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Mlle Adeline et M. Martin

Chapitre 2

Hétéro
Bon alors, ce chapitre fait suite à l’histoire de Mlle Camille et M. Martin. Sauf que je viens de m’apercevoir que je me suis mélangé les pinceaux dans les histoires que j’écrivais (Et oui, je suis tête en l’air!). Ici, l’histoire suit bien une Camille et non pas une Adeline. Faute de titre donc, mais rien de grave. Sur ce, bonne lecture!
Chapitre 2:
Je me réveillais le lendemain matin, de bonne heure. M. Martin était toujours dans son lit, en train de ronfler. Il semblait ne pas avoir remis son caleçon puisque celui-ci traîner par terre, près de mon lit. Il était donc nu sous son drap. Rien que cette pensée m’excitait. Mais après avoir violé son intimité hier soir et son message, j’avais un peu peur de sa réaction si je le regardais encore. Je me décidais donc à aller prendre une bonne douche pour me changer les idées, prenant bien soin de fermer la porte à clefs...Au cas où. Lorsque je suis sortie de la salle de bain, M. Martin était levé et avait revêtu un nouveau caleçon. Il m’adressa un sourire tout en s’habillant.
— Alors, tu as bien dormi Camille ?— Euh...Oui, M. Martin. Et vous ?— Moi aussi...Finalement, tu as vu, j’ai suivi ton conseil. J’ai retiré mon caleçon ! Dit-il en rigolant.
Il n’aborda pas le message qu’il m’avait laissé durant la nuit, cependant je sentais de temps en temps son regard se poser sur moi alors que je me changeais. Nous allions ensuite déjeuner, quelques personnes étaient déjà levée. La salle se remplit après quelques minutes et les profs annoncèrent qu’aujourd’hui, nous commencions officiellement la voile. Nous devions donc nous mettre par deux. Et, comme par hasard, je me retrouvais seule. J’ai dis seule ? Non, pardon, j’avais oublié mon prince charmant.
— Bon, puisque tu es encore seule très chère mademoiselle Camille, je me mets avec toi !
Certains élèves de la classe se tournèrent vers moi, me regardant bizarrement tandis que je faisais mine de ne pas le connaître. D’un autre côté, je n’avais pas envie de me retrouver avec les folles d’hier ou bien les obsédés sexuelles. Nous allions donc nous changer et nous mettre en tenue, assez moulante pour le coup. Je l’enfilais par dessus mes sous-vêtements. Nous nous dirigions ensuite vers la plage avec le moniteur, nous expliquant comment manœuvrer le catamaran. Très vite, nous prenions le départ, suivant les instructions du moniteur, qui ensuite nous laissa aller là où l’on voulait. Je me chargeais des cordes et M. Martin du gouvernail.
— Ça te dirait de t’éloigner un peu du reste du groupe ? Me demanda t-il.— Si vous voulez.— C’est parti alors !
Nous nous élancions donc de notre côté, les autres groupes ne prêtant pas attention à nous. Une fois loin, nous décidions de nous laisser porter par les vagues. Il voulu se placer à côté de moi mais finalement se cassa la figure sur moi, nous retrouvant collés l’un à l’autre.
— Tu es moins gênée qu’hier j’ai l’impression, je me trompe ?— C’est juste que...Qu’est-ce que...
Je sentais quelque chose de dur se frottant contre moi. Il avait une érection à travers sa tenue et faisait des va et vient sur mon corps.
— S’il vous plaît M. Martin, arrêtez.— Ça ne te plaît pas ? Pourtant hier soir, tu avais l’air plutôt curieuse, non ?
Il se retira, sans même insister. En se relevant, il se caressa tranquillement devant moi. Étrangement, ça ne me dérangeait pas. Ça m’excitait. Alors j’ai commencé à me caresser un peu moi aussi...Mais je fus très vite gênée par mes sous-vêtements. Il rigola.
— C’est pour cela qu’il ne faut rien mettre en dessous !— Alors vous ne portez rien, vous ?— Bien sur que non. Tu veux voir ?— Euh...Non, ça ira pour l’instant...Dîtes...Pourquoi vous vous êtes relevé ?— Tu voulais que je continue ?— Non, non ce n’est pas ce que je voulais dire. C’est juste que, si vous aviez voulu abuser de moi, vous n’auriez sans doute eu aucun mal à le faire non ?— Abuser de toi ? Non, jamais je ne ferais ça à une femme ! Comme tu m’as dis non, je me suis retiré. Mais jamais il ne me viendrait à l’idée de te violer. J’ai peut-être été un peu brusque avec toi, mais je ne te ferais pas de mal et je n’irais pas plus loin si tu ne le demande pas.— Oh...D’accord.— Dis-moi, ça te dérange si je me met à l’aise ?— Euh...Vous voulez vous mettre complètement nu devant moi ?— Tu m’as déjà vu hier soir...Et puis j’ai trop chaud là dessous.
Sans que j’ai eu le temps de dire quoi que ce soit, il commença à retirer sa combinaison, me dévoilant son corps entièrement nu. Son sexe était comme je me l’avais imaginé la veille : grand et large. Il s’assit en face de moi et continua de se masturber, tout en me souriant. Au moment où il allait jouir, il se leva et se tourna vers la mer, éjectant sa semence dans la mer. Pour ma part, je ne savais plus trop où me mettre. Il m’excitait mais d’un autre côté, j’avais peur d’aller trop loin avec lui et qu’il me fasse mal. Il se retourna de nouveau et s’avança vers moi. Il se plaça à genoux, la tête entre mes jambes.
— Si tu veux, je peux te lécher. Ça ne me dérange pas. Dit-il d’un ton très sérieux.— Euh...Je...— Et si jamais tu veux aller plus loin...je suis ton prince charmant, ne l’oublie pas !
Je repoussais sa tête doucement en mettant mes mains frêles sur son visage, tout en lui faisant « non » de la tête. Il continua de sourire, ne posa pas plus de question et commença à remettre sa tenue.
— J’espère que je ne vous ai pas vexé...C’est juste que...Je ne me sens pas encore prête.— Oh ! Mademoiselle Camille est donc encore vierge. C’est très intéressant à savoir !— Je ne pensais pas que vous étiez si pervers, M. Martin. Disais-je en rigolant.— C’est que tu n’as pas trouvé le bon ou bien que tu ne te sentais pas prête ?— Un peu des deux. Je trouve les garçons trop immature alors je n’avais pas envie de...enfin...Vous comprenez quoi !— Te donner à eux ? Oui, je comprends. Enfin tu sais, certains peuvent être gentils et attentionnés, même à leur âge. Ils ne pensent pas tous qu’au sexe.— Je sais mais...Je n’arrive pas vraiment à me rapprocher des garçons de toute façon...Et puis, un homme comme vous, c’est pas mal aussi ! Vous avez de l’expérience, de la maturité, vous êtes viril...et j’en passe.— Oh, c’est gentil tous ces compliments. Mais tu me dis ça après que je me sois rhabillé ? C’est dommage. Dit-il en rigolant.
Je me sentais beaucoup plus à l’aise avec lui maintenant et j’appréciais le fait de pouvoir me confier à lui sur tout ce qui me chagrinait. Il était venu s’installer à côté de moi et nous discutions ensemble. Je voyais que parfois son érection lui revenait et qu’il se touchait devant moi, tout en continuant de m’écouter. Et même s’il m’avouait être excité par mon corps, il ne m’a jamais touché contre ma volonté. Parfois, je me surprenais à poser ma main sur son sexe où son torse, mais il ne me réprimanda jamais ni ne retira ma main. Au contraire, il m’invitait à le toucher si j’en avais envie ou par simple curiosité. Finalement, après plus de deux heures de conversation, nous reprîmes la route vers la plage.
L’après-midi fut très banal. Nous pouvions nous balader sur la plage, en ville ou même rester à l’école si nous le désirions. Je n’étais pas restée avec M. Martin durant l’après-midi de peur de trop attirer l’attention. Il restait mon professeur après tout. Puis, après le repas, nous allions nous coucher, exténués. La nuit, je me réveillais de nouveau. M. Martin n’était pas dans son lit et n’était pas non plus dans la salle de bain. Je sortais de la chambre et remarqua que la porte d’entrée était ouverte. Il était devant le bâtiment allongé sur le sol à regarder le ciel étoilé. Il était habillé, du moins, il portait un t-shirt et un short. Je m’allongeais à côté de lui et il passa son bras derrière mon dos, plaçant ainsi sa main droite sur mon sein droit. Il me caressait lentement mais habilement, sans aller plus loin. Comme s’il savait ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. Nous restions là, silencieux, à la lumière du ciel étoilé.
— Dîtes M. Martin...On a beaucoup parlé de moi tout à l’heure mais...Et vous ?— Moi ? Tu veux en savoir plus sur moi ?— Je me demandais pourquoi vous n’étiez pas marié...Enfin un homme comme vous, je veux dire, vous êtes plutôt charmant, un peu pervers sur les bords mais quand même...— En fait, j’ai été marié Camille. C’est juste que ça n’a pas beaucoup marché entre nous. Ma femme me trompait et me prenait pour un imbécile, pensant que je n’avais pas vu clair dans son jeu...Elle a beaucoup moins rigolé quand elle a vue les papiers du divorce si tu veux mon avis !— Oh...Je ne savais pas, désolé.— Ne t’excuse pas ! Et puis, toi tu es là, non ? C’est ce qui compte.
Il rigolait de plus belle. Pour ma part, j’étais songeuse. J’aimais beaucoup la relation que lui et moi nous avions. J’avais même envie d’aller plus loin avec lui. Mais si quelqu’un l’apprenait, que se passerait-il ? Sans m’en rendre compte, j’étais en train de penser comme une jeune fille amoureuse...Parce que j’étais amoureuse. Je tournais lentement ma tête vers M. Martin, lui aussi me regardait, tout en souriant.
— Dis, ça te dirait un bain de minuit ?— Quoi ? Et si quelqu’un nous voit ?— Ne t’en fais pas, ils dorment tous. Au pire, ils nous rejoindront peut-être !
J’étais sceptique. Mais aussi plutôt excitée à l’idée d’aller nager seule en tête à tête avec lui. J’acceptais finalement son invitation et il me prit par la main pour m’emmener vers la plage. Arrivé au bord de l’eau, il retira ses vêtements. Il ne portait pas de caleçon finalement. Très vite, je fis de même, de plus en plus excitée. L’eau était un peu froide, mais avec la chaleur qu’il faisait, ce n’était pas trop dérangeant. Nous batifolions dans l’eau, nous jetant de l’eau à la figure comme des enfants. Et puis, une fois un peu plus fatigué, nos corps vinrent se retrouver collés l’un à l’autre.
— Encore une fois mademoiselle Camille, vous avez oubliée de retirer vos sous-vêtements !— C’était pour mieux vous laisser le faire !
Il me souriait et me tira alors hors de l’eau. Son sexe était en érection. Depuis certainement un bon moment déjà. Il me coucha dos sur le sable et retira délicatement mon soutien gorge. Je posais ses mains sur mes seins, l’invitant à me caresser. Ce qu’il fit, délicatement et sans se presser. Il commença ensuite à me lécher les tétons, descendant de plus en plus bas jusqu’à atteindre ma petite culotte. Il attendait patiemment, sa tête entre mes jambes, que je lui laisse me retirer ma culotte. Je guidais sa main vers celle-ci et il comprit ce qu’il avait à faire. Il me lécha avec vigueur les lèvres et pénétra sa puissante langue dans mon vagin. Une fois qu’il m’avait correctement humidifié, il plaça son sexe à l’entrée de mon vagin et fit des va et vient sur mes lèvres.
— Dis-moi quand tu es prête Camille. Ne t’en fais pas, j’irais doucement et si tu as mal, tu n’auras qu’à crier et je me retirerai. D’accord ?— D’accord.
Il prit appui avec ses pieds dans le sable et introduisit lentement son gland dans mon vagin. Un plaisir incroyable m’envahissait alors que je commençais à le sentir en moi. Il continua lentement, jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement. Son gland touchait désormais mon hymen. Il continua tout doucement à me pénétrer et je sentis quelque chose céder en moi. Je lâchais un petit cri de douleur alors qu’il continuais sa route, sans se soucier des quelques gouttes de sang coulant le long de son sexe. Puis, sans crier gare, il s’allongea sur moi et porta ses lèvres sur les miennes. Il m’embrassait tout en faisant des va et vient. Je pouvais maintenant le sentir entièrement en moi, ses testicules claquant contre mon corps à chaque fois qu’il rentrait de nouveau.
— Je vais bientôt jouir Camille, est-ce que tu veux que je reste en toi ?— Oui, ne vous inquiétez pas, je prends la pilule.— A vos ordres, Mademoiselle !
Il émettait des râles très virils tandis qu’il continuait sa petite affaire. Puis, je sentais des jets de semence chaud qui coulait au fond de moi. Il restait en moi mais avait arrêté les va et vient. Il posa doucement ses mains sur mon visage et approcha ses lèvres des miennes. Je passais ma langue sur ses lèvres et la laissait pénétrer dans sa bouche. Sa puissante langue s’enroula autour de la mienne et nous nous embrassions. Il se redressa ensuite et commença à se retirer.
— Non, restez s’il vous plaît, M. Martin.— D’accord, Mademoiselle Camille ! Me fit-il tendrement.
Nous restions là, sur la plage, nos corps recouverts de sable, collés l’un à l’autre. Son corps chaud sur et à l’intérieur du mien. Je sentais les battements de son cœur tandis que je plaçais mes mains sur son torse pour le caresser, tandis que lui caressait mon visage et m’embrassait de temps en temps le front. Il nous fit alors basculer dans le sable. Je me retrouvais maintenant sur lui et je restais là, contre lui.
— J’aimerai rester avec vous pour toujours, M. Martin.— D’accord, si tu veux. Ça ne me dérange pas, tu sais !— Mais...Et si quelqu’un venait à l’apprendre ?— Je perdrais simplement mon boulot. Ce n’est pas la fin du monde. Dit-il en plaisantant.— C’est juste que...Je ne veux pas vous perdre.
Il m’embrassa sur le front tout en me serrant contre lui pour me rassurer. Nous sommes restés là pendant peut-être deux heures jusqu’à ce que nous décidions enfin de nous rhabiller et de retourner dans notre chambre. Le reste du séminaire se passa sans que personne ne remarque quoi que ce soit. Chaque soir, nous profitions d’un moment d’intimité dans la douche ou bien sur son lit, tout en prenant bien soin de fermer la porte à clé, au cas où.
La fin du séminaire arriva rapidement mais ne marqua pas l’arrêt de notre relation. De temps en temps, après les cours, je venais le rejoindre dans une salle de classe qu’il fermait à clé. Il m’allongeait sur le bureau et me prenait. Il n’était jamais violent et ne demandait ni n’insistait jamais si quelque chose ne me plaisait pas. Jusqu’à la fin de mes études, cette relation « interdite » resta secrète. Deux années s’étaient écoulées et notre amour n’avait pas flanché. Un jour, après mes examens, j’avais reçu un message de M. Martin. Il m’invitait à le rejoindre dans le bureau où nous nous rejoignions la plupart du temps car il avait une surprise pour moi. Il m’attendait, souriant. Je fermais la porte derrière-moi, un peu étonnée de ne pas le voir se déshabiller devant moi. Il se mit alors à genoux et sortit une petite boîte à bijoux de sa poche.
— Mademoiselle Camille, voulez-vous m’épouser ?
Je ne savais plus quoi dire. Je pleurais devant lui et n’arrivait même plus à le regarder dans les yeux. Il posa la petite boîte sur son bureau et épongea mes larmes avec la manche de sa chemise.
— Oui, je le veux M. Martin.
Sans plus attendre, il passa la bague autour de mon doigt et me prit dans ses bras, souriant comme jamais. J’étais heureuse comme jamais et l’embrassais.
Quelques mois plus tard, nous étions mariés. Bien sûr, notre mariage n’avait pas fait l’unanimité dans nos familles respectives. Mais nous nous en fichions. M. Martin...Non, Claude, mon mari, avait tout de même pu conserver son job. Certains de ses collègues qui étaient aussi mes anciens profs, étaient également présents. Pour notre lune de miel, je m’étais offerte totalement à lui, en lui disant qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Mais il n’en fit rien.
— Mon plaisir c’est d’être à vos côtés, Madame Martin.— Vous lisez dans mes pensées, M. Martin.
Il prit tout son temps pour me faire jouir, comme d’habitude. J’avais arrêtée de prendre la pilule, après en avoir longuement discuté avec lui. Il désirait avoir un enfant, qu’il pourrait aimer et chérir et ce, avec moi à ses côtés. Il semblait vouloir rattraper le temps qu’il avait perdu avec son ex-femme et je comprenais que, du haut de ses 45 ans, il souhaitait fonder une famille. Je le laissai donc me féconder, sentant les va et vient de son sexe à l’intérieur du mien. Il me caressait les seins et moi, je caressais sa poitrine. Très vite, il éjacula en poussant ses râles virils qui m’avaient déjà fait chavirer plusieurs fois. Il avait beau être très doux, j’adorais ce petit côté bestial en lui. Il s’allongea ensuite à côté de moi et me serra contre lui. Nous discutions toujours après nos rapports. Non pas sur nos performances, ni sur la qualité de ceux-ci, mais plutôt de nos humeurs du moments, de nos rêves, parfois de nos fantasmes. Ce soir là, Claude me partageait ses craintes à l’idée de devenir père. Il avait un peu peur de ne pas savoir comment si prendre. Mais je le rassurais et lui disais qu’il n’avait pas à s’inquiéter.
Quelques semaines passèrent. J’avais attendu qu’il soit avec moi pour faire le test. Nous attentions pendant quelques minutes qui paraissaient une éternité. Nous étions collés l’un à l’autre, attendant. Le résultat était positif. J’étais enceinte. J’allais avoir un enfant ! Claude me prit dans ses bras et m’embrassa. Il pleurait de joie. Je n’arrivais pas à contenir mes larmes non plus.Une année avait passée depuis ce jour. J’avais accouché de deux beaux jumeaux, Thomas et Sam, fruits d’un amour passionné. Leur père se débrouillait comme il fallait et s’occupait d’eux comme jamais. Bien sûr, il s’occupait également de moi chaque soir, tout en continuant nos petites discussions après nos ébats.
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