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Mia sans dessous

Chapitre 2

Trash
11 - Les vendanges.
On arrive à la cafeteria de la station d’essence et je regarde Iris avec des yeux suppliants. "Qu’est ce que tu as, à faire cette tête?" demande t’elle agacée. Je mets une main sur mon ventre "Tu sais bien, je dois aller à la toilette, je t’en prie…". Elle me fait un signe de tête…Ouf! J’y cours. Ensuite, je les rejoins dans au self service. On choisit un plat chaud, une boisson et Jalil nous offre même un dessert. Après avoir mangé, il nous donne son adresse à Trappes près de Paris. Iris lui dit qu’on passera sûrement le voir, dans le courant du mois prochain. "Vous êtes vraiment fauchée?" demande Jalil "je peux vous prêter une peu d’argent." Elle le remercie : "C’est gentil, mais j’ai mia, j’ai l’intention de me faire de l’argent avec elle". Il est intéressé. Elle explique "Tiens ce midi on a eu un repas en échange d’une pipe…Je vais la louer, la faire travailler dur, l’exploiter quoi." "Ça te plait de te faire exploiter?" me demande Jalil. "Iris est le chef et je lui obéi". "Oui, c’est le deal : elle m’obéi, me remercie quand je la punis, n’a pas de papier d’identité, pas d’argent, pas le droit de poser de questions et en plus elle doit sourire sinon elle se prends une claque". Oooops je fais vite un grand sourire. "Elle n’a pas du tout d’argent?" Iris me dit " Ben, non, hein mia?". "Je n’avais même pas 1 franc pour aller à la toilette." "Comment tu as fait? " "J’ai demandé à un monsieur". "Elle est mignonne, hein?" dit Iris en rigolant, "Sérieusement, je vais bien sûr la faire travailler, genre poser pour des photos ou travailler dans un peep show, mais on va faire aussi des choses ensemble, parce qu’ elle est quand même très blonde…" Elle ajoute : "On pourrait faire un show ensemble". "Oh putain cette idée me fait rebander, les filles" dit Jalil. Oui et moi l’idée de faire un show en public avec Iris, ça me rends toute humide. L’idée de me faire exploiter par elle aussi, mais bon j’ai un peu un grain! On a plus le temps de profiter de la nouvelle érection de Jalil. On repart… Il nous propose de nous déposer chez les amis d’Iris, mais elle dit qu’ils ont rendez vous près de l’autoroute. Jalil sort à la sortie Chalons sur Saône et nous laisse sur le bord de l’autoroute. On s’embrasse, on se promet de se revoir. On voit son camion qui remonte sur l’autoroute. Dès qu’il est parti, Iris me dit : "On fait du stop." Je commence : "mais…." . Oulah, elle me lance un regard noir : "Tu as encore une question???". "Non, non, excuse moi." Une voiture s’arrête." On va à Saint Desert "dit elle. On peu monter. Saint Desert c’est un bled…mais de là on refait du stop et on arrive en pleine campagne devant un genre de château ou de manoir entouré de vignes… Je serre un peu la main d’iris…. "On va faire les vendanges" me dit elle. Derrière le château, il y a des bâtiments plus modernes. On va se présenter au contremaître. Il prend nos noms, vérifie nos âges, c’est Iris qui a ma carte d’identité et qui la garde. Je me dis qu’elle veut peut être se planquer, c’est pour ça que même à Jalil elle n’a pas dit où on allait. Le contremaître a appelé 2 jeune gars pour qu’ils nous fassent visiter. Ils sont sympas. Ce sont des étudiants comme pas mal de jeune qui sont ici. Les dortoirs ne sont pas luxueux mais ça nous convient. Peu de temps après, à 19 h, c’est le repas. Sympa aussi, il y a des jeunes qui viennent de tous les coins de France. Plus de garçons que de filles parce qu’ils nous disent que c’est un boulot dur, même très dur. Le vin est à volonté… l’ambiance décontractée. On fait connaissance. Le lendemain à 7 h, un réveil sonne, on gueule "Debout c’est l’heure". Toilette sommaire et commune. Petit déjeuner rapide et on attaque les vendanges. C’est simple : avec un sécateur on coupe la base de la tige et on jette la grappe de raisin dans une hotte. Simple oui, mais il fait très chaud, on est souvent penché en deux et on doit faire ça pendant huit heures. C’est crevant! Bon, on s’arrête pour boire ou pour discuter un peu…mais le contremaître surveille et nous rappelle à l’ordre. Iris discute avec lui, il a l’air très intéressé, qu’est ce qu’elle peut bien lui raconter??
Le repas du midi et du soir permettent de décompresser, mais je ne pense qu’à une chose : dormir. Iris n’a pas l’air de trouver ça dur. Il faut dire qu’elle parle continue à discuter avec le contremaître. Elle disparaît même au bout d’un moment. Quand elle revient, elle me dit "Je leur ai proposé de m’occuper d’un truc sur le pc, je vais travailler dans les bureaux." "Tu ne seras plus avec moi?" je lui demande les larmes aux yeux, comme une conne. "Tu fais ton boulot convenablement et je te dirai quand on repart."
Je renifle un peu et puis bon je prends mon mal en patience. D’autant qu’il y a un garçon qui me plait. Il a un accent du Sud, il est beau et énergique… mais jeune, très jeune, c’est-à-dire le même âge que moi. J’ai toujours préféré les hommes plus âgés. Ce qui nous a rapproché c’est une guêpe… Bon, j’adore les animaux, même les insectes, mais les guêpes c’est limite. A 6 ans je suis tombée dans un nid de guêpes, de quoi s’en souvenir toute sa vie. C’est arrivé le deuxième jour après qu’Iris m’ait dit qu’elle ne resterait pas avec moi. Je coupais mes grappes de raisin, quand soudain je ressens une vive douleur au ventre. En me pliant j’avais coincé une guêpe sur mon ventre et elle m’avait piquée. "Saloperie!!" je gueule "elle m’a piquée". Le garçon du Sud qui n’était jamais très loin de moi, accourt, je lui montre l’endroit : en dessous du nombril. Il se met à genoux et me suce. Instantanément la douleur disparaît. Il avait fait ça tellement rapidement qu’il avait aspiré tout le venin, qu’il a recraché ensuite… "C’est comme ça qu’il faut faire" me dit-il "mais il ne faut pas avoir de blessure dans la bouche". "Merci de m’avoir sucée" je lui ai dit et je l’ai embrassé…à côté de la bouche à cause du venin! Sa bouche sur mon ventre m’avait émue, puis la douleur qui disparaît si vite. Après ça il m’a demandé plusieurs fois voir si j’allais bien et on échangeait des regards chargés de messages, genre, moi : "ça m’a plu ta bouche sur mon ventre". Lui : " mmmhhh j’aime le goût de ta sueur!". Ben oui un garçon qui vous suce et vous sauve quasi la vie, ça crée des liens. Le soir, malgré mes douleurs dans le dos, les bras et la main droite, celle qui tient le sécateur, je lui ai dit : "Si tu veux, tu peux me rejoindre…" Une fois qu’il a fait noir il est venu dans mon lit… Il a relevé mon tee-shirt et s’est collé à moi. Sa peau contre la mienne c’était très excitant "Fais ce que tu veux" je lui ai dit "mais ne m’en veux pas si je ne participe pas beaucoup, je suis si fatiguée". "Dors ma belle" il m’a répondu à l’oreille. J’étais sur le côté, lui derrière moi et il m’a fait l’amour tout doucement. J’étais à moitié endormie et je me laissais faire. J’ai joui comme dans un rêve…humide. Je ne l’ai pas senti repartir. On a passé les journées ensemble et les 2 nuits suivantes on a refait l’amour tout doucement et sans bruit pour nos voisins. Le dernier soir on a fait l’amour dans la position du missionnaire. Nos deux corps pressés, collés de la tête aux pieds, on s’embrassait. J’ai soulevé les jambes et j’ai mis mes talons sur ses fesses. De cette façon il me pénétrait au plus profond. On a joui, silencieusement bouche contre bouche, mélangeant nos salives et nos humeurs intimes. Hélas, notre histoire s’est terminée car le lendemain, il devait repartir après m’avoir invitée chez lui, quand j’aurais fini les vendanges. Voilà abandonnée par Iris et puis séduite et abandonnée par mon suceur de venin… Iris passait bien me voir mais elle repartait aussitôt dans les bureaux. J’ai eu un coup de mou…Je foutais plus rien dans les vignes. Les autres m’ont fait des remarques…m’en fous. Le contremaître, le "chef " on disait, est venu me réprimander d’abord, m’eugueler ensuite…m’en fous… "Je me suis fais mal aux reins" je lui ai dit. Il est revenu avec Iris furieuse : "Je t’avais dit de bien faire ton boulot!". "Je me suis fait mal aux reins" je lui ai répondu. Iris et le chef sont allés discuter quatre filles qui travaillent un peu plus loin. Ce sont des filles du coin, filles de paysan si ça se trouve. Elles les vendanges elles font ça depuis qu’elles sont petites et elles regardaient de haut ces "parisiennes" qui savent à peine manier un sécateur. Je vois qu’Iris leur parle de moi… Je sais que ça va… chier. Sans doute est ce, ce que je voulais ….que ça bouge, que mes glandes surrénales se mettent à déverser de l’adrénaline dans mon sang…Que mon cerveau fabrique des endorphines, qu’Iris s’occupe de moi… Pour ce qui de l’adrénaline et de s’occuper de moi, j’ai été servie bien au-delà de ce que je souhaitais. Briffé pas Iris, le chef est venu me chercher fermement… par l’oreille. "Aïe! Aïe! Vous me faite mal chef!!" Il m’a remorquée de cette façon jusqu’au groupe de filles, ravies de me voir arriver vers à elle comme une gamine tirée par l’oreille…

12 - On ne "badine" pas avec Laurence.
On arrive près des autres filles, moi courbée en avant, toujours tirée par l’oreille et disant, "aie… aiie…aiiiie!!" "Mais voilà, la touriste...", dit une des filles. Le chef me lâche, enfin. Je me frotte l’oreille en geignant. "Iris m’a dit comment te rendre toute ton ardeur au travail.", dit le chef. "Je me suis fait mal aux reins, chef, je vous le jure…", mais il ne fait pas attention à ce que je dis. C’est vrai, je l’ai un peu cherché. Une des filles, Laurence, me montre un tuteur pour les jeunes vignes qu’elle a dans la main. C’est une tige en plastique de la grosseur d’un petit doigt de fille. Elle me dit, "Iris m’a dit qu’il fallait te mener à la baguette, c’est ce que je vais faire. Penche-toi en avant et met les mains au-dessus de tes genoux." Heureusement, j’ai un jean assez épais et pas un short, à cause des guêpes. "Je vous assure que je me suis fait mal aux reins, je me reposais juste un peu." Elle me dit durement, "C’est avec le jean, si tu obéis et sans, s’il faut te tenir". Je pousse un soupir à fendre l’âme, mais manifestement elle n’a pas d’âme! Alors, je me penche en avant et tends mes fesses. "Prête??" me demande-t-elle. "Oui… Pas trop fort, s’il vous plait". Elle lève son bras et abat la tige de plastique en plein milieu de mes fesses. "Aiiiie!!", je crie, "Je travaillerai!! Je vous le promets, ne me frappez pluuuus…" "Tu vas avoir 20 coups.", dit-elle. Le bruit a couru dans les vignes que je recevais une fessée. Ils viennent assister au spectacle. "Prête ?", re-dit Laurence. Je fais un tout petit, "oui." "C’est parti!!". 19 fois la baguette de plastique s’abat sur mes fesses. Elle a de la force et je me plie à chaque coup en gémissant. Elle décale légèrement chaque coup pour bien couvrir tout mon derrière. "Aïe!! Ouille!! ça fait maaal!! Je travaileraaaaaiiii, aïe!!" Les spectateurs sont ravis et ils y vont de commentaires divers, genre, "Elle va plus pouvoir s’asseoir, pendant un moment." ou "C’est comme ça qu’il faut traiter les fainéantes!". Vers la fin, je pleure en la suppliant d’arrêter. Enfin... elle dit … "et 20." Je reste en position. Il y a des rires et des applaudissements. Laurence me dit, "Redresse toi! Tu as compris la leçon?" "Oui, Mademoiselle Laurence." "Ok tout le monde au boulot!", et à moi, "Toi, tu bosses avec moi." Et là, je me suis vraiment mise au boulot. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, je n’aime pas du tout être punie, enfin, disons que je n’aime vraiment pas les punitions qui font mal. Je ne suis pas maso! Soumise, oui, mais pas maso.Une fessée à la main, c’est ma limite... et encore, pas fessée par un ouvrier du bâtiment!
Je fais donc "équipe" avec Laurence, enfin, équipe… Elle coupe ce qui est à sa hauteur et moi, ce qui est en dessous. Je dois me plier en deux, mais je ne me plains plus du tout de mes reins. Par contre, je sens bien mes fesses!! Laurence est une brune, style punk ou rock métal, avec un piercing dans le nez et des tatouages. Jolie, si elle était un peu mieux arrangée. Un peu le style Lisbeth Salander dans Millénium.
Et puis, Iris se pointe. Laurence lui explique, que je m’étais trouvé un petit coin pour faire la sieste et qu’elle a dû me donner une bonne fessée avec un tuteur en plastique."Tu lui as fait baisser son jean?" demande Iris."Non, mais elle l’a bien senti."J’essaye d’intervenir, "Oui, Maîtresse, je..."Elle me coupe, "Tu vas remercier pour la leçon!"Ouf, je ne vais plus être punie! Je dois juste montrer ma soumission et ça, ça ne fait pas mal... à part à l’amour-propre! Je me mets à genoux devant Laurence les mains croisées dans le dos, le visage levé vers elle, "Je vous remercie infiniment, Mademoiselle Laurence, de m’avoir punie. Je l’ai vraiment mérité". Elle me regarde en souriant, les yeux brillants. "Tu as intérêt à travailler maintenant, sinon c’est la badine!" La badine! Quel joli mot, mais ici ça n’a rien à voir avec "on ne badine pas avec l’amour…" "Je vais m’appliquer, je vous le promets". "Tu vas voir comme elle remercie bien quand on la traite durement.", dit Iris à Laurence et à moi, "Lèche lui les pieds."Laurence est un peu surprise, mais elle s’assied sur un petit talus et me tend son pied. Elle a des grosses "combat shoes" qui... ont fait la guerre. Des coutures ont craqué et on voit ses orteils sur le côté, car elle n’a pas de chaussettes. À quatre pattes, j’enlève la chaussure. Ses pieds sont blancs et... noirs. Blancs parce qu’ils ne sont pas bronzés et noirs parce qu’ils sont sales, la poussière s’est collés à sa sueur. J’embrasse son pied sale.Elle rigole, "C’est agréable... D’autant plus que je ne me suis pas beaucoup lavé les pieds et ça fait des mois que je transpire dans ces vieilles "combats". Iris rit aussi et me dit, "Lèche ses pieds, mia!" J’enlève l’autre chaussure. Je lèche ses pieds et suce ses orteils. C’est vrai qu’ils sont vraiment sales, couverts de poussière qui est entrée par les trous. Ils ont le goût salé de sa sueur et du vieux cuir. Pour moi, c’est limite, mais la "badine" est suffisamment dissuasive pour que je lèche tout ce qu’on veut. "Tu l’as bien dressée…", dit Laurence à Iris avec admiration. "C’est une chienne qui vient d’avoir le fouet… Elle ne demande qu’à te montrer sa soumission et avoir ton pardon. Si elle avait une queue, elle l’agiterait en te léchant les pieds". Iris est forte pour les images de ce genre! "Comme c’est la fin des vendanges, vous pourriez venir quelques jours chez moi…", dit Laurence. "Ce serait bien. On pourrait aller chez toi du dimanche soir au mardi matin." Elles discutent pendant que je continue à lécher. Ces deux-là sont faites pour s’entendre!"Tu sais que mia était bonne quand je l’ai rencontrée. Elle pourra faire le ménage chez toi. Ce qu’elle fait le mieux, à part lécher, c’est récurer le sol à quatre pattes avec une brosse." Elles se marrent toutes les deux. "Pas vrai, Cendrillon?", me dit Iris. "Oui, Mademoiselle Iris". Mais en fait, non je déteste ça... je veux dire le ménage. Les pieds de Laurence sont maintenant propres et luisants de salive. Elle les admire dit, "Ils n’ont jamais été aussi propres!". Elle remet ses grosses chaussures. Je me relève, Iris me prend par la nuque et renifle mon visage, "Tu sens les pieds, ça doit te plaire!"Non! pas du tout, ils étaient vraiment sales, mais je réponds, "Oui, Maîtresse."On retourne à l’endroit, où sont les autres. "Encore une petite chose", dit Iris. "On va montrer tes fesses aux autres, ça va les amuser!". Elle siffle entre ses doigts, des têtes apparaissent çà et là. "Ceux qui ont envie de voir les fesses de mia ou de faire une photo, c’est le moment". Ils arrivent de partout. Je descends mon jean jusqu’à la pliure des genoux et je me penche en avant.Ils s’exclament en voyant mes fesses, plusieurs font des photos. Un garçon passe son doigt sur les marques. Tant qu’on ne me frappe pas, ça va. Je m’en fous de montrer mes fesses… Personne ne me plaint! Au contraire, ils trouvent ça super marrant!"Reculotte-toi", dit Iris, "On reprend le boulot". Il y en a plusieurs qui remercient Iris pour le spectacle et Laurence pour sa poigne.

13 - Gros plan.
Vendredi soir, on est payé, l’équivalent de 40 e par journée de travail. Le chef donne une enveloppe à chacun. Quand c’est mon tour, je vais la glisser dans la main d’Iris. Elle discute avec Laurence, qui regarde l’enveloppe passer de l’une à l’autre. "Tu vois, elle travaille pour moi", dit Iris en riant. "Tu ne lui laisses rien?" "Rien! je veux qu’elle dépende complètement de moi. J’ai ses papiers d’identité et elle n’a pas d’argent. Elle n’a pas le droit non plus de poser des questions et même pas le droit de faire la gueule." Je fais vite un... petit sourire… N’empêche, j’aurais quand même aimé avoir un tout petit peu d’argent… Iris continue, " Elle n’a même pas une pièce pour aller pisser.""Comment fait-elle, alors?" "Entre deux voitures ou alors elle mendie, comme tout à l’heure à la station". Laurence, ça lui plait, "Tu la traites comme si elle avait cinq ans." "Exactement! Par exemple, je l’oblige à se coucher à 7 h du soir, quand elle m’agace ou que j’ai envie d’être seule. Si tu veux lundi, on jouera à "mia bonne à tout faire" puis à "mia a 5 ans". Laurence est ravie, elle énumère tout ce qu’il faudra, "Un siège enfant dans la voiture, un parc, des langes, un biberon, des suppositoires…" Elles se marrent toutes les deux. Moi, je m’imagine en Cendrillon, à la merci de deux belles mères pas gentilles… Mon ventre se serre un peu, de trouille…oui, mais mon vagin se serre un peu aussi. Laurence a des trucs à faire. Elles se donnent un baiser sur la bouche, puis elle me fait un gros baiser sur la joue en me disant, "On va bien s’occuper de toi lundi, mon joli bébé…" Être traitée comme un enfant par Iris, ça ne me dérange pas. Mais, j’ai quand même un blocage, pour ce qui concerne l’enfance, souvenirs de certaines choses… J’en ai déjà parlé à Iris, alors quand Laurence est partie, je lui dis : "Ne soyez pas fâchée, mais…" Elle me coupe en soupirant, "Mais tais-toi, miaaa...". Ouais...Le lendemain, c’est notre dernier jour et la fête des vendanges. Il y a une démonstration sur la façon ancienne de faire le vin. Nous, les filles, on doit fouler le raisin avec les pieds. On a des petites robes blanches à fleurs qu’on lève très haut jusqu’à montrer nos culottes. Avant de commencer, le contremaître m’a fait la leçon devant tout le monde, "Fouler le raisin, c’est AVEC une culotte, n’est ce pas, Mademoiselle?". "Euh… oui, chef, c’est-à-dire…"Il pousse un gros soupir, "Vous n’en avez pas?". "Non, chef". Il va chercher une grande culotte du style de celle que je devais porter chez Madame et je l’enfile devant les autres. Ils ont déjà vu mes fesses après tout… L’après-midi, on grimpe dans une grande barrique pour fouler le raisin. Au début, c’est marrant, la pulpe de raisin est douce et gicle entre les orteils. Au bout d’un moment ça devient dur et on se relaie. Même avec une grande culotte, j’ai beaucoup de succès. Il faut dire que je la lève très haut ma jupe…genre, pour pas la salir! Par la suite, il y aura même une photo de moi dans le journal local… Après avoir foulé le raisin un bon moment, on es remplacées. Alors, on va se reposer et boire un verre dans la cour, les jupe relevées, les jambes couvertes de jus de raisin. Iris vient me rejoindre avec le chef. Elle me sourit, "On a une surprise pour toi". "J’ai rien fait!", je dis, affolée à l’idée que j’ai pu faire une connerie sans m’en rendre compte. "C’est pas pour te punir… Ça va même te plaire…On va remercier le chef pour ce qu’il a fait pour nous." Ah? Le chef a fait quelque chose pour moi, j’avais pas remarqué! "Tu vas commencer par le sucer…" Ah ouais! Je vais le remercier pour ce qu’il a fait pour Iris… Logique! Mais bon après tout… pourquoi pas… surtout si Iris participe. Le chef est pas mal et puis c’est le chef et je suis conditionnée pour obéir aux chefs. On va dans une écurie désaffectée, où il y a un vieux matelas. Il faut dire qu’avec mes jambes couvertes de jus de raisins, j’aurais fait un carnage dans sa chambre. Le chef et moi on se déshabille. Il me prend contre lui et m’embrasse. Je sens son sexe dressé juste sous mes seins (il est grand, je suis petite). "Suce-le!", me dit Iris. Je me mets à genoux. Lui se baisse un peu. Son sexe est de belle dimension, noueux comme... un pied de vigne… fatalement. Le bout est tout mouillé d’excitation. Je le frotte un peu sur mon visage, puis je le prends en bouche… Ma langue caresse le gland, pendant que sa grande main me caresse la joue. Ça me plait de plaire au chef, je le prends complètement en bouche. J’ai le nez dans ses poils. Son gland fait connaissance avec ma luette et mes amygdales, il aime… Et puis ce qui devait me plaire arrive : elle se déshabille. Miracle, elle nous rejoint. Elle vient se frotter contre le chef, puis tend ses fesses vers moi toujours à genoux. Je sors vite le sexe du chef de ma bouche pour embrasser ses fesses. Je pose mes mains dessus pour les séparer… Iris est propre (trop propre) mais je sens quand même son odeur particulière. Une odeur de vanille musquée et sucrée à fois. Pas marine, mais chaude, tropicale… J’arrive à plonger ma langue dans son vagin mouillé. Je goûte ses sécrétions, j’ai même une idée de son ph! Je n’arrive, hélas, pas au clito, ni au méat, la région que je préfère, car elle se dégage de ma langue.
"Ne te fais pas un torticolis, tu vas pouvoir la sentir ma chatte…couche-toi sur le dos, sur le matelas." Elle vient se coucher sur moi tête bêche, en position de 69. Je pense : pourvu qu’elle ne me lèche pas. Oui, c’est moi qui lèche, pas elle! Mais elle n’en a pas l’intention. Elle s’installe confortablement sur moi et j’ai effectivement mon nez entre ses fesses et ma bouche contre sa chatte. Je la lèche de l’anus au clito. Elle manifeste peu en paroles ou gémissements, Iris, mais sa chatte parle pour elle : elle est toute mouillée. Après un moment, elle dit, "A toi, chef". Quoi, quoi?? Qu’est-ce qu’il va faire??? Il s’agenouille au-dessus de ma tête, son sexe pointeant vers la chatte d’Iris. Elle me dit, "Enfonce le". Pppppffff... le voilà qui prend la place de ma langue dans son vagin. J’ai heureusement toujours accès au haut de sa chatte et à son clito. J’ai les couilles du chef dans la figure et son sexe qui me rabote un peu le visage, mais je peux le lécher tout mouillé des profondeurs d’Iris. Franchement je suis bien : le spectacle, le goût, l’odeur, tout me plait. Heureusement, le chef se contrôle bien et ça dure un bon moment. Il finit par pousser des grognements et accélère ses mouvements sur mon visage et dans le vagin d’iris. Iris me dit sèchement, "Lèche moi plus vite!" à lui, toute miel, "Vas y lâche tout en moi, chéri". Je lèche plus vite, tandis que le chéri (!) s’enfonce au plus profond d’elle et jouit… Iris se cambre et s’offre. Je vois son vagin se contracter sur le sexe du chef. Moi je reste sur ma faim bien sûr… Je ne sais même pas glisser un doigt dans ma chatte. Pendant que le chef jouit en elle, j’imagine… Je m’imagine être un de ses spermatozoïdes. Je fais la course dans son vagin et je donne de méchants coups de coudes aux autres! Je veux être le premier à pénétrer dans son utérus, puis dans son ovule. Euh… non… réflexion faite, je veux juste être bien au chaud dans son vagin, les autres n’ont qu’à y aller dans l’ovule, les cons! Passerai pas le col de l’utérus, moi! D’ailleurs, j’aime pas la montagne!!Je me fais rire toute seule dans la chatte d’Iris. Le chef se retire, son sexe mouillé d’Iris et de sperme, me passe sur le visage. Iris se redresse et s’accroupit au-dessus de mon visage. "Ouvre la bouche!". Elle "pousse" et sortant de son vagin apparaît une… "bulle" de sperme et de ses sécrétions. J’avale le tout, elle pousse encore et deux autres bulles sortent d’elle. Alors, elle s’assied carrément sur mon visage en disant : "Nettoie!". Logique, après tout je suis sa bonne à TOUT faire, alors je lèche, je suce et j’avale. On se relève. "Alors, c’était pas une punition, hein?" "Non, pas du tout, j’ai adoré, merci, Maîtresse." Je prends sa main et je la regarde dans les yeux. Elle sait déjà ce que je voudrais, mais elle dit : "Qu’est-ce que tu veux encooore?" Le chef, qui remet son engin en place dit en riant : "Elle a doit vraiment au cul, le feu au cul, maintenant!" Iris pousse un gros soupir "Quelle scie…bon, tu as trois minutes. Couche toi sur le matelas et branle toi". Rapidement, j’obéis. Iris est debout près de moi et elle met la plante de son pied sur mon visage… Là, il ne me faut pas trois minutes : son pied m’envoie 7e ciel (!). Je reste un peu couchée, appréciant le moment, mais Iris me pousse du pied. Vous savez, c’est encore meilleur, quand ça n’arrive pas souvent… Après, je suis un peu dans la lune, apaisée… Le chef et Iris parlent de Laurence. Et moi, sans réfléchir, "On y va ce soir?" Ouch!! Je ferme les yeux m’attendant à une claque, mais non, Iris approche son visage du mien, tout près et me dit doucement : "Demain, je vais te guérir de cette manie de poser des questions". Putain! Moi et ma grande gueule!! Je regarde le chef avec des yeux suppliants, plein de "please help me". Il prend ma défense, "Allez, ne la punis pas ça lui a échappé."."Mais non, ce sera juste une petite mise au point pour qu’elle arrête de me casser les pieds avec ses questions". Vous connaissez Calimero, le poussin avec un bout de coquille d’œuf sur la tête?? Oui, je pense comme lui : "C’est trô inzuste!!"

A suivre...
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