Devant la fenêtre de notre salle de jeux, je scrute la rue. Il est 13 heures 30 et nous venons juste de finir de manger. Aujourd’hui,à l’inverse d’hier il fait un temps de chien, il tombe des cordes. De toutes évidences, mon rendez-vous avec Nabil est à l’eau. Bien qu’avec lui tout est possible, vu ce qu’il m’a fait subir la veille. Tout en repensant à ce combat, à la cuisante défaite qu’il m’a infligée et à ce qu’il m’a ensuite fait subir, je me demande ce qu’il m’aurait réservé aujourd’hui. Je dois bien reconnaître que ce qu’il m’a fait m’aassez plu et la vision de son superbe membre m’a sidéré. Jamais je n’aurais imaginé qu’on puisse posséder un tel organe.Alors qu’essayant de penser à autre chose et à ce que je vais faire cet après-midi,soudain apparaît devant les grilles de notre maison mon ami,si je puis dire ainsi,Nabil.Il s’est arrêté et regarde avec insistance notre maison..Quelque peu tétanisé,je me demande ce que je dois faire,et,sans bien m’en rendre compte,j’ouvre la fenêtre et l’interpelle.D’un signe de la main il m’invite à le rejoindre,ce que je fais sans aucune hésitation."rentre on va se mettre à l’abri" lui fais-je en lui serrant la main.Arrivés sur le perron,Nabil me demande si on peut aller dans mon garage.Après ma réponse positive,il veut savoir si il y a toujours ce vieux sommier et ce matelas à l’intérieur.Là encore je réponds par l’affirmatif..."alors,viens on y va" me lance-t-il.D’un pas rapide, presqu’en courant nous traversons la grande court et entrons dans le garage."Qu’est-ce que tu veux faire?fais-je inquiet mais en même temps un peucurieux de savoir ce qu’il va vouloir faire.."tu verras et tu ne le regretteras pas,crois-moi,mais d’abord on va installer ce vieux plumard". En deux minutes ceci est fait."et maintenant on fait quoi?". Nabil avec un grand sourire s’approche de moi et plaquant ses mains sur mon torse me renverse sur le lit.."comme hier,reste ainsi et ne bouge plus"Puis,sans un mot,il grimpe sur le lit m’enjambe et lentement commence à ouvrir sa braguette..Pourquoi essayer de lui résister je sais qu’il es bien plus fort que moi,alors muet,je fixe ses mains.Quand son sexe sombre,à moitié érigé,sort de sa cachette,incrédule je le fixe.il me semble qu’il est encore plus gros que la veille.Enfin,tranquillement il s’assied sur le haut de mon torse et tout comme hier m’inflige le même traitement,promenant son sexe sur mon visage,me fouettant au passage joues et lèvres.Puis lorsque très rapidement il est raide et dure comme une barre de fer.il me le plante entre dans la bouche..Alors que je m’attendis qu’il me pilonne aussitôt,il s’immobilise, pivote et tend une main qu’il pose sur mon bas ventre.." Ha..! s’exclame-t-il moqueur,je savais que tu aimais ça."fait-il en serrant à travers le tissu de mon pantalon mon sexe tendu.Puis il me refait face,m’agrippe le visage à deux mains et avec vigueur le fait aller et venir sur son sexe...Rapidement,il se met à grogner et soudain me bloquant le visage il m’inonde la bouche en plusieurs jets violents et abondants.."allez,avale,avale tout..! "éructe-t-il d’une vois sourde. Péniblement je déglutis son épaisse semence.Dès qu’il me libère la bouche il se lève."enlève ton futal". Étourdi frustré, moi je n’ai pas joui et j’en ai envie,je ne comprends pas pourquoi il m’a dit ça..."allez,vas-y enlève ton pantalon". En me contorsionnant sur le lit j’enlève mon jean."ton slip aussi". J’obéis essayant de cacher mon érection de mes mains ce qui le fait rire."maintenant,mets-toi à quatre pattes.Sans le quitter des yeux je me mets dans cette position..Nabil me rejoint,s’agenouille derrière moi..."il y avait longtemps que j’en avais envie" jubile-t-il en saisissant son membre qu’il pointe sur l’entrée de mes reins.J’ai un bref mouvement de rébellion, mais il me rappelle aussitôt à l’ordre.Guidant sans doute son sexe d’une main,il le pointe sur mon oeillet,qu’il force aussitôt..Mais celui-ci résiste..La pression disparait,alors que je l’entends cracher puis s’astiquer la verge..De nouveau son gros gland brun violacé s’écrase sur ma virginité anale..Lorsque celle-ci cède je m’écroule en hurlant tant la douleur fulgurante.irradie tout mon être..J’ai l’impression qu’on m’a embroché avec un fer chauffé à blanc...Entre deux cris je le supplie d’arrêter de me laisser,mais sourd à mes jérémiades, centimètres par centimètre il s’enfonce en moi et je sais à vue d’oeil qu’il y en a pas loin de 19.Il me semble que ça n’en finit plus.Enfin ses volumineuses bourse s’écrasent contre mes fesses meurtries et il s’immobilise.Un gémissement presque de soulagement s’échappe de ma gorge,vite remplacé par un nouveau cri lorsqu’il se met à me claquer les fesses.Lentement il se retire puis replonge.Et il recommence,recommence...Je gémis sans discontinuité,alors qu’il accélère ses mouvements dont l’ampleur s’est elle aussi amplifiée..Je ne sais plus ou ’en suis.Ai-je mal ou est-ce du plaisir qui monte en moi?..maintenant il me pilonne comme un fou,je gueule toujours alors qu’une de mes mains a saisi mon sexe et le masturbe en rythme...Je n’en peux plus et en feulant je jouis..Nabil me défonce encore un moment avant de se retirer brusquement,de me retourner sur le dos et de venir me jouir sur le visage...
