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Moi et ma sœur bodybuildée

Chapitre 1

Inceste
Il est 15 heures ; je suis seul dans mon appartement. Ma grande sœur m’a appelé ce matin, en me disant qu’elle me rendrait visite dans l’après-midi ; il me semble qu’elle a besoin de je ne sais plus quoi. Je suis vraiment très excité : cela va faire 6 ans que je ne l’ai pas vue. J’ai choisi de faire mes études à Lyon alors qu’elle est restée sur Paris.
Je me demande si c’est toujours la jeune fille brune bien portante aux yeux noisettes que je connaissais ; ça va lui faire quoi, 30 ans ? Oui c’est ça, je crois.
Elle ne devrait pas tarder. En attendant, je vais m’allonger 15 minutes ; on ira sûrement prendre un verre quand elle arrivera.
17h ; je me suis assoupi. La sonnerie me réveille : c’est sûrement ma sœur. J’ouvre la porte ; stupéfaction ! "Salut, frérot !" Elle était transformée : j’avais quitté une jeune fille rondouillette et là, devant moi, se tenait une montagne de muscles. Elle portait un décolleté bleu très près du corps qui laissait transparaître sa musculature massive. En entrant, elle m’étreignit chaleureusement.
À cet instant précis, j’ignore pourquoi, mais j’éprouvai un désir charnel pour son corps. Je sentis son abdomen massif contre moi ; mon visage fut serré contre ses pectoraux surdéveloppés encadrés de bras musclés et striés de veines saillantes.
– C’est vraiment génial de te revoir ; tu m’as beaucoup manqué, me dit-elle.J’étais encore sous le choc ; je répondis simplement en souriant :– À moi aussi ! Viens, rentre, installe toi : fais comme chez toi !Un certain embarras succéda à mes paroles ; la gêne que je ressentais était tellement importante qu’elle en devenait presque palpable. Ma sœur savait très bien que je ne m’attendais pas à cela. Je revins vers le divan avec des boissons, tout en me disant qu’il était préférable de crever l’abcès immédiatement.– Honnêtement, quand j’ai ouvert la porte j’ai été...– Surpris ? continua-t-elle ; tu sais très bien que je t’en avais déjà parlé quand on était plus jeune ; c’est franchement très dur de vivre avec un surpoids : on se sent constamment mal dans sa peau.Bref, on a reparlé du passé, de son ancien problème de surpoids, de moi, de tout et de rien.
À présent, après cette longue discussion, il est tard ; je lui montre où se trouve sa chambre, puis la salle de bain.– Prends ta douche tranquillement ; je prendrai la mienne plus tard.Elle rentre dans salle de bain et prend une douche. Je suis seul ; je me mets à penser au désir charnel que j’éprouve pour elle ; en écoutant l’eau couler, je m’imagine nu sous la douche avec elle, palpant ses muscles, lui faisant l’amour, gémissant de plaisir. Sous l’effet de telles pensées, mon sexe se dresse et tend mes vêtements.
Soudain, ma sœur entre dans la pièce, revêtue d’une serviette de bain ; elle me demande où se trouve le sèche-cheveux. Ses mâchoires saillantes, Ses trapèzes surdimensionnés, ses bras puissants, son corps massivement développé et encore humide, tout cela me laisse rêveur… Elle s’aperçoit alors de mon érection.– Eh bien, je sais pas à qui tu pensais, mais elle doit être vraiment jolie ! En tout cas, t’as le temps de te soulager : j’en ai encore pour un moment. Ça va aller, ou tu veux de l’aide ?– Ah ah… très drôle ! T’es toujours une sale moqueuse ; t’a pas changé !
Elle termine sa douche et revient me voir. – Je te demande juste un dernier service et je te laisse tranquille.Elle sort une seringue et me la tend.– Tu peux m’injecter ça dans le bas du dos ? Pour une fois que j’ai de l’aide, j’en profite !– Qu’est-ce que c’est ? De la dr...– Qu’est-ce que tu crois, nigaud ? J’ai pas pris 40 kilos de muscles en buvant de l’eau !! Ce sont des stéroïdes anabolisants : ça aide au dévelopement des muscles.Je lui injecte le liquide dans le bas du dos ; elle gémit comme si elle ressentait du plaisir. Elle se relève et m’embrasse sur la joue.– Bisou ; à demain !– Bisou…
La nuit se passe. Le lendemain matin, j’ai à peine le temps d’ouvrir les yeux que ma sœur ouvre la porte et saute sur mon lit comme elle le faisait avant pour m’embêter.– Hmmmm… Laisse-moi dormir…– Debout, frérot ; alleeez, debout, fainéant !
Là, son ventre me chevauche le dos : seule la couverture me sépare de son corps musclé. Je sens la lourdeur de ses pectoraux sur mon épaule ; mon sexe entre en érection. J’essaie de gagner du temps pour qu’elle ne s’en aperçoive pas mais, d’une seule main, elle m’attrape par le bras et tire : me voilà soulevé, quasiment debout.
À moitié endormi, je n’ai pas le réflexe de cacher mon sexe qui durcit de plus en plus à la vue de son corps presque nu, uniquement vêtu d’une culotte et d’un léger haut. Ses cuisses musclées, ses fesses galbées, ses mollets tendus… je ne peux pas m’empêcher de fixer son corps d’une manière pensive. – T’es bien le premier que ça fait bander ; en général, on me traite de bonhomme !– Nan, nan, je…– Pas à moi, frangin ; c’est bon. Y’a rien de mal ! Le sperme coule le long de ma verge ; elle me fixe droit dans les yeux, et sourit en contractant ses muscles... La suite ce soir !
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