Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 0 Commentaire

le militant

Chapitre 2

Erotique
Me revoilà, cette fois je dois partir en direction de Toulouse. En effet, un camarade militant a eu un accident de la circulation. Donc, nous avons affrété un bus afin de lui rendre hommage. Je suis toujours avec mes amis militants. Je ne connais pas trop cette ville, mais d’après les retours que j’en ai, elle est plutôt belle.
Le bus arrive, nous montons puis nous voilà parti pour trois heures de route. Des copains ont ramené des bières pour nous désaltérer. Nous nous sommes installés dans un coin du véhicule où se situe une sorte de petite table. Nous nous faisons face, puis Charles lance un premier jeu. Une sorte d’action ou vérité. Mais pour le coup, il n’y aura que le côté vérité, puisque nous devons raconter une histoire d’infidélité.
Charles commence, en racontant son aventure avec une certaine Nicole, elle était professeur à la faculté de Nantes. Luc nous raconte la fois où il s’est fait plaisir avec la mère de sa propre copine et Pierre nous parle d’une histoire avec la femme de son cousin. C’est à présent mon tour. Je suis gêné car ma seule infidélité a été commise avec Natasha. Tout le monde la connaît et je ne veux pas qu’il y est de fuite après cette discussion. Voyant mon visage, Charles me rassure en me disant que rien ne sortira de cette conversation.
Je dis d’une voix très posée et calme que j’ai vécu mon aventure extra-conjugale avec Natasha, la jeune blonde qui vient souvent dans nos manifestations, nos réunions ou émissions de radio. Les trois garçons tombent sur les fesses, façon de parler.
Je suis alors harcelé de questions, du type, comment ça se fait ? Pourquoi toi et pas nous ? Je ne sais quoi répondre, et j’apprends par la même occasion qu’ils ont eu des mésaventures avec cette fille, puisqu’aucun n’a pu sortir avec elle ou plus.
Nous sommes à présent à l’arrêt sur une aire de repos, je me rend aux toilettes, prends un café, puis je passe un coup de téléphone à ma copine afin de la rassurer. Ou plutôt disons-le, afin de soulager ma conscience. Je ne sais pas pourquoi, mais son sentiment de jalousie revient à la surface. Elle a souvent peur que je la trompe, à tel point que parfois, cela en devient étouffant. Mais bon ce qui est sûr, c’est que je l’aime malgré la cavalcade de l’autre jour dans les Pyrénées.
Au bout d’un quart d’heure, nous reprenons la route, nous avons bien bu, faut vraiment que je me calme. Je prends la décision de me reposer un peu. Effectivement, une grande marche nous attend. Mes camarades continuent de boire, mais son respectueux, ils ne font pas trop de bruits.
Ô Toulouse ! Comme dirait un célèbre chanteur de variété française. Nous sommes arrivés, Charles me réveille, puis nous descendons du véhicule. Toulouse est effectivement une belle ville. Nous nous trouvons au capitole. Et je comprends tout de suite pourquoi cette dernière se nomme la ville rose. Les murs sont en briques, et l’ambiance paraît festive.
Il n’y a pas que la ville qui est belle, le peu de toulousaine que j’ai vu, le sont tout autant, et puis que dire de cet accent chantant qui sort de leur bouche. Bref, je me reprends en main. Ce n’est pas le moment de laisser mon esprit s’envahir de pensées interdites. Les organisateurs de l’évènement nous accueille avec de grandes accolades, puis dans la foulé nous propose de dormir sur Toulouse afin de participer au petit concert qui sera donné dans un lieu secret.
Les militants les plus anciens ne sont pas d’accord, tandis que la majorité de jeunes le sont. Je demande tout de même à Charles, Luc et Pierre s’ils sont d’accords. Ils valident tous les trois sans aucuns soucis. Il y en a assez de se faire dicter les consignes me dit-il.
Nous nous rassemblons tous afin d’honorer la mémoire de notre camarade disparu, quelques textes sont lus par les camarades locaux puis nous sommes conviés à rejoindre un lieu-dit secret.
Notre guide, Marion, nous emmène donc en direction de cet endroit. Nous discutons avec elle. Son accent est chantant, ça lui donne un certain charme. Mais, il n’y a pas que ça, c’est aussi une charmante brune, elle n’est pas très grande, mais possède tout de même des courbes avantageuses. Nous lui expliquons tout de même que nous n’avons pas de vêtements de rechanges, ni de produit pour éventuellement prendre une douche.
Elle nous rassure en nous expliquant qu’il y a un lieu de gratuité et que nous pourrons nous servir sans problème.
Après une bonne demi-heure de marche, nous arrivons donc dans un squat. Avec mes camarades masculins nous montons au premier étage, puis nous nous changeons de tenue. Je remarque même une pochette en plastique avec des sous-vêtements neuf, je les prends comme ça je serais totalement propre. Lorsque je descends en direction de la salle principale, j’entends une voix que je connais bien. Il s’agit de Natasha, la fameuse. Nous nous saluons poliment. Puis, lorsque nous partons tous en direction de la salle où se déroule le concert, Marion vient à mes côtés.
Nous discutons de tout et de rien. De ce que nous faisons dans nos vies, quelles sont nos luttes militantes respectives puis à ma grande surprise, je vois que Natasha me lance des regards assez méprisants. J’espère que mes camarades du bus ne lui ont pas raconté l’histoire d’infidélité. Je ne saurais pas où je pourrais me mettre.
Bref, je n’y prête plus attention, puis je continue ma discussion avec Marion. Son accent me transporte, je ne sais pas si c’est l’alcool bu dans le bus qui m’a désinhibé mais je me trouve beaucoup plus joyeux que d’habitude. Ce qui fait énormément rire ma partenaire toulousaine.
Nous arrivons au bout d’un quart d’heure dans la salle, une grande sono est installée, de nombreuses tables aussi. Nous sommes environ deux cent. Nous chantons, dansons et honorons aussi la mémoire de Baptiste. C’était un garçon très connu et toujours dévoué dans ses luttes. Une fois de plus, plusieurs prises de paroles se succèdent, puis nous faisons une minute de silence.
Nous nous asseyons autour des tables, nous dînons. Marion ne m’a toujours pas lâché. Nous dînons ensemble, puis la musique sort des enceintes. La jeune toulousaine me prend par le bras, puis nous échangeons plusieurs pas de danse.
Baptiste était quelqu’un de très fêtard, il n’aurait voulu pour rien au monde que les gens pleurent pendant des heures et des heures. Son souhait était de voir les gens heureux. C’est ce que nous faisons à présent.
Tout le monde danse, puis les déchets alimentaires restant sur les tables sont vites remplacés par des bouteilles d’alcool en tout genre. J’invite Marion à prendre une bière avec moi, elle ne refuse pas. Nous trinquons à la mémoire de notre camarade. Une fois de plus je croise le regard accusateur de Natasha. Mais je n’y prête pas attention.
Marion s’éloigne un peu, elle a vu une amie de longue date, je les vois discuter au loin. C’est à ce moment-là, que Natasha vient me voir. Elle n’est pas très contente, elle me dit clairement qu’hier c’était elle à l’hôtel et aujourd’hui dans un squat à Toulouse.
Je lui réponds le plus simplement du monde qu’à la fin de notre partie de jambes en l’air il n’y aurait pas de suite. Aurait-elle une pointe de jalousie au fond d’elle ? Ce qui voudrait dire que notre échange corporel n’était pas anodin, mais bel est bien sincère. Bref, je ne veux pas polémiquer ici, ce n’est pas le lieu, ni le moment.
Je retrouve donc mes amis du bus. Nous discutons brièvement, puis je vois Marion revenir à moi. Son accent continue de m’envouter, et ses yeux gris provoquent en moi une réaction improbable. J’essaye de me contenir, mais c’est peine perdu, puisque cette dernière m’invite à danser. Elle me demande tout de même qui est cette blonde, je lui dis le plus simplement du monde qu’il s’agit d’une militante qui vient du même coin que moi mais rien de plus.
Elle semble soulager de cette réponse, puisqu’elle a cru que c’était ma petite amie. Nous nous asseyons sur un vieux canapé puis elle s’approche de moi. elle se cale dans le creux de mon épaule. Nos bras entrent en contact, je lui fais quelques papouilles sur l’avant de ce dernier. Elle ressent certainement des frissons passe sa main derrière ma nuque, puis m’embrasse à pleine bouche.
Je me sens complètement envoûter par ce jeu de langue. Je perçois même un début d’érection dans mon pantalon. Elle le remarque, et me dit que je ne suis pas insensible à ce baiser. Je ne peux que répondre avec un sourire incroyable mais aussi avec une gêne. Je m’excuse même de cette réaction. Elle accepte, puis dans un élan de courage, je lui dis qu’avec une femme avec un tel entrain et une telle beauté, c’est assez difficile de se contenir.
Cette dernière me propose de la suivre. Je la suis sans hésitation. Elle m’annonce alors que je serais son soumis, je suis alors surpris par cette annonce. Nous montons les marches d’un escalier en bois, puis nous arrivons dans une pièce, sombre. La porte de cette dernière est cachée par un rideau ou il y a écrit priver. Nous entrons, à l’intérieur se trouve un canapé puis un matelas d’un autre âge.
Je ne sais pas pourquoi, mais je vais passer un très bon moment avec ma chère toulousaine. Il y a des petites lumières rouges tamisées. Ce coin prête à l’érotisme et aux plaisirs interdits.
Elle se rapproche de moi, m’embrasse sauvagement et m’ordonne de me déshabiller. J’exécute les ordres. J’hôte tous mes vêtements mais arriver à mon caleçon, elle me demande d’arrêter. Elle me signale qu’elle l’enlèvera lorsqu’elle aura décidé.
Suite à ce jeu de domination, je lui donne l’ordre de se déshabiller à son tour, et elle me répond avec son sourire le plus enjôleur que ce soir, je suis son soumis.
Elle se rapproche de moi, se frotte, me lèche les tétons. Une partie très sensible de mon corps qui me propulse généralement très loin dans le plaisir. Elle met à présent sa main dans mon sous-vêtement. J’essaye tant bien que mal de passer en-dessous de sa jupe afin de la toucher mais elle repousse ma main.
Elle me demande si j’ai craqué, si je suis sérieux, et je ne peux que répondre par l’affirmative. Je lui ouvre même une porte sentimentale en disant que j’ai craqué dès le premier lancement de regard que nous avons eu. Elle trouve cette réponse agréable, le temps qu’elle se mette à penser, je l’ai prise par les hanches, puis je l’ai allongé sur le dos. C’est à mon tour de la dominer. J’enlève la fermeture éclair de son haut, et je vois apparaître sa magnifique poitrine vêtue d’un soutien-gorge rouge. J’embrasse le creux de ses seins, j’en sors un puis le deuxième et avale comme un mort de faim ses tétons.
Je les suce, les mordille, les fait rouler dans la paume de ma main. Puis je descends petit à petit en direction de son puits d’amour tout en lui faisant des bisous sur le ventre. Je soulève sa jupe, enlève ses bas, puis aperçois un shorty rouge.
Je descends ce dernier avec mes dents puis je remonte en me mordant la lèvre. Je vois son abricot, et je ne peux m’empêcher de le dévorer. Je joue avec son clitoris, puis elle saisit ma tête en m’appelant encore une fois le soumis. Elle m’allonge sur le dos, puis m’offre une fellation. Elle imprime une cadence assez forte, puis me pompe clairement le gland. Je n’en peux plus, je sens que je vais exploser dans sa bouche. Je me demande même si ce n’est pas ce qu’elle cherche.
Au bout de dix minutes, de ce traitement, elle s’arrête enfin. J’ai le souffle saccadé, je n’en peux plus, elle est vraiment douée dans ce domaine. Je décide alors de prendre les choses en main. Je la positionne sur le dos, les jambes outrageusement écartées. Et je la pénètre dans un premier temps en missionnaire. Je la besogne de façon bestiale, j’essaye de me mettre à son niveau.
Puis nous changeons de position, je la prends désormais en levrette, je fais claquer ses fesses contre le bas de mon ventre. Elle me propose désormais de lui prendre son petit trou. Je lui lèche afin de le préparer, même si je sais que ce n’est pas très utile puisque la cyprine à très bien fait son travail.
Je présente mon sexe à l’entrée de l’anus de cette dernière, commence ma pénétration petit à petit puis m’enfonce totalement. Elle ne peut retenir son cri de plaisir. Je fais des mouvements plutôt lents dans un premier temps, mais elle ne semble pas tolérer ceci. Donc du coup, j’y vais une fois de plus comme un bourrin.
Ses cris sont perçants puis au bout de dix minutes, elle me propose son vagin en guise de dessert. Je comprends subitement qu’elle souhaite recevoir ma semence en elle.
Je lui demande si elle a une lingette afin d’avoir mon membre propre, puis je retourne dans son vagin si doux. En missionnaire, je lui donne des coups de reins, tandis qu’elle me lèche mon téton droit. Le genre d’action qui me propulse très loin, d’ailleurs au bout de cinq minutes, mon sperme se répand à l’intérieur de sa vulve.
Nous nous endormons, l’un contre l’autre.
Diffuse en direct !
Regarder son live