Je suis une jeune femme de 24ans, que la vie a comblé, avec des formes qui font pousser, des hooooooo! et des waooooooooooooooooooo, mariée a un homme adorable qui m’aimait plus que tout, je vivais le parfait bonheur, ne manquant de rien, je ne sais ce qui me prit ce jour là, il était 8h du mat lorsque je me réveille, je prend mon petit déjeuner qui se trouvait prêt comme chaque jour a cette heure, vu que suis matinale, c’était un jour d’été qui annonçait une chaleur suffocante, bref, n’ayant rien de programmé pour ce jour, je pris deux serviettes, dont une longue, et je me dirige vers la rivière dont une partie traversait mes terres, j’habitais une domaine, mon domaine, je siffle cyclone, cyclone c’est mon chien, un berger allemand de taille impressionnante qui était mon compagnon, et avec lequel je me sentais en sécurité, je sentais que ce chien m’adorait vu la façon dont il m’accueille, a chaque fois que je franchis le portail de l’entrée principale, et je le lui rendais bien, il n’attendait que ça, le voilà me dépassant en courant, pour revenir a chaque instant se faufiler derrière moi, je le savais espiègle, arrivée, a l’endroit qui était devenu depuis longtemps Mon endroit a moi toute seule, les ronces, et les arbres, en faisaient un endroit où il fait bon passer des heures a l’abri de tous, je me déshabille, complètement, et plonge dans l’eau encore froide, je fis quelques brasses, et je reviens m’allonger sur la serviette longue que j’avais étalé a même le sol, et je me mis a m’essuyer le corps, arrivée, a mes cuisses je m’y attarde, inconsciemment, je commence a prendre goût, je m’enduis les doigts de ma salive et je me branle tout doucement, je ne vois pas cyclone qui était debout sur moi me regardant curieusement et étonné de ce que je faisais, il approcha sa tête comme machinalement de mes seins, et commença a me lécher, puis descendit mon corps, je me raidis, il avait l’habitude de me lécher les mains, le visage, mais jamais ces parties là, je voulais le repousser, mais je ne fis rien, sous la sensation de désir qu’il me procurait, sa langue arriva a ma chatte, et commença a sucer ce qui suintait entre ses lèvres, je sentais mon clitoris devenir très ferme, il était sur moi, de façon que j’avais ses couilles, tout prés de mon visage, machinalement je tendis la main et commença a lui caresser le fourreau, qu’est ce que je faisais ? je suis folle ? je branlais mon chien, une voix dans mon intérieur me recommandait de stopper, je n’en fis rien, au contraire, j’écarte plus encore mes cuisses pour permettre a mon amant d’aller chercher plus loin son bonheur, je haletais, j’étais comme ivre, ma main était devenue comme qui dirait une machine qui s’affairait sur l’engin de mon chien qui maintenant était a l’air libre, je vois, waoooooooooooooo! un bidule d’une taille impressionnante au dessus de mon visage, et si je le suçais? me disais-je. Non, m’entendis-je murmurer, c’est un animal! mais sa langue qui était experte me coupa le souffle et je relève la tête jusqu’à ce que la bite énorme se trouva a l’intérieure de ma bouche, tout en continuant a le branler je caressais ses bourses pleines je sentis entre mes jambes ma mouille qui ne cessait de se déverser, je jouis, le chien faisait des va-et-vient dans ma bouche, pendant qu’il me râpait la chatte, j’étais aux anges, je me disais que ça ne pouvait être qu’un rêve, magnifique, oui, mais un rêve, et que j’allais me réveiller, alors autant en profiter, c’est lorsque je sentis une rasade de foutre de l’animal dans ma bouche et qui faillit m’étouffer, a tel point que je me retourne promptement pour recracher l’imposante quantité de son sperme, et je dois avouer que sous la surprise, j’en ai avalé une bonne partie, j’avais envie de dégueuler, je pleurais, oh, mon dieu, qu’es-je fait ? je venais de faire ce dont je ne me pensais pas capable, j’avais honte, mais heureuse de ce que j’ai ressentis comme plaisir, je ne sais pas combien de temps, je suis restée dans cet état, mon chien se rapprocha de moi, et me caressa le visage, comme s’il voulait me dire -: n’oublies jamais que tu es mienne a partir de cet instant, et que tu es chienne, je me relève, et je m’enfuis en courant vers ma salle de bain, c’était le commencement...
