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La meute

Chapitre 7

Trash
Quand elle reprit ses esprits ses yeux eurent du mal à se fixer sur Cujo qui avait reculé à hauteur du sorcier ; lequel s’était déshabillé entièrement ; son corps était sec, d’une couleur brune qui ne devait rien au soleil. Jenny pensa qu’il pouvait être indien Navajo ou Pueblo, s’il était du Nouveau Mexique.
— Qui êtes vous ? Je n’ai jamais vu quelqu’un comme vous.— J’en suis sûr. Je m’appelle maintenant John Hornblow ; je suis chaman de l’ancien peuple que vous appelez Anasazi. Un peuple disparu qui vivait dans le Colorado, l’Arizona et le Nouveau Mexique. Bien loin d’ici. Cujo est un démon qui m’est lié depuis près de 650 ans. Il appartient à une caste de démons invoqués dans les rites de fécondité et de sexe. Il t’a fait jouir et peut te faire mourir de plaisir. Et il va développer mes attributs qui vont te faire hurler de plaisir ou de souffrance à ma guise.
Interloquée, Jenny vit Cujo prendre la verge au repos du chaman qui tressaillit quand elle prit de l’ampleur pour atteindre une taille sans commune mesure avec celle qu’elle avait sucée quelques minutes plus tôt. Elle était maintenant largement aussi épaisse et longue que celle d’Albin qui était pourtant particulièrement bien pourvu par la nature. Cujo se recula et le chaman s’approcha, son engin oscillant à chaque pas, raide et gonflé à faire peur.
— Alors, petite chienne, que penses-tu de ma queue ? Assez belle pour te satisfaire ?— Elle est même trop belle, votre verge ; alors je vous en supplie, allez-y doucement sinon vous me tuerez , lui demanda Jenny d’une petite voix.— Assure-toi que cette chienne puisse me recevoir, Cujo.— Oui, maître.
Cujo se déplaça si vite que Jenny le vit flou un instant, et il toucha à nouveau sa tête, et la chaleur envahit à nouveau son corps, elle se mit à haleter et à gémir de manière incontrôlée. Et elle crut entendre une voix lointaine dans son cerveau.
— N’aie pas peur, jeune sorcière. Je connais ton secret ; résiste-lui et il te jettera à ses garous pour qu’ils te torturent. J’essaierai alors de t’aider. Si tu peux alors t’enfuir ou invoquer de l’aide, pense à moi.
Interloquée, Jenny regarda Cujo ; se jouait-il d’elle ? De quel bord était-il ? Il lui fit un sourire et un clin d’œil alors qu’elle s’écroulait, à nouveau emportée par la jouissance.
Elle n’eut pas le temps de reprendre ses esprits que déjà le chaman se jetait sur elle, écartant largement ses cuisses, et pesant de tout son poids pour introduire sa verge énorme dans le marécage torride qu’était devenu le vagin de Jenny. Il devait savoir qu’elle serait encore trop étroite, mais il n’en avait cure Il souleva alors une jambe de la jeune sorcière, la repliant genou contre épaule ; dans cette position sa verge commença à glisser entre les lèvres intimes de la rouquine qui cria de douleur. La dominant de toute sa hauteur, il s’immobilisa, savourant sa victoire.
— Tu es chaude comme la braise, ce qu’on dit des rouquines est bien vrai !— Salopard de sorcier, tu es la honte des indiens ! l’insulta-t-elle d’une voix altérée par la souffrance mais encore ferme.
Vexé par l’injure, il commit l’erreur de libérer ses mains pour lui allonger une gifle, et Jenny cria sa rage, joue gauche en feu et lèvre fendue ; mais elle en profita pour le frapper aussitôt d’un violent atémi sur la glotte, aussi fort qu’elle le pouvait ; le coup n’était pas très puissant dans cette position, mais suffisant pour surprendre et déséquilibrer le sorcier ; elle accompagna son coup d’une impulsion de sa jambe pliée qui projeta le chaman en arrière ; il s’écroula les quatre fers en l’air en criant. Jenny se redressa, les traits crispés par la colère.
— Connard ! On demande avant de baiser, des fois que la dame elle veut pas ! Et moi je veux pas de toi, ni aujourd’hui ni jamais !— Espèce d’idiote, tu viens de signer ton arrêt de mort ! Je vais te donner à ma meute que va te violer et te torturer. Tu me supplieras de te reprendre.— Vous êtes complètement dément ! Je préfère mourir que de vous appartenir.— Cujo, conduis-la à l’usine, dis-leur bien de la démolir, je veux qu’elle rampe à mes pieds quand je la reverrai. Tu me ramènes une captive qui supplie que je me vide les couilles. Et enchaîne cette petite salope.— Bien monsieur. Lève-toi, petite chienne, tu ne mérites pas mon maître.
Arrivé à la porte, il lui prit le bras et elle entendit sa voix dans sa tête. « Bien, jeune sorcière ; je suis désolé pour ce que tu as enduré, mais il te faut te sauver, appeler de l’aide ».
Cujo fit sortir Jenny après l’avoir menottée poignets dans le dos ; elle frissonna quand elle se retrouva dans la nuit glacée ; le froid était sec et venteux, elle avait mal à la tête à nouveau, avec les gifles qu’elle avait reçues. La lune répandait maintenant une lueur blême et froide sur les bâtiments autour d’elle ; elle leva la tête vers le disque pâle presque plein et ressentit la puissance qui en émanait ; comme les lignes de force, mais en plus intense ; machinalement, elle tendit son esprit astral et toucha cette puissance, l’absorba à une vitesse qui la laissa étourdie un instant. Gavée de magie, elle envoya des skuds d’énergie à la verticale, chacun déclenchant une boule ultraviolette, invisible pour les humains et les garous, mais perceptible pour les démons. A sa surprise, elle vit que Cujo la libérait.
— Merci. Combien sont-ils ?— Actuellement quatorze garous, trois ont disparu il y a plusieurs jours. Vous y êtes pour quelque chose ?— Je me gèle, bon Dieu qu’il fait froid !— Vous ne voulez pas me répondre, j’en déduis que oui… Ils arrivent.— Qui arrive ?— Vos amis… Deux démons… Un Vor ! Vous êtes la servante d’un Vor ! Je comprends mieux votre puissance, malgré votre jeunesse. Mes respects, Mademoiselle. Et courrez, je vous en prie, ils sortent et s’approchent.
Jenny vit en effet de grandes ombres se mouvoir devant elle et sur les côtés ; ils avaient pris leur forme de garous, menaçants, crocs brillant dans la pénombre et yeux de nyctalopes luisants. Elle pivota vers sa gauche, aperçut deux ombres qui remuaient et lança deux missiles d’énergie ; dans la même détonation semblable à un coup de fusil, les deux corps de garous explosèrent, déchiquetés et projetés en lambeaux de chair et de sang qui retombèrent un peu partout. Jenny frémit de dégoût mais partit néanmoins à fond dans la zone devenue libre, manquant de s’étaler sur les débris humains.
Elle se rendit très vite compte qu’elle n’arrivait pas à recharger ses "batteries" en courant en sous-bois. Ce fut réglé très vite car elle se cogna contre une racine et s’étala de tout son long ; étourdie, les bras contusionnés sous le choc, elle resta immobile pour reprendre ses esprits, le cœur battant trop fort et la respiration hachée. Elle n’avait pas tout perdu, elle était près d’une ligne de force et en profita pour y puiser. Les garous l’entouraient, elle le savait ; mais ils restaient à distance prudente, après ce qu’elle avait fait de leurs frères.
Jenny se redressa lentement ; elle n’avait plus froid soudain, alors qu’il faisait près de 25° seulement (Fahrenheit, soit –6 degrés Celsius). Elle essaya de voir la lune, mais elle était cachée par les arbres et elle ne put absorber d’énergie. Elle dressa un bouclier défensif de fortune contre les garous et se dirigea vers ce qui lui paraissait être une clairière.
— Tu vas souffrir avant de mourir, pour ce que tu as fait à nos frères.— Le prochain qui approche, j’en fait de la charpie. Fichez le camp avant que je vous pulvérise façon puzzle.— Notre maître arrive, il saura s’occuper de toi.
Jenny ne répondit pas, préférant se déplacer lentement vers la clairière ; vers le clair de lune. Elle commença à entendre un bourdonnement lointain qu’elle reconnut comme un moteur. Les secours !
Albin et Félix. Et Tony, probablement ! Elle avança encore un peu, le bruit de moteur s’amplifiait rapidement, le véhicule roulait vite sur la piste défoncée. Une voix déformée par la colère s’éleva derrière elle.
— Arrête-toi, petite chienne ! Je vais te tuer, je ne sais comment tu as fait pour te débarrasser de mes valeureux guerriers, mais tu vas le payer de ta vie. Là, je te vois, tu as tort de te montrer ainsi, avec ce clair de lune, je ne peux te rater.
Jenny était debout au centre de la petite clairière, nue et magnifique. Ses longs cheveux roux volaient, comme animés d’une vie propre malgré l’absence totale de vent. Elle regarda le chaman de ses yeux verts qui irradiaient une lumière froide, et rit doucement.
— Viens, approche, vieux sac de merde ; je t’arrête pour le meurtre des deux randonneurs, je vais te livrer aux autorités.— Mais qui es-tu, à la fin, pour oser me défier ?
Des bruits de personnes en approche se faisaient entendre ; une voix s’éleva non loin de là :
— Jenny, nous sommes là, courage !— Ma meute, allez tuer ces intrus, je m’occupe de cette idiote !
Les garous disparurent en un instant ; il faut croire que les renforts n’étaient pas loin car des cris retentirent très vite, jappements, hurlements, craquements d’os, gémissements. Le combat dura seulement quelques minutes, puis le silence retomba sur la forêt. Le chaman s’était approché de Jenny ; nu encore, et sa verge luisait, toujours aussi grosse et raide.
— Tes amis sont morts, et tu vas les rejoindre, mais je crois que d’abord je vais te violer.— Charmant garçon, ton copain, Jenny. Tu nous présentes ?
Albin est apparu sous le couvert des arbres, gigantesque masse humanoïde d’un blanc immaculé ; Tony aussi était là, mais à côté de lui il n’était qu’une ombre, plus noire que la nuit.
— Qui êtes vous ? Où sont mes loups ?— Pour tes loups, plus besoin d’acheter des croquettes. Nous les avons mis au régime.— Je vais vous expédier en enfer tous tant que vous êtes !— Dans tes rêves.
Il lança son pouvoir sur Jenny qui profita de cette ouverture dans son bouclier pour envoyer toute l’énergie lunaire accumulée ; celle-ci se déversa dans le corps du chaman de haut en bas ; quand elle atteignit le sol, le corps explosa en débris sanguinolents qui arrosèrent tous les spectateurs. Jenny poussa un glapissement dégoûté en repoussant des lambeaux de chair gluante collés sur sa poitrine et ses bras.
— Berk ! C’est dégueu !— Tu n’as pas fait dans la dentelle, ma petite !— Mais comment vous faites pour être propre, ce n’est pas juste !— Viens, tu vas attraper froid, toute nue.
Jenny se précipita dans les bras d’Albin qui la serra contre lui ; elle respira son parfum aux fragrances épicées, poivrées et mentholées, qui planait au-dessus de l’odeur capiteuse musquée qui lui était naturelle ; contre son ventre, sa verge prodigieuse battait et palpitait de plus en plus fort, amenant des vagues de chaleur au creux du ventre de la jeune fille. Les battoirs griffus avaient pris possession de ses fesses et elle se rendit compte que son bassin remuait doucement et se frottait contre les génitoires gonflés ; elle embrassa les mamelons blancs et durs, les aspira tendrement avant de sourire au démon.
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