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La meute

Chapitre 6

Trash
Les recherches n’ont pris un tour décisif que le samedi après-midi ; Jennifer était allée faire quelques courses dans Cumberland pour alimenter la maisonnée et en avait profité pour acheter quelques sous-vêtements sexy : un soutien-gorge en dentelle push up noir, un string et un tanga assortis. En regagnant sa voiture elle regardait les gens autour d’elle, pour dire bonjour à ses copines ou aux connaissances de sa tante, quand son œil interne a été attiré par deux hommes bruns qui discutaient en fumant devant un pick-up GMC. Deux garous ! Ce pouvait être des membres de la meute de Tony, mais leurs visages bruns, burinés, lui rappelaient de mauvais souvenirs.
Elle est montée dans la Buick et les a regardés en réfléchissant. Puis elle a téléphoné à Tony : messagerie. A Sam, messagerie. A Melvin, pareil. Merde ! Elle a appelé la maison et Félix a décroché tout de suite.
— Félix ! Dieu soit loué. Tu es avec Albin ?— Non, je fais le ménage, il est sorti.— Trouve-le. Je suis à dix mètres de deux garous de la meute recherchée, je crois. Ils montent dans leur voiture, un GMC immatriculé… Je ne vois pas… WOLVE 4 U ; très drôle. Etat du Nouveau Mexique. Ils sont loin de chez eux ici. Bon, je vais les suivre à distance.— Jennifer O’Gara, non, tu les laisses, c’est trop dangereux ; on les retrouvera.— Albin chéri, si je les laisse et qu’ils tuent quelqu’un d’autre, je ne pourrai pas me le pardonner. Ils partent vers Windham. Tu pourrais faire prévenir le FBI sur une autre ligne ? Avertis Melvin. Et Tony, et ses parents !
Jenny sortit de Cumberland en suivant le GMC à plus de cent mètres. Il y avait quand même un peu de circulation et la nuit tombait déjà : il était 16 heures passées. Entre chien et loup, pensa Jenny qui pouffa nerveusement. Le portable sonna alors qu’elle entrait dans Windham à petite distance des deux suspects.
— Agent spécial Melvin Brennan, FBI. Tu vas bien ?— Vous arrivez ?— Je suis à Portland, je sors de chez le gouverneur. Autant dire que tu vas arrêter ta filature.— Certainement pas. J’attends de l’aide de Tony et Albin. Ils doivent arriver, j’espère que Tony a eu mon message.— Arrête-toi, Jenny ; c’est un ordre !— Je n’entends rien, il y a de la friture sur la ligne...
Elle a coupé la communication et laissé le portable en veille sur le siège passager. Où étaient Tony et Albin ? Elle passait justement à côté de la rue de Tony, c’était rageant. Elle téléphona à Félix alors qu’elle sortait de Winham.
— Route 302 vers le nord, on suit la Roosevelt Trail… On prend Harrison, à Naples… Il n’y a plus que ma voiture derrière eux, je vais me faire repérer, je ralentis, tant pis, je vais me garer… Mon Dieu !
Un bruit de tôles, violent. Puis le silence. Un pick-up équipé d’un pare-buffles a percuté la Buick par le travers et l’a envoyée hors de la route. Deux hommes se précipitèrent, sortirent le corps inanimé de Jenny de la voiture inclinée dans le fossé et la chargèrent dans leur 4x4. Ils reprirent ensuite la route derrière le GMC qui s’était arrêté.
Quand Jenny reprit connaissance, elle gémit et ouvrit les yeux. Elle avait mal partout ; surtout le poignet droit, le genou gauche, la tête. Elle voulut toucher son front et se rendit compte qu’elle était entravée. Elle frissonna, se rendit compte qu’elle était glacée. Elle était dans une pièce, dans le noir absolu. Allongée par terre et nue. Elle essaya de prendre de l’énergie de ligne mais constata qu’il n’y avait aucune ligne repérable et utilisable pour elle. Son stock était perdu, sûrement quand elle était sans connaissance.
L’odeur était nauséabonde, urine, excréments, salpêtre, humidité, mais ce n’était pas le plus grave. Jenny remua sur le sol ; des menottes mordaient douloureusement ses poignets et surtout le droit qui devait être gonflé. Et sa cheville gauche était enchaînée, elle reconnaissait le bruit de métal quand elle remuait. Elle s’appuya contre un mur froid et humide et écouta ; elle n’était pas seule, elle entendait une respiration, ou plusieurs, à quelques mètres d’elle. Elle allait appeler quand une porte s’ouvrit en grinçant ; plusieurs ombres entrèrent et de la lumière jaillit aux quatre coins de la pièce ; une lumière étrange, provenant de boules de feu . « Energie de ligne », pensa Jenny. En un éclair, elle vit deux corps allongés l’un contre l’autre, deux femmes nues et sales. Et les arrivants, quatre hommes bruns ressemblant à ses agresseurs, et un autre homme qui la scrutait sévèrement. Le visage buriné, émacié, le nez long et busqué. Et une aura de sorcier, une aura puissante et maléfique.
Jenny eut la chair de poule, autant du froid qui entrait par la porte que de crainte. Le sorcier s’approcha et lui donna un coup de pied dans sa jambe blessée, lui arrachant un cri de douleur.
— Alors, qui es-tu, petite fouineuse ? Pourquoi suivais-tu mes hommes ?— Ils ressemblent aux hommes qui ont cambriolé ma maison le mois dernier. Alors j’ai voulu voir…— Pitoyable !Nous n’étions même pas ici le mois dernier.— Je me suis emballée, j’ai téléphoné aux flics, puis je me suis dit que j’étais folle et j’ai voulu m’arrêter.— C’est vrai, monsieur ; elle était presque arrêtée quand on l’a percutée.— Vous l’avez fait exprès ? Vous êtes fous, vous auriez pu me tuer !— Ferme-la, femelle. Je ne sais si tu mens ; peut-être pas. Je distingue à peine ton aura, humaine je crois… Tu ne partiras pas d’ici avant que j’aie compris.— Je suis blessée, vous devez me soigner ! Et qui sont ces deux femmes ? Elles ont l’air malades.— Rien, plus rien ; ce sont les jouets de mes hommes. Toi aussi, bientôt, je les laisserai faire de toi leur chienne.— Je dois sortir, j’ai besoin… Je dois faire pipi, voilà !— Si tu veux quelque chose, il faut le mériter. Si tu es très gentille avec moi, je te donnerai même à manger et à boire.
Jenny hocha la tête, accablée ; elle n’avait pas trop le choix, il lui fallait sortir d’ici si elle voulait alerter la cavalerie et récupérer de l’énergie de lignes. Difficilement, après plusieurs contorsions, elle parvint à se mettre à genoux, malgré la douleur aiguë qui poignardait sa jambe droite. Le visage sillonné de larmes, elle vit que les deux femmes la regardaient en silence. Elle puisa du courage dans leurs yeux sombres et suppliants. Le sorcier s’avança, un vilain rictus déformant sa bouche, et il exhiba une verge raide de bonne dimension.
— Applique-toi et surprends-moi, sinon tu resteras ici ; si je te trouve digne d’intérêt, tu partageras ma couche. Sinon, tu mourras dans d’atroces souffrances.— Pas de problème, mes copains me disent que je suis géniale, grommela-t-elle entre ses dents.
Jenny ouvrit la bouche et commença à sucer le gros gland décalotté, plissant le nez à cause de l’odeur forte de sueur et d’urine ; sans les mains elle fit de son mieux, réussissant à avaler presque toute la verge, à la surprise du sorcier qui apprécia.
— Eh bien, tu parais jeune mais tu sais y faire ! Tu suces comme une professionnelle ! Fais-moi gicler et je te prends comme servante attitrée... Oh, tu es une vraie démone, tu m’excites trop ! Je vais te jouir dans la bouche, avale tout, salope !
Jenny aurait été bien en peine de reculer, il avait empoigné ses cheveux et éjaculait directement dans sa gorge, elle sentait le sperme bouillonner le long de la verge et être expulsé sans qu’elle ait besoin de déglutir. Quand il se retira en soupirant, elle put reprendre son souffle avant de sourire au sorcier.
— Ça vous a plu ? J’ai plein d’autres choses pour vous.— Bon, vous deux, vous la sortez, vous la conduisez chez moi et vous la lavez ; vous ne la baisez pas, je la veux intacte cette nuit ; si elle me déçoit, je vous la laisserai. Et de toutes manières quand j’en aurai assez, je vous la laisserai.
Il sortit rapidement et deux garous libérèrent la cheville de Jenny puis la redressèrent sans se soucier de ses plaintes. Elle tenait à peine sur ses jambes, constata-t-elle ; Ils sortirent de la pièce, encadrant et portant Jenny, lui firent suivre un large couloir sale. Il faisait nuit, et les garous se déplaçaient dans l’obscurité sans problème, ce qui n’était pas le cas de Jenny ; le sol était rugueux et froid sous ses pieds nus. Elle comprit qu’ils étaient dans une des nombreuses petites usines désaffectées, scieries, menuiseries, conserveries. Arrivée dehors, le froid glacial la saisit, elle frissonna, tenue fermement par ses deux gardiens. Elle ne voyait rien, mais sentait la forêt, entendait le souffle du vent dans les branches des douglas.
Les gardes la lâchèrent et elle tomba de tout son long sur le sol gelé ; elle cria de douleur, avec ses mains menottées elle n’avait même pas pu amortir le choc. Se redressant en pleurant, elle urina comme elle put, souillant ses pieds gelés. Elle tremblait de froid quand ils la traînèrent entre eux sur plusieurs dizaines de mètres. Son esprit repéra quand même une ligne de force non loin, mais elle préféra ne rien tenter. Son aura de sorcière n’était pas lisible par le sorcier, elle n’osait pas se démasquer dans son état de faiblesse.
Ils arrivèrent à une maison qu’elle n’a pas vue avant d’être collée à la porte ; ils entrèrent dans une grande pièce faiblement éclairée avec une cheminée où un feu ronflait, il y faisait chaud et Jenny se sentit un peu mieux ; ils la conduisirent dans une petite salle d’eau, la poussant dans le coin douche ; mal en point, elle resta appuyée, les seins écrasés contre le carrelage, tentant de maîtriser la souffrance, claquant des dents. L’eau ruissela sur son crâne, ses épaules ; brûlante au début, puis juste chaude après. Les deux hommes la savonnèrent en n’épargnant aucun recoin, plongeant leurs doigts dans son vagin et son anus, pétrissant ses seins et ses fesses. Jenny ne réagit pas, elle avait trop mal ; genou, poignet, côtes, et le crâne, un mal de tête carabiné qui martelait ses tempes.
Après l’avoir rincée abondamment, ils l’enveloppèrent dans une serviette et la conduisirent dans une chambre décrépie au plafond fissuré, à la tapisserie décollée par endroit ; mais au moins elle était bien chauffée ; l’odeur de renfermé se mélangeait à un parfum entêtant de cannelle et de vanille. Jenny se laissa tomber sur le lit, démoralisée, les larmes aux yeux ; elle n’avait plus qu’à attendre le sorcier, et en sortir vivante.
Elle somnolait quand un bruit la tira de sa torpeur : il était devant elle. Accompagné d’un gros chien-loup assis près de lui. Jenny réprima un cri et se souleva tant bien que mal.
— Comment t’appelles-tu, petite chienne ?— Jenny, Monsieur. Pourriez-vous m’enlever les menottes ? J’ai un poignet blessé.— Je pense que je peux le faire ; tu ne risques pas de nous échapper, si l’envie t’en prenait.
Le sorcier libéra Jenny, en profitant pour lui prendre la serviette et se repaître du spectacle de son corps parfait. Puis il appela sa magie pour guérir les blessures de la jeune fille ; il avait de grand pouvoirs médicinaux car elle ne ressentit plus aucune douleur ni même aucune gêne quelques minutes plus tard. Etonnée, elle examina son poignet qui était gonflé et tout noir quelques instants auparavant : il avait repris un aspect normal, à peine plus rouge que la normale ;son genou était guéri lui aussi et son mal de tête lancinant avait disparu.
— Merci Monsieur ; je ne sais pas comment vous avez fait, mais je vous dois beaucoup.— Tu vas payer tes dettes avec ton corps, crois-moi. Et Cujo va t’aider, sinon tu souffriras trop.— Je vais me transformer ; essaie d’éviter la crise cardiaque. Je te préviens, je suis assez impressionnant.
Jenny essaya de prendre un air terrorisé quand Cujo se transforma en un démon gris et velu ; elle n’eut pas trop de mal car son aspect était redoutable. Le chien-loup était devenu un gigantesque démon au pelage gris clair uniforme, aux antérieurs puissants pourvus de mains aux griffes rétractiles qu’il faisait claquer ; ses jambes étaient courtes et ses pieds larges et griffus, son appareil génital rouge vif sortait à peine de son fourreau velu. L’odeur de cannelle et de vanille s’est intensifiée quand il s’approcha de Jenny recroquevillée sur le lit.
Il tendit la main droite et engloba le crâne de la jeune fille, lui causant une crainte certaine, mais il ne serra pas ; il lui insuffla quelque chose car une chaleur intense envahit tout le corps de Jenny, en partant de sa tête pour gagner tout son corps ; sa poitrine se gonfla, douloureuse soudain, les mamelons turgescents comme elle ne les avait jamais vus, son ventre se liquéfia littéralement, inondant ses cuisses de cyprine. Elle hoqueta, serra les cuisses puis poussa un cri rauque, fauchée par un orgasme puissant.
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