions de pures moments de tendresse tous les trois et cela se traduisait par des caresses sur les corps imberbes des uns ou des autres, et des baisers volés et accordés, dans le coup ou sur la bouche. Embrasser Enzo ne m’a rapidement plus posé de problème et je me suis mis à aimer franchement la manière qu’il avait de me prendre dans ses bras pour me rouler une pelle. Dans ces moments là, je me sentais chatte et j’appréciais la main qui, immanquablement, descendait sur mes fesses, me caressait le sillon et s’y enfonçait pour me titiller l’anus. Je ne sais pas comment Enzo s’y prenait, mais il me faisait craquer et je ne lui opposais aucune résistance. Il n’a pas mis longtemps pour réussir à me doigter le cul et plus ça allait et plus j’appréciais. Il me branlait le cul en m’embrassant puis il me faisait sucer son doigt avant de le remettre. J’aimais ça, je ne pouvais pas le nier.
C’est ainsi qu’à la fin de la première semaine, après un long dimanche passé au lit tous les trois, je me suis retrouvé à quatre pattes sur le lit pour sucer Enzo allongé. Nathalie est passé derrière moi pendant que j’officiais sur la queue de notre amant, elle m’a écarté les fesses et a approché sa bouche et sa langue agile de mon anus encore vierge. Elle m’a léché le cul, sa feuille de rose me mettait dans un état indescriptible, mon dos était parcouru de frissons. Quand elle a remplacé sa langue par un doigt, je n’en ai pas été surpris et j’ai redoublé d’ardeur sur le chibre d’Enzo. Un deuxième doigt a rejoint le premier et je me suis arrêté pour exprimer tout le plaisir qu’elle m’apportait.
J’avais la queue d’Enzo en main, elle était dure et luisante de salive et Nathalie m’assouplissait toujours la rondelle. Je n’avais pas envie de résister, je me suis laissé faire. Enzo s’est levé, a fait le tour du lit et j’ai senti l’extrémité de sa verge appuyer sur mon trou du cul préparé par les doigts de Nathalie. Son large gland m’a forcé l’anus, Nathalie m’écartait les fesses en me donnant des conseils, je me suis détendu, mes sphincters ont cédés et la tête est passée. Je n’en ai pas ressenti tellement de douleur mais j’étais surpris. Nathalie crachait sur mon cul, enduisait de salive la longue verge qui poursuivait lentement mais surement sa progression. Enzo me remplissait, c’était trop bon. Ma première sodomie a été un vrai régal, Il est allé tout au fond de mon rectum et m’a demandé si ça allait. Comme tout allait bien, il a commencé ses va-et-vient.
Enzo m’a bourré le cul, branlé le prostate avec sa grosse verge, j’ai gémi, couiné et en ai redemandé. Nathalie s’est mise, jambes écartées, devant moi pour que je la lèche et que je m’occupe de sa chatte. La tâche était bien difficile à accomplir sans l’aide de mes doigts, tellement j’étais balloté par les coups de rein de notre amant. J’ai découvert un plaisir nouveau, insoupçonné, je jouissais du cul et j’ai tout de suite su que je ne pourrais plus m’en passer. J’ai joui, d’une manière incroyable, ma bite avait perdu de sa superbe mais de son méat s’écoulait un long filet de foutre poisseux. Enzo sortit avant de jouir et me mit sa bite au fond de la gorge. Indifférent à l’endroit d’où elle sortait, je l’ai avalée entièrement et les vannes se sont ouvertes. Il m’a rempli la bouche de son sperme tiède, il ne m’en avait jamais mis autant et Nathalie qui se finissait elle-même s’est mise a crier en atteignant l’orgasme.
A partir de ce jour, Enzo avait « deux femmes » pour s’occuper de sa bite et s’il me baisait, je devais au plus vite lui rendre une forme virile pour qu’il puisse prendre Nathalie. Nous sommes restés amants réguliers pendant près de deux ans, deux années d’un plaisir étrange. Nathalie et Enzo s’entendaient de mieux en mieux et petit à petit elle lui devenait fidèle. Quant à moi, elle m’incitait à trouver des mâles virils sur le net pour satisfaire mes besoins homosexuels. C’était devenu une sorte de rite, quand Enzo venait à la maison, je les laissais pour aller « me faire foutre ailleurs ».
Un jour, Enzo nous a présenté David. Ils étaient amis de longue date et se connaissaient parfaitement. David avait mon âge, il était assez sportif et très sympathique. Il m’a tout de suite impressionné. Au cours de la soirée, il me fit comprendre qu’il n’était pas du tout attiré par les femmes et j’ai aussitôt couché avec lui. Il s’est révélé très viril et insatiable, son sexe plus large que celui d’Enzo m’écartait et me remplissait vraiment. J’avais trouvé mon amant, mon homme, mon amour.
Nathalie a demandé le divorce par consentement mutuel deux mois après et, David et moi avons été les témoins de son mariage avec Enzo. Le plus difficile a été de faire accepter à ma famille, mes parents et mon frère, mon homosexualité. J’ai cru devenir un paria mais grâce aux parents de David et à ceux de Nathalie avec lesquels ils s’entendaient bien, ils on fini par admettre ma véritable nature. Nous sommes resté très proches de Nathalie et Enzo qui ont été les témoins de notre mariage avec ma fille en demoiselle d’honneur.
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