Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 82 J'aime
  • 3 Commentaires

Mlle Adeline et M. Martin

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Camille et j’ai 20 ans. Je vais vous raconter comment j’ai rencontré l’homme qui m’a dépucelée. Je suis une étudiante qui viens tout juste de commencer son BTS. C’est là que je l’ai rencontré. Mon prof d’économie, M. Martin. C’était le début de l’année scolaire, il nous distribuait les fameuses feuilles de présentation auxquelles tout le monde a eu droit au moins une fois dans sa vie. Il devait avoir dans la quarantaine, bruns, les yeux noisettes. Il portait une chemise qui n’était pas boutonnée à fond, laissant s’échapper quelques poils bruns de son torse. Il n’était ni trop gros, ni trop musclé. « Plutôt pas mal » me disais-je, même s’il ne m’intéressait pas vraiment. Il ne semblait pas marié. Du moins, il n’avait pas d’alliance. Une fois à mon niveau, il me tendit une feuille, tout en me souriant. Une fois terminé, il retourna à son bureau.
Le cours passa rapidement, étant donné que nous ne travaillions pas vraiment. Il nous informa alors d’un séminaire se tenant pendant 5 jours, durant lesquels les profs et les élèves auront l’occasion d’échanger pour apprendre à se connaître. Étant plutôt introvertie de nature, je me décide à aller voir le prof en fin de cours, une fois que tout le monde était parti pour lui demander si nous étions obligés de venir.
— Monsieur Martin, est-ce que nous sommes obligés de venir à ce séminaire ?— Présence obligatoire, Mademoiselle ! Répondit-il en rigolant.
Je rougissais, un peu gênée qu’il m’appelle « Mademoiselle ». Il était assis et je baissais les yeux, sans le vouloir, vers son pantalon qui épousait les formes de ses parties intimes. Il croisa les jambes, peut-être dû à mon malaise face à cette vue.
— Je...Je m’appelle Camille.
Il dirigea sa main vers un tas de feuilles. Nos feuilles de présentation. Il en sortit un feuille, la mienne, reconnaissable à quelques petits dessins que j’avais griffonné dessus.
— Camille...Voyons voir...Artiste dans l’âme à ce que je vois ! Timide, introvertie. But dans la vie : « Aucune idée ». Eh bien ! Pour une fille qui dessine aussi bien, c’est tout trouvé, pourquoi tu ne t’es pas orientée dans les métiers d’arts ?— Je...Je ne dessine pas aussi bien que ça vous savez...Et puis ça coûte cher.
J’étais gênée à l’idée de parler de moi. Comme d’habitude. Le prof n’insista pas davantage.
— Nous continuerons la discussion au séminaire...Enfin, si tu le veux bien d’accord.— Oui, pourquoi pas...
J’allais sans doute me mettre dans un coin seule et dessiner pendant les deux jours de toute façon. Les jours suivant passèrent assez vite et nous arrivions à la date du fameux séminaire. Nous nous étions rendus en bus dans ce qui semblait être une école de voile. C’était un bâtiment plutôt grand, avec des chambres donnant une vue sur la mer. C’était plutôt sympa comme endroit en fin de compte. Les profs nous rassemblèrent dans le hall d’entrée, présentant un peu le truc, précisant que nous avions quartiers libres pour aujourd’hui, histoire de « mieux se connaître » comme ils disaient. Tout le monde semblait déjà avoir formé des groupes. Le groupe de gars habituel, parlant de sexe, de filles et encore de sexe. Un groupe de geek, parlant de mangas, de films et qui évitait, fort heureusement pour ma tête, de parler de maths. Il y avait également le traditionnel groupe de pétasses qui me regardaient étrangement, et ne manquant pas de se retourner en rigolant quand je les regardaient. Et enfin, le groupe des profs...qui étaient parti je ne sais où. Je décidais pour ma part de me rendre vers la plage avec mon carnet de croquis. Finalement, j’avais vu juste : j’allais vraiment passer le temps seule dans mon coin.
Cela faisait maintenant quelques temps que j’étais seule sur la plage. Une ombre apparue alors sur mon carnet. Le groupe de filles était derrière moi et, à la vue de leurs tronches, je pouvais m’attendre à bientôt avoir des ennuis. Et là encore, je ne m’étais pas trompée. Elles me prirent mon carnet des mains et alors que je tentais de le récupérer, je vis les pages se déchirer lentement, les unes après les autres. Alors que j’essayais de le récupérer, elles me jetèrent du sable à la figure. J’étais à terre, les yeux fermés à cause du sable et pouvais les entendre rire tout en s’éloignant. Je pleurais toutes les larmes de mon corps et c’est alors que je sentis quelque chose toucher mon épaule.
— Lâchez-moi ! M’écriais-je.— Allons Camille, du calme, c’est M. Martin, ne t’inquiète pas. Oh, tu es dans un sale état. Bon attends, je vais te ramener à l’école.— Il va falloir me guider alors parce que je...
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase. Ses bras s’étaient retrouvés sous mon corps et il me souleva d’un coup.
— Ah ! Mais qu’est-ce que vous...— Je ne vais tout de même pas te faire marcher jusque là-bas, quand même ! Et la galanterie alors ?— C’est que je...— Quoi ? Tu as peur ? Passe tes bras autour de mon coup si tu veux.— Euh...D’accord.
Mes mains glissaient sur son torse, cherchant à tâtons le chemin vers son coup. J’avais remarqué qu’il n’était pas très gros et je pensais également qu’il n’était pas très musclé. Mais ma main sentait le contraire. Son corps était très bien taillé.
— Dîtes donc Mademoiselle Camille, vous prenez le temps pour trouver votre chemin.— Ah ! Désolé Monsieur Martin !— Je te taquine ! Et puis tu sais, ça ne me dérange pas.
Je commençais à rougir. Ça ne le dérangeait pas ? Qu’entendait-il par là ?
— Ça me fait un massage gratuit comme ça ! Rajoutait-il en rigolant.— Ah...D’accord.
Le trajet se termina rapidement. Heureusement, le bâtiment ne se trouvait pas très loin de la plage où il m’avait retrouvé. A notre arrivée, il n’y avait pas un bruit, personne ne semblait être à l’intérieur, ce qui m’arrangeait car j’avais un peu honte au fond de moi. Il poussa une porte avec son pied et me déposa lentement sur un lit. Je l’entendais faire couler un peu d’eau dans un robinet et revenir vers moi. Il passa quelque chose de froid sur mes yeux et quelques minutes plus tard, je pouvais à nouveau les ouvrir.
— Merci monsieur ! Lui adressais-je pleine de reconnaissance.— Mais de rien, mademoiselle. Votre prince charmant est à votre service.
Je souriais, il me faisait rire malgré ce qui était arrivé. Et puis j’ai finalement repensé à mon carnet. Il avait sans doute compris, à voir ma tête, que quelque chose n’allait pas.
— C’est à cause de ton carnet que tu fais cette tête ?— Oui...
Je lui avais répondu en versant une larme, qu’il essuya avec un de ses doigts. Il me souriait tout en passant et repassant ce doigt sur ma joue. Il me souriait. Quelque chose se passa alors au fond de moi. Je regardais encore et toujours son visage et m’approchait de lui de plus en plus...En oubliant que j’étais au bord du lit. Je m’étais cassée la figure sur lui, ma tête finissant entre ses jambes. Ou plutôt sur son entrejambe. Il ne me repoussa pas, en fait, il était plutôt amusé de la situation.
— Tu sais, je suis plutôt ouvert d’esprit, mais je n’imaginais pas que notre relation avait évoluée aussi vite. Dit-il en rigolant.— Je suis désolé !
Je me relevais, confuse et dans un malaise plus que total si bien que je m’étais enfuie en courant, ne comprenant pas vraiment ce qu’il c’était passé et un peu honteuse de la situation. Quand je suis revenue plus tard, il faisait quasiment nuit. Personne ne semblait s’être inquiété de mon absence, à part M. Martin bien entendu. En fait, il m’avait même attendue toute l’après-midi.
— Je suis désolée...Je n’aurais pas du m’enfuir...Vraiment.— Ne t’inquiète pas...Et puis c’était aussi un peu de ma faute alors...Tiens, pour me faire pardonner !
Il me tendait un carnet tout neuf, je le remerciais, tout en souriant. Il m’expliqua alors que, comme j’étais la dernière arrivée, il n’y avait plus qu’une chambre avec deux lits. Si bien qu’il m’avait attendu pour savoir si ça ne me dérangeait pas de dormir avec lui dans la même chambre.
— A choisir entre vous et les filles, je préfère que ce soit vous.— Oh, c’est gentil ! Tu m’aimes bien finalement ! Mais par contre, je te préviens, je dors en caleçon. Avec cette chaleur écrasante...— Oh, vous savez vous pourriez dormir nu ça ne me dérangerait pas.
Qu’est-ce qui m’avait prise de sortir ça ? Et à un prof en plus ! Il me regardait toujours en souriant, il ne semblait pas gêné. C’était même à se demander si quelque chose pouvait le gêner. Nous nous retirions donc dans notre chambre commune. Un peu petite mais il y avait tout de même une petite douche ainsi que des toilettes. Il commença à se déshabiller devant moi, visiblement pas gêné par le fait que je le vois en caleçon. J’en profitais pour le regarder, il était plutôt bien bâti et avait des jambes très musclées. En dessous de son short, il portait un caleçon large ne laissant pas paraître ses parties intimes. J’étais excitée, et sans attendre, je me déshabillais moi aussi pour me mettre en petite tenue également. Pour la première fois, je le sentais un peu gêné quand il posa son regard sur moi. Sans plus attendre, nous nous couchions dans nos lits respectif et il ne me fallut pas longtemps pour m’endormir.
Je me réveillais au beau milieu de la nuit, avec une envie pressante. Je me dirigeais donc vers la porte des toilettes sans vraiment m’attendre au spectacle qui allait se donner devant moi. Les toilettes étaient éclairées par une faible lumière et juste devant le trône se trouvait M. Martin. Complètement nu. Mais ce qui me dérangea le plus, c’était les va et vient que son bras droit faisait et les râles qu’il laissait échapper. Il se masturbait devant moi. Je ne savais pas quoi faire, j’étais paniquée. Alors je restais là, bêtement, à espionner son intimité. Soudain, je sentais quelque chose coulait dans ma culotte. Je mouillais ! J’étais excitée par le spectacle que mon prof me donnait. Je ne pouvais pas voir son sexe, mais je me l’imaginais assez grand et large. Après tout, je n’y connaissais rien. Je me suis même surprise à me caresser les lèvres. Et c’est alors que son regard croisa le mien. Mais pourtant, il ne s’arrêta pas. Pour ma part, j’étais gênée et honteuse et je décidais de retourner dans mon lit. Je n’arrivais plus à me rendormir à cause de ce que j’avais vu. M’avait-il vraiment vu d’ailleurs ? J’avais rapidement obtenu ma réponse. En sortant des toilettes, il se dirigea vers mon lit. Il approcha sa tête de la mienne et passa une main dans mes cheveux.
— Si tu es curieuse, tu n’as pas à avoir honte. Ma porte sera toujours ouverte Camille. Toujours.
Il m’avait murmuré ces paroles dans l’oreille et retourna se coucher comme si de rien n’était. Je n’osais plus bouger de mon lit pour aller aux toilettes et finalement, j’avais finis par me rendormir.
Diffuse en direct !
Regarder son live