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Mia sans dessous

Chapitre 1

Trash
1 - De Paris à Lyon.
Tout a commencé par un chagrin d’amour. Je vais vous dire, c’était de sa faute, lui vous dirait, c’est la mienne. Bah qu’importe… Il arrive un moment où il n’y a plus moyen de recoller les morceaux. Sa dernière phrase "Tire toi, dégage" a été la phrase de trop. J’ai mis tout ce que j’avais dans une petite valise, je me suis tirée et je ne l’ai plus jamais revu. Je suis partie dans la nuit, avec ma valise à une main et mon chagrin comme un boulet à un pied. J’ai été retrouver des copains… J’ai bu, j’ai pleuré… Et puis j’ai fait des conneries, normal…à l’époque j’étais assez douée pour ça, et là j’avais une bonne raison de m’étourdir… Une semaine à boire, à déconner… À dépenser le peu d’argent que j’avais…puis à faire des dettes. Pour rembourser j’ai accepté de l’argent de gens dont il vaut mieux se méfier… Je pressentais que je devrais rendre des services dangereux, très dangereux. Tout allait partir en couilles, je le sentais… Peut-être, me disais-je, c’est ce que tu cherches?? Ben, non! Paris était devenu trop chaud pour moi et ma vie ne ressemblait plus à rien. La solution, c’était de me tirer de nouveau, vite, et de changer de vie. J’ai trouvé l’argent qu’il me fallait et je me suis rendue à la gare de Lyon. Au guichet, j’ai demandé un billet pour…"Pour où??" m’a dit le préposé. "Lyon", j’ai répondu, comme ça… C’est beau comme nom, c’est au Sud, il y a un fleuve et une rivière, dans lesquelles j’allais noyer mon chagrin. J’ai loué une petite chambre dans un hôtel minable. J’ai traîné une journée, envie de rien… Et puis le lendemain après midi, je suis allée boire un verre dans le Centre. Il faisait beau, je buvais une eau minérale… Un jeune guitariste est venu chanter "Hôtel California" et puis un peu timidement faire la manche. Ça ne marchait pas fort…quand il est arrivé à moi je lui ai dit, "Je suis fauchée, mais je peux te donner un coup de main pour la manche". Je l’ai vu hésiter, genre, elle est sérieuse ou elle se fout de moi…mais il a regardé dans mon décolleté et ça l’a convaincu. On a été à une autre terrasse, il a refait sa chanson et moi avec un grand sourire, j’ai dit de table en table "Aidez deux jeunes belges qui n’ont même plus de quoi s’acheter des frites". Les gens, ça les a fait un peu marrer et ils m’ont refilé des pièces. On a été de terrasses en terrasses et au bout d’une heure, on avait un belle somme. Le gars était ravi. Il m’a proposé : "Il y a une soirée techno ce soir, on va s’acheter des "Xtas" et faire la fête". C’est vrai que j’avais une folle envie d’aller m’éclater avec ce gars qui me plaisait, mais je savais que tout allait recommencer. Je lui ai dit que j’avais un rendez-vous le soir et je l’ai quitté en lui laissant l’argent. J’avais changé de ville, j’allais changer de vie.
J’ai acheté le courrier de la Saône et j’ai regardé les offres d’emploi. Vendeuse, serveuse, j’avais déjà donné et je sais que j’allais me faire draguer et retomber dans les conneries. J’avais assez fait des bêtises. Je suis arrivée à la rubrique "gens de maison" à une annonce plus importante que les autres et entourée d’un trait gras. Ça disait ceci : Cherchons une bonne à tout faire très jolie et stylée. Logée et nourrie". Je ne vais pas vous dire que celà correspond exactement à moi, mais je plais...quant au style, on verrait... Je me doutais aussi qu’une bonne très jolie devrait sans doute donner d’elle-même, mais bah j’avais roulé ma bosse et ça faisait longtemps que j’avais vu le loup... c’est une image, mais pas déplaisante...Il me fallait un boulot qui me prenne la tête et où il y a des règles à respecter. Je me disais que tous mes malheurs venaient de n’avoir jamais eu des règles. Alors, j’avais le choix un ordre monastique, genre Ursuline ou alors, bonne, ça me disciplinerait. J’étais un chat sauvage, j’allais me transformer en chatte stylée. Le beaujolais était tiré, j’allais le boire! Il me fallait ce boulot! J’ai téléphoné et j’ai eu un rendez-vous le lendemain à 11 h. Inconsciemment, j’avais toujours eu une louche fascination pour les gens dominant et je ressassais les situations humiliantes, avec un plaisir pas très sain. J’avais toujours refoulé ces tendances, mais là, à l’idée de devenir une servante, je m’imaginais à quatre pattes nettoyant le sol...et puis à la merci de patrons lubriques. J’allais être servie.

2 - Un sextoy nommé Mia

Ma chambre est petite, mais avec une belle vue. Sur le lit, il y a un uniforme de bonne d’opérette : robe noire courte, petit tablier et une coiffe en dentelle. Je me déguise et je redescends… Je toque à la porte, attends qu’on me dise d’entrer. Je m’avance et fais une révérence "Voilà Madame, je me suis changée". Madame me regarde : "Relevez votre jupe…" Elle constate que je suis nue sous la jupe. "Pourquoi n’avez-vous pas mis de culotte?" Je lui dis la vérité : "Je n’en ai pas, je n’en mets jamais, Madame." Elle a une moue dégoûtée et fait alors quelque chose de surprenant : elle se lève, remonte sa jupe et enlève une culotte brésilienne échancrée noire. Elle me la tend "Tenez mettez ça!" Euh...voilà qui est spécial… et l’idée de coller ma chatte sur le tissu imprégnée d’elle me trouble beaucoup. Je la prends et la mets en disant : "Merci Madame ". Engager une bonne doit l’exciter, car la culotte est mouillée contre ma chatte. Je sens que je mouille aussi, on se mélange… mais sa voix autoritaire me ramène sur terre : "Allez chercher Monsieur dans son bureau". Monsieur a imprimé un contrat qui vient du Net. Je remplis les cases vides et le signe sans le lire. Ensuite madame me dit ce que j’aurai à faire. En fait, il y a une bonne pour le gros nettoyage et un jardinier qui fait aussi chauffeur à l’occasion. Moi je dois servir les repas, faire la vaisselle et la lessive et repasser…et surtout accourir dès que Madame a besoin de moi. Il y a une hiérarchie dans la maison : je suis au même niveau que la bonne, mais je dois obéir à la cuisinière, qui gère aussi la maison. Elle dit à son mari : "Tu sais qu’elle n’a pas une seule culotte? En plus, elle est poilue comme une chèvre, on finirait par retrouver des poils dans notre assiette". Rires de Madame et Monsieur. "Tu l’amèneras en ville et tu le feras épiler…et puis tu lui achèteras des culottes, des grandes, des culottes de domestique, quoi." Je fais la grimace. "Faudra vous y faire", me dit elle, "ce n’est pas dans un bar à putes, ici". Je suis sûre qu’elle sait de quoi elle parle. L’épilation, aïe! Je préfère le rasoir, mais c’est agréable d’avoir un pubis et une chatte toute douce. Le lendemain, j’attends dans la cuisine avec la gouvernante/cuisinière. C’est une grosse matrone d’une cinquantaine d’années qui n’a pas l’air commode…non plus. Je suis épilée et ma nouvelle culotte monte jusqu’au-dessus du nombril. Ce sont des rappels de ma nouvelle condition… On sonne. "C’est pour vous, dépêchez-vous", me dit elle. Je monte avec le plateau. Je frappe à la porte de la chambre, j’entre et j’ouvre les volets. "Bonjour Madame, vous avez passé une bonne nuit?" Elle ne répond pas. Baille et s’étire. Elle dort nue. Elle est appétissante : très brune, avec des seins poires qui accuse un peu de fatigue… Elle a des poils noirs sur le pubis, mais son sexe lui-même est épilé. Madame mange dans son lit, salement, elle met des miettes partout, renverse du café dans les draps. Je reste debout à attendre. La bouche pleine, elle me donne ses ordres pour la journée : "Aujourd’hui, vous ferez la lessive et puis Marthe – la gouvernante – vous dira ce qu’il y a à faire."
Tout en mangeant son croissant, elle écarte les jambes et se caresse le sexe avec une parfaite impudeur. Elle constate : "Le matin, je suis toujours excitée". Puis "Vous savez ce que vous êtes en plus de bonne, Mathilde?". "Euh…non, Madame". Elle me montre son sexe. "Mon sextoy". Elle ajoute "Vous vous êtes bien lavé les dents ce matin?" "Oui Madame" "Eh bien allez-y et appliquez-vous!" Alors pendant qu’elle termine son croissant, je m’agenouille entre ses jambes et j’embrasse son sexe mouillé. Ses grandes lèvres sont très saillantes. Si je suis déjà lavée, par contre, elle ne l’est pas et elle a une forte odeur de brune…pas lavée. Sueur vers l’aine, un peu fade vers le vagin et très marine quand j’entrouvre ses lèvres de ma langue, vers le méat et le clitoris. Ce sont des odeurs puissantes, un peu dégoûtantes, mais excitantes aussi. Je la lèche, le goût est moins prononcé que l’odeur… Elle mouille beaucoup. Je dois lécher trop mollement à son goût, parce qu’elle pousse sur ma nuque "C’est quoi ça?? Vous n’avez jamais léché une chatte? ". Ooops bon, bon, je me mets à la lécher avec …fougue…tandis qu’elle pousse sur ma nuque et fait un mouvement de va-et-vient comme si elle se branlait avec tout mon visage. Mon nez disparaît même dans son vagin par moments. Là tout mon visage est un sextoy. Heureusement, ça ne dure pas trop car elle se raidit et jouit rapidement.
Je reste un moment le visage contre sa chatte mouillée. "Nettoyez maintenant" me, dit elle. Ah? Bon! Je suce et avale ses sécrétions et ma salive mêlée. Au bout d’un moment elle me repousse. Elle me regarde, touche de la main mes joues, mon nez et ma bouche toutes mouillées. "Qu’est ce qu’on dit??". "Merci Madame". Elle me pince la joue méchamment. "Non, pas deux mots, faites une phrase." Une phrase, oui… : "euh… je vous remercie, Madame, de m’avoir permis de lécher votre chatte, je m’appliquerai à le faire mieux la prochaine fois." Elle me repince la joue, moins fort et en souriant "Hé bien voilà, vous êtes peut-être moins stupide que vous en avez l’air, et puis pas besoin de vous changer les piles". Elle rit, approche son visage du mien et me renifle "L’odeur de ma chatte va très bien, ne vous lavez pas". Elle lâche mon visage. "Bon assez joué, il y a la vaisselle qui vous attend". Je redescends, ma grande culotte est...un peu mouillée!

3 – Punitions
Mener son personnel à la baguette, ce n’est pas une image, car Madame punit. Surtout, la bonne et moi, mais tout le monde, y compris son mari lui obéissons au doigt et à l’œil, comme si elle avait tous les droits. En fait, je crois qu’elle a tous les droits. Je pense qu’elle doit avoir des relations avec des organisations criminelles. J’ai entendu des bribes de conversations et mêmes assistés en douce à certaines choses. J’ai acquis la certitude que Madame avant des amis très puissants. Ils ont un train de vie très important. Plusieurs voitures, depuis une Smart jusqu’à une Rolls. Il y a aussi les gardes et les chiens. Quand j’ai demandé à aller en ville, on m’a répondu que je ne pouvais pas sortir du domaine, seule. C’est clairement indiqué dans le contrat que j’ai signé! Je suis partie de Paris à cause de problèmes avec le milieu, mais j’ai l’impression de me retrouver piégée avec des gens beaucoup plus dangereux et d’être prisonnière. Quand j’aurai gagné assez d’argent, je trouverai un moyen de partir.
Obéir à Madame me plait, quand c’est sexuel, par contre quand Madame punit, ce n’est pas pour rire. J’en ai encore mal aux doigts en l’écrivant. C’était hier midi, elle recevait une vingtaine de personnes pour l’anniversaire de sa nièce, Iris, qui a 25 ans et s’est révélé être une vraie salope. Je devais servir à table avec la bonne. On courait dans tous les sens et à un moment en débarrassant la table, j’ai renversé un peu de sauce sur la robe d’iris. Aïe, aïe, aïe…La cata. "Espèce d’idiote" a hurlé Iris, "j’ai plein de sauce sur ma robe." Affolée, je me suis excusée "Je vous demande pardon, Melle Iris, je vais la nettoyer. Je l’ai suivie dans la salle de bain et j’ai frotté la robe avec de l’eau tiède. Hélas il restait une trace. Elle m’a tirée brutalement par une oreille, m’a bien regardée dans les yeux et m’a dit "ça tu vas le payer, connasse." On est retourné dans la salle à manger. Iris s’est plaint que la tache ne partirait jamais et a terminé par "Je me demande si elle ne l’a pas fait exprès, elle mérite une punition". Madame a répondu "C’est mon avis aussi…", puis aux invités "Qu’est-ce que vous en pensez?". On dit qui se ressemble s’assemble, eh bien ils étaient tous d’accord, même les jeunes, qui eux étaient enthousiastes. J’ai essayé d’attendrir Iris "Je ne l’ai pas fait exprès, je vous le jure, je laverai votre robe". Mais à son air, j’ai compris que c’était peine perdue. Madame a tranché "Allez chercher une cuiller en bois à la cuisine, Mathilde". Marthe la cuisinière avait tout entendu, m’a tendu la cuiller en disant "ça va être chaud pour toi". Madame a pris la cuiller par la partie large "Tendez votre bras et présentez votre main, la paume en l’air". J’ai obéi et elle m’a frappé d’un coup sec en travers des doigts. OUCH!! Ça fait très mal, j’ai secoué ma main en faisant des grimaces. La voix de Madame a claqué comme la cuiller sur ma main "Votre main, immédiatement", je l’ai tendue en tremblant et j’ai reçu quatre coups supplémentaires en travers des doigts et de la paume. Après chaque coup, je recommençais à secouer ma main en dansant sur place. Cinq lignes rouges barraient ma main, je me suis mis à pleurer et je me suis tournée vers Iris, "Je vous en prie, Mademoiselle Iris, ça fait trop mal, ma main est en feu!". Elle a réfléchi " Bon, je vais être magnanime, ça suffit pour la main droite, maintenant la gauche.". Les invités ont ri devant mon air dépité et j’ai tendu la main gauche. Cinq fois la cuiller a sifflé et a laissé une marque rouge et brûlante. Madame a dit "Bon, on a autre chose à faire que punir une bonne maladroite, on va ouvrir les cadeaux" et à moi "Reprenez votre service et, attention, à la prochaine maladresse, je serai moins gentille." Gentille!! Je m’en fous, je vais m’enfuir… Le reste de l’après-midi s’est passé sans…maladresse de ma part. Les invités ont fait quelques plaisanteries sur les cuillers… Quand les invités sont partis. Madame m’a appelée dans le salon. Qu’est-ce qu’elle va encore me faire??? "Mathilde quand je prends la peine de vous punir, c’est pour votre bien, aussi ce serait la moindre des choses que de me remercier humblement… et en faisant une phrase" Quoi? La remercier de m’avoir frappée aussi douloureusement?? Elle est folle ou quoi?? Ja-mais!! Mais…bon, j’ai dit : "Je vous remercie de m’avoir punie, Madame, je l’avais mérité." "C’est vraiment une phrase minimum, enfin j’accepte vos excuses surtout parce ça a amusé tout le monde de vous voir secouer vos mains en faisant des grimaces!". Elle a relevé sa jupe, enlevé sa culotte et se rassied. Je connaissais le message. Je me suis mise à genoux, elle a caressé ma joue du pied. Je l’ai embrassé puis j’ai remonté le long de sa jambe et j’ai retrouvé l’odeur et le goût de son sexe… J’ai léché son sexe humide. Elle m’a dit "Montrez moi vos paumes". J’ai levé mes mains et je l’ai léchée les mains en l’air jusqu’à ce qu’elle jouisse.

4 - Le jardinier.
Lundi matin, Madame, arrive dans la cuisine pour discuter des menus de la semaine avec Marthe la cuisinière. Je me lève et reste debout, Janine (la bonne) aussi. Quand elles ont finit, Madame lui demande "Pas de problèmes avec les filles?" (c’est nous). "Janine est très bien" lui réponds Marthe, "mais celle-ci (moi!) a été très désagréable avec César." Je deviens un peu rouge. César c’est le jardinier, un gros type d’une cinquantaine d’années, laid, sale et lubrique, la totale, quoi. Madame me regarde, faut que je lui explique : "Mais…il me met la main aux fesses, chaque fois qu’on se croise et quand je lui ai dit d’arrêter, il m’a répondu : "Toi tu vas me sucer la bite dans pas longtemps…" "Et que lui avez vous répondu? " "euh… je lui ai dit : dans tes rêves sale bouffon." Madame soupire "César est un excellent jardinier et je lui donne le droit de tirer les bonniches qui lui plaisent." Marthe intervient : "Elle rampe à vos pieds, Madame, mais avec César ou Janine elle peut être très désagréable." Madame me demande "Vous savez où vous vous situez dans la hiérarchie du personnel?" La hiérarchie?? Voila autre chose! "En bas avec Jeannine et le jardiner, Madame." "Janine va devenir mon employée et César est presque un ami, en dessous de vous il n’y a plus personne, les chiens peut être, et encore ça peut changer". Tout en bas…avec les chiens, ben je suis bien là, ils sont gentils les chiens, ils me font des mamours quand je leur apporte à manger dans leurs grand enclos…et puis il viennent sous ma jupe pour me renifler, dommage que j’ai d’aussi grandes culottes. Madame me regarde avec attention : "Vous aimez les chiens Mathilde?" Là je rougis tout à fait. "Vous vous êtes conduite comme une gamine mal élevée, vous méritez une bonne fessée." Marthe approuve. Janine sourit de toutes ses dents! "On fera ça samedi après midi, il y aura Iris et sa bande de copains". Iris!!! Et ses copains!!! Je dis en pleurnichant : "Je devrai attendre jusqu’à samedi, Madame??" "Oui, comme ça vous aurez le temps de vous imaginer troussée et fessée en public, la honte fait partie de la punition, ça vous fera le plus grand bien". Elle ajoute, "Et puis, cet après midi on ira voir César et vous vous excuserez d’avoir été aussi désagréable" Je baisse la tête. Début d’après midi, j’ai fait les diverses corvées qui me sont données par Marthe. Madame ne descend que vers 4 h. "Prête pour les excuses, Mathilde?" "Oui, Madame." Dans le jardin, César arrive à notre rencontre. Il a toujours une cigarette en bouche et crache souvent, ce que je trouve assez répugnant. Madame et lui parle plantes, fleurs, engrais… Enfin, Madame se décide. "Il y a la petite qui n’a pas été très polie avec vous, elle recevra une fessée samedi, mais en attendant elle a des excuses à vous faire." César se tourne vers moi en souriant, ses dents sont toutes jaunes, pouah! "Je vous prie de m’excuser Monsieur César, j’ai été très impolie avec vous. Je vous promet que ça n’arrivera plus." Madame me regarde : "Pas très sincères vos excuses, mais bon, ça se réglera samedi". Puis à César : "Je crois que vous lui aviez promis une pipe, faut pas la décevoir" Celle là, je ne l’ai pas vu venir. Je regarde Madame d’un air suppliant, mais elle dit sèchement : "A genoux immédiatement, les mains croisées dans le dos." Je tombe à genoux, le visage devant la grosse bosse que fait le sexe de César. Il ouvre son pantalon et le descends jusqu’ aux chevilles. Il n’a pas de caleçon et son gros sexe vient dodeliner sous mon nez. L’odeur rance de sueur et d’urine est très forte. Madame renifle et lui dît "Vous n’avez pas pris beaucoup de douches ces temps-ci, César?" Il prends un accent paysan "C’est que j’aime point trop l’eau, Madame la Comtesse" Ils rient tous les deux. Moi pas! "La petite va vous la laver avec sa langue rose." dit Madame. Beeuuuhh!! Sucer ce goret!!! Déjà, il promène le bout mouillé de son gland sur mon visage "J’marque mon territoire" dit il. Il tire sur la peau pour dégager le gland…Au secours!!! L’odeur s’accentue. Il y a un peu de smegma entre le gland et la peau retroussée. Un seul moyen pour ne plus me retrouver nez à…nez avec ce sexe dégoûtant : le prendre en bouche. Le goût est aussi fort que l’odeur. Surtout ne pas avoir de haut le cœur. A chaque va et vient j’ai le nez dans ses poils et son gland au fond de la gorge. Qu’il jouisse vite…et que ça s’arrête. J’aperçois, Madame qui a relevé sa pupe et se caresse. Le spectacle que nous donnons, lui plait beaucoup manifestement. Tout à coup, elle dit "A mon tour, César, venez me baiser" Madame s’est mise à 4 pattes, jupe retroussée et culotte baissée. Ses fesses sont tellement belles que j’en oublie le goût que j’ai en bouche. César sort son sexe de ma bouche et va s’agenouiller derrière elle. Ah ben ça! Madame et son jardinier… Une déesse et un goret, je suis…outrée. Au moins, grâce à ça j’échapperai aux giclées de foutre tiède dans la gorge… César la baise en force, les mains agrippées à ses fesses. Je vois bien le gros sexe du jardiner s’enfoncer dans le vagin de Madame. Heureusement que je l’ai rendu tout propre... Mais qu’est ce que je raconte!! Les coups de reins s’accélèrent et bientôt il jouit en poussant des grognements de bête – je l’avait dit : un goret. Hélas les choses ne se terminent pas comme prévu pour moi, car Madame, la main en conque sur sa chatte, m’ordonne de me coucher sur le dos, puis elle s’accroupit au dessus de moi, son sexe tout baveux sur ma bouche …. "Suce" dit elle. Pouah…Pendant que je suce son vagin rempli de sperme, Madame "pousse" pour tout faire sortir. Je n’avale pas assez vite, ça me ressort par le nez, je tousse… ça énerve, Madame qui s’assied carrément sur mon visage. Elle se tortille un peu, puis se relève. Elle me regarde : "Qu’est ce qu’on dit Mathilde". "Merci Madame, merci Monsieur César et pardon de vous avoir parler grossièrement."

5 - Humeurs du matin.
En général, Madame se lève du pied gauche. Le matin elle est de méchante humeur et elle a la main leste. Je reçois une claque pour un rien et il ne s’agit pas d’essayer de l’esquiver…
Je fais attention à tout. "C’est comme ça qu’on devient une bonne stylée" dit Madame. Je sors souvent de la chambre les joues en feu et les yeux rouges. Et puis parfois, comme ce matin, elle est de bonne humeur. J’installe son déjeuner sur son lit, elle commence à manger un croissant. Quelle que soit son humeur, Madame aime que je mange ses restes. Elle mâchonne un bout de croissant, puis me le donne à manger. "C’est meilleur quand je l’ai mâché?" me demande-t elle. "Oui Madame" dis-je gênée. Elle crache dans sa paume, me la tends et je lèche. "Rien de ce qui vient de moi ne te dégoûte ?" "Non Madame" Elle va dans son nez… et je prends en bouche ce qui sur son doigt. Elle recommence dans l’autre narine et avec air mi-dégoûté mi-amusé : "T’es vraiment une petite truie, je vais faire des économies de kleenex avec toi." Ça la fait rire. Je lui dis "Madame est de bonne humeur ce matin." "J’ai eu une bonne nouvelle, c’est le moment d’en profiter, Mathilde, ça n’arrive pas tous les jours." "Je sais Madame" je lui réponds en me frottant la joue. Elle sourit et me dit "Alors sucer César ça a dû te plaire?" Vu sa bonne humeur, je réponds la vérité "Oh, non Madame, il est vraiment trop sale". "C’est les gens de la campagne, ça" répond t-elle "Moi quand je ne suis pas lavée, ça n’a pas l’air de te déplaire… " "Madame c’est comme comparer sucer un goret avec lécher la chatte de…de…la Vierge Marie." Là, Madame rit de bon cœur. "La Vierge Marie, moi!! T’es vraiment une sotte".
Elle s’étire, tourne son visage et renifle son aisselle "C’est vrai que je sens bon". Je me penche et y met mon nez. "La meilleure odeur du monde" dis-je…Oui, je suis parfois un peu exaltée… Une phrase du "Lys de mer" de Mandiargues me revient en tête "Une odeur telle que le roi Salomon a du s’en mettre plein le nez aux aisselles de la reine de Saba". Je répète la phrase à Madame. Elle lève les 2 bras et me dit "Tu peux…" Je vais sentir une aisselle, puis l’autre avec délice. Quand elle en a marre, elle me donne une petite claque sur la tête, mais elle n’est pas fâchée. Heureusement. J’en profite pour lui demander : "Je peux vous poser 2 questions Madame." Elle me fait signe, oui. "C’est la première fois que vous faites ça avec César." "Non pas du tout, mais avant qu’il ne me pénètre je le fais toujours lécher par quelqu’un : toi, Janine ou …Monsieur. Alors là je suis sidéré, j’imagine Monsieur si élégant dans son costume prince de Galles suçant la bite sale de ce troll de César. Je savais que c’était Madame qui portait la culotte, mais à ce pont là! "D’habitude" dit elle "c’est sur son visage que je m’accroupis quand on a joui en moi. Bon dernière question?" Je vois qu’elle en a marre de mes questions, alors je glisse mon visage contre sa chatte et ma langue remonte entre ses lèvres, c’est vrai quelle est toute collante et le goût est différent… Bah c’est SA chatte… Pendant que je la lèche, elle dit "J’ai décidé que vous alliez donner un coup de main à César dans le jardin, vous lui plaisez. Je lui demanderai s’il est content de vous, tachez que ce soit le cas, sinon je pourrais ne plus être gentille du tout. Tu as compris Mathilde?" Je réponds "Voui m’dame." depuis sa chatte. De nouveau le jardinier... Pfffff (gros soupir). Je sors de la chambre, avec comment dire?, un peu de déception et pourtant ça m’a vraiment excitée d’être un kleenex et un sextoy, mais pour être franche, je préfère quand Madame est de mauvaise humeur… Genre un kleenex dont on se sert puis qu’on jette dans une poubelle…c’est une image, ah non c’est vrai ce n’est pas une image!

6 - La fessée du samedi.
Les jours suivants, je ne pouvais m’empêcher de penser à la fessée du samedi. Sinon, ça s’est plutôt bien passé avec César le jardinier. J’étais arrivée avec un vieux tee shirt sale de Madame et un vieux jean. Il jouait au maître qui donnait ses ordres. Genre "Je ne veux plus voir une seule mauvaise herbe dans le potager". Je revenais 1 h, après "Voilà j’ai enlevé toutes les mauvaises herbes du potager, Monsieur César" "Je vais aller vérifier…maintenant, tu vas sortir tous les outils de la cabane et tout nettoyer, il faut qu’on puisse manger par terre" "Bien Monsieur César". J’avoue, j’aime qu’on me traite un peu durement, mais là c’était un très gros travail, rien que sortir les outils, les dalles de rechange, des centaines de bûches…nettoyer, puis tout remettre. Je transpirais et j’imaginais ma sueur se mélangeant à celle de Madame dans son tee shirt, je suis toujours rattrapée par mes hormones! Il est venu voir quand j’avais presque fini. Il était quand même impressionné. "Pas mal…". "Ah oui, c’est lourd pour moi, sentez mon cœur comme il bat". J’ai pris sa main et je l’ai posé sur mon sein gauche. Et savais comment ça allait se terminer, il valait mieux essayer d’accélérer les choses. Il m’a peloté les seins, j’ai caressé sa tête chauve et puis bien sûr je me suis misa à genoux devant lui. Il a sorti son gros sexe qui était devenu presque propre puisque je l’avais soigneusement léché la veille. De plus il avait été dans le vagin de Madame, ce qui le rendait…magique à mes yeux. Quand il a jouit, c’était beaucoup moins abondant aussi et j’ai tout avalé comme une fille bien élevée. Je lui ai demandé poliment "Vous direz à Madame que tout s’est bien passé, Monsieur César?" Là, bien sur, il a fait semblant d’hésiter. J’ai embrassé son sexe qui se ramollissait sous mon nez et j’ai fait les yeux suppliants (je fais ça très bien!). Il apprécié et quand je me suis relevée, il m’a caresse la joue en me disant : "Je dirai à Madame que tu as 9/10 pour les travaux et 10/10 pour la pipe". "Merci, Monsieur César". Le reste de la semaine se passe sans trop de problèmes…Madame est de nouveau de mauvaise humeur le matin. Je reçois une bonne paire de gifle parce que je n’ai pas eu 10/10. Enfin, c’est samedi… Le matin je suis stressée, ça ne plait pas à Madame qui s’en aperçoit "Je veux un bonne souriante". Je souris… L’après midi, Iris et ses amis arrivent. Les amis d’Iris une vingtaine d’années, comme elle. Je fais le service avec l’autre bonne. Ils ne font pas attention à moi. Seule Iris passe une main sous ma jupe pour me palper les fesses. "Pas trop d’appréhension, Mathilde?" Pas la peine de crâner "Si, Mademoiselle Iris". Elle a un sourire angélique "Tu as raison, car il y aura une surprise". Je fais la grimace. Une heure se passe, puis deux, je sers à boire. Ambiance très détendue…pour eux. Moi j’ai des papillons qui volètent dans mon estomac. Ce n’est pas que j’ai peur d’avoir trop mal, Madame a des limites. Les coups sur les doigts c’est le pire que j’ai reçu, mais elle n’a pas de limites concernant les humiliations. Enfin Iris, prends la parole : "Ooops, on oublie de fesser la bonne et il faut que ait assez de lumière pour que Jean Luc puisse filmer." QUOI!! On va tout filmer?? Et puis bon, je m’en fous, mes fesses ont été dans le domaine public, dans des peep show de Paris et d’ailleurs. "Tu t’en occupes, Iris??" demande Madame. Elles se sourient. Elle s’adresse à moi. "Allez, vous savez ce que vous devez faire, ce n’est pas votre première fessée!". Je vais me mettre près d’Iris. Le copain commence à filmer. Je remonte ma jupe, baisse la grande culotte sur mes chevilles. Les filles se marrent en voyant la culotte qui recouvre complètement mes chaussures. Il y en a une qui dit "Ouah, le string!!".
Je me couche sur les cuisses d’Iris. Elle pose une main sur mes fesses nues et je les contracte involontairement. "Voilà le problème" dit elle "J’ai discuté sur le net avec un spécialiste, il m’a dit que pour qu’une fessée soit photogénique il ne faut pas serrer les fesses. Il m’a donc conseillé de lui mettre un suppositoire au gingembre. Ils viennent d’Angleterre et c’est ce qu’on met dans le cul des chevaux lors de cérémonies officielles pour éviter qu’ils pètent". Elle me donne une claque sur les fesses "Dans son cas ce n’est pour l’empêcher de péter, mais ça va l’empêcher tout à fait de serrer les fesses". Les amis d’Iris, surtout les garçons, sont très intéressés. Elle sort de sa poche un assez gros suppositoire. Le gars qui filme n’en perd pas une miette. "Le seul problème" dit Iris "c’est qu’elle va avoir l’impression d’avoir le feu non pas au derrière, mais dans le derrière." Rires, encouragements… Ah elle a bien préparé son petit discours. "Qui veut lui mettre?" "Moi, j’ai des gros doigts" dit un des garçons. "Et moi, mon père est proctologue" dit un autre. Rires… "Heureusement j’en ai pris deux." dit Iris. Elle en sort un deuxième, la sale garce, je suis sûre que tout était prévu. Iris écarte mes fesses à deux mains…et je sens le bout du suppositoire contre mon anus. Heureusement que j’ai eu un ami, grand amateur de sodomie, qui aimait envoyer "sa fusée dans ma lune", comme il disait. Je sais que je ne dois surtout pas me crisper. "Vas y d’un bon coup" dit Iris "et puis fait des va et vient". Aie!!! C’est le passage de la bague de l’anus qui est douloureux. Iris me caresse la tête "Il faut quelques minutes pour que ça fasse de l’effet." Le garçon retire son doigt. C’est au tour de l’autre. Je crie un peu à nouveau. "Ça va?" me demande Iris après quelque minutes "ça me brûûûûûûle" je gémis. "Ah, c’est normal et ça va s’intensifier". "Attention, je commence" dit Iris. Elle m’envoie une bonne claque, je geins un peu, mais plus de l’effet de gingembre, parce qu’une fessée de fille, ce n’est pas ce qui me fait peur. Je ne peux pas serrer les fesses, tellement ça me brûle, mon anus est en feu!!!! Les claques se succèdent, je sens que mes fesses rougissent, le gars qui filme aura de belles images. Iris s’arrête, je crois que c’est fini, mais non elle souffle sur sa main. "Termine avec ça" lui dit Madame en lui tendant une épaisse semelle en cuir. Iris lève le bras et PAF ça claque comme un pétard sur mes fesses. Aaaaiiiie, je crie. "On compte jusqu’à 2" dit Madame". "UN". Aïe!! DEUX "aaah ça fait mal." Iris tape plus vite y compris sur le haut de mes cuisses. "17" "assez je vous ne prie…" Enfin "20" "Aiiiieeeee" Iris pose sa main sur mes fesses "Elles sont brûlantes". Tous les autres viennent me les palper. "Belle couleur de tomate" dit une fille. Iris me relâche, je me lève étourdie. Mes jambes tremblent. J’ai les fesses en feu, les joues rouges et mouillées de larmes. Et le gingembre qui me brûle à l’intérieur. "Si tu veux éviter une série de 20 supplémentaire, tu sais ce que tu dois faire" me dit Iris. Oui, je sais… Je me mets à genoux entre ses jambes et je dis en pleurnichant "Merci pour la fessée Mademoiselle Iris". "Ce fut un plaisir" répond t-elle avec un grand sourire. Elle me tends ses lèvres je les embrasse, puis la paume de sa main, puis la semelle. Le gars qui filme vient faire un gros plan de ma bouche sur le cuir. "Bon, assez joué" dit Madame "reprends ton service". Je dis quand même "ça me brûle vraiment à l’intérieur, Madame". "Tu veux qu’on te fasse un lavement ?". "Non merci, Madame, ça va tout à coup beaucoup mieux".

7 - Bouclée...
Hier matin, Madame était dans son lit occupée à déjeuner et moi j’étais sous le drap antre ses jambes à la hauteur de ses genoux. J’attends une pression de sa jambe, signal pour aller plus haut. J’étais bien là, comme abritée…dans la chaleur et les odeurs. Et puis, la porte qui s’ouvre bruyamment et Iris entre. Aie… "Oh, ma chérie quelle bonne surprise" Elles s’embrassent sur la bouche longuement. Madame referme ses jambes, je quitte ma cachette : Eve chassée du paradis! "Elle fait ça bien?" demande Iris. "En général, oui…, mais je ne sais pas ce qu’elle a ces derniers jours, elle fait ça du bout des lèvres, sans envie…". J’essaye de me défendre"Oh non, pas du tout…" mais je m’arrête sentant venir les ennuis. Évidemment Iris en remet une couche. "Pour t’interrompre, là elle a la pêche. Je crois que tu dois être plus dure avec cette fille" A moi "Ce n’est pas ton avis Mathilde?" "Oui, Mademoiselle Iris, mais je…" "Tu dois répondre oui, pas donner ton avis?" "Oui, Mademoiselle Iris" "Ce matin tu vas être punie, je suis sûre que demain matin tu seras beaucoup plus performante" Je retiens un "mais je n’ai rien fait…", je réponds "Oui, Mademoiselle Iris" "Déshabille toi"
Quand c’est fait : "Met toi à genoux au pied du lit, bras tendu au dessus de la tête". J’ai déjà eu à subir ça…au début c’est facile, mais ça devient vite très douloureux. Iris dit sèchement" Tendus, les bras et les mains ne se touche pas!" Et puis elle discutent…se font des mamours. Au bout d’un quart d’heure, je commence à avoir vraiment mal aux épaules. "Ça va?" "Oui, Mademoiselle Iris " "Approche toi, à genoux." Je me rapproche d’elle. "Garde les bras tendus et écarte le jambes" Elle sort une jambe du lit, vient placer son pied entre mes cuisses et me caresse avec le dessus de son pied. "Est-ce que tu te masturbes, Mathilde?". "…euh…oui" "Souvent?" "…oui" Madame vient se mettre sur le bord du lit pour mieux me voir. Iris qui continue à me caresser. J’ai très mal aux épaules et au dos, mais je commence à mouiller. Elle enfonce son gros orteil dans mon vagin. J’ai un sursaut. Elle se met à me baiser brutalement avec son gros orteil. Je ne peux m’empêcher de bouger… "Reste immobile!" elle crie. Elle accélère le mouvement. Son orteil va et vient de plus en plus vite dans mon vagin. C’est trop…je jouis sur son pied en bougeant le moins possible. Madame qui est couchée contre Iris lui "Qu’est ce que tu es taquine toi!" Taquine!! Elle a des ces mots. "Regarde mon pied " me dit Iris "il est tout mouillé, nettoie le. …" "Alors je peux baisser les bras" "Bien sûr, stupide, comment tu ferais sinon?" Ouuuuuf, mes épaules, mes bras, mon dos et mes reins me font un mal de chien Je me précipite et lèche d’abord le dessus de son pied mouillé, puis je suce le gros orteil, puis les autres. Elle me tends l’autre pied, je l’embrasse, le lèche, suce les orteils… "Regarde" dit Iris à Madame "là, elle fait un effort, imaginer cette fougue pour te lécher, et il a suffit d’une petite punition…" "Ah oui tu as raison…" Iris continue : "Il faut aussi l’empêcher de se masturber, sinon elle lèche mou." Madame rit. "J’ai un apporté quelque chose pour qu’elle reste sage" et elle sors de son sac une… Ceinture de chasteté. Elle est formée de cuir et de métal. Il y un cadenas qui la ferme à la taille. Madame la prend en mains "Génial, ton idée…" et elle et elle me la tends "Allez, met là." J’enfile le machin, c’est tout froid et ça épouse la forme de mon sexe. "Ça te va super bien, tu apprécies j’espère?" me dit Iris J’ai un peu les larmes aux yeux, mes épaules me font très mal et ce truc en plastique à un contact désagréable "Oui, Mademoiselle Iris". "J’ai encore un cadeau pour toi" me dit Iris. Je baisse la tête résignée, elle me tends un livre : "Les esclaves de Gor" de John Norman. Sur la couverture il y a une jeune femme nue, attachée à un poteau. "C’est pour que tu apprécies vraiment le fait d’être chaste et puis tu as des choses à apprendre de ce livre…" "Bon, assez joué," dit madame "va trouver Marthe, tu lui expliqueras tout et tu lui donneras cette clé. A ta place je serai très très gentille avec elle enfin, si tu as envie de pisser." Elles rigolent…pour changer. Je m’habille maladroitement, la cuir entre les jambes me gêne dans mes mouvements. Sur le palier je feuillette le livre et je lis le passage suivant : "A genoux!" ordonna sèchement la jeune femme qui tenait ma laisse. J’obéis le souffle court."Comme une Esclave de Plaisir!" précisa-t-elle. Bâillonnée, je secouai négativement la tête."Coupez des badines et battez la!" lança Verna. Ooops… et même pas moyen de me toucher! Je descends l’escalier, les jambes un peu écartées, ça doit être gracieux! Dans la cuisine il y a Marthe, Jeanine, l’autre bonne et les deux gardes qui font la pause de 10 h. Et je dois vraiment faire pipi.

8 - Une cuisine très stricte.
Mes raisons d’accepter la discipline de la maison sont complexes Être soumise aux exigences et aux caprices de Madame me permettait de trouver un équilibre qui m’avait toujours manqué. Paradoxalement, c’est comme si la menace qui planait au dessus de ma tête d’être prise en faute pour une faute réelle ou imaginaire. Mais à quoi bon chercher les causes d’un comportement…Je ne me pose plus de questions, de toutes façons si je trouve les réponses, ce qui m’étonnerait, "ils" changeront les questions :o) Obéir à Madame m’était d’autant plus facile qu’elle me plaisait …beaucoup. Par contre Marthe la cuisinière ne me plaisait pas du tout. Elle devait avoir une soixante d’années et était carrément obèse. Avant d’avoir les cheveux gris…et gras, elle avait dû être rousse, car sa peau très pâle est parsemée de taches de rousseur. L’hygiène relative de Madame me grisait, par contre j’étais dégoûtée par l’odeur de sueur et de vieille graisse de friture de Marthe. En voyant ses mains aux ongles noirs de crasse, on avait de mal à comprendre comment elle arrivait à faire une cuisine aussi délicate. Janine l’autre bonne était une petite nièce ou petite cousine de Marthe, ce qui fait qu’elle était son chouchou. Avec moi, par contre, elle avait la main leste et les claques volaient bas. D’autant plus que deux jours après mon arrivée Madame était venue dans la cuisine et avait dit en me désignant "Celle la il faut la mener à la baguette". Marthe était ravie, "Comptez sur moi, Madame". Heureusement Madame avait ajouté, "Punissez là mais pas de marques qui restent". Janine aussi était ravie. J’étais plus belle qu’elle et aussi la préférée de Madame pour qui elle n’existait pas. Pour mon malheur, je suis assez maladroite et nulle en cuisine. Marthe avait sans arrêt une raison de me houspiller. Toutes les fins de journées quand on préparait le repas, j’étais sûre d’être punie. Marthe trouvait toujours un prétexte à la grande joie de Janine et des gardes ou de César le jardiner. Il y avait toujours des spectateurs à ce moment là. Marthe se sentait le centre d’intérêt et ça lui plaisait beaucoup.
Sa punition préférée était la fessée. Il faut dire que j’ai des fesses rebondies, et que c’est "Un vrai cul à fessée" disait Marthe. Ou j’étais trop lente ou j’épluchais mal les légumes ou j’avais raté la mayonnaise, il y avait toujours une bonne ou une mauvaise raison. Janine ne perdait jamais une occasion de faire remarquer mes bêtises à Marthe, alors, celle-ci m’empoignait, me couchait sur ses genoux, culotte baissée et m’envoyait une série de claques sonores sur les fesses du plat de la main. Ça n’a rien à voir avec la fessée d’Iris, mais Marthe me fessait jusqu’à ce que mes fesses soient bien rouges et que je commence à pleurer et à la supplier. Elle me remettait sur mes pieds en disant "Tache moyen de faire plus attention, sinon il y en a une autre qui t’attends". Ça mettait tout le monde de bonne humeur d’avoir vu mes fesses danser sous les claques et les spectateurs la félicitaient "Bravo Marthe tu es la championne de la fessée". Les fessées étaient si fréquentes, que Marthe avait décidé que je devais enlever ma culotte avant d’entrer dans la cuisine. Marthe passait une main sous ma jupe pour vérifier si c’était fait et disait un truc du genre "Voila des fesses toutes fraîches ça ne va pas durer". Grand sourire de Janine… Les fessées étaient rapides et brutales, mais après quelques heures les marques de ses doigts avaient pratiquement disparues. A tout prendre j’aimais encore mieux être fessée que subir d’autres punitions, souvent des idées de Janine. Par exemple quand je l’avais traité, entre mes dents, Janine de conasse, elle l’avait répété et Marthe qui m’avait obligée à avaler une cuiller de moutarde extra forte, de Dijon. C’est très désagréable, j’avais toussé, pleuré tellement c’est piquant. J’avais dû ensuite m’excuser auprès de Janine, si je ne voulais pas finir le pot. Quand Marthe vérifiait que j’avais bien enlevé ma culotte en passant sa main sous ma jupe, j’avais remarqué qu’elle s’attardait de plus en plus longtemps. Sans doute le fait d’avoir tous les jours sous le nez, mes fesses qui dansaient sous ses claques lui avait donné des idées…plus sexuelles… Je voyais pourtant mal Madame me partager avec cette grosse femme sale. Je me trompais lourdement. Elle n’était pas dégoûtée, ni par César le jardinier, ni par Marthe ou par ses chiens qui la léchaient…sur la bouche. Marthe avait du lui demander son accord pour m’utiliser à d’autres fin que fille de cuisine et souffre douleur, parce que Madame m’avait fait venir à 2 h dans la cuisine. Elle était seule avec Marthe. Elle m’a dit "Tire la langue", puis elle l’a caressée avec deux doigte en disant : "Cette petite a des talents cachés… dans sa bouche". Marthe me regardait en se léchant les babines comme si j’étais un gros gâteau au chocolat. Madame a lâché ma langue et m’a dit "Tu as l’air fatiguée, va faire une petite sieste avec Marthe". "Une petite sieste crapuleuse" a ajouté Marthe. Bon, je m’y attendais, mais le fait de sentir les doigts de Madame sur ma langue et puis le fait que l’ordre vienne d’elle, me rendait toute…euh…chose…je veux dire mouillée. Elle a ajouté : "Et applique toi, mathilde…". "Oui madame" J’ai suivi Marthe sans sa chambre à l’étage en me disant après tout je suis une bonne à *tout* faire! Dans la chambre on s’est déshabillée. Marthe, environ 90 kg dont beaucoup de graisse, une peau très blanche, les seins qui tombent presque sur un ventre énorme et moi 46 kg toute mouillée…et plutôt mignonne. Marthe m’a embrassée et a mis sa langue dans ma bouche…surprise, son haleine sentait la menthe. De même elle n’avait qu’une moyenne odeur de transpiration mélangée à un parfum bon marché. En prévision de notre sieste elle avait du devancer la veille au soir son bain du samedi.
On s’est caressée…ce n’était pas si désagréable, j’ai sucé le bout de ses grosses …mamelles. Puis elle s’est couchée sur le dos, les cuisses écartées. J’ai embrassé son sexe, elle sentait la marée, mais la marée du jour ou de la veille… Je l’ai léchée soigneusement, le visage entre ses grandes lèvres toutes distendues. Je ne suis pas trop descendue vers le vagin, mais je me suis contentée de lécher et de sucer son clito, un peu comme un veau tète le pis de sa mère. Marthe appréciait beaucoup et faisait des commentaires, genre "Ah oui t’es une vraie petite salope, suce bien le clito de maman Marthe (!)". Elle a jouit abondamment, il devait y avoir longtemps que ça ne lui était plus arrivé et sa chatte était trempée. "Applique toi" m’avait dit Madame, alors j’ai encore tout léché et nettoyé comme la table de la cuisine en fin de soirée. "Ah putain de merde" a dit Marthe "c’était bon", puis elle m’a regardé dans les yeux et m’a dit "C’est pas parce que tu m’as bien bouffer la chatte que je vais tout te passer, une connerie et tu auras sur les fesses. Compris? " "Oui Madame Marthe". C’est donc à cette femme que j’allais donner la clé de la ceinture de chasteté que je portais.

9 - La cage s’ouvre.
J’arrive dans la cuisine. Marthe et Janine sont là. Comme d’habitude, Marthe passe la main sous ma jupe pour vérifier que j’ai bien enlever ma culotte avant de rentrer et que "mes fesses sont à sa disposition", comme elle dit. Elle sent la courroie de cuir entre mes cuisses et mes fesses. Elle relève ma jupe "Qu’est ce que c’est ce machin?" dit elle ahurie. Moi je bredouille ma petite histoire, Madame s’est plaint que je léchais mollement, du coup Mademoiselle Iris m’a punie et puis m’a obligée à porter cette ceinture de chasteté et d’ailleurs voilà la clé que je dois vous donner Madame Marthe pour l’ouvrir quand je dois faire pipi et s’il vous plait je dois faire pipi très fort. Je me trémousse pour montrer à quel point je suis pressée. Je m’attends à devoir supplier, d’autant plus que Janine a son sourire des mauvais jours, ravie de ce qui m’arrive. Elle ne va pas rater une telle occasion, jalouse comme elle est. Par contre ça ne plait pas du tout à Marthe cette histoire de ceinture. "Cette Iris elle a un grain" dit elle. Elle ouvre la ceinture : "Va pisser". Je cours dans le jardin et je m’accroupis sur la pelouse. Pppppffff ça fait du bien…. J’arrache une touffe d’herbe pour m’essuyer et retourne dans la cuisine. La ceinture de chasteté est au milieu de la table entourée de tasses de café, d’un sucrier et d’une cafetière thermos, ça fait un curieux ensemble. Je regarde Marthe "Tu ne dois pas la remettre" me dit elle. Arrive le facteur, très copain avec Marthe. C’est un gros homme jovial qui a l’accent du terroir Il dit bonjour à Marthe, puis à Janine et moi. Il a dû me voir en arrivant car il me dit : "Tu pisses dans la jardin, maintenant?". Alors Marthe lui montre la ceinture de chasteté et lui explique l’histoire".Il ouvre de grands yeux le facteur. "Elles ont de drôles de jeux les patronnes" dit il. Mais bon, il n’est pas trop surpris car Marthe lui a déjà parlé des soirées libertines qui se passaient à la villa, enfin elle, elle dit les partouzes. "Tu comprends, Madame veut que j’éduque cette petite (c’est moi), alors quand elle est fait une connerie, je lui donne une fessée, j’ai pas besoin d’une ceinture de chasteté dans le chemin." Ah ça, ça l’intéresse "Sérieux???? Tu la fesses vraiment?" "Bien sur" dit elle "et pas qu’un peu, mais çà se passe le plus souvent le soir quand on fait la cuisine." Janine confirme "Ah ça pour ce qui est de lui faire passer les fesses au rouge, Marthe est championne". Le facteur a une grosse envie d’assister à une fessée "live"alors il dit : "J’peux pas le croire, je te parie 50 balles (on est en 1982) que tu la fesses pas devant moi." Marthe crache dans sa main (c’est gracieux!) puis la tend au facteur. Tope là! Ça lui plait de susciter un tel intérêt et de gagner 50 balles en plus."Viens ici Mathilde" me dit elle en montrant ses genoux. "Une fessée de grand matin, ça te changera." Je sais que c’est inutile mais je dis quand même : "Mais j’ai rien fait Madame Marthe." "Ça t’incitera à faire des efforts, tu obéis immédiatement ou je prends la cuiller en bois." Non, pas la cuiller! Résignée je me couche en vitesse sur ses genoux, elle relève ma jupe. Mes fesses sont nues. "Vingt dju" dit le facteur "le joli petit cul". Marthe lève la main et me fesse à grandes claques retentissantes, et ça dure, ça dure…. A la fin je pleure et je la supplie d’arrêter.
Elle me garde sur ses genoux. "Viens mettre ta main" dit elle au facteur. Je sens une grosse pogne qui vient me caresser les fesses. "Plus de fessée " je gémis. Ils rigolent tous les trois. "Elles sont brûlantes" dit le facteur. Janine aussi viens me tâter et en profite pour me faire la leçon : "Tu vois ce qui arrive quand on obéi pas assez vite". Je dirais bien : "Mais j’ai rien fait", mais bon je dis "Oui Janine". Marthe qui veut montrer quelle autorité elle a sur moi dit : "A partir de maintenant tu diras Mademoiselle Janine." "Oui Madame Marthe, oui Mademoiselle Janine…" Marthe me relève, coince ma jupe ma jupe sous ma ceinture et m’envoie "au coin" ce quelle ne fait jamais d’habitude… Elle veut en mettre plein la vue au facteur. Justement il se manifeste, celui là : "Je vais avoir du mal à continuer ma tournée" dit il. "Ben, pourquoi?" demande Marthe. Je me retourne un peu et je vois du coin de l’œil, qu’il montre une grosse bosse dans son pantalon. "C’est la faute à Mathilde" dit Janine". Ben voyons! "C’est juste" dit Marthe "viens ici toi et occupe toi du facteur". Je vais m’agenouiller entre les jambes du facteur. Son sexe dodeline sous mon nez. Il a un gros ventre et il est très poilu. Marthe me prends par la nuque et fourre mon visage dans les poils "Lèche bien tout". A nouveau je m’applique, son odeur est forte, mais nettement moins que celle du jardinier. Je lui lèche les couilles à grands coups de langues. Il manifeste sa satisfaction en me caressant la tête. Le bout de son sexe est tout mouillé d’excitation, je le lèche, puis je tire la peau du prépuce…Là, l’odeur est très forte, autant le prendre en bouche tout de suite… et m’appliquer. Je le suce et je fais des" va et vient" jusqu’au fond de ma gorge. Il apprécie : "Ah elle sait sucer une queue la petite salope, pour sûr". Il pousse des grognements de satisfaction. Rapidement, je sens son sexe se gonfler…Il dit : "Je vais tout lâcher… ". Marthe rit et lui dit "Vas y, elle sait avaler en saccades…" Ça y est, ça gicle dans ma bouche… Oulah!! c’est abondant, heureusement que je sais effectivement avaler en saccades, mais malgré ça, ce n’est pas facile, je m’étrangle un peu et du sperme me ressort par le nez. Pour finir, je presse son sexe de la base vers le gland et je lèche les dernières gouttes. Je regarde Marthe elle me fait signe de la tête "c’est bien". Je lève les yeux vers le facteur et je dis : "C’était bien Monsieur le facteur?" Il me tapote la joue "Très bien mon petit, j’aurais pas cru que tu avalerait tout". Marthe rigole "Elle a pas envie de se faire fesser une deuxième fois…"
A ce moment, une sonnerie retenti : 3 coups, ça veut dire "Mathilde chez Madame schnell." Je me relève et demande à Marthe : "Je peux dire à Madame que vous ne voulez pas que je mette la ceinture Madame Marthe? "Oui" dit elle. Je vais dire au revoir au facteur. Je l’embrasse sur la joue. Il en profite pour tâter mes fesses encore toutes chaudes. Il aura de quoi raconter à ses copains à l’heure de l’apéro! "Allez grouille toi" dit Marthe. Je me dépêche de monter en pensant à ce que je vais raconter. Mais, quand j’arrive dans la chambre de Madame, elle est occupée à remplir un sac de voyage. "Je dois m’absenter d’urgence 2 ou 3 semaines" dit elle. "Avec moi Madame?" "Non ce n’est malheureusement pas possible, toi tu vas partir avec Iris." J’ai les larmes aux yeux "Je veux aller avec vous." "Non tu pars avec Iris et tu arrêtes de discuter. Tu reviendras ici après." Je lui demande : "Elle ne va pas me punir comme le samedi?" Elle soupire : "Non, ça c’était pour la vidéo. Elle va te punir comme je le fais moi ou comme Marthe." Je ne réponds rien. Elle lève la main et m’envoie une bonne paire de gifles "Comme ça! Et c’est pour t’apprendre à discuter". Ouch!! Je me frotte les joues. Celles là, je les ai bien cherchées. Non seulement j’ai les fesses toutes rouges mais les joues aussi maintenant. Madame se lève, j’appréhende une autre gifle et je ferme les yeux, mais elle me prend par la nuque et me donne un baiser sur la bouche "Maintenant va attendre Iris dans ta chambre, on se revoit dans pas longtemps." Je suis un peu étourdie par cette douche écossaise, d’abord les gifles, puis le baiser. J’arrive dans ma chambre, Iris est déjà là. "Salut" me dit elle. "Euh…bonjour Mademoiselle Iris." "A partir de maintenant, moi c’est Iris et toi c’est Mia quand on est en public. Mathilde c’est ridicule, et tu me tutoies. Quand on est seules j’m’en fous." Ah?? Voilà que je récupère mon nom. Iris prend quelques vêtements dans les tiroirs. Elle sort de son sac un short en jeans, un tee shirt et des baskets. "Met ça" dit elle. Je me change. "Bien" me dit Iris "T’es sexy comme ça …c’est ce qu’il faut parce qu’on va faire du stop" Je lui dis comme à Madame "Vous n’allez pas me punir comme le samedi". Et elle me réponds comme Madame : "Mais non c’était pour la vidéo ça, je te punirai, mais pas aussi fort. Ça te convient?" "Euh, oui…Iris." "Allez on y va" "On va où?" "Tu verras…"

10 - En route vers de nouvelles aventures...
On quitte la maison rapidement. La voiture de Madame est déjà partie. Ça ressemble à un naufrage…et les rats quittent le navire. On marche rapidement et on prend un bus qui nous amène dans le centre. Puis un autre jusqu’au nord de la ville. Iris a l’air tendue, elle ne parle pas. On va se poster près d’une bretelle vers l’autoroute A 6, pour faire du stop. Le stop, je connais et quand j’ai un short et rien en dessous de mon tee shirt, à part mes nichons, je suis super bonne!
Un camion puis un autre s’arrêtent assez rapidement, mais la tête des chauffeurs ne doit pas revenir à Iris. Elle leur demande "Vous allez à Marseille". Il font tous les deux une tête, genre "ah les femmes" : "C’est la direction de Paris ici, Marseille c’est dans l’autre sens." Enfin un troisième chauffeur lui convient. Faut dire qu’il est pas mal. C’est un Maghrébin d’environ 25 ans, il nous fait un grand sourire et dit "2 fleurs sur le bord de la route…". Iris lui réponds "Comment avez-vous deviner? Je m’appelle Iris, un nom de fleur" et puis "Vrai vous allez nous "prendre"? "Je ne me demanderais pas mieux." dit-il. On grimpe dans le camion et on entre rapidement dans le tunnel de Fourvière. Iris discute avec lui, moi je somnole… La chaleur et les vibrations d’un camion ça me fait cet effet là. Je regarde Iris, j’ai des raisons de ne pas trop l’aimer, mais je crois qu’elle jouait le rôle que Madame lui avait assigné. Elle me plait bien, c’est une brune avec des yeux aussi sombre que ceux de notre chauffeur. Elle est assez grande, enfin par rapport à moi. Elle a de petits seins et un joli cul. Physiquement, je suis mieux qu’elle, mais Iris à 3 grandes qualités : elle est super intelligente, complètement extravertie et elle n’a pas peur de grand chose. Je m’apercevrai encore davantage de tout ça par la suite. Dans ces trois domaines je ne lui arrive pas à la cheville… Place qui me plait assez, comme vous pouvez vous en douter…Dans la chaleur du camion, je m’imagine entre la plante de son pied et la semelle intérieur de sa basket… Je ne fais pas attention à ce qu’ils disent, sauf quand j’entends : "Si tu nous payes à manger ce midi, la petite te suce". Là, je suis réveillée. "Sérieux?" me demande le chauffeur. Iris me donne un bon coup de coude. Je remonte de sous la plante de son pied et je dis avec un grand sourire : "Oui Monsieur, avec plaisir". Il est surpris…agréablement. "Je m’appelle Jalil" dit-il "et c’est d’accord, je vous invite et tu me suces. Je vais m’arrêter dans un parking un peu plus loin". On y va et il va se garer assez loin des autres camions. Iris reste sur le siège avant et Jalil et moi passons sur la couchette juste derrière. Ce n’est pas très grand mais suffisant pour une partie de jambe en l’air ou…une pipe. "Déshabille toi" me dit-il. C’est vite fait : short, tee shirt et baskets font un tout petit tas. On s’embrasse, sa bouche est agréable… Il me caresse les seins, me met un doigt dans la chatte et constate que je suis assez mouillée. Il descends la tirette de son pantalon et sors un sexe qui se dresse vers moi en dodelinant. Belle bête! Et il est circoncis, ce que je préfère avec un inconnu. Je descends un peu son pantalon et son slip et embrasse son ventre plat, ses cuisses…ses couille, puis je le prends en bouche. Iris nous regarde et demande : "Elle suce bien?". "Comme une vraie pute" dit-il. Je continue un moment, son sexe me plait…Il me caresse la joue. La main d’Iris vient interrompre nos…jeux, en me mettant la main sur la bouche. Je me recule. Elle dit à Jalil : "Tu n’a pas envie de lui faire plaisir?" "Si bien sûr."
"Alors imagine que tu es le sultan et elle une chienne d’infidèle qui est ta nouvelle esclave. Et tu te dis, j’enculerais bien cette petite…" Il est encore plus surpris : "Qu’est ce que c’est ces bêtises?". Ah non, moi je ne trouve pas que c’est des bêtises, après sous la cheville d’Iris, je m’imagine très bien en chienne d’infidèle et en esclave qui va se faire enculer…aïe! Faut le décoincer, le sultan, alors je lui dis : "Votre esclave est prête à se faire enculer, Maître". Il fait une drôle de tête, Jalil : "Vous avez de drôles de jeux vous!! Mais oui ça me plairait. Retourne toi." dit-il. Je me mets à genoux, le front sur mes mains croisées et je tends mes fesses vers lui. "Ah putain, elles sont toutes rouges" dit-il. "Elle a reçu une fessées ce matin" répond Iris. "Ah bon d’accord". Je le sens contre moi et son sexe vient buter contre mon anus. Heureusement que je l’ai bien mouillé de salive. Surtout ne pas me contracter quand il va me pénétrer! "Allez le sultan," dit Iris "encule la jusqu’au couilles." Oooooouuuccchhhhhh… il le fait. Son sexe m’empale… Je gémis : "Merci, Maître". Alors il me baise à grands coups de reins, ses couilles viennent claquer sur mes fesses rouges et moites… Je reste prudente dans la façon de m’offrir, car son sexe est un gros modèle. Iris s’en aperçoit et me dis : "Creuse les reins petite conne et participe!". Ok, ok…je réponds à ces coups de reins… Iris glisse sa main sous moi et me frotte la région du clito du dos de sa main. Aaah… oui, juste ce qu’il me fallait des caresses brutales à cet endroit là…je ne tarde pas à jouir sur sa main. Presque en même temps je sens le sexe de Jalil gonfler et il jouit au plus profond de moi. Je sens le sperme se répandre par saccades, c’est une curieuse sensation. On reste un peu en connexion…puis il se retire. Iris me regarde et me dit d’une voix dure : "Nettoie tes saletés maintenant". Beuh… j’aime pas "ça", mais bon, c’est le sultan après tout et moi une chienne d’infidèle. Je me penche sur son sexe et le lèche, il est enduit de sperme, et il a à peine un goût un peu amer, à ce stade c’est excitant, enfin ça m’excite moi. Je le lèche jusqu’à ce qu’il soit tout propre. Jalil dit : "J’adore les auto stoppeuses comme vous." on rit. On se rhabille et on reprend nos places sur le siège avant. Tout ce sperme en moi ça fait un peu comme un lavement et je ressens fort le besoin de l’évacuer. Je dis à Iris "Je voudrais aller à la toilette à la pompe ". "Pour pisser?" demande t-elle. "Non c’est le sperme qui me donne vraiment envie de…de…". "Chier" dit Iris "Euh…oui." "Ben non," dit Iris, "ton Maître te fait l’honneur de jouir dans ton cul et toi tu voudrais l’expulser le plus vite possible? Tu veux te faire fouetter?" Jalil s’y met lui aussi et il dit en riant : "T’as qu’à serrer les fesses." Heureusement, une fois assise, ça va mieux. Bon je me trémousse un peu… ce qui me vaut un : "Tu vas rester tranquille, oui?!!" d’Iris. On roule. "On est bientôt à la station où je vous invite" dit Jalil. Chouette, j’ai faim…et puis il y aura des toilettes. Ils parlent…je me laisse aller contre l’épaule d’Iris, elle me regarde. Je lui dis : "Je suis contente d’être avec toi". Elle lève les yeux au ciel…Et j’ajouterais bien, "Je suis même contente que tu lèves les yeux aux ciels quand je te dis que je suis contente d’être avec toi…". Mais bon, j’ai pas envie de prendre une claque…

A suivre.
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