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La meute

Chapitre 3

Trash
FELIX.Bien sûr, je m’attendais à cette réponse ! Jenny me sourit et me gratta derrière les oreilles ; je ronronnai puis m’étirai, faisant mes griffes sur le fauteuil.
— Dis donc, Félix, ce n’est pas parce que tu es le familier de Sam que tu as le droit de détruire ce fauteuil !— Bon, d’accord.
Je me suis transformé ; je suis un incube, un démon mineur, et aussi le familier de Samantha O’Gara, ma patronne chérie. Sous ma forme animale, je suis un chat noir au collier bleu. Là, je suis un beau gosse athlétique d’un noir d’obsidienne, les yeux jaunes. En tant que démon, je suis plus grand et plus lourd, plus de deux mètres et cent kilos, pas de cornes ni de pieds fourchus, ça fait beauf ! Mon collier devient alors un ensemble pantalon chemise bleu roi qui moule mon imposante virilité. Je suis un incube, donc un démon de chair, toujours prêt à faire l’amour, à baiser, à niquer ; et je comble Samantha ; mais je pourrais aussi combler Jenny si elle le voulait.
— Il faut soigner ton arcade, ou tu vas garder une vilaine cicatrice, Jenny ; tu perdrais de la valeur au marché d’esclaves de Boston.— Oui, Sam va s’en occuper, puis il faut que j’invoque un familier ; j’y ai réfléchi, Félix, mais je ne peux pas te choisir, ce ne serait pas convenable.
Sam est entrée dans la pièce et mes yeux l’ont déshabillée du regard. Trente ans, des cheveux blonds très clairs, petite et menue, de grands yeux bleus, un jolie poitrine bien ferme qui n’a besoin d’aucun soutien, elle en jète ! Les deux jeunes femmes se sont étreintes en riant et pleurant à la fois. Les femmes ! Sam a ensuite examiné l’aura de Jenny et a été plus que satisfaite : notre petite sorcière avait de bons gênes. Elle a ensuite guéri l’arcade abîmée, magie et onguent, puis est allée chercher un plateau d’argent avec théière fumante, tasses et beignets frais ; nous nous sommes assis dans le salon pour questionner Jenny. Sur l’agression, le sauvetage par Tony, la perte de sa virginité et l’arrivée de ses dons.
— Je ne pense pas pouvoir attendre, je vais demander un familier tout de suite. Il me faut apprendre rapidement à me servir de mes pouvoirs et pour ça…— Oui, je sais, ma chérie. Tu as raison ; mais tu sais qu’il te faudra te donner à lui aussitôt pour sceller le pacte. Et les incubes ont de gros besoins, et parfois de gros engins aussi.— Je sais, Sam, je sais. Mais je n’ai pas le choix, je suis une proie facile tant que je n’ai pas de familier, et si des garous rôdent dans la région, il me faut tout apprendre et le plus vite sera le mieux.— D’accord ; il faut te préparer à recevoir en toi un démon, je vais te montrer comment utiliser l’énergie de la terre. Telle que je vois ton aura, tu auras affaire à un démon de niveau supérieur, et s’il en a envie il te tuera en te faisant sienne.— Tu crois ? Je ferai en sorte qu’il n’en ait pas envie, alors.— Viens, avant que je parte ouvrir la boutique, je vais te guider ; tu vois les lignes de force, je suppose ; tends ton esprit vers celle qui est à côté de la maison, essaie de la toucher, de te baigner dedans. Aspire de l’énergie, comme tu boirais, sens-là en toi, relâche-là, encore. Maintenant, tu vas stocker cette énergie, je la vois dans ton aura comme une boule brillante et jaune. Tu vas pouvoir l’utiliser plus tard avec l’aide du démon. Il te guidera.
Jenny était inquiète, et moi aussi ; je la connaissais depuis toujours, je l’ai vue naître car j’étais un familier de sa mère avant de devenir celui de Sam ; je l’ai vue grandir, devenir une petite peste, puis une adolescente complexée par ses origines, puis une sublime beauté rousse. Je l’aimais, moi, cette jeune fille. Du moins comme un incube peut aimer quelqu’un. Puis Sam est partie après m’avoir embrassé et m’avoir communiqué sa crainte.
— Reste avec elle, près du pentacle. Donne-lui ta force, pour moi ; j’en mourrais si un démon la détruisait parce qu’elle n’était pas assez prête.— Pas de souci, Samantha O’Gara ; Jennifer est un peu ma fille, et je ne lui veux que du bien.— Vieux bouc lubrique, je t’aime aussi.

Nous sommes descendus dans la cave ; très haute de plafond, c’était une grande pièce carrée sans fenêtre, seulement aérée par des puits, mal éclairée par deux ampoules, au sol de terre dure et sombre marqué d’un pentacle sérieux. J’ai allumé quatre torches pour quand les ampoules s’éteindraient. Il ne faisait jamais froid, mais j’ai bien vu que Jenny tremblait un peu en se dévêtant. Nue, elle se tourna vers moi pour trouver de la force ; elle était splendide, d’une beauté somptueuse avec sa poitrine volumineuse qui se soulevait au rythme de sa respiration sourde. Sous mon pantalon léger, ma queue s’est dressée presque malgré moi, mes yeux ont commencé à émettre une lumière jaune et vive.
— Tu es incorrigible, Félix. Mais c’est ta nature. Bon, il faut y aller.
Elle s’entailla le gras du pouce gauche avec la lame recourbée de sacrifice et versa son sang au milieu du pentacle, il crépita et fuma au contact du sol ; elle commença à scander une incantation aux démons ; mon corps vibrait en réponse, mais je ne bougeai pas. Elle s’est reculée et agenouillée, en continuant à prier ; les ampoules se sont éteintes et une vapeur délétère a commencé à surgir du pentacle puis à se condenser. Et soudain, dans la lumière faible des torches est apparue une grosse panthère blanche. Aux yeux bleus émettant une lumière froide. Bon sang, un incube de première classe !
— Bonjour, Jennifer O’Gara ; tu as appelé un familier, je suis là. Mais je vois que tu as déjà quelqu’un. Dis-moi que je n’ai pas fait tout ce chemin pour rien.— Bonjour, mon maître. Non, Félix Kerich-Welosky est le familier de Samantha O’Gara, ma tutrice. Il est là pour m’assister. Comment dois-je vous appeler ?— Je suis Albin KerichVor-Karoghan, démon de premier cercle, disposé à t’accepter comme disciple et concubine. M’acceptes-tu comme tuteur, maître et amant ?— Je suis surprise qu’un démon de premier cercle m’accepte, c’est trop d’honneur ; mais oui, je veux de vous comme tuteur, maître et amant, Albin KerichVor-Karoghan. Jusqu’à ce que la mort nous sépare.— Qu’il en soit ainsi.
Albin s’est transformé pour prendre une de ses formes démoniaques, je savais que les démons supérieurs pouvaient en avoir plusieurs, au contraire de moi. Il avait pris une forme humanoïde géante et sa tête frôlait le plafond ; il arborait des cornes recourbées et un faciès entre humain et bouc, un corps puissant posé sur des pieds griffus. Une fourrure blanche épaisse, et des attributs sexuels qui parurent disproportionnés même pour sa taille quand il sortit du pentacle pour s’approcher de Jenny. Je voyais bien qu’elle était oppressée, ses côtes se soulevaient de manière désordonnée, mais en même temps ses mamelons étaient devenus turgescents, et je sentais l’odeur de sa cyprine. Le démon émettait des phéromones puissantes.
Albin s’approcha d’elle et caressa ses cheveux tendrement ; ils étaient les yeux dans les yeux et Jenny avait la tête rejetée en arrière pour le fixer. Elle n’avait pas l’air d’avoir trop peur, malgré la verge gigantesque qui touchait son thorax entre les seins. Elle posa d’ailleurs ses deux mains dessus, en faisant à peine le tour. Se baissant, elle passa la langue sur le bout charnu et rose pâle, et la glissa dans le méat ; pour la première fois, je vis frémir Albin. La verge parut s’allonger encore, elle tressauta et Jenny rit, un rire cristallin, pur.
— Seigneur Albin, vous êtes bien sensible !— Tu es une vraie sorcière, nul doute ! Je prendrai grand plaisir à te ployer sous mes assauts et à te faire crier.— Pour cela, il faudra que vous preniez une forme qui ne me tue pas. Vous êtes manifestement au-delà de mes capacités d’accueil.— On en reparlera, mais oui, je vais prendre une forme qui te siéra et sera moins voyante dans ton monde. Mais là, comment me trouves-tu ?— Impressionnant, d’une beauté diabolique ; mon corps réagit et j’ai envie de vous.— Alors c’est parfait, ma sorcière aux cheveux de feu.
Et le corps du démon a changé une nouvelle fois, se réduisant et perdant sa fourrure jusqu’à devenir un géant au corps d’ivoire, sans un seul poil sur le corps, mais à la musculature puissante et à la virilité particulièrement imposante, car Albin n’avait rien perdu de son envie qui était énorme. Je contemplais effaré cette verge si longue et si épaisse qu’elle serait assurément une épreuve pour Jenny ; la gourgandine est allée se blottir dans les bras d’Albin dont une grande main a empaumé une fesse pour la pétrir rudement. Je bandais comme un âne à ce spectacle, alors que Jenny avait passé ses mains autour du cou d’Albin et le tirait à lui pour l’embrasser passionnément. Puis elle saisit délicatement le prépuce et tira doucement.
— Venez, mon Seigneur, allons dans ma chambre tous les deux, vous me montrerez que votre réputation d’incube n’est pas usurpée et que vous pouvez me faire mourir de plaisir.— Mourir, ce serait dommage, mais je te baiserai jusqu’à ce que tu demandes grâce.
Jenny a ramassé ses vêtements et ils sont montés, Albin suivant la sorcière, les yeux rivés sur le postérieur cambré qui ondulait langoureusement. Arrivée dans le salon, elle m’a fait un clin d’œil avant de disparaître dans l’escalier menant aux étages. J’ai suivi le mouvement et suis entré à leur suite dans la chambre de Jenny où, sagement, je me suis transformé en chat pour pouvoir m’installer confortablement sur un coussin sans les déranger.
Effectivement, Albin était bien un démon majeur. Il a pris Jenny par tous les orifices sans débander une seconde pendant plus de cinq heures, la remplissant de semence plus de dix fois. Il lui a même appris à faire des gorges profondes, avec l’aide de tours que je ne connaissais pas ; il la commandait sans équivoque, et elle obéissait de son mieux, sans rechigner. Comme quand il l’a sodomisée la première fois, elle a écarté ses voluptueuses fesses pour lui offrir son anus un peu rouge et gonflé – j’ai compris que Tony avait déjà utilisé cette voie – et permettre à Albin de la pénétrer.
Sourd à ses gémissements et ses larmes, il l’a prise sans pitié, bien à fond, l’anus écarquillé était devenu blanc tellement la chair était distendue, proche de la déchirure. Et il faisait d’elle exactement ce qu’il voulait, la faisant crier, supplier, jouir à sa guise. Quand il s’estima satisfait, Jenny n’était plus assez lucide pour s’en rendre compte ; elle gisait dans une mare de foutre, groggy, sur le ventre et les cuisses écartées, cambrée de manière éhontée. Je voyais nettement ses orifices béants par lesquels s’écoulait encore la semence du démon.
A ma surprise, il la souleva délicatement pour la prendre dans ses bras, exténuée elle posa la tête sur son cou, yeux clos, et il la porta dans la salle de bains. Elle ne tenait pas sur ses jambes mais resta accrochée à son cou pendant qu’il réglait l’eau qui ruisselait sur leurs corps. Je repris forme humaine pour enlever du lit drap et alèse empesés et aller lancer une machine à laver ; à mon retour, Jenny poussait des gémissements caractéristiques, le démon la sodomisait sous la douche et elle avait l’air d’aimer ça ; ses jolies fesses dansaient sur le cylindre raide et les amants s’embrassaient à pleine bouche.
Plus tard, quand ils sortirent enfin de la salle de bains, enlacés, je vis que le démon avait appris à Jenny à piocher dans son énergie de ligne pour reprendre des forces. Elle marchait sans trop s’appuyer sur lui et était pimpante et vive comme à son habitude. Si je ne l’avais pas vu, je n’aurais pas deviné qu’elle avait passé plusieurs heures à satisfaire un seigneur démon. Satisfaire ? Sa virilité était toujours aussi imposante et tendue en avant ! Jenny donna une petite claque dessus, et je frémis ! Un seigneur démon n’est pas un familier normal, loin s’en faut ; il pouvait la détruire pour ça, l’annihiler, ou la prendre sur son monde – mon monde natal – et la vendre comme esclave. Il rit au lieu de se fâcher : le démon ensorcelé !
— Ma petite, tu ne me manifestes pas le respect qui m’est dû ! Je suis un seigneur démon et ton maître, et tu me taquines. Tu mérites une bonne fessée, mais nous savons tous les deux comment ça va finir si nous nous aventurons sur ce terrain.— Oui, je comprends ; vous n’êtes jamais fatigué de faire l’amour ? Vous m’avez couverte sans faiblir, et vous êtes toujours d’attaque à ce que je vois. Je ne perçois pas d’aura sur vous ni sur Félix, mais vous suez le sexe et l’amour. Je pense qu’il faut faire une pause, bien que ce doive être une belle mort de mourir de plaisir.— J’ai pitié de toi. Sache que j’ai eu grand plaisir à te baiser et à t’enculer ; ton corps est véritablement un appel à l’amour, et ton âme est belle ; toi et moi nous allons faire de grands choses, quand je t’aurai appris à maîtriser tes pouvoirs qui surpasseront tes attentes. Habille-toi avant que je change d’avis, j’ai faim et soif de découvrir ton monde, mais j’ai encore faim et soif de toi.
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